DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

   Je la rencontrai sur un site américain spécialisé en lactation érotique. Cette mère de famille divorcée disait avoir une énorme poitrine pleine de lait résultant de rondeurs physiques avantageuses et d’un allaitement continu depuis des années. Maman d’une petite fille, elle l’avait allaité durant neuf années tellement toutes deux éprouvaient de satisfaction. Elle aurait aimé continuer, mais arrivée à la puberté, sa fille se détacha progressivement de ses seins. Grosse déception chez la maman, bien que son enfant la téta occasionnellement par la suite pour retrouver le goût du lait maternel et la chaleur rassurante de ses seins lorsqu'elle déprimait. Les tétées se faisant de plus en plus rares, la maman eut de douloureuses montées de lait. Et comme elle ne voulait pas se sevrer, elle demanda à son compagnon de téter à la place de sa fille. Mais celui-ci refusa obstinément trouvant ces pratiques malsaines.

     Privée de cette merveilleuse sensation que lui procurait l’allaitement, elle finit par se téter elle-même les seins, non seulement parce que ça stimulait sa libido, mais aussi avec l'espoir d'exciter son compagnon. Mais celui-ci ne fut pas attiré par son étrange manie. Par contre, cet auto-allaitement engendra peu à peu chez cette mère une excitante stimulation de ses sens. Elle le ressentit comme une délicieuse vibration intime qui descendait jusque dans son utérus. Au début, elle recracha son lait ; elle le trouva fade, mais à force de tétées, elle y prit goût. Non seulement cela soulagea ses engorgements intempestifs, mais contrairement à une majorité de femmes que ça dégoutait, elle ressentit une réelle délectation à boire son propre lait. A tel point qu’elle en devint accroc. Elle remarqua combien le goût et la consistance se modifiaient en fonction de son alimentation. Cette auto-lactation entretint par conséquent des montées de lait permanentes. Ayant conscience que boire son propre lait en aussi grande quantité risquait d’engendrer des problèmes de santé, elle adapta son alimentation à ce nouvel apport laitier. Parfois saturée de le boire, elle pressait ses seins devant un récipient et stockait son lait dans le réfrigérateur.  

     Irrité par les habitudes contre-nature de sa maîtresse, son amant se sépara d’elle quelques temps après. Il ne voulait pas d’une « vache laitière » comme compagne de vie. Que son homme la rejette aussi froidement la démoralisa. Elle se sentit insultée dans sa chair de mère. Chose plus grave, il la laissa sans un sou avec une fille de neuf ans à nourrir. Au début, elle ne mangea pas à sa faim tous les jours. Les pâtes furent souvent au menu. Quant à sa fille, elle reprit l'habitude de se nourrir à ses seins, un complément alimentaire non négligeable pour sa croissance.

     Comment sortir de cette dramatique situation ? Il lui fallut trouver rapidement de l’argent. C’est alors qu’elle découvrit le site spécialisé dont je parlais plus haut, un site où des femmes vendaient leur lait à des mères indigentes. Toutes les mamans n'ont pas la chance de produire suffisamment de lait nourricier pour leur bambin.  D’autres femmes sur ce site se proposaient comme nourrice, voire même pour certaines, d’allaiter des adultes friands de ce délicat breuvage. Dans un premier temps, elle vendit donc son lait. Pour cela, elle s’acheta un tire-lait professionnel et une multitude de petits flacons de 100 ml. Sur le site, des femmes allaitantes lui conseillèrent de faire attention à l'achat du tire-lait car certains irritaient les mamelons tellement ils étaient mal conçus.

     Après avoir extrait le lait avec le tire-lait, elle le mettait dans les petits flacons qu’elle gardait au congélateur. A cinq dollars le flacon, cela lui procura un revenu décent au début. Malheureusement, certaines de ses clientes reprenant leur travail et face à la corvée de l'allaitement préférèrent sevrer leur bébé. De plus, des campagnes extrêmement agressives contre le don ou la vente de lait maternel non contrôlé par des organismes officiels dénoncèrent les risques d'un lait contaminé ou trafiqué. Elle eut beau préciser qu'elle allaitait sa fille et donc qu'il n'y avait aucun risque, rien n'y fit. En conséquence, son lait s’accumula dans le réfrigérateur.

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      Elle remarqua alors sur le site combien les adultes, et des hommes en particulier, étaient demandeurs de lait maternel tété à même les seins. Malgré les risques encourus, il y avait certainement plus d’argent à gagner par ce biais. Des hommes étaient prêts à payer très cher une femme pour réaliser ce fantasme. Face à ses difficultés financières, elle n’eut pas le choix. Elle rangea sa pudeur aux oubliettes et décida de devenir nourrice pour adultes. Grâce à sa généreuse poitrine, son succès fut immédiat, aussi bien chez les hommes que chez les femmes d'ailleurs. Elle offrait ses énormes seins plein de lait avec tellement de passion. Elle s’étonna de voir des femmes matures devenir dépendantes de son lait. Elle les préféra d’ailleurs aux hommes. Ayant une approche plus maternelle de l’allaitement, ces ex-mères retrouvaient des sensations oubliées. La demande allant crescendo, elle s'organisa : le matin,  essentiellement des femmes au foyer, au déjeuner, des hommes pressés et en fin de journées ou le soir, des maris en manque.

   Elle allaita ainsi plusieurs fois par jour y trouvant à chaque fois un plaisir sans cesse renouvelé. Il arriva malencontreusement que la source se tarisse parfois. Mais après une courte pause, ses seins s’adaptaient à la demande et produisaient à chaque fois plus de lait. D’où sa généreuse poitrine qui affolait tant ses clients. Vendre son lait de cette façon lui permit de combler ses propres envies laitières tout en lui assurant un substantiel revenu. A cent dollars la tétée, elle n’eut plus besoin de chercher un travail, hormis d’offrir ses seins débordant de lait à ses clients. Et chose inouïe, elle ressentit du plaisir à sentir une bouche inconnue se pencher sur sa lourde poitrine puis à être tété longuement... 

A suivre

Dim 9 nov 2014 2 commentaires

Histoire réelle, ou plutôt le fruit de ton imagination (je mise là-dessus :D) ?

A bientôt,

Nico.

Nico, soumis - le 09/11/2014 à 23h26

Une histoire basée sur des faits réellement vécus et romancée pour mieux plaire aux lecteurs. Et déméler le vrai du faux risque de casser l'ambiance. Attends la suite, il y a LA rencontre...

 

Microstring

Bonjour,

Je cherche désespérément une nourrice. Je reste la plupart du temps incompris.

Reglisse.

Reglisse - le 05/06/2016 à 23h49

Bonsoir,

Hélas, mille fois hélas...

Les femmes en France comprennent difficilement ce fantasme que nous éprouvons à boire directement à leurs seins nourriciers ce délicat breuvage.

André

Microstring