DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

      Oscillant entre mes envies de "femellisation" et ma nature de mâle, c'est en voyant une nouvelle collection de minuscules strings sexys dans la vitrine d’une boutique de lingerie que j'ai à nouveau craqué. Ce n’est un secret pour personne, je voue une irrésistible passion pour les petites culottes et les minuscules strings de femme en particulier. J’aime autant les porter qu’en acheter. Pas une semaine sans que la tentation d’en trouver de nouveaux me prenne aux tripes. Même quand je pars en voyage, je prends toujours plus de culottes et de strings que nécessaire dans mes bagages ; elles prennent si peu de place. Les douaniers m’amusent à ce sujet. Ne trouvant que de la lingerie de femmes dans mes valises, ils me jettent parfois un regard interrogateur...

     Je le disais plus haut, j’ai actuellement une préférence pour une petite boutique où la vendeuse connait mes goûts. Nous avons donc sympathisé. Avec un sourire complice, elle me propose des strings de femme à l’entrejambes moins étroit qui contiennent mieux mon sexe proéminent alors qu’ils sont prévus pour y loger une chatte. A chaque nouvel arrivage, elle ne manque pas de m’appeler. Après tout, elle est comme toutes les vendeuses, elle associe mes divagations érotiques à son chiffre d’affaires. Elle sait que j’ai horreur des froufrous et de toutes ces fanfreluches qui dénaturent l'esthétique. Je préfère des matières au toucher érotique, légèrement transparentes et vaporeuses avec une coupe qui met en valeur le bombé de mon sexe. Et sur le derrière, le petit triangle qui donne des fesses plus  joufflues. Plus c’est petit et plus ça m’excite à tel point que je m’affole devant des microstrings. Un comble quand on voit combien leur prix est inversement proportionnel à leur surface.

     En rentrant à la maison après mes courses, je ne pense qu’à une chose, vite les enfiler sur mes hanches épilées. Bien souvent, ils sont si petits que mon sexe déborde de ces fins tissus. Mais incapable de résister à l’envie qui me submerge, je me branle avec. C’est fou comme un simple morceau de dentelle provoque une si intense excitation en moi. Rendez-vous compte, j'imagine parfois tenir une boutique de lingerie spécialisée où tout le monde, femmes, travestis comme transsexuelles viendraient se fournir sans fausse honte. Et bien sûr, je leur prodiguerais les conseils que cette clientèle attend de moi...

     Déambuler au rayon lingerie des grands magasins à la recherche de la petite chose qui m’excite, caresser les délicats tissus qui habilleront mon sexe et mes fesses me procure aussi beaucoup de bonheur.  J'ai plaisir à toucher, à comparer et à prendre le temps de choisir. Avec l’habitude, je ne ressens pratiquement plus aucune gêne face aux vendeuses. Je dirais même pour celles qui s’interrogent à mon sujet que leur regard réprobateur nourrit ma perversion. Mais ne pensez surtout pas que je les défis. Il y a des limites à la provocation. Bien souvent, elles semblent plus gênées que moi.

     J’assume à présent ma femellisation au point que dans l’intimité d’une chambre, je ne cache plus mes penchants aux femmes. Avec mes seins aux tétons proéminents et mon corps épilé juste vêtu d’un string féminin, je les surprends. Certaines femmes s’en amusent, d’autres apprécient et se piquent au jeu de ma "femellisation". Quant aux pudiques, elles s’enfuient en me traitant de malade.

string.jpg

     Choisir parmi les dizaines de culottes dans la commode de ma chambre celle que je porterai toute la journée est à chaque fois un plaisir renouvelé. Dans mon désir de "femellisation", les strings et les culottes de femme sont au cœur de mes aspirations. Enfiler une petite culotte en dentelle sur mon corps intégralement épilé me permet de me sentir femelle, prêt à tous les excès féminins. Et ressentir toute la journée sous mon pantalon la ficelle d’un string entre mes fesses me rappelle que je suis effectivement une femelle dans l’intimité. Idem lorsque mes bourses débordent du string et que je dois les remettre discrètement en place.

 


Sam 10 aoû 2013 3 commentaires

Content de vous relire :)

M - le 12/08/2013 à 14h32

Merci de vos encouragements. Comme je le disais, c'est en entrant dans cette boutique de lingerie que l'envie de partager mes impressions avec les lecteurs m'est revenue. 

