DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Soumis aux fantasmes de femellisation de Yasmina, je plongeais donc dans les hormones avec une joie pleine d’allégresse ; d’abord avec prudence, ne voulant rien perdre de ma virilité de mâle puis sans plus aucune retenue par la suite. J’ignorais encore que ces hormones me rendraient dépendant et modifieraient ma façon de penser. Drogué aux hormones, je l’acceptais par plaisir. Que du bonheur à étaler les gels féminisants sur ma peau et voir mes seins se développer… Par la suite, je m’habituais aux délires de Yasmina. Qu’elle me désire femme, je trouvais cela presque normal. C’était son fantasme, ce qui l’excitait sexuellement. Et moi, j’étais au centre de ses fantasmes de féminisation. Qu’espérer de mieux ?

     Voilà pourquoi je poursuivais inlassablement un traitement hormonal féminisant depuis trois ans, variant les hormones au gré de mes connaissances ou cessant un traitement parce que leurs réactions étaient trop visibles. Un jeu dangereux aussi puisqu’il perturbait ma santé. Modifier sa perception de la féminité en tant que mâle n'est pas donné à tout le monde. Durant tout ce temps, mes seins se développaient pour mon plus grand plaisir. Ils me procuraient des sensations nouvelles. Plus rien d’autre ne comptait que sentir ma poitrine grossir. Je n’appréciais pas trop leur forme, des seins de filles juvéniles. Ils poussaient en pointe et les aréoles restaient petites comparativement aux femmes. Eurêka ! Sur un forum de transsexuelles, on me conseilla d’associer de la Progestérone à l'oestrogène. Cette hormone arrondissait les seins, les remplissait et élargissait leur aréole tout en compensant les réactions négatives d’Oestrogel sur ma santé. Surprenant comme les effets secondaires liés aux différents oestrogènes pris s’atténuèrent. Entre-temps, ma connaissance sur les traitements hormonaux évoluait. Fallait-il encore trouver le judicieux équilibre entre hormones et santé.


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    Dominé par l’idée d’avoir de gros seins, je confiais à Yasmina vouloir ressentir jusque dans les tréfonds de mon âme ce que vivait une femme allaitante. Et bien, ce fut elle qui m’allaita tellement l'idée lui plut. Quelle chance ! Alors qu’elle n’avait jamais enfanté, elle induisit une lactation en moins de deux mois, aidée en cela par de la Dompéridone et du Fenugrec. Remarquable comme sa production laitière s’adapta à mes tétées. Plus je la tétais, plus son lait se faisait généreux et plus sa poitrine grossissait. Impressionnant ! Yasmina adorait faire gicler son lait en toutes circonstances. Le café matinal avec son lait devenait un excitant rituel. (Il faut y avoir gouté pour comprendre.) Lorsque je la tétais, elle s’excitait et en profitait pour se caresser jusqu'à la jouissance. Dans notre frigo, plus jamais de lait industriel, uniquement son lait qu’elle tirait plusieurs fois par jour pendant mes absences ou lorsque ses seins s'engorgeaient. Comme elle avait des seins généreux, elle arrivait même à se les sucer. Rendez-vous compte, elle buvait son lait directement alors que les autres femmes le recrachaient habituellement. Le comble de l’excitation était quand elle se tétait un sein et moi l’autre. Je découvrais à l'occasion la relation profonde entre l'allaitement et le plaisir qu’éprouvent les femmes jusque dans leur utérus. Nombreuses sont celles qui avouent ressentir un plaisir vaginal en allaitant leur bébé... ou leur amant.

     Par la suite, l'idée d'induire une lactation par moi-même prit corps dans nos esprits. Chouette ! Induire une lactation ferait davantage grossir mes seins d'une ou deux tailles de bonnetsLecteurs, je vous laisse deviner les fantasmes laiteux qui nous animaient en ce temps. Ils expliquaient la force des sentiments qui dominaient notre sexualité.


Lun 29 fév 2016 Aucun commentaire