DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

    Dans les deux chapitres précédents, j’abordais l’inceste avec prudence à cause d’une législation qui la condamne au même titre que la pédophilie et la zoophilie active. L’inceste selon l’opinion publique est une descente aux enfers, une lente agonie où l’enfant devient plus tard une victime écrasée par le poids d’un secret lourd de conséquence, secret qui finit par le ronger d'une culpabilité dévastatrice. Les séquelles sociales en sont dramatiques: violences, prostitution, anorexie, alcoolisme, suicide, maladies psychiques, perversion, etc. Les penchants sexuels entre enfants et adultes font peur aux adeptes de la décadence. Il faut interdire de tels comportements, les punir pour imposer la notion de bien et de mal dans les esprits. Nous ne sommes pas des animaux comme ils disent. A voir les attitudes humaines, je confirme ; les animaux me semblent bien plus sains. Un des maux de notre temps consiste justement à refuser de regarder la réalité en face. C'est le moralement correct qui prime sur la perception du réel. Quand elle n'est pas conforme à l’idéologie, la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les média et par la Loi. Or, la liberté consiste justement à tout dire sans se cacher derrière des convenances sociales qui l'entravent.

     Devenu garçon pubère, j'atteignis avec ma mère les sommets de la transgression dans l'interdit sexuel, un instant charnière où l’existence et la jouissance se confondirent le temps d'un éclair. Ensuite, ce fut trop tard, le Mal avec Maman était consommé. Malgré la gêne occasionnée par ce premier rapport sexuel, plus aucune inhibition ne vint entraver nos amours par la suite. Par nos actes sexuels répétés jusqu’à l’outrance, nous renforcions les sentiments qui nous unissaient depuis ma plus tendre enfance. Maman étant ma muse, nous ne ressentions donc aucune culpabilité à nous aimer ainsi.

     Étais-je devenu par cet acte incestueux une victime abusée par sa mère ? Contrairement à l'opinion généralement répandue, cette relation incestueuse ne m’apporta que plaisir et bonheur. Malgré mon jeune âge, je venais d'avoir quatorze ans, je pris corps à nos ébats avec une fougue qui surprit Maman. Croyez-moi, je n’eus rien d’une victime qui se reconstruit après avoir été abusé par « une mère pédophile ». Juger ainsi Maman, quelle horreur ! Et penser qu’elle fut une mère prédatrice, voire castratrice qui s’opposa à l’angélisme de mon enfance reflète ouvertement la volonté populaire de la châtier.

     Maman et moi savions que notre relation était moralement coupable, mais dominés par une force sublime, notre imaginaire nous poussa à nous aimer dans un élan irrésistible. A cause d’une opinion publique dévastatrice, construire ma sexualité par rapport à l’inceste devint un parcours semé d’embûches. De par un environnement culturel fondé sur la raison, le matérialisme et l’intolérance, je subis plus tard le puritanisme des gens avec des conséquences psychiques difficiles à digérer. Mon esprit engendra questionnement, trouble et incertitude, ce qui m’opposa quelques temps à ma mère. Influencé par la morale populaire, j’étais encore trop jeune pour analyser avec lucidité une situation qui me semblait naturelle. La culpabilité s'en suivit, il y eut abjection et dégoût de moi-même. Une mère castratrice et un fils abusé, voilà à quoi les spécialistes résumèrent notre si belle relation, de quoi commotionner un fils amoureux de sa mère pour le restant de ses jours. Difficile à gérer tellement je me heurtai à l’incompréhension et aux idées toutes faites. Hormis ma mère, impossible de partager un si encombrant secret avec d’autres personnes de mon entourage. Allez dire que l’inceste vécu fut une histoire merveilleuse. C’est certain, on vous prendra pour un malade qui relève de la psychiatrie. Pas étonnant dans ces conditions que des garçons ayant vécu un rapport incestueux en arrivent à se suicider.

