DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Ce week-end pluvieux me donne l’occasion de conclure sur ma condition de mâle femellisée. Etant devenu totalement accroc aux hormones féminines et conditionné par les délires de féminisation de Yasmina, ma libido a complètement basculé en quelques années. Aujourd’hui, je peux enfin transgresser les tabous mâles sans aucun complexe et avoir une sexualité à la mesure de mes envies. Je ne me pose même plus la question d’ailleurs, mâle ou femelle, je jouis de me savoir ainsi. Qu’on extériorise mon coté féminin en favorisant le développement de mes seins ou qu’on se passionne pour mon délire de me sucer les seins pour provoquer des montées de lait et voilà que je craque comme un puceau qui découvre la sexualité. Et dans cette quête marginale de femellisation, rencontrer des gens comme moi me permet de continuer. C'est rassurant de savoir qu'on n'est pas seul à délirer ainsi...

     Coté hormones, c'est un peu le yoyo. J'en prends jusqu'à sentir mes seins se réveiller et mes mamelons devenir extrêmement sensible. Puis j'arrête le temps de retrouver un peu de virilité. Et quand mes seins se calment, je replonge dans les hormones. J'alterne ainsi sur des cycles qui oscillent de trois à six mois.

     Vous vous doutez que mes seins jouent aujourd’hui un rôle prépondérant dans ma sexualité. Quel bonheur de sentir ces deux petites rondeurs naturelles et pleine de vie pointer fièrement. Qu’une main frôle mes mamelons en érection et un tressaillement incontrôlable parcourt mon corps. Au moindre touché, l’excitation monte et je m’envole dans des délires féminins sans fin. Reste maintenant à avoir des montées de lait pour être une femelle comblée. Je ne comprends pas ces hommes qui complexent à cause d’une gynécomastie. Quelle chance ils ont. Ils possèdent l’extraordinaire avantage sur moi d’avoir la faculté biologique de développer naturellement leurs seins et de provoquer des montées de lait sans être obligés de prendre des hormones. Quand je vois les efforts que je fais et le temps que j'y passe, je les envies !

     Conséquence des hormones féminisantes, je compense mon coté mâle avec la douceur de mes seins en érection, avec la sensibilité de ma verge clitoridienne et avec ma « chatte » réservée habituellement à des usages moins nobles. J’ai maintenant un clitoris, un vagin et un nouveau poing G, ce qui stimule Yasmina à aller toujours plus avant. Je mouille à présent du gland comme une femme. Au fur et à mesure que je perds ma fonction érectile, je découvre le doux plaisir d’un clitoris plus érogène que le plus gros des clitoris féminin. Il se transforme en une chose hyperactive. Quelle que soit sa taille, aucune femme ne peut rivaliser avec moi : ressentir ce plaisir complet d’une vraie éjaculation de son clitoris... Une extase qui me fait pousser des cris de jouissance. Dommage que mon sperme ne gicle plus en de longs jets comme avant. Rien que du liquide séminal transparent qui s’écoule goutte à goute de mon gland flasque au rythme des contractions de l’orgasme. Il est si clair que je pense être définitivement stérile.

007 1000     Je préfère maintenant me donner en femelle salope et passive plutôt qu’en mâle entreprenant. Qu’il est doux de « gouiner » sans avoir à me soucier d’une érection. Lorsqu’on me fait l’amour, je n’ai plus aucun désir d’éjaculation et pourtant je jouis de voir ma verge mouiller à la façon d'un vagin. J’aime être possédé, qu’on prenne l’initiative et qu’on me domine sexuellement. J’ai besoin qu’on m’ouvre la chatte, qu’on la dilate à l’extrême puis qu’on me la défonce violemment. Les godes-ceinture de Yasmina ne me suffisent plus à présent.  Si on me caresse les seins, mon anus se transforme de suite en un désir béant. Sentir la main de Yasmina s’enfoncer dans les profondeurs de mes entrailles puis me masturber la prostate de l’intérieur me procure un plaisir inouï. Lorsqu'elle pratique ainsi, je n’ai aucune érection. Et pourtant mon sperme s’écoule de ma verge flasque sans aucun orgasme. Qu’elle m’oblige à boire ma propre semence dans ce cas précis, je m’en régale maintenant.

     Comme mes relations avec les femmes se concluent souvent par un échec, je leur préfère une jeune transsexuelle active qui comprend mieux mes problèmes. Je partage effectivement avec ces gens des comportements semblables qui confortent ma situation. J’évite de ce fait les femmes qui ne s’excitent pas à me féminiser. De plus, je suis incapable de me passer d’une vraie queue, grosse et bien dure ou d'une main qui s’agite dans mon ventre et défonce mes trippes. Dotée d’une verge hors du commun, Amber, mon amie transsexuelle, vient à la rescousse. Elle adore me défoncer violemment et jouit de mes cris de douleur. La sentir vibrer et jouir en moi me procure des jouissances torrides. J’aime ensuite garder son sperme le plus longtemps possible dans mes entrailles. Amusant de constater qu'elle s'essouffle beaucoup plus que moi dans ces jeux sodomites. Parfois c’est un jeune travesti actif qui jouit dans ma bouche ou dans ma chatte selon ses envies. Une escalade servile qui me poussera tôt ou tard vers des hommes plus virils selon les dires de Yasmina.

     Serais-je devenu un homo qui s’ignore ou un bisexuel à la recherche d’un maitre qui fera de moi son objet sexuel en échange de sa queue ? En découvrant mes seins juvéniles, des mecs bi désirent effectivement essayer avec moi. Il me vient quelques fois l’idée de me laisser draguer par eux. Mais ce n’est là qu’un fantasme passager car  les hommes ne m’attirent pas. Avec tous ces poils sur leur corps, je les trouve repoussants. De plus, ils sont tellement plus lourdauds en matière d’érotisme. Ils se vantent de leur coup de queue, font un petit pipi puis s’en retournent à leurs occupations. Rien ne vaut une jeune transsexuelle nourrit au Viagra qui assume sa masculinité avec son « clitoris » tout en m'offrant la douceur d'une femme.

     Lorsque je prends l’initiative avec une femme, ce qui devient rare, je compense avec une bonne dose de Viagra. Et ça marche. Retrouver une verge aussi dure qu’un morceau de bois m’étonne à présent. Mais qu’il est difficile d’assumer le reste ! Une épreuve sportive qui met à rude épreuve mes muscles affaiblis, mon cœur qui s’emballe et je ne parle pas de ma queue qui refuse parfois de se réveiller. Bien que moins fréquente, l’envie de jouir comme un mec est toujours présente, mais les sensations ressenties sont différentes. Il se crée une contrariété à l’orgasme, les muscles du périnée responsable de l’éjaculation répondant bizarrement. J’éprouve alors un sentiment de frustration, comme si mon corps refusait le plaisir de la jouissance mâle. 

     Je compense heureusement par une nouvelle forme de jouissance. L’idéal est de remplir mon colon avec un maximum de liquide puis de masturber ma verge molle. En jouissant par devant, je pousse en même temps par derrière pour évacuer le liquide du lavement. Pousser dans les deux sens comme une femme qui accouche, c’est l’extase garantie et j’en crie de plaisir. Jouissance identique, voire même plus forte avec un gode gonflable. C’est Yasmina qui gonfle le gode à la limite de ma résistance, jusqu’à me tordre de douleur. Quand arrive l'orgasme, j’éjacule simultanément mon sperme et éjecte ce gode devenu énorme. Infernale douleur qui renforce mon plaisir jusqu’à en devenir maso. Il me faut ensuite plusieurs jours pour m’en remettre… 

     Inutile donc de chercher à décrocher maintenant puisque me nourrir aux hormones féminisantes et me donner en femelle est devenu un besoin viscéral. Et oui, toujours autant de plaisir à avaler mes cachets et à étaler le gel féminisant sur ma poitrine et mon corps. Toujours les mêmes pulsions qui me poussent à me masturber avec la main remplie d'Oestrogel. Et toujours autant de plaisir à être intégralement épilé, à voir mes seins se dresser fièrement et à enfiler des petits strings sexys sur mes hanches lisses. Je suis incapable aujourd’hui de concevoir ma vie sexuelle autrement...


Dim 27 oct 2013 3 commentaires

Bon je viens de glisser.

Je viens de passer commande de 6 tubes.

Mais ayant des contraintes corporelles pour quelques mois encore, je testerais d'abord en petite dose pour voir les effets et apprendre a connaitre.

J'espère que ça va calmer ma hargne ^^

M - le 04/05/2014 à 19h48

Moi, il m'a fallu du temps avant de plonger dans les hormones. Malgré l'influence de ma compagne, la crainte que ça me perturbe et modifie trop mon corps et ma virilité.  

En matière hormonale, il n'y a pas de petites dose. Il t'appartient de trouver la dose idéale si tu veux vraiment avoir une poitrine de femme au bout de quelques mois. Le minimum vital, c'est d'arriver à une réglette matin et soir à la condition de supporter les effets négatifs. Moi j'ai commencé par une demi-réglette et je suis vite passé à 1 réglette /jour. au-delà, j'avais des problèmes...

Tes contraintes corporelles sont de quel type ? 

Microstring

Je viens de commencer un très gros tatouage qui va me prendre plusieurs mois, et avec à la fin des photos, du coup j'hésites à patienter mais je suis pas certains de réussir à patienter. On verra.

Et quand je commencerais, je passerais un certains temps à 1/2 pour m'habituer, et puis on verra.

M - le 08/05/2014 à 20h32

Quand on commence à s'hormoner, il devient difficile de décrocher par la suite tellement on éprouve de plaisir à avoir des seins de femmes. Exit donc les faux seins des travestis et place à  de vrais seins qui font devenir femme dans son corps et son exprit...

A toi de jouer maintenant. Moi, je m'aime ainsi...  

Microstring

Vous avez de la chance chez vous de pouvoir disposer de votre corps et d'avoir une multitude de moyens afin de le changer. Je vous envie ! Dans les pays arabo-musulmans, c interdit. C interdit par la religion et puni par la loi. Surtout en ces temps-ci, avec la montée de l'islamisme.

lailatvx - le 17/09/2016 à 17h44

Figurez-vous que ma compagne Yasmina est une musulmane pratiquante, de ces musulmans tolérantes qui ne s'opposent pas à la chrétienté.

Comme vous, elle ne pouvait vivre ses fantasmes de domination et de femelllisation des hommes dans son pays. C'est pourquoi elle a changé de pays. Ce qui ne l'empêche pas de revenir chez elle dans sa famille pour se ressourcer...

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