DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Pour vous, tout a commencé innocemment à l’adolescence, un âge où la montée hormonale vous a poussé à de fréquentes masturbations à défaut d'une copine avec qui satisfaire ce désir nouveau qui vous submergeait. Une incontrôlable envie qui vous a pris au ventre avec une force incroyable. Vous vous êtes faufilé discrètement dans la chambre de votre sœur ou à défaut dans celle de votre mère pendant leur absence. Vous avez ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, vous avez touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à votre regard. En tremblant d’émotion, vous avez choisi une petite culotte sexy, oui, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, votre instinct vous a poussé à l’essayer. Vous l’avez enfilé sur vos hanches juvéniles tout en vous admirant dans le miroir de la grande armoire. Excité de vous voir ainsi, votre verge turgescente a jailli du fin tissu et vous à poussé à une vive masturbation. Peut-être même que vous avez joui dans la petite culotte de votre soeur. De voir par transparence votre semence perler goutte à goutte vous a procuré un plaisir plus fort que toutes les masturbations que vous connaissiez jusqu’à présent.
Au fil du temps, vous vous êtes pris de passion pour la lingerie féminine. Vous avez même "emprunté" des petites culottes à votre sœur, un précieux butin que vous ressortiez à chacune de vos envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des jupes au raz des fesses, des talons aiguilles vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers. A chaque séance, vous vous masturbiez tant le plaisir était fort. Vous avez découvert par ce biais une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que vous connaissiez avec les femmes. Hélas, après chaque orgasme, vous vous sentiez honteux et coupable, car un homme hétéro ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, il ne doit jamais remettre en cause sa virilité.
Votre conscience vous dictait alors de renoncer, de jeter ces lingeries féminines si attirantes, de corriger ce plaisir que vous cachiez à votre femme ou à votre compagne. Vous ne vouliez plus recommencer. Or, le virus de la féminisation était en vous. Vous ignoriez que vous étiez dans une spirale qui échappait à votre contrôle. Par faiblesse, vous avez recommencé en vous cachant, quitte à vous dégoûter un peu plus après chaque nouvelle expérience.
Puis est arrivé ce jour ou votre compagne vous a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, vous veniez de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte ! Elle s’est d’abord indignée puis s’est ouvertement moquée de votre penchant ridicule. Après de vaines explications, elle vous a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui-là. Eh oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, vous vous êtes senti honteux devant elle, sans défense, incapable de vous justifier.
Avec le temps, cette séparation vous a finalement arrangé. De par votre nouveau célibat acquis, vous pouviez enfin vous livrer ouvertement à vos plaisirs féminins les plus extrêmes, mais en solitaire. Vous vous êtes donc consolé en achetant tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui vous excitaient tant : habillé en femme devant le grand miroir, vous vous masturbiez sans cesse en regardant vos jambes gainées de soie, votre corps épilé, vos tétons qui pointaient, votre queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy. Vous preniez des poses suggestives, excessivement féminines, tout en éprouvant une sensation bizarre. Vous ne vous en rendiez pas compte, mais en vous dévirilisant ainsi, vous étiez en train de renoncer à votre statut d’homme viril…
Pour vous consoler, vous avez rencontré sur le Net des gens qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger vos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise auprès des hommes vous stimulait toujouts plus. Conditionné par d'autres travestis, vous avez même envisagé un traitement hormonal pour mieux vous féminiser et surtout développer votre poitrine. Vous avez discuté de vos fantasmes avec des hommes, des hétéros puis vous avez accepté des rendez-vous intimes. Des hommes toujours plus nombreux que vous faisiez jouir dans votre bouche ou dans votre chatte. Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne vous attiraient pas. Avec les hétéros, vous pouviez enfin vous travestir à votre gré, jouer de votre féminité et les exciter comme une femme. Ces hommes recherchaient une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchants sexuels les plus outranciers, des jeux comme la sodomie qu’une femme n’accepte pas facilement, des actes sexuels que les hommes n’osent pas demander à leur femme par pudeur. Eux utilisaient à leur guise la femelle en chaleur que vous étiez, faisaient de vous un objet sexuel soumis à leurs fantasmes les plus osés. Et vous, vous appréciez cette inversion des rôles, être une femme soumise entre leurs bras. Vous avez alors découvert combien une queue de mec entre vos lèvres vous procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme vous ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’avais lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute.
