DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Ce fut au cours de mes pérégrinations sur le Web que je découvris cette femme aux habitudes sexuelles singulières. Discuter avec elle de pratiques aussi marginales enflamma mes sens. Par contre, il fut difficile de déceler chez elle la part de réalité et de fantasmes, d’autant plus que nous ne nous rencontrâmes jamais. Mais à l’entendre détailler son expérience, je finis par  croire à son histoire. Et par la suite, des vidéos ainsi que des blogs personnels sur le Web me convainquirent de la réalité de telles pratiques. Quoi de mieux alors de vous faire partager son histoire. Laissons parler Kate, une mère de deux enfants qui chérit son mari...

     « Après des années de vie commune, ma libido s’enfonça dans une certaine routine. Elever mes deux filles prima sur ma sexualité. Mais celles-ci ayant grandi, ma libido revint à nouveau avec une intensité inquiétante. Mon clitoris me démangea tellement que je me caressai plusieurs fois par jour. Chose inquiétante pour une mère de famille, je fus habitée par des fantasmes machiavéliques. Mon mari comprit mon état d’esprit et on échangea donc sur nos propres divagations sexuelles. Chose merveilleuse, les siennes recoupèrent parfaitement les miennes, d’où une harmonie sexuelle qui renforça notre couple. Par contre, j’ignorai qu’être initié à des caresses hors-normes par mon mari m’entrainerait dans un labyrinthe sans fin. La suite de mon histoire le prouva.

     Ne pouvant répondre à chaque fois à ma gourmandise, il m’offrit de multiples gadgets érotiques pour me contenter et, comme de nombreuses femmes, je disposai à la fin d’un véritable coffre à jouets. Mais cela ne me suffit pas. Après avoir été initiée au fist vaginal et à la dilatation anale, je devins accroc aux caresses de mon mari. Incapable de me passer de sentir son poing violer mon intimité, mes jouissances devinrent si fortes que j’éjaculai à l’image des femmes fontaines. De par ces orgasmes exceptionnels, je perdis tout contrôle et je me laissai aller à uriner dans la foulée. Réaction excitante de mon mari, il adora boire à même la source le fruit de mes orgasmes. Il apprécia aussi de me voir faire pipi debout sous la douche. Il se jetait alors sur mon vagin et buvait mon jus mélangé à l’eau qui ruisselait sur nos corps. A voir son membre se dresser, je pris un malin plaisir à en rajouter. Il se fascina alors pour ce petit orifice caché dans les replis de mon vagin. Je m’accroupissais parfois sur lui au niveau de son visage, j’écartais les lèvres de mon vagin pour qu’il distingue bien mon urètre puis j’urinais dans sa bouche grande ouverte. Il s’excitait à voir en gros plan mon urètre gicler. D’autres fois, debout sur lui, j’orientais le jet d’urine sur son corps en visant son sexe ou son visage tandis qu’il se masturbait. Il devint ainsi amateur de champagne doré et se régala de mon urine chaude bu à même le calice de mon vagin.

     Ce jour là mon mari rentra de son travail très excité. Il parla sans cesse de mon urètre et vanta les plaisirs que j’en tirerai. Contrairement aux hommes, le conduit urinaire des femmes se dilatait assez facilement et ne faisait que quelques centimètres avant d’arriver dans la vessie. Il me montra alors une petite sonde en caoutchouc dans son emballage hermétique. Comme il ne savait pas à quoi s’attendre, je le rassurai. Je lui racontai l’opération chirurgicale vécu durant mon adolescence. On m’avait posé un cathéter afin d’uriner sans avoir à me lever en attendant que je me remette de l’opération. Et bizarrement, j’avais apprécié l’étrange sensation de faire pipi sans avoir à me retenir. L’idée de voir à nouveau une sonde s’enfoncer dans ma vessie me plut. Mon mari insista sur les précautions que nécessitait ce jeu. Utiliser des équipements parfaitement aseptisés sinon il y avait des risques d’infection. Je lui fis confiance à ce sujet.

     Il lava à grande eau savonneuse mon vagin puis fit couler le jet de la douche dedans afin d’être parfaitement propre. Il m’allongea ensuite les jambes écartées, mit un gros coussin sous les fesses pour bien exposer mon vagin à sa vue. Il enfila des gants stériles et enduisit la sonde d’un gel lubrifiant. En le voyant faire, je pensai à mon gynécologue. Les femmes sont nombreuses à fantasmer sur un gynécologue vicieux qui les examine de façon moins conventionnelle. Il présenta la petite sonde à l’entrée de mon vagin, écarta les lèvres et constata combien je mouillai. Même pas besoin de lubrifier tellement je fus excitée. Il dégagea les chairs roses, repéra le petit trou et y entra délicatement la pointe de la sonde. Curieuse, je me laissai faire car je ne ressentais ni douleur ni inconfort. La sonde s’enfonça de quelques centimètres. Un étrange sentiment me saisit, ce minuscule orifice me procurait un plaisir inconnu. Un jeu sexuel inédit qui réveilla mon clitoris. Mon mari continua à introduire la sonde avec précaution, tout en observant mes réactions. Et soudain, j’eus une très forte envie de faire pipi. Je contractai les muscles du périnée pour me retenir, mais mon mari me demanda de me détendre : « Laisse-toi aller. Fais pipi si tu en as envie. » Il m’expliqua que le cathéter venait de passer le sphincter de la vessie d’où cette envie subite. Mon urine s’écoula alors par la sonde sans que j’eusse la sensation de faire pipi.

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     Après s’être régalé d’un peu de mon urine chaude en buvant à même la sonde, mon mari la pinça pour éviter de vider complètement ma vessie. A l’extrémité coté vessie, la sonde comportait un petit ballonnet indépendant. Il le gonfla d’air à l’aide d’une seringue, ce qui bloqua la sonde dans ma vessie. Il me demanda parallèlement de boire beaucoup. J’eus rapidement envie de refaire pipi. Mais à cause de la sonde qui bloquait ma vessie, j’en fus incapable. Ma vessie pleine, la pression devint difficilement supportable. J’eus beau pousser un maximum, impossible de me vider. L’envie de faire pipi me faisait terriblement souffrir maintenant. Je suppliai mon mari de me libérer. Or, dépendre de lui pour faire pipi me procura en même temps une étrange jouissance où se mêla douleur et excitation. Mon clitoris exacerbé ne demanda qu’à jouir. En quelques coups de langue, mon mari m’amena à l’orgasme tandis qu’il libérait ma vessie. J’explosai littéralement dans sa bouche. Une jouissance sublime en forme de délivrance. L’urine gicla en de puissants jets qui se mélangèrent à ma cyprine. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu d’orgasme aussi fort. Mon mari fut si excité qu’il se masturba devant moi et jouit en poussant des râles de plaisir que je ne lui connaissais pas. Sublime !

     On parla ensuite longuement du plaisir éprouvé à être pénétrée de cette façon. Mon mari m’expliqua que le poing G était atteint plus facilement par l’urètre et donc bien plus sensible aux caresses… »

A suivre

Dim 26 avr 2015 Aucun commentaire