Microstring

Travesti et soumis par ma femme

1- La rencontre avec Nadia ma future femme :

J’ai connu ma femme Nadia lors d’une soirée à l’Université. Elle était juchée sur les épaules d’un de ses copains et par jeu je lui avais tapoté les fesses. Bien mal m’en a pris car elle me jeta un regard furibond. Quelques instants plus tard, je passais à côté du canapé où elle papotait avec une copine lorsque je fus bousculé et je tombais sur elle. Immédiatement, elle me saisit par le cou et passa une jambe au dessus de moi pour me bloquer. En me rappelant le début de la soirée, elle se mit à me fesser très fort, j’étais paralysé et j’entendis tous les copains se moquer de moi. Lorsque je pus m’échapper, je quittais immédiatement la soirée, honteux mais troublé car cela m’avait fait bander à m’en faire mal.
Je fus bien plus troublé lorsqu’elle m’aborda quelques jours plus tard dans les couloirs de l’Université avec un charmant sourire et voulut m’inviter au restaurant pour se faire pardonner. C’est ainsi que notre relation débuta. J’étais tombé sous le charme d’une belle femme sportive aux cheveux longs, moi le gringalet plutôt efféminé. Pour sa part, elle devait apprécier ma servilité car j’étais toujours prêt à lui rendre service, à lui ramasser ses affaires lorsqu’elles tombaient par exemple. Je la soupçonnais d’ailleurs d’en rajouter pour me tester.

2- Nadia me domine même pour faire l’amour :

En amour, je compensais ma petite queue par beaucoup de douceur, de caresses, par une langue très agile, par mon attention de chaque instant à la recherche de son plaisir. J’aimais écarter ses petites lèvres avec ma langue et goûter ce petit fruit bien juteux. Ma langue devenait un petit sexe la pénétrant et buvant son nectar. Je mettais ensuite deux doigts dans sa chatte et lapais, comme un petit chien, son bourgeon si sensible. J’aimais sentir la contraction de son orgasme sur mes doigts mais, malheureusement, elle n’aimait pas que je continue après l’orgasme ni que je l’embrasse pour lui faire partager son nectar. Elle, de son côté, aimait me rudoyer et apprit très vite comment me faire jouir en triturant mes tétons qui devenaient de plus en plus sensibles et en me caressant mon anus. Dans les jeux de l’amour, j’étais la femme.
Elle avait pris l’habitude de me caresser la raie des fesses et de tourner autour de mon petit trou serré. J’aimais ses caresses et cela me faisait gémir dès que ses doigts se mettaient à appuyer sur ma corolle comme pour y entrer. Ce qui arriva un jour où elle acheta de la vaseline et, sans me prévenir, commença à m’enduire de ce gel froid. Je retenais ma respiration mais je ne dis rien lorsque son doigt s’enfonça légèrement. J’étais très surpris car j’y prenais plaisir et ma femme encore plus, semble-t-il.
Au fur et à mesure des soirs, elle me pénétra avec un doigt puis deux, puis trois. A chaque fois, cela l’excitait beaucoup et moi, cette pénétration m’enchantait et me procurait un grand bien-être. Bien-être que je ne pouvais plus cacher vu mes gémissements et la façon de me tortiller dans le lit lorsqu’elle me défonçait. J’avais de moins en moins le droit de lui faire l’amour avec mon zizi qu’elle considérait comme un clitoris et souvent elle préférait me masturber avec deux doigts et lorsque j’éjaculais dans sa main, je devais la lui nettoyer entièrement en suçant tous les doigts. J’ai donc goûté à du sperme très tôt et elle me disait :
-« Prends-y du plaisir car je pense que tu es faite pour ça ! ». A cette époque, je ne comprenais pas trop pourquoi elle me parlait au féminin dans ces moments là.
Nous nous sommes mariés et ainsi, tous les soirs, le rituel commençait. Je la faisait jouir par mes caresses et parfois je la pénétrais si elle le désirait et elle, en retour, me pincer les tétons et me sodomiser. En vérité, c’était elle qui me baisait. Elle devenait de plus en plus autoritaire et souvent me traiter de « petite vicieuse, de salope, de petite pute » lors de nos ébats.

3- Nadia m’obligea à porter de la lingerie tous les soirs :

Un soir, elle m’annonça que comme j’étais une vraie petite femelle, je devrais pour la nuit m’habiller en conséquence. Je ne savais plus que penser lorsque, ce jour-là, je vis sur le lit un déshabillé rose orné de dentelle noire qui se fermait en nouant un joli ruban rose au niveau des seins, une nuisette sur laquelle on retrouvait la dentelle noire en guise de décoration en haut et en bas et un slip assorti. Tout cela très soyeux, très vaporeux. Devant elle, je dus me mettre nu et je ne pus cacher, que sous la douceur du tissu sur mes tétons, mon zizi qui  brusquement se redressa. J’eus vraiment honte de mon état passif.
-« Je savais bien que tu étais faite pour ça » me dit-elle en parlant de moi au féminin. Chaque soir donc, je devais m’habiller ainsi et apprendre à marcher avec des mules à talons de 6 cm « qui faisaient ressortir mon petit cul » disait-elle.