Ca, c’était au début, quand vous découvriez le bonheur de vivre ouvertement votre féminité. Votre féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre associé à une certaine douleur. Vous avez acquis de l’assurance et sans même vous en rendre compte, vous avez pris du plaisir par-derrière en oubliant vos érections. Vous n’éprouviez même plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie vous rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, votre anus se transformait en une chatte accueillante qui vous procurait un plaisir de femme. Oui, en devenant une femelle soumise vous renonciez inconsciemment à votre virilité de mâle. Vous n'étiez plus qu'une femme travesti en chaleur...
Je voulais que les travestis qui avaient ressentis une certaine féminité en eux à l'adolescence puissent se retrouver dans cet article. Pour ma part, ce sentiment féminin s'est révélé bien plus tard, lorsque je suis devenu un homme mature et que j'ai découvert que des femmes s'excitaient à féminiser leur conjoint...
Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat (capitale du Maroc), j'aimais me sentir femelle et pute. J’adorais me faire baiser par plusieurs élèves !
J’aimais sentir leur bite aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat ait éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais…
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves plus âgés que moi, se relayait sur mon corps et
me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni
d’approbation, ni de refus.
Puis plus tard, à force de me goder, mon plaisir anal s'est intensifié à tel point que je parvenais à éjaculer sans même toucher mon petit pénis, ni me masturber !
Je considérais alors mon petit pénis comme un clitoris et mon anus comme un vagin !
Plus tard, ce fut avec ma sœur aînée que j’ai découvert le plaisir de me travestir afin de me sentir femme. Durant l’absence de nos parents, je luis demandais de me travestir en fille et de me considérer comme sa copine intime ou sa 2ème sœur. C’était juste pour rigoler. Mais avec le temps, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagé ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Laila comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle, j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous-vêtements et d’être admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né. Ma sœur, étant majeure à l’époque et adorant la lingerie, toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste avec charme et sensualité.
Merci Leila pour votre récit. Il démontre clairement que vous êtes avant tout de ces personnes qui adorent se travestir et qui se donnent sexuellement en femme passive. Votre parcours se distingue du mien par le fait que j’ai découvert la féminisation bien plus tard, alors que j’étais devenu un homme mature. Et contrairement à vous, je n’ai jamais réussi à éjaculer lorsqu’on me défonçait la chatte. Si du liquide s’en écoulait, c’était parce qu’une queue ou un gode pressait trop fortement sur ma prostate. Je précise en outre que mon pénis est d’une taille appréciable et que j’adore en jouir, même si aujourd’hui sa taille s’est réduite suite aux hormones féminines ingérées depuis des années.
Quant à me travestir, là n’est pas mon délire si on excepte le fait que j’adore porter de minuscules strings. J’avoue que voir mon sexe dans ces fins tissus, mes fesses dénudées, mon corps intégralement épilé et mes seins qui pointent m’érotise follement. Il ne reste plus à ma compagne qu'à me violer pour me combler…
Plusieurs questions me viennent à l’esprit :
- Avez-vous pris ou prenez vous régulièrement des hormones pour vous féminiser ?
- Et vivez-vous en femme dans l'intimité de votre couple ?
- Et jusqu'où votre femme est-t-elle prête à accepter votre féminisation ?
Bises
André
Réponse à tes questions :
- Avez-vous pris ou prenez-vous régulièrement des hormones pour vous féminiser ?
Non jamais. Ces produits sont interdits dans les pays arabo-musulmans. De plus, je n’en ai pas besoin. Me travestir me suffit pour me sentir femme.
- Et vivez-vous en femme dans l'intimité de votre couple ?
Quand l’envie nous prend. J’adore me sentir sa soubrette et sa lopette surtout quand elle revient de l’un de ses amants « grosse bite », sa chatte dégoulinant de sperme et qu’elle me demande de la nettoyer. Je te raconterai cela une autre fois.
3 Et jusqu'où votre femme est-t-elle prête à accepter votre féminisation ?
Juste mon travestissement et mon statut de mari soumis et cocu volontaire.
On voit par tes réponses combien ta perception de ta féminité diverge de la mienne. A mon avis, tu es un authentique travesti passif. Contrairement à moi qui prends des hormones pour avoir de vrais seins de femme et ne ressent pas le besoin d'être habillé en femme...
Ceci dit, nous dépendons tous deux de femmes qui poursuivent des buts différents. La mienne désire réallement faire de moi une transsexuelle dans dans l'intimité tout en préservant ma nature de mâle en société. La tienne satisfait ses désirs d'amants au travers de tes délires de travesti
2 articles à lire sur l'homosexualité au Maroc :
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1502943-au-maroc-la-situation-des-homosexuels-est-terrifiante-mais-je-garde-espoir.html
Article qui me fait penser à la situation en France dans les années cinquante.
Bien que l'homosexualité ne soit pas ma tasse de thé, je considère que la liberté sexuelle entre adultes est un droit imprescriptible.
Juste gros bisous et longue vie à ton site !
Merci Laila. Un commentaire qui me motive à continuer de relater mes expériences sexuelles vécues. Et ceci, malgré un emploi du temps très chargé.
jolie queue
Une photo que je trouve très sexy...
a l'age de huit ans des seins ont commencés a pousser,alors ma voisine du meme age m'as habillé en fille,j'amais,nos parents laissaient faire et s'en amusaient,au fil des ans mes seins ont grossi pour 95b a 12 ans,le zizi lui est resté minuscule, dès que je rentrais de l'école ma voisine m'habillais en fille et me dominais,j'étais devenu sa bonniche et je m'y trouvais bien.a l'age adulte des seins 105c,un zizi minus sans érection mais des testicules bien apparentes,ma voisine devenue infirmiere est venue vivre avec moi,me dominant de plus en plus,j'étais devenu sa chose,m'infligeant des punitions,m'interdisant de me vider de mon sperm,participant a des croisieres sm,moi comme soubrette elle a décidé de me faire castré,en demandant a une participante vétérinaire de me castré a la prochaine croisiere,ce qui a été fait,attaché a la rambarde jambes écartées la vétérinaire m'as posé l'élastrator sur les testicules sans anesthésie,j'ai eu très mal pendant 6 heures puis la douleur a diminuée au fur et a mesure que mes testicules devenaient noire,l'élastique m'as été enlevé 15 jours après en meme temps que mes testicules mortes avant la fin de la croisiere,je ne l'ai jamais regrètté me trouvent très bien sans sperm,j'avais encore beaucoups de jouissance par mes tétons et surtout étant sodomisé soit par elle au gode ceinture soit par ses nombreux amants,nous vivont comme ça fesant beaucoups de jeux de role et fréquentant les clubs et réunions sm
Bizarre comme votre histoire ressemble à des fantasmes que je lis parfois sur le Net. Et pourtant, je ne demande qu’à vous croire tellement l’idée me plaît...
Posséder naturellement des seins avec des bonnets C à l’âge adulte, moi qui espère avoir une très grosse poitrine, vous me faites rêver. Cela prouve chez vous un sérieux dérèglement hormonal à la puberté, un manque de testostérone qui a fait que votre verge de petit garçon ne s’est jamais développée. Il aurait fallu consulter un endocrinologue…
Quelle chance d’avoir pour amie une infirmière qui vous a comprise ! Les infirmières ont des comportements sexuels qui sortent souvent de l’ordinaire. Peut-être que le milieu médical dans lequel elles évoluent en est la cause. Ma compagne est elle-même sage-femme et au travers de mes textes, on devine combien sa sexualité est parfois dérangente
Quant à la castration, il faut un état d’esprit bien particulier pour s’y prêter et une totale confiance dans sa compagne. Elle conduit systématiquement à d’intenses sodomies, seul moyen de retrouver la jouissance. Il m’arrive d’aller sur des sites spécialisés pour voir jusqu’où un homme peut se soumettre. La castration est à mon avis la forme la plus extrême de la soumission à une femme. J’avais discuté, il y a longtemps, avec une personne qui s’était fait retirer les testicules et le scrotum. Étrange la beauté de cette verge qui se dressait avec dessous un entre-jambes lisse sans aucun relief.
Longue route et beaucoup de plaisir à vous et à votre compagne…
oui j'ai un déreglement hormonal depuis ma naissance,quand meme de la testostérone mais beaucoups trop d'estrdiol'plus qu'une femme),mon parcours n'est pas un fantasme,pour moi tout s'est fait petit a petit au fil des ans,c'est vrai que mon amie a une sexualitée un peu spéciale,ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre,ma castration je l'ai accepté de plein gré n'ayant pas d'érection et pour éjaculer il fallait me traire pendant pas mal de temps meme après une sodomie ou je jouissais beaucoups elle m'en avait parlé plusieurs fois,je la voyais pas sous cette forme,c'est cette vétérinaire qui lui a dit comment elle fesait pour les animaux,elle ont donc décidés de faire idem pour moi. et comme j'étais soumis en public,les hommes soumis qui avaient des attributs normaux et qui regardaient ont pris peur,il ne risquaient rien,dans notre groupe tous sévice doit etre accepté librement et conduire aux plaisirs,pour moi il suffit de me titiller un peu les bouts de seins et l'on fait de moi ce que l'on veut.je n'ai jamais envisagé de la quitter,je me sentirais complètement perdu si je le fesais,je vie au féminin en privé,pour sortir dans notre secteur assez ambigue (vu mes seins impossible a cacher)bien sur en sous vètement féminin h24 sauf pas de culotte,c'est une règle de notre groupe,les soumis bonniche sont toujours cul nu,pour moi pas de problème, pour d'autres qui ont de attributs assez imposant et les nouveaux pas si facile a accepter pour aller au travail ils ont le droit de porter une culotte féminine.nous vivont très heureux dans notre groupe,composé de beaucoups de mèdecins et infirmieres,aucun n'as des enfants.
Votre histoire de soumis avec votre compagne m’impressionne fortement. Vous êtes arrivé à un stade d’évolution remarquable en matière de soumission.
Résumer en quelques mots l’histoire de votre vie ne permet pas de comprendre les étapes successives qui vous ont conduit à la castration. C’est un lent parcours, une succession d’état, de ressentis et d’influences vécue au fil des années qui vous amené à être l’homme soumis que vous êtes aujourd’hui. Et puis, il y avait cette verge qui ne servait à rien, et pourtant vous arriviez à éjaculer. Aviez-vous essayé le Viagra auparavant ?
Je suis surtout impressionné par « l’idéologie sexuelle » de votre compagne et du groupe dans lequel vous évoluez. Des femmes avec de tels fantasmes de soumission sont si rares. Convaincre son soumis de se laisser castrer trahit un comportement extrême de leur part. A l’évidence, votre compagne et la communauté SM dont vous faites partie ont réussi à vous conditionner. Faut-il être follement amoureux pour en arriver à cet extrême ! Certainement le signe le plus manifeste de la soumission chez un homme amoureux de sa femme.
Vivre en lingerie féminine 24/24H, j’en déduis que vous êtes un soumis féminisé. Reste donc à aller jusqu’au bout de votre soumission, à vous déviriliser complètement, à vous hormoner, à devenir FEMME jusqu’au bout des ongles. Et cela commence par une épilation intégrale, le poil proclamant la virilité masculine, ce qui me semble contraire à la soumission.
Par contre, je pense à l'enfant que vous n'aurez jamais suite à cette castration. Et vous le précisez, personne n'a d'enfant dans votre groupe. N'aurait-il pas fallut conserver votre sperme avant d'en arriver à cet extrême ?
En fait, je conclus que l’impuissance d’un homme conduit à chaque fois à la soumission à une femme, et parfois, à une forme extrême…
depuis mon enfance elle m'as toujours dit que j'étais une fille,mes parents aussi,d'ailleurs en primaire j'étais a l'école des filles,c'est vrai que j'avais l'air d'une gamine avec mes cheveux blond très long,ma mère ne les coupait pas,quand mes seins ont commencer a pousser,mes parents m'ont mis en pension dans une intitution d'éducation spéciale,les punitions étaient corporel,féssée,martinet,verge,orties,cachot etc,et j'en recevais beaucoups,il ne se passait pas une journée sans,ce qui explique ma docilitée,ce n'était rien d'autre qu'une institution de correction,comme j'avais des seins et un zizi minuscule,ils m'ont habillés en fille minijupe et culotte caoutchouc toilé très épais a l'époque 1954 et mis avec les pisseuse puisque que je fesais pipi culotte.je suis resté huit ans dans cette institution rentrant chez les parent deux jours tous les quinze jours et dans la meme tenue,dur mais les études très poussées,mes parents étaient contant,pour les punitions c'est bien fait pour toi tu n'as qu'a pas faire de bétise ,j'ai eu le bac a 16 ans. mon sperm a été analysé et ne pouvait pas féconder,ma castration a été faite j'avais 35 ans,j'en ai 70,c'est vrai que d'en venir a l'acte a pris un peu temps,elle me disait souvent,ton sperm ne vaut rien,donc tes couilles ne servent a rien et te font mal,il vaudrait mieux les enlever,ont en parlait souvent,c'est la rencontre avec la vétérinaire qui a décidé de l'acte,pas comme je le prévoyais,mais devant ses affirmations que ça ne fesait pas très mal,j'ai accepté.le viagra n'aurai servi a rien pas plus que la prise de testostérone,la prise d'hormone féminine impossible j'en ai déja beaucoups trop,très peu de poils,épilation très facile, l'operation pour me faire un vagin,je n'y ai jamais pensé mon amie non plus et zizi trop petit,je suis très bien comme ça,ni homme ni femme,je suis moi.
Je trouve votre confession passionnante. J’adore correspondre avec des gens qui sortent de l’ordinaire et partent pour un long voyage tel que le vôtre, des personnes sexuellement marginales, hommes ou femmes, qui vont jusqu’au bout de leurs fantasmes. Bien que nos options sexuelles divergent, je comprends mieux à présent votre cheminement et sa conclusion.
Vous avez donc grandi au contact de votre voisine. Je suppose que vous aviez à peu près le même âge. Devenus des ados pubères qui se découvraient, vous vous êtes livrés par curiosité aux premières découvertes sexuelles avec elle. Elle avait quel âge lors de cette première relation ?
Attirée par votre coté fille, elle a voulu voir vos seins proéminents et, surprise, a découvert votre verge atrophiée. Je suppose que l’idée de « jouer » à la petite fille avec vous lui est venue tout naturellement d’autant plus que vos parents favorisaient votre état féminin. Connaissait-elle déjà votre handicap et vous féminiser, était-ce un jeu d’ado ou une volonté délibérée de sa part ?
Puis ce fut ce pensionnat très spécial selon vos dires, plutôt une maison de correction comme on disait à l’époque. Drôle de pensionnant où on vous assimila à une fille. Encore plus surprenant, on vous habilla en fille et vous avez vécu avec les filles du pensionnat. La culotte caoutchouc, je comprends car vous étiez incontinent. Mais porter une jupe et vivre avec des filles ne pouvait que favoriser votre féminité au détriment du garçon que vous étiez biologiquement. Votre voisine n’a fait que confirmer cette aptitude féminine. L’homme féminisé et impuissant que vous étiez ne pouvait que se soumettre à elle. Elle vous conduisait dans le sens de vos attentes. Mais elle-même, comment vivait-elle sa propre sexualité ? Je suppose qu’une fois adulte, elle prenait des amants et vous traitait en soumis féminisé.
Influencée par sa décision, c’est donc elle qui vous a poussé à être castré au sein de votre groupe SM. J’imagine la situation : Le vétérinaire qui pose l’élastor devant tout le monde et jour après jour les testicules qui changent de couleur et se meurent. Une expérience vécue en public, particulièrement impressionnante pour les autres soumis qui assistaient à votre castration volontaire. Un bel acte de soumission aussi qui prouvait votre attachement à cette voisine. Pourquoi n’avoir pas été jusqu’à l’ablation totale du scrotum, ne serait-ce que pour des questions esthétiques.
Depuis 35 années ont passé. Ni homme ni femme, vous vous complaisez dans cet état de soumis féminisé au sein de votre groupe SM. Je suppose que toute votre vie s’est passée auprès de cette femme si convaincante. Je suis curieux de connaître les fantasmes qui animent l’homme mature que vous êtes aujourd’hui…
PS : Faites un tour sur ce forum : https://fetlife.com/groups/722 Je suis certains que vous trouverez des liens et d’autres personnes avec qui partager votre passion.
avec ma voisine nous somme du meme age et élevés ensemble,c'est sa mère qui me gardait pendant que mes parents étaient au travail,ont étaient baignés et douchés ensemble alors mon anatomie elle l'a connu très tot,elle a commencé a m'habillé en fille ont devaient avoir cinq ans a peu près,a la primaire avant la pension,ont était l'un a coté de l'autre,ont ne se quittait pas,c'est vers dix douze ans qu'ont a commencer a jouer avec nos sex,a quinze ans c'est devenu plus sérieux,elle s'est rendu compte que je n'avais pas d'érection du tout,mon sex est un limaçon,alors elle allait tater la culotte des autres garçons tout en restant avec moi,ont devait avoir 18 ans quand elle a pris son premier amant,un homme beaucoups plus agé,dans la trentaine,c'est d'ailleurs cet amant un peu bi qui a voulu voir mon sex et qui m'as sodomisé sur la demande de mon amie,c'était pas ma premiere sodomie,j'en avais eu plusieurs a l'intitution,la premiere fois forcé j'ai eu très mal,c'était un surveillant qui m'as pris comme une brute,l'enfonçant d'un coup sans lubrifiant,j'avais 11 ans,la deuxieme c'était l'infirmier de l'institution,plus doux,il a commencé par me faire deux lavements,lubrifié a la vaseline et sodomisé ça m'as surpris d'avoir une très forte jouissance,c'est le surveillant qui lui avais demandé de m'élargir,j'étais sodomisé pratiquement deux fois par semaine toujours préparé avant par l'infirmier,j'étais pas le seul a l'etre, a l'institution c'était le lot des filles et de certain garçons.mon amie très portée sur le sex avait plusieurs amants dont je profitais aussi dans la bouche ou le cul et mon amie amait beaucoups ça,elle aime aussