DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Avec plus de 500 visiteurs quotidiens sur mon blog, ma "femellisation" hormonale passionne les foules. Je constate avec ravissement que des hommes de plus en plus nombreux s’enflamment à ce sujet, au point de vouloir franchir le pas avec leur épouse et explorer cette merveilleuse aventure féminine avec elle. Ah, se sentir femme dans notre corps d’homme, le rêve de beaucoup d’entre nous. Qu’une femme nous pousse à enfiler des petits strings sexys sur nos hanches épilées, à glisser des bas sur nos jambes lisses, à chausser des escarpins puis à prendre des hormones féminisantes pour avoir de vrais seins aux tétons saillants et enfin qu’elle s'excite à nous prendre par derrière avec un énorme gode-ceinture affole nos sens. Combien sommes-nous à nous masturber en songeant à cet univers féminin que nous ne pouvons pas exprimer ouvertement avec une femme ?
Or, une telle initiative s’oppose à notre pudeur de mâle. On n’ose pas avouer nos penchants féminins par souci d’être mal compris, par crainte du qu’en-dira-t-on et d'un jugement négatif de notre entourage social, à commencer par la pudibonderie des femmes. S’ajoute à cela la crainte des effets négatifs des hormones féminisantes sur notre identité de mâle viril. On dit tant de choses à ce sujet. De ce fait, oser franchir la frontière entre masculin et féminin n’est pas donné à tout le monde. Mieux vaut donc se cacher de ces penchants féminins disent les hommes sensés.
Et oui, hormis les maitresses professionnelles, nos femmes nous préfèrent en homme viril et conquérant. Elles assimilent les hommes féminisés à des homos introvertis, voire à des malades qui refusent de reconnaître leur homosexualité. Et pourtant, face au discours public sur l’identité de genre et l’orientation sexuelle, les esprits s’ouvrent. Attention, il ne s’agit pas ici de transsexualité ou de vivre en femme à plein temps, c’est un autre sujet. Des hommes comme nous désirent d’abord exprimer la part de féminité qui vit en eux sans pour autant remettre en question leur genre masculin. Qui n’a pas vécu le bonheur de voir ses seins se développer et de ressentir les effets féminins des hormones sur son corps et son esprit ne peut pas comprendre. Qui ne s’est pas donné à une femme en homme féminisé ne peut mesurer le plaisir qu’on en tire. Et le bonheur est encore plus grand quand c’est notre compagnequi nous féminise au-delà de nos espérances...
Oui, beaucoup de lecteurs me reprochent mon silence. Attirés par ma condition de mâle féminisé aux hormones, ils souhaitent que j'écrive plus souvent sur mon évolution. Hélas, je manque de temps...
J’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter des sous vêtements féminins.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours des sous vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien gorge mais dont je laisse les bonnets vides.
Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps et la finesse des détails, des broderies, ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon sexe compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string !
Quand je me masturbe, c’est avec ces sous vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau.
Je joue même parfois avec le soutien gorge en le nouant autour de mon sexe et ou en éjaculant dans les bonnets. Personne ne connaît mes tendances.
Mais j’aimerais bien trouver un homme qui partage le même intérêt que moi pour le travestisme.
Quant au maquillage, je le mets mais relativement discret. On m’a déjà fait plusieurs fois la remarque que je mettais du maquillage, mais honteux je dis qu’il s’agit de maquillage pour homme et
que c’est pour me donner un style.
Je me masturbe aussi comme si j’étais une femme, considérant mon pénis comme un clitoris et mon anus comme un vagin.
Je prends du plaisir à jouer à être femme, pour autant je n’ai aucunement envie de changer de sexe. Je vis cela seulement comme un jeu, un plaisir, un enchantement.
On retrouve chez toi le comportement typique des hommes qui adorent exprimer ainsi leur coté féminin. Nous devons nous émanciper et ne plus cacher notre sexualité. Pour ma part, je me dévoile toujours ainsi aux femmes dans l'intimité. Elles sont souvent surprises puis découvrent un univers qui renouvelle leurs habitudes sexuelles...
Ma soeur m'a aidé à devenir travesti
Je suis bisexuelle, n’étant pas opérée, je peux être active et passive, comme ça se dit aujourd’hui, selon les goûts de mes amants et de mes amantes ou selon mes propres envies. Je ne suis pas
une professionnelle et ne fais pas commerce de mon physique ou de mes charmes, j’ai un métier.
Même si je suis une créature ambiguë du 3ème sexe, j’ai une allure féminine, et je dois avouer que j’adore le sexe et que ma vie est plutôt riche de rencontres et d’expériences.
Physiquement, je suis mince, épilée intégralement, avec des cheveux courts à la garçonne et j’ai des yeux noirs, je mesure 1,72m, pour 60 kg, j’ai une petite poitrine aux auréoles brunes, et pour
finir, je suis très étroite des hanches, cambrée avec de petites fesses et un petit cul serré.
Depuis que je suis petite, et oui j’emploie le féminin pour moi, j’ai toujours été attirée par le fait de m’habiller en femme, et grâce à ma soeur, l’occasion de réaliser ce phantasme fut
possible, car chaque fois que Nadia ma soeur, que j’appelle Nad dans mon récit, comme dans la vie, était absente de la maison, j’en profitais pour passer ses vêtements.
Bien que plus âgée que moi de 2 ans, nous nous ressemblons et avons depuis toujours le même physique et, à cette époque, nous étions très proches l’une de l’autre et nous partagions tous nos
petits secrets.
Très tôt dans ma jeunesse, j’allais souvent dans la chambre de ma sœur Nadia pour me travestir, elle était très gâtée par mes parents car elle réussissait merveilleusement à l’école, et ils lui
donnaient de l’argent de poche, je savais qu’elle aimait les dessous, tout son argent de poche y passait.
Dès qu’elle était absente, je m’aventurais dans sa chambre, en explorant tous les rangements qui pouvaient abriter des trésors, à la recherche des lingeries, j'ai fini par trouver que c'était la
commode qui contenait tous les trésors de nylon et de dentelle, j'ai ouvert un à un les tiroirs, découvrant ses petites culottes, ses soutien-gorge, ses combinaisons, ses bas, ses
porte-jarretelles, plein choses très sexy que je n'aurais jamais imaginé avoir un jour à portée de main. Après avoir touché, caressé et même senti toutes ces belles choses, je n'ai pas pu
m'empêcher de revêtir ses affaires, étant du même physique que Nadia, tout m'allait très bien, du soutien-gorge au porte-jarretelles, en passant par les bas, la combinaison et même ses
escarpins.
Donc souvent dans la chambre de ma soeur, je m’habillais dans ses habits de fille et passais mon temps à me regarder dans la glace, et ces instants étaient du pur émerveillement, puis plus tard,
je me suis mise à me maquiller lors de ces instants de solitude.
Durant cette période pendant laquelle je me partageais entre l’école et le plaisir de me travestir secrètement et mes plaisirs solitaires, je n’avais à l’époque, car compte tenue de mon
ambiguïté, aucune relation sexuelle avec des filles de mon âge, simplement des attirances d’amitié, par contre je me sentais vraiment attirée par les garçons de mon âge ou même plus vieux, la
solitude et mes plaisirs seuls habitaient mon quotidien.
Souvent le soir, seule allongée nue sur mon lit, je me caressais faisant bander mes petits bouts de tétons, tout en caressant mon sexe qui durcissait et se dressait fièrement vers le plafond de
la chambre, puis fermant les yeux, je pensais à des corps enlacés faisant l’amour dans toutes les positions, je me laissais à rêver enserrant des sexes dans mes mains et les branlant jusqu’à la
jouissance. Dans ces moments là, je me branlais jusqu’à la jouissance complète, lâchant vers le plafond ma semence en de longs jets.
Parfois, je passais un doigt sur mon anus, le caressant, je réveillais alors en mon corps des frissons et des désirs, je prenais plaisir à m’enfoncer divers objets dans l’anus en attendant qu’un
autre jour, je connaisse les délices d’un zob en moi.
Bien sur très rapidement, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagé ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de
m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Laila comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle, j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous vêtements et d’être
admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né. Ma sœur étant majeure
à l’époque et adorant la lingerie, comme je l’ai dit, toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste
avec charme et sensualité.
Souvent dans sa chambre, nous passions d’une tenue à une autre et durant ces changements, nous regardions nos nudités en faisant des comparatifs.
Durant cette période, alors que nous étions dans sa chambre, nues toutes les deux comme de coutume lors de nos séances d’essayage, ma soeur me montrait ses nouveaux trésors et nous étions assises
au bord du lit, nous passions un moment merveilleux, elle me parlait maintenant comme à une fille, ce qui était très excitant.
Nadia m'entoura alors la taille d’un porte-jarretelles rose, en forme de serre taille avec de courtes jarretelles, puis me passa le bustier et la petite culotte assortis, elle rajouta des bas
blancs à couture d'une finesse extrême, qu’elle m'enfila avec application, un bas puis l'autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre taille. Nad remarqua que ma
poitrine était bien plate pour une poitrine de fille, on y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets du soutien-gorge, elle me montra une paire
d'escarpins noirs fermés avec une fine bride, je me levai du lit et me dirigeai vers elle en imitant sa démarche.
Une fois, l'une devant l'autre après cet après-midi d’essayage, nous eûmes envie de nous embrasser, les mains autour de nos cous, alors que nos bassins étaient collés l'un contre l'autre, nos
hanches commençaient à ondoyer et mon sexe raide, protégé par le fin écrin de nylon de ma culotte frottait contre son pubis épilé, celle-ci fut troublée, et alors que nos lèvres se rapprochaient,
Nad me dit doucement :
- Restons-en là, ma chérie, mettons une nuisette et allons au lit dormir.
Plaisirs intimes.
Durant cette période, sachant qu’au fond de moi, je désirais être femme ou tout du moins avoir l’apparence d’une femme et de ce fait plaire aux hommes ou pourquoi pas aux femmes, je demeurais
seule sans relations et je me contentais de me donner du plaisir en solitaire.
C’est ainsi que me donnant du plaisir en solitaire, j’ai découvert en me masturbant le plaisir anal.
Je comprends les femmes, qui affirment n’avoir aucun plaisir &ag
Laila, ton récit explique parfaitement ton penchant féminin. Tu as eu la chance d'apprendre beaucoup sur la féminisation avec ta soeur. Reste maintenant à trouver ton chemin car dire que tu es une créature du 3° sexe sousentend que tu es trans, un homme biologique qui se sent femme dans sa tête et qui fera toutes les démarches pour devenir femme...
Content de vous relire :)