random_tall_girl_sets_part_2_pg_46_by_faterkcx-d8e-copie-1.jpg            C’est ainsi qu’au fil de la vie, je me créai un univers sexuel particulier, ce qui me marginalisa par la suite. "L'enfant abusé" se transforma en un inquiétant personnage dopé à la perversion. Dès qu’on pratique une sexualité hors des normes généralement admises apparaît la notion morale du mal, celle qui gâche le plaisir. Le subconscient réagit et la conscience s’éveille. « Ah le Mal, il est ancrée en nous me disait un prof de philo. On n’efface pas deux mille ans de chrétienté sans penser au Diable! » Que de craintes reflétées par ce personnage populaire : Avoir le diable au corps, la beauté du diable, tirer le diable par la queue ou vendre son âme au diable ? N’est ce pas là l’écho du « pêché originel » toujours enfoui dans l’inconscient collectif ? » Il en fut ainsi pour l’homosexualité et les transgenres. Aujourd’hui, ces gens se marient, adoptent des enfants comme tout le monde.

     Pas moyen de m’opposer au système, de démêler le vrai du faux dans cette foutue société tellement l’inceste restait tabou. Rien que de tenir un discours différent me menait droit en Enfer. Par provocation envers une société coincée dans ses préjugés, je plongeai à corps perdu dans l’inceste, avec un entrain qui ravit Maman. De par la marginalité de notre relation amoureuse, je m’intéressai aux livres interdits de la bibliothèque. Que de travers sexuels je découvris ! Dans ces conditions, que m’importa la morale des gens puisque je lui préférai les plaisirs du corps et de l’esprit. Peut-on dire que cette relation incestueuse conditionna ma sexualité future ? Oui certainement, mais je n’en ferai pas le reproche à ma mère.

     J’acquis grâce à elle une ouverture d’esprit, une tolérance que beaucoup des gens m’envient aujourd’hui. Aucun blocage face aux « travers sexuels » de notre monde. Bien au contraire puisque j’en jouis ouvertement aujourd'hui. L’inceste vécu durant ma jeunesse m'orienta par la suite vers la recherche du vrai plaisir. Fuir la banalité des copulations vulgaires et trouver l’extase devinrent un leitmotiv. C'est ainsi qu'au fil du temps, je me créai un univers particulier, ce qui me marginalisa encore plus. Devenu adulte, je me perdis dans des fantasmes inconcevables pour un esprit cohérent. Cela ne consista pas à me vider bêtement les couilles comme je le disais plus haut, mais à atteindre le Nirvana en brisant l’interdit collectif qui s’opposait à ma conscience. Comprenez par là que la transgression de l’interdit, bien qu’il soit répréhensible par la Loi, fut le fil d'Ariane qui me conduisit vers un idéal sexuel parfait.

     Partagé entre une mère amante, une tante possessive et une cousine trop curieuse, je m'égarai souvent dans mes divers personnages et me laissai corrompre par eux. Lorsque le plaisir commandait, il devenait inutile de me raisonner. Il ne restait qu’à savourer toute la quintessence de l'instant présent. C’est pourquoi je souhaite par ces écrits revenir plus en détail sur les faits réellement vécus et raconter les jours heureux passés en famille.

 

Dim 22 mar 2015 2 commentaires

Sur mon blog, je viens de renouveller la rubrique "inceste" mais cette fois-ci sans enfants mineurs. Je ne vois pas tes commentaires sur mon blog. BISOUS !!!

lailatvx - le 18/10/2016 à 07h09

Pour faciliter l'accès à ton bog, ill faudrait citer son adresse. Ceci précisé, je crois que c'est la détention d'images de mineurs à caractère sexuel qui est interdite. A te lire...

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lailatvx - le 21/10/2016 à 05h30

Bjr Laila,

Je vais voir ton blog ce WE. J'aurais un peu plus de temps libre...

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