Un soir, j’eus le malheur de lui dire que j’avais froid aux jambes car l’hiver approchait. Le lendemain, elle m’installa dans la baignoire avec une crème dépilatoire et commença à me raser. C’était ça ou elle me quittait. Je dus obéir et même les poils de mon cul et de ma queue furent rasés. J’avais la peau douce et je frissonnais en caressant mes jambes.
« Maintenant, tu n’auras plus froid aux jambes ni à ta mignonne petite poitrine » me dit-elle en me présentant une magnifique guêpière avec toujours des motifs roses dont des petites fleurs sur les jarretelles et une paire de bas satiné. Elle serra la guêpière bien fort, à me faire perdre mon souffle « afin que j’obtienne plus tard une taille de guêpe ». Dans le miroir, avec mes cheveux qui commençaient à devenir très longs et dans cette tenue, j’étais devenu réellement femme. Je dus dormir ainsi pour la première fois. Cette nuit là, elle fut très tendre et apprécia de me caresser à travers ma lingerie, elle m’autorisa à me servir de ma queue mais, bien sur ensuite, je dus tout avaler. Ce fut une nuit difficile car je pris un immense plaisir à croiser et décroiser mes jambes pour écouter le crissement des bas. Par contre, le lendemain matin, au saut du lit, elle refusa que je retire la guêpière et les bas et je dus partir au travail ainsi. « Pourvu que je n’aie pas d’accident ! Les infirmières à l’hôpital feraient une drôle de tête ! » Pensai-je. Toute la journée fut une torture permanente car j’étais convaincu que tous mes collègues devinaient que je portais une guêpière sous mon costume.
lailatvx - le 19/10/2013 à 06h34

Bonjour Laila,

A lire ton parcours sexuel avec Nadia, je ne peux qu’abonder dans ton sens. Ton récit reflète parfaitement le cheminement d’un homme qu’une femme de caractère contraint à se féminiser puis à se travestir. Tu as sans aucun doute l'âme d'un travesti et ta femme t’aime ainsi. Par sa démarche, elle te révèle graduellement la féminité qui vit en toi. Ce jeu vous attire tous les deux. Laisse-toi aller entre ses mains car il s’agit avant tout de vivre ton fantasme de féminisation, de le partager avec elle sans plus aucune retenue. Profites en bien. Tu as la chance d’avoir rencontré une femme de caractère et de vivre avec elle une aventure merveilleuse dont tu ne connais pas encore l’issue. C’est justement là toute la quintessence que d’ignorer là où ta femme te conduira. Elle te féminisera toujours plus dans une escalade sans fin dont elle-même ne connait pas encore l’issue. Heureux homme !

Il en est ainsi de tous les hommes qui souhaitent exprimer entre les bras d'une femme la part de féminité qui vit en eux. Une certaine passivité sexuelle qui se manifeste à travers une femme qui prend l’initiative sexuelle. Si en plus elle les féminise parce que ça l’excite, elle fait d’eux des hommes heureux. Conséquence de cet échange, ils éprouvent l’envie de lui appartenir totalement. Donner du plaisir à cette femme qui les féminise jusqu’à l’outrance passera ensuite avant leur plaisir de mâle.

Nombreux sont les hommes qui se travestissent dans l’intimité de leur chambre avec l’espoir de rencontrer la femme qui leur fera franchir le pas. Hélas, trop peu de femmes sont attirées par la condition féminine des hommes. Ceux-ci doivent se contenter d’un plaisir solitaire prit dans l’intimité de leur chambre. Nous deux avons la chance d’avoir rencontré une telle femme…

Microstring

Tu peux consulter mon blog si tu veux :

http://karim-travblog4evercom.blog4ever.com/

lailatvx - le 20/10/2013 à 07h07

A lire tes histoires, l'inceste semble être chez toi un fantasme qui domine nettement ta sexualité. Cela me rappelle ma relation exceptionnelle avec ma mère. Mais nous étions bien plus sage que les histoires racontées sur ton blog. Reste à savoir si tu as vécu les situations décrites...

 

Microstring