DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
A ceux qui lisent en diagonale ou qui auraient sauté des chapitres de mon blog, permettez-moi de rappeler brièvement, l’historique des femmes qui me convertirent progressivement à devenir le "mâle femellisé" que je suis aujourd’hui. Un rappel qui permettra aux lecteurs de mieux appréhender la démarche dans laquelle je m’inscris.
Ayant acquis l’expérience des femmes à mon âge, j’éprouvai le besoin de varier mes plaisirs sexuels afin de booster une libido parfois défaillante. Je rappelle aux lecteurs que je ne suis pas attiré par les hommes et l'homosexualité. Tout débuta avec mes amies ghanéennes, deux lesbiennes à l’origine de ma féminisation. Alors que j’étais un mâle pur et dur, je constatai combien « jouer » à me féminiser était une façon excitante d’aborder une sexualité différente avec les femmes. A leur contact, toute la féminité que Maman m’avait fait vivre durant mon enfance ressurgit brusquement. En quelques mois, je découvris non seulement le plaisir d’un corps totalement lisse, mais aussi la douceur des délicates lingeries féminines. Puis ce fut l’inversion des rôles mâle-femelle et les premières sodomies. Etre receveur fut une manière d’extérioriser une passivité sexuelle jusqu’alors insoupçonnée. Ce fut si jouissif de me laisser aller entre ces deux femmes sans avoir à me soucier de bander ou de prendre l’initiative que je me laissai convaincre facilement. Contrairement à beaucoup d’hommes féminisés, je n’avais jamais imaginé cela auparavant, même pas dans mes rêves d’ado. Et pourtant j’avais été un temps la "petite fille" de Maman.
Oh, cela ne se fit pas en quelques jours, il faut des mois, voire des années avant de s’abandonner totalement à ces jeux de féminisation. Un combat permanent d’où l’homme sort perdant au profit de la femelle qu’il devient. De découvrir les délires de ces deux femmes se transforma en une merveilleuse exploration amoureuse. Leur côté lesbien les poussa inconsciemment à effacer l’homme que j’étais pour le remplacer par la femme qu'elles désiraient que je sois dans l'intimité. A preuve, elles me firent découvrir les plaisirs de la sodomie par une verge de travesti. Rien de comparable avec un gode-ceinture. Je perçus cette sodomie comme honteuse tellement j’éprouvai de plaisir à sentir une queue de mec fourrager mes entrailles. Etais-je un homo refoulé ? La question ne se posa pas en ces termes puisqu'il possédait un corps androgyne et se travestissait en femme la plupart du temps. Conquis et amoureux fous de Fatou, je vécus sur un nuage entre ces deux femmes et leur ami travesti.
Cela les conduisit malheureusement à des excès. Comme on fantasmait souvent ensemble sur ma poitrine, elles me firent prendre des hormones féminisantes sans m’en informer. Ce qui me révolta quand je le découvris. A vrai dire, je n’étais pas encore prêt à passer au stade supérieur de la féminisation. A cela s’ajouta un problème encore plus difficile à gérer, elles voulurent me faire endosser la paternité d’un bébé qui n’était pas de ma conception. D’où notre regrettable séparation.
Après ces années bonheur, redevenir un mec à 100% ne m’intéressa plus. Je découvris à l’occasion combien sont rares les femmes qui s'excitent à féminiser leur amant. J’allai jusqu’à rencontrer des dominatrices professionnelles pour satisfaire mes penchants féminins. Triste constat, ces femmes en général ne nous comprennent pas, elles n’ont pas le talent naturel de féminiser les hommes. Et les autres femmes que je rencontrai se sauvaient à chaque fois, choquées ou amusées par ma condition de mâle féminisé. Je les comprenais d’ailleurs ; pas évident pour elles de se trouver face à un mec passif, intégralement épilé, avec des seins et portant un string de femme alors qu’elles rêvaient d’un beau mâle viril qui les violerait.
Errant de boites de nuit en bars d’ambiance à la recherche de celle qui me féminiserait, je rencontrai finalement Rio, une transsexuelle brésilienne non opérée et sa copine blonde. Je découvris leur corps androgyne, leur poitrine plus vraie que nature, mais aussi leur verge, leurs minuscules testicules et leur semence dont je finis par me régaler. Rio était si belle, si féminine, si extravagante sexuellement que je craquai. Je m’en épris follement.
Je lui confiai mon aventure ghanéenne et pourquoi je m’étais séparé de ces deux femmes. L’idée d'avoir pris des hormones féminisantes en tant qu'homme femellisé pour avoir des seins ne l’étonna pas. Comme beaucoup de ses copines, elle était passée par là avant de se faire opérer de la poitrine. Et dans son milieu, elle avait parfois rencontré des hommes féminisé qui rêvaient d'avoir des seins. Ne voulant pas faire l'erreur faite avec Fatou et Mariam, j'acceptai donc de partager ses hormones au gré de ses envies et de mes états d’âme. Oh, cela n’eut rien à voir avec un traitement sérieux, bien que mes mamelons devinrent sensibles à la longue. Une merveilleuse découverte ces hormones. Avoir des seins au contact de ces deux femmes et vivre en femelle salope devint un jeu des plus excitants.
