DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Autant passionné l’un que l’autre par l’allaitement érotique, nos chemins finirent par se croiser sur ce site américain spécialisé. Pensez donc une nourrice qui allaitait des hommes ; depuis le temps que je cherchais... Impensable en France où morale et pudeur censuraient ces comportements jugés dégradant pour la femme et pervers pour l'homme. Nous échangeâmes quelques temps sur la lactation érotique, les grosses poitrines, les soutiens-gorges et nos fantasmes réciproques. Elle reconnut avoir à faire à un connaisseur. Comme c’est parfois le cas sur ces sites, notre fantasme commun nous lia d’une sympathie croissante. On rompit très vite l’anonymat protecteur du Net. Elle s’appelait Eva.
Avant de nous rencontrer, elle voulut savoir d’où me venait cette passion lactophile. Je lui révélai avoir été allaité par ma mère jusqu'à ma puberté. Et là, elle voulut en savoir davantage. Je lui racontai donc en détail ma relation maternelle sans rien lui cacher. Elle en conclut que cela expliquait ma dépendance au lait maternel. Lorsque je précisai que mon ex-femme me nourrissait ainsi plusieurs fois par jour, elle comprit tout l'intérêt de me rencontrer.
Je lui exposai aussi brièvement ma relation privilégiée avec Yasmina et combien j’avais craqué pour sa sexualité marginale. Ne voulant pas offusquer Eva, j’évitai de parler de mes habitudes de soumis femellisé. Mis en confiance, je lui dis que Yasmina avait à ma demande suivi un protocole induisant rapidement une lactation. " Vous imaginez mon bonheur Eva. Avoir pour compagne, une femme si passionnée, prête à induire une lactation. Et pas question de satisfaire un fantasme passager, il s'agissait d'allaiter à long terme, des jours, des mois, voire des années. Admirable femme ! "
Bien que Yasmina n’ait jamais eu d’enfant, le traitement suivi provoqua des montées de lait en un mois. Elle apprécia autant que moi ces tétées quotidiennes. Pas un seul jour où elle m’offrait son lait à boire. Une complicité remarquable s’installa entre nous, une habitude merveilleuse qui perdura des années, un lien si fort que je pensai notre union indéfectible. Jusqu’au jour où elle me quitta pour une jeune fille adolescente. Yasmina en avait vingt de plus. Quel désastre !
Malheureux et privé de lait maternel après notre séparation, je cherchai une autre femme qui soit aussi passionnée que moi de lactation érotique. A cette occasion, je découvris deux types de femmes allaitantes, celles qui pratiquaient une lactation par pur plaisir et des mères de famille choquées qu'on puisse trouver du plaisir dans l'allaitement entre adultes. Leur lait était réservé à bébé et il n'était pas question d'en jouir. Des féministes dénonçaient même l'allaitement comme un geste animal et donc dégradant pour les femmes. Et le comble de mon infortune, les femmes passionnées de lactation érotique vivaient toutes en couple et devenaient de ce fait indisponibles. Quant aux mères de famille avec qui je parlai de mes attirances, elles me traitèrent de débile mental. Certains avis me surprirent comme par exemple cette maman musulmane qui disait qu'en donnant son lait à son mari, elle devenait automatiquement sa sœur de lait, ce qui revenait à avoir une relation incestueuse. Et pourtant Internet regorgeait de sites montrant des femmes aux seins généreux qui faisaient gicler leur lait ou l'offraient à boire à des adultes. Mais où se cachaient donc ces femmes ? J’eu beau parcourir Internet dans tous les sens, aucune ne laissait d’adresse...
Après cette passionnante discussion, je précisai à Eva ce que j’attendais d’elle. J’espérai qu’elle ait une poitrine plus que généreuse et qu’elle soit en mesure de satisfaire ma gourmandise laitière. D’emblée, elle m’indiqua ses tarifs et précisa qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour me satisfaire. A cent dollars la tétée, je ne risquais pas grand-chose, d’autant plus qu’elle insista sur son imposante poitrine. On convint donc de se rencontrer quelques jours plus tard chez moi. Elle m’envoya une photo pour me convaincre : De longs cheveux auburn entourant un visage potelé, des yeux noirs cachés par des lunettes cerclées et une poitrine aux rondeurs démesurées d’où giclaient du lait. Waouh, à damner un saint !
A suivre
J'ai croisé la route d'une telle femme Nico, une fervente pratiquante de l'allaitement érotique ne pouvant plus se passer d'être tétée. Et même si je confonds parfois fantasme et réalité, l'histoire est vraie...
> une poitrine démesurée aux larges aréoles d’où giclaient de multiples jets de lait
En effet, présenté comme ça, c'est plus que prometteur !