DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Le jour convenu, que d’anxiété à attendre Eva ! Après des minutes qui durèrent une éternité, elle arriva enfin. C’était effectivement une femme aux rondeurs plus que généreuses. Perchée sur de haut-talons, elle était aussi grande que moi. Et comme elle portait un chemisier décolletée, je fus de suite captivé par son énorme poitrine. Des seins lourds et si imposants qu’on ne voyait qu’eux. Impossible d’en détacher mon regard !   

     D’une voix amusée mais ferme, elle se présenta : « Bonjour mon petit, je suis Eva. Content de faire ta connaissance ! » Je lui souris et la fis entrer au salon. Impressionné par l’assurance de cette femme, je ne sus quoi faire ni quoi dire. Ah si, comme c’était l’heure de l’apéritif, je lui proposai un verre. Puis on parla quelques instants de seins et d’allaitement, histoire de faire plus ample connaissance. Comme c’était la première fois que j’avais à faire à une nourrice professionnelle, j’appréhendai la suite.

     Très sur d’elle, Eva réclama d'abord son dû puis s’installa sur le canapé, un bras posé sur l’accoudoir. Sans aucune gêne, elle déboutonna son chemisier et dévoila sa généreuse poitrine soutenue par un élégant soutien-gorge noire. Ses seins opulents ne demandaient qu’à s’échapper de ce carcan bordé de dentelle. Elle glissa une main au fond du bonnet droit et d’un geste habile en sortit le sein qui se répandit lourdement sur son ventre en tremblant. Puis elle fit de même avec l’autre. Elle remarqua mon regard enflammé et me laissa admirer. Pour faire plus d’effet, elle souleva ses seins ensemble et les secoua l’un contre l’autre plusieurs fois en les pressant entre ses mains. Quelques gouttes de lait perlèrent d'un téton. Elle avait effectivement une poitrine que seules des femmes rondes peuvent se targuer d’avoir : Deux mamelles impressionnantes, gonflées par le lait avec de larges aréoles sombres et de gros mamelons turgescents. Jamais de ma vie, je n’avais vu une aussi grosse poitrine. Une pure merveille, un fantasme devenu réalité ! Ce n'était pas des seins que j'avais face à moi, mais une oeuvre d'art. Cela me donna envie de plonger dans ces deux globes laiteux :

-          Alors tu aimes ?

-          Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau répondis-je.

-          Tu vois, je ne t’avais pas menti. Aucun homme ne résiste à ma généreuse poitrine. Mon petit, sache que je fais du 100G, une taille de poitrine que m’envient bien des femmes. Et j’espère encore gagner une taille.

-          Votre poitrine est pourtant d’une taille significative ?

-          Oui, en allaitant plus, je favoriserai des montées de lait plus importantes, ce qui développera encore plus mes glandes mammaires. Je pense passer d'un bonnet G au H. Un petit problème tout de même, difficile de trouver ma taille de soutien-gorge car les grandes marques s’arrêtent aux bonnets E.

     Permettez-moi ami lecteur d’ouvrir une parenthèse ici. A ceux perdus par ces considérations techniques sur la taille des seins, je propose en annexe un tableau qui permet de calculer la taille du soutien-gorge en fonction de la corpulence et du volume de la poitrine.

-          N’êtes-vous pas gênée par une si forte poitrine ?

-           Bien au contraire, j’en suis fière. Les femmes me jalousent et les hommes fantasment dessus. Que désirer de plus ? J’aime sentir mes seins se gonfler de lait jusqu’à distendre mes chairs. J’adore m’en occuper, les caresser et les sucer. Je ne suis pas comme ces femmes qui ne supportent pas l’allaitement. Moi, je suis incapable de me passer des délicieuses sensations que me procure ma poitrine laiteuse.

 

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     Eva faisait visiblement une fixation sur ses énormes seins plein de lait. Tout en me parlant, elle jouait inconsciemment avec, les massait, tirait dessus en roulant sous ses doigts les mamelons d’où s’écoulait des gouttes de lait. Un pur délire sa poitrine. Cette femme avait de quoi satisfaire mes fantasmes de grosses poitrines, "massive breast" comme disent les américains. Admiratif, je regardai sans me lasser.  Je pensais alors à ces femmes atteintes d’hypertrophie mammaire et à ces hommes qui fantasmaient sur leurs seins démesurés. Hum, des poitrines aussi énormes devaient renfermer des litres de lait. Une image me colla à la peau : remplacer le lait de vache consommé quotidiennement par du lait de femme, du café matinal aux desserts confectionnés avec.

         Mais Eva, à votre âge et à voir votre poitrine, vos seins me semblent être arrivés à maturité.

-          Pas sur ! A la puberté, j’ai eu des montées de lait accidentelles suite à un dérèglement hormonal, lequel explique justement la taille généreuse de ma poitrine. Adolescente, je fus très gênée par mes gros seins et je complexai considérablement par rapport aux autres filles. Et ne parlons pas des garçons du collège qui se moquaieent ouvertement de mes seins. Honteux de ma poitrine anormalement développée, je fis tout pour la cacher. Tandis que les autres filles découvraient avec ravissement leurs premiers soutiens-gorges, moi, je comprimais mes gros seins avec des bandages fortement serrés.

     Je fus si malheureuse qu’à la naissance de ma fille, je refusai de l’allaiter. Et pourtant, ma mère insista. Elle avait raison, les montées de lait furent douloureuses et m’obligèrent à donner le sein à ma fille pour me soulager. Surprise, ce fut une découverte; des moments de félicité et de bien-être merveilleux au point que j'eu plaisir par la suite  à lui donner le sein.

     Rends-toi compte, je devins tellement accroc à ses tétées que je l’allaitai durant plus de neuf années consécutives. Hélas, lorsque survint sa puberté, elle se détacha de mes seins, à mon grand désarroi d’ailleurs. Cela me perturba profondément. Devenue adolescente, elle continua néanmoins à me téter occasionnellement. Quand une contrariété survenait dans sa vie de jeune fille, elle se réfugiait en pleurs dans mes bras. Je dégrafais alors mon corsage et tout naturellement elle tétait un sein, ce qui la calmait immédiatement. Bien que la morale populaire le déconseille, je la laissais faire tellement j’appréciais nos échanges. Sans rien lui dire, j’entretins volontairement mes montées de lait rien que pour favoriser ces moments intimes. Je suppose que ce long allaitement vécu avec ma fille et tant décrié par notre société explique ma passion actuelle. Je ne conçois ma vie actuelle qu'en allaitant. Et oui mon petit, je suis une nourrice professionnelle maintenant et j'adore mon métier !

     Etrange destinée pour cette mère et sa fille qui me rappela l’Amour partagé avec Maman. Suite à un heureux hasard qui fait que les gens qui se ressemblent finissent par se rencontrer, j’avais devant moi une femme aussi passionnée que moi de lactation. Elle me rappela Maman par certains cotés. Je me sentis à cet instant très proche d’Eva. J’eus envie de l’embrasser tendrement. Je me dis que croiser la route de cette femme était peut-être un signe du destin. Ah, si seulement elle se passionnait en plus pour ma femellisation, je serais le plus heureux des hommes. J’avais moi aussi des seins et soumis à son influence, j'étais certain d'arriver à avoir des montées de lait. Nous pourrions alors partager notre passion commune. Fou que j’étais, je délirai au point que l’idée de l’épouser ne me parut même plus absurde...

-          Je vous admire d’avoir allaité aussi longtemps votre fille. Mais avez-vous déjà suivi un traitement hormonal pour développer encore plus votre poitrine ?

-          Un ex-amant aussi passionné que moi de lactation me l'a demandé. Quelle sensation fabuleuse de sentir mes seins « travailler ». Cela me rappellr mon adolescence et les bouleversements hormonaux vécus, mais cette fois-ci avec bonheur. Mes seins grossirent effectivement, les aréoles s’élargirent et les mamelons boursouflés devinrent si sensibles que j'évitai de porter un soutien-gorge.  L’impression ressentie fut très sensuelle car mes tétons pointaient constamment. Mais après un an de traitement, je cessai. On ne joue pas impunément avec les hormones..."

 

 ANNEXE : Comme je le disais plus haut, voici un petit guide permettant de choisir la taille de son soutien-gorge à la norme française en fonction de ses mensurations. La bonne taille se définit par le tour de poitrine et le tour sous la poitrine. A noter que les recommandations ci-dessous sont une moyenne. Ce qui importe est la taille des bonnets qui reflète véritablement la grosseur des seins. Des femmes disent que ça ne marche pas pour elles. Les poitrines ont effectivement des formes si variées qu’il est difficile de définir un critère commun. Il faut aussi faire attention aux soutiens-gorges importés de l’étranger qui ont des normes différentes de la France.

-           1 Mesure du tour de dos :

Se tenir debout et placer le mètre bien à plat juste sous le pli des seins sans serrer, ce qui fausserait la mesure.

-          2 Mesure du tour de poitrine :

Se tenir droit et placer le mètre horizontalement sur la poitrine à hauteur de la pointe des seins. Il doit passer sous les aisselles et sur les omoplates. C’est la différence entre le tour de poitrine et le tour de dos qui détermine la taille des bonnets. Pourquoi utilise-t-on ces correspondances, personne n’a su me l’expliquer ? Il aurait été plus simple de garder les mesures réelles bien plus faciles à interpréter.

 

Tour de dos

sous les seins

Taille

soutien-gorge

Différence poitrine-dos

Taille

des bonnets

de 63 à 67 cm

80

13 cm

 A = menu

de 68 à 72 cm

85

15 cm

 B = moyenne

de 73 à 77 cm

90

17 cm

 C = épanouie

de 78 à 82 cm

95

19 cm

 D = importante

de 83 à 87 cm

100

21 cm

 E = forte

de 88 à 92 cm

105

23 cm

 F = volumineuse

de 93 à 97 cm

110

25 cm

 G

de 98 à 102 cm

115

27 cm

 H

 

 

29 cm

 I

 

 

31 cm

 J

 

 

33 cm

 K

 

     Prenons par exemple le cas d’Eva qui fait du 100 G. Cela représente un tour de dos de 85 cm et un tour de poitrine de 110 cm : 110 - 85 =  25 cm, (valeurs en rouge). Ce qui correspond à des bonnets G ou si vous préférez à une profondeur de bonnets d’environ 13 cm. Par comparaison avec ma poitrine qui fait du 95A, je vous laisse imaginer la grosseur de ses seins. Une autre remarque concernant les hommes qui confondent souvent le tour de poitrine et la taille des bonnets : Ils pensent que le tour de poitrine est plus important. Or, je le rappelle, c’est la profondeur des bonnets qui reflète réellement la grosseur des seins.

A suivre

 

Sam 22 nov 2014 Aucun commentaire