Dans ce monde fait d’extravagances féminines, je me transformai rapidement en un être hybride, tantôt mâle, tantôt femelle selon les circonstances. Vivre entre Rio et sa copine blonde modifia profondément ma perception de la sexualité. Je plongeai dans des débordements extrêmes à en devenir marginal. Je m’habituai à leur corps androgyne, à leur « chatte », au goût de leur jouissance, à leurs sodomies aussi, allant parfois jusqu’à côtoyer la prostitution avec elles. Et à force de prendre des hormones féminisantes avec Rio, j'en devins dépendant, une addiction stimulée par la poussée de mes seins.
Après quelque temps de cette vie dissolue, ma conscience me dicta de retrouver mes repères masculins si je ne voulais pas dériver complètement. Sans compter que ma vie professionnelle en pâtissait sérieusement. Mon entreprise risquait de couler si je ne me ressaisissais pas. Comme Rio menait une vie infernale, j’en profitai pour me séparer d’elle et me reconstruire psychiquement. Or, elle tenta de se suicider tellement notre relation était forte. Quoi de plus perturbant ? Notre séparation ne fut pas simple. J’eus grande peine à la quitter, mais cela devenait pour moi une question de survie.
Une fois séparé d'elle, j'essayai vainement de redevenir un homme, un vrai ! J’allai jusqu’à m’inventer un profil de dominateur sur le Net. Attirée par le BDSM, une mère de famille délaissée par son mari me contacta. Elle disait manquer d’expérience en la matière. Bien que mon attitude lui sembla douteuse, dixit mon côté féminin, elle fut captivée par ma perversité. Jamais on ne lui avait parlé sexe de cette façon. Nous vécûmes tous deux une période trouble où je la contraignis à vivre des situations des plus marginales. Surprenant de voir comment cette mère de famille se donna au chien de mes voisins. Encore plus surprenant de l'obliger à draguer puis à dépuceler un lycéen de quinze ans. Et que dire lorsque je l'offris à des SDF qui la baisèrent sauvagement ? La honte et l’humiliation ressentie face aux situations que je lui imposai devinrent le moteur d’une sexualité libérée de toutes conventions. Dans la mesure où je la contraignis à vivre mes propres déviances sexuelles, elle ne se sentit plus responsable moralement. Qu'elle déchargea ainsi sa conscience sur moi fut perturbant.
Pouvoir exprimer sans retenue tout le sadisme qui sommeillait en moi engendra des comportements troublants. Voir cette femme soumise à mes perversions me procura des jouissances bizarres, à la façon d’un Sade. Qui n'a jamais obtenu d'une femme de sucer un inconnu dans la rue ne peut comprendre de tels comportements. Qu’une mère de famille puisse se donner de cette façon fut une découverte. Un don de soi dont seules les femmes sont capables ! J'obtins tout d'elle à condition de la respecter hors de nos tribulations sexuelles. Un lien très fort finit par nous unir. Je l'aimais profondément, mieux encore, j’admirai qu'elle puisse se donner ainsi. Encore aujourd’hui, je repense à ce sentiment déviant qui nous unissait au-delà de toute pudeur morale. J’aurai peut-être l’occasion d’en reparler en détail, bien que ce soit hors sujet.
Finalement, on mit un terme à notre relation BDSM si riche de perversion. Cette mère de famille eut peur de ses propres pérégrinations sexuelles tant elle y prenait de plaisir. Et chez moi, le constat s’imposa. En l'amenant à de telles dérives sexuelles, je me vengeais inconsciemment sur elle du sentiment de ne pouvoir vivre ma féminité. Je le constatais, ma sexualité ne pouvait s’épanouir pleinement qu’à travers ma "femellisation" par une femme....
Une voisine dominatrice
J’avais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui étais le plus jeune et le plus dynamique directeur de l’entreprise, sous
ses ordres je précise, mais question physique, loin d’être un dieu grec malgré ma belle gueule.
Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel. Prêts à vivre une vie parfaite dans un quartier huppé de la ville. Malheureusement, comme
tout le monde, j’ai un coin sombre et les miens s’appellent lingerie féminine. J’adore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie, qu’elle soit de satin ou de nylon, pourvu
qu’elle ait beaucoup de dentelles et de rubans. Je suis incapable de résister.
Mon éducation stricte et chaste que m’avait donnée mes parents m’avait retenu jusqu’à l’arrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout, je ne
voulais pas qu’elle me prenne pour un pervers et préfère divorcer. Au lieu de cela, j’ai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les
deux.
Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week-end parfois, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car
Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourd’hui justement, c’était le cas.
Comme toujours, cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche qu’après avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de choses et d’autres et l’avoir
longuement embrassée sur le pas de la porte.
Enfin seul, tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu, ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements
féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai-je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je n’hésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la
natation? D’après ce qu’on m’a dit, les nageurs se rasent les jambes car l’eau glisse mieux ainsi. Moi, c’est plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.
Par contre, si j’ai quelques poils, j’ai la chance d’avoir un corps fin, donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général, je me cantonne aux affaires qui se
trouvent dans la corbeille de linge sale car, sous l’excitation, il m’arrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car c’est elle qui lave à la main ses sous
vêtements.
Aujourd’hui, je suis une future femme chanceuse car dans le panier à linge, il y a un magnifique corsage de satin rose pale et assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublée de dentelle
noire. Une pure merveille. S’il y a porte jarretelle, il doit y avoir des bas, donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui
fait que je me suis constitué une petite réserve dans l’appartement et justement, j’ai plusieurs paires de bas.
Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à m’acheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente
d’abord, vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse qu’est le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille le zizi
qui dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation, le corsage étant cintré, il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que j’enroulais tout doucement puis déroulais le
long de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de mes jambes pour savourer le toucher. J’adorais être
ainsi emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nœuds roses foncés, je m’attardais voluptueusement au passage de mon clito avant de le fixer à ma
taille. Plus qu’à attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serrés. J’adorais en marchant ou en m’asseyant, avoir cette sensation d’emprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur
les bas. Vint ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à l’enfiler mais, bien sur, elle ne pouvait
contenir ma queue toute droite. Maintenant, je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant l’autre comme les mannequins starlettes pour
faire crisser l’un contre l’autre la paire de bas. Ma queue est droite mais j’évite d’y penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début, maintes
fois, il ne me fut pas possible de résister et j’éjaculais, dorénavant j’essayais de tenir plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne m’empêchait pas ensuite de récupérer
et de reprendre mon petit jeu tout le reste de la journée.
Mais pour l’instant, la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlais mon clito sans oser insister si je voulais tenir. Je
poussai un gémissement lorsque j’entendis :
Toc, Toc, Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait-il être? Personne ne savait que j’étais ici ! Mon cœur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés,
personne ne peut me voir. Le mieux, c’est de ne pas bouger, l’impertinent partira. Impatient, mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.
Toc, Toc, Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. J’ai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis
chez moi. Je ne fais de mal à personne, alors qu’il s’en aille que diable !
Toc, Toc, Toc ! Cette fois ci, le ton est plus impérieux. Quelqu’un sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister
ainsi. C’est ma voisine Mme Jones, une forte dame d’une cinquantaine d’années. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. J’étais bien embêté car je devais
aller lui ouvrir pour pouvoir me débarrasser d’elle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais
un pull à grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket compléteront le déguisement. Un dernier coup d’œil sur le miroir pour contrôler que rien n’était
visible et j’allais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, c’était une excitation
érotique intense. Vivement que je me retrouve de nouveau seul
Bonjour Laila,
On reste dans l’expectative avec ton histoire. Parler de ta rencontre avec Mme Jones prouve qu’il va se passer des choses qui iront dans le sens de ton travestissement. Ne serait-ce que le titre de l'histoire : « Une femme dominatrice ».
Une remarque tout de même, cacher ta féminité à ta femme ne peut que te conduire à pratiquer une sexualité brimée. A moins que Mme Jones y supplée par la suite...
Longue vie à toi et à ton blog !
Gros bisous !
Merci pour tes encouragement Laila. Ce blog aborde tous les aspect de ma sexualité et particulièrement ceux qui s'opposent à la société puritaine dans laquelle nous vivons aujourd'hui. Comme j'ai coutume de dire, mieux vaut être PD que femelliser si on espère un peu de considération.
Bonjour,
Je reviendrai sur tes précédents textes plus tard.
Ton histoire est de plus en plus passionnante, elle me fait rêver, espérer à des jours futurs de totale féminisation, femellisation.
Cette découverte avec tes ghanéennes, vos jeux, ta transformation, tellement plus agréable de « subir » passivement de s'abandonner à deux belles femmes qui cherchent à ce que tu leur ressembles. Je suis de plus en plus sensible aux transsexuelles, si belles et féminines, et comme tu décris si bien leurs beaux seins, leur féminité, leur liberté sexuelle et puis voir leur « chatte » épilée érigée si douce à caresser et plus... ! Elles ont un truc féminin particulier qui vient te chercher. Elles sont magnifiques !
Belle relation qu'a dû être cette relation BDSM. Je suis un adepte des jeux Ds, pour leur ambiance libérée notamment, aussi les soirées BDSM comme les soirées fétichistes sont encore et toujours un moyen de se montrer en femme au milieu d'une assemblée qui ne juge pas.
Ne voulant pas tout mélanger j'ai un blog qui traite de Ds, avec quelques délires de plus.
http://maitre-ou-soumis.erog.fr
Belle vie que tu as (j'espère) et que tu as eue, riche en expérience et en plaisirs.
Bonne soirée.
Amicalement.
Fétichminouche la bourgeoise.