DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Je racontais précédemment qu’Amanda, une amie transsexuelle, vivait enfin heureuse. Grâce à moi, elle avait à présent un travail régulier et bien rémunéré. Bien qu’elle ait été obligée de se comporter en « garçon manqué » à l’image de ses collègues serveurs, elle m’était reconnaissante de lui avoir trouvé un emploi adapté à ses capacités et correctement rémunéré. Elle me répétait sans cesse que j’étais la seule personne qui l’aidait réellement.
- André, comment te remercier pour l’aide précieuse que tu m’apportes ?
Sa question m’étonna. Je l’aidais gracieusement et n’attendais rien en retour si ce n’était qu’elle se sente bien dans sa peau de fille paumée. Il existait entre-nous une relation qu’on pourrait qualifier de paternelle et pas question de sexe puisqu’elle ne m’inspirait pas. Or, de par sa condition transsexuelle, Amanda fréquentait un milieu marginal où la sexualité était constamment présente. Je lui parlais donc de mes fantasmes et de mes délires sans aucune gêne. Parfois étonnée par mes turpitudes, mais jamais offusquée, elle découvrait avec surprise toute la lubricité dont était capable l’homme mature que j’étais devenu.
Lorsque j’étais en manque, je lui demandais parfois de me présenter une de ses copines transsexuelles non opérées, voire une jeune femme de son milieu. Mes pensées libertines me conduisirent ce jour là vers une pulsion incontrôlable. Accroc au lait maternel, j’eus envie de goûter aux seins laiteux d’une femme. Il y avait si longtemps que cela ne m’était plus arrivé.
- Amanda, j’ai envie de téter une femme qui allaite, de boire à ses seins jusqu’à la vider de son lait ? Trouve-moi cette femme s’il te plait…
Surprise par ma demande, Amanda me regarda étonnée. Croyant que je plaisantais, mais face à mon air sérieux, elle comprit et fit une grimace de réprobation.
- Tu es sérieux ? Autant il est facile de trouver une fille ou une transsexuelle qui « couche », autant c’est difficile de satisfaire une demande aussi particulière.
- Justement Amanda, tu fréquentes des filles faciles qui sont devenues des mères. Beaucoup ont des enfants et allaitent aujourd’hui.
- Oui, mais celles qui offrent leurs seins à téter à un inconnu ne courent pas les rues…
- Je sais que tu trouveras, répondis-je. Me présenter une telle femme prouvera ta reconnaissance.
Comprenant la force de mes attentes, elle répondit :
- Je trouverai cette femme alors…
Connaissant par expérience la difficulté de trouver des femmes qui se passionnaient pour la lactation érotique entre adultes, je l'encourageai dans sa recherche. Même sur le Net, les femmes allaitantes étaient rares. Dès que l’une d’elles montrait le bout de ses seins, une meute de mâles en rut se jetait dessus. Croulant sous les demandes, la pauvre femme retirait rapidement son annonce.
Dans le modeste quartier habité par Amanda, la plupart des mères allaitaient leurs nombreuses progénitures au sein. L’argent venant trop souvent à manquer, il était plus économique de nourrir leur bébé ainsi plutôt que d’acheter du lait artificiel et de donner le biberon. Amanda passa en revue ses connaissances et se rappela une cousine qui accepterait peut-être de m’allaiter. A vingt six ans, elle élevait déjà trois enfants, conclusion de ses folles amours avec d’anciens amants. Pour arrondir ses fins de mois difficiles, elle se prostituait occasionnellement, en cachette de son compagnon actuel. Or, elle allaitait encore son dernier enfant, une fille de six mois. Amanda me prévint. Malgré son jeune âge, sa cousine avait acquis des rondeurs parasites conséquences de ses accouchements successifs. Elle me vanta son humeur joyeuse et sa poitrine qu’elle avait très grosse à force d’allaiter. N’étaient-ce pas là les signes encourageants d’une bonne nourrice ?
Quelques jours plus tard, elle la rencontra et lui parla ouvertement de mon délire. Entre prostitués, la pudeur n’était pas de mise. Cette dernière s’étonna tout de même d’une demande aussi particulière, mais elle en avait vu d’autres avec les hommes. Après réflexion, elle accepta à condition d’être rétribuée. Elle pensa à ses trois enfants élevés avec difficulté. Elle vivait chichement car ni elle ni son copain actuel ne travaillait. Quelques billets supplémentaires ne pouvaient donc qu’améliorer son ordinaire. Peut-être même que ce client était disposé à payer beaucoup plus si elle offrait sa chatte en même temps. Amanda répondit qu'elle n'était pas le type de femme que son ami recherchait sexuellement. Restait à convenir d’un rendez-vous en toute discrétion, car son compagnon actuel devant ignorer cet arrangement…
Accompagnée d’Amanda, elle vint chez moi en fin d’après-midi avec son bébé dans les bras. Malgré son corps aux rondeurs parasites, son sourire et sa fraîcheur naturelle me captivèrent. Embarrassée par la situation particulière, elle ne sut quoi faire et comment se comporter. Allaiter un homme mature pour la première fois lui parut plus difficile que de donner sa chatte. On but un verre ensemble, tout en parlant de lactation, ce qui la mit à l’aise. Novice en matière d’allaitement entre adultes, je lui expliquai que la production de lait d’une mère s’adaptait à la demande. Si nous étions deux à téter régulièrement, moi et son enfant, elle produirait automatiquement plus de lait. Elle s’étonna de mes connaissances en matière de lactation car selon elle, les hommes en général ne se passionnaient pas pour ce sujet. Je lui racontai alors mes diverses expériences. Je précisai dans la foulée mon intention de la revoir souvent pour qu’elle m’allaite régulièrement. Un client à long terme, elle mesura tout l’intérêt financier d’une telle relation.
A ma demande, la cousine s’assit sur le canapé puis je m’allongeai à coté d’elle, la tête reposant sur un coussin posé sur ses cuisses. Elle souleva alors son petit haut, dégrafa son soutien-gorge et me présenta un gros sein gonflée de lait. Elle me précisa :
"Je l'ai réservé pour toi. Il est rempli de lait depuis ce matin."
Ce fut avec ravissement que je tétai aux seins prodigues de cette mère de trois enfants. Quel délice de retrouver le goût du lait maternel ! Je trouvai son lait si délicieux que je vidai ses seins sans qu’elle s’en rende compte. Amanda avait mis sa musique préférée et nous regardait amusée.Tandis que je tétais, elle discutait avec sa cousine de choses et d’autres sans plus faire attention à moi. Habitudes de femmes qui se racontent les derniers potins du quartier tout en allaitant leur bébé. C’était certain, demain tout le monde connaîtrait cette aventure, excepté son mari…
Par la suite, on sympathisa et notre relation devint beaucoup plus complice. Je la tétai quelques fois en même temps que sa fille, ce qui l'amusa beaucoup. Elle me nourrit ainsi durant des semaines. A la fin, je devins dépendant de son lait, ce qui me coûta une véritable fortune. D’aucun pourrait croire que j’essayai de lui faire l’amour. Pensez donc, une pute. Et bien non ! Même si je devinais chez elle une certaine excitation à être tétée par un homme, je ne tentais jamais de geste déplacé. Les femmes qui offrent leurs seins laiteux à un étranger sont si rares que je ne voulais pas prendre le risque de la contrarier. Or, l’odeur de sa cyprine envahit plusieurs fois mes narines. Il m’arrivait aussi de bander en la tétant. Ce fut elle qui craqua la première. Lorsque je m’enfonçai dans son ventre, je fus déçu, sa chatte ne serra pas assez ma queue. Comme je n’arrivai pas à jouir, elle termina par une fellation sous le regard troublé d’Amanda.
Grâce à ces discrets allaitements, la cousine s’offrit toutes ces petites choses qu’une jeune mère désargentée désire posséder pour elle et ses enfants. Son compagnon s’interrogea sur ses absences répétées,et sur la provenance de l'argent, mais il ne sut jamais rien de ma passion gourmande. C’est bien connu, les femmes ont l’art de trouver les mots qui rassurent leur conjoint.
A suivre
Enfin une femme qui adore allaiter et qui en tire une grande satisfaction sexuelle. Comme je vous comprends lorsque vous parlez des sentiments fantastiques éprouvés par des montées de lait jusqu’à l’engorgement. Des seins tendus à l’extrême qui engendrent une volupté nouvelle. Et comble du bonheur, ce tire-lait qui vous amène au septième ciel…
Le plaisir de ressentir ses seins réagir à ce point est une découverte que vous exprimez avec bonheur contrairement à beaucoup de femmes qui ont honte de dire qu’elles tirent du plaisir à allaiter. De plus, vous avez deux enfants à allaiter, ce qui promet de belles montées de lait. Jouissez pleinement du bonheur d’avoir mis deux bambins au monde et du plaisir de les allaiter.
Une anecdote personnelle : Là où j’habite, une mère de famille allaite non seulement son propre bébé, mais aussi les bébés de sa cousine et d’une voisine. C’est souvent l’usage ici. Lorsqu’une de ces trois femmes est fatiguée d’allaiter ou a un empêchement, c’est une des autres femmes qui prend le relai. Et pour comble, elle m’allaite aussi régulièrement. Inutile de vous décrire la beauté de ses seins engorgés de lait... Et comment ne pas admirer ce comportement pratiqué sans aucun complexe ???
Jái allaite deux bebes au meme temp, c´'est bien agreable, si un ´ça fait deja plaisir imaginez deus au meme temp, la mmontée de lait 0'est quelque chose de fantastique, impossible de decrire, vos seins commencent a devenir durs, pontues, sensibles en extreme et je me sentais vouptueuese en extreme, mon mari que atait a l'hopital et a vu l'scene etait bouche bée.
Quand ja´' assaiye me mettre les deux bebes ils arrivaiant pas a prende le mamelon, tellemente etait gonfle, alors y al fallut appeller a l'infiere qui a apporte le tire lait, en engin electronique qui asprie les deux seins au meme temp et qui má donne un gran plasir, je pouvais pas imaginer que cet engin me pouvais faire jouir, apres quelques minutes on m'a mit les deux bebes au seins et OOOhhhhh.
je sais pas comme yl ya des femmes qui disent que rien resentir ¿ ont elles peur>?