DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Incroyable lorsque je contactai Momma ! Elle était enceinte et allait bientôt accoucher. Elle me proposa des sessions d’allaitement très particulières : M’offrir son colostrum, cet exceptionnel liquide qui s’écoulera en premier de ses seins à la naissance de sa fille. Face à ma stupéfaction, elle s’expliqua.
Sa fin de grossesse générait des contractions utérines difficiles et nécessitait donc un suivi médical constant. Cela engendrait un coût financier imprévu. Et dieu sait qu’aux U.S.A les frais médicaux sont dispendieux. Comme elle avait besoin d’argent pour se soigner, elle me proposait de me réserver en exclusivité son colostrum. Bien plus rare que le caviar, ce rare nectar est très prisé des connaisseurs pour ses propriétés revitalisantes.
Les seins produisent du colostrum uniquement au cours des premiers jours suivant l’accouchement. C’est un liquide de couleur ambré possédant une consistance sirupeuse et un goût très sucré. Il est faible en matière grasse et riche en glucides, en protéines et en anticorps. Il abonde en substance immunitaires et agit comme un vaccin sur le nouveau né en assurant ses défenses pathogènes. Par comparaison avec le lait maternel, la quantité de colostrum produite est malheureusement très faible, à peine 20 à 100 ml par jour, soit dix fois moins que le lait qui sera produit par la suite. N’oublions pas que l’estomac d’un nouveau-né ne peut ingurgiter que 7 à 10 ml de liquide dans les heures qui suivent sa naissance.
La production de colostrum s’arrête généralement après le troisième jour suivant l’accouchement, celui-ci étant progressivement remplacé par la montée laiteuse, un lait plus riche en matière grasse. Ces premières montées de lait impressionnent car les seins se gonflent rapidement et se tendent à l’extrême. Les mamelons deviennent turgescents, les aréoles se boursouflent et les seins se couvrent d’un réseau veineux qui favorise la lactation, Et si le nouveau-né ne boit pas assez, c’est l’engorgement assuré suivis de fortes douleurs, voire de complications comme la mammite. Il faut alors vider les seins artificiellement, éjecter le lait en les pressant ou utiliser un tire-lait.
L’occasion de boire du colostrum directement au sein d’une femme relevait d’une impossible réalité à mes yeux. Une occasion unique que je n’aurais plus jamais dans ma vie. Des gens dépensent des fortunes dans de grands voyages, de belles voitures ou dans des produits de luxe très chers. Moi je « payais » pour réaliser des fantasmes sexuels sortant de l’ordinaire. Mon dieu comme je plains ces gens mesquins qui fantasment éternellement sans avoir le courage d’aller jusqu’au bout de leurs envies. Ils doivent être aigris à la longue. Face à ce coup de chance, vous pensez bien que j’acceptai immédiatement l’offre de Momma. Je n’hésitai pas, un coup de téléphone, un billet d’avion pour le Wisconsin et hop, je la rencontrai dans sa ferme entourée d’un grand jardin potager. Elle avait effectivement des seins splendides soutenus par un corps aux rondeurs impressionnantes puisqu’elle portait un enfant de neuf mois. La présence de son mari m’embarrassa quelque peu, mais Momma me tranquillisa, il était au courant de cet arrangement.
Bien sur on parla argent. N’oublions pas le pragmatisme des américains ; chez eux, rien ne se fait sans le roi dollars ; tout service a un prix. A 150 $ la première session et 100 $ les suivantes, cela me coûta une petite fortune. Mais me régaler en exclusivité du colostrum de cette mère n’avait pas de prix à mes yeux. Ses « honoraires » étant définis, on discuta plus en détail de l’allaitement. On convint d’attendre quelques jours, le temps qu’elle accouche pour mieux profiter de son colostrum et des montées de lait qui suivraient. Je voulus, non seulement déguster son colostrum, mais aussi savourer cet instant magique des premières montées de lait qui remplacent progressivement le colostrum. Et puis voir ses énormes seins se gonfler de lait jusqu’à l’engorgement serait pour moi un spectacle d’une rare qualité. Aux femmes qui s’inquiètent de priver son bébé d’une nourriture essentielle à sa vie, je vous rassure. Le bébé de Momma étant prioritaire, je n’eus droit qu’aux restes si je puis dire. Mais quel reste...
A suivre
Ma chère Nadia,
je ne peux que vous encourager à continuer d'écrire sur votre blog. A ma connaissance c'est le seul qui parle d'allaitement érotique en français. Hélas, aucun écrit depuis 2014.
Grâce à l'anonymat d'Internet, je ne doute pas que des femmes auront enfin le courage de surmonter leur pudeur et d'avouer ouvertement le plaisir qu'elles tirent de ces pratiques dites marginales...
Au plaisir de vous lire
andré
https://nadialefebvre1970.wordpress.com/2014/11/07/pour-quoi-un-blog-sur-lerotique-de-lallaitement/
Voila un blog peu conu mais qui n'est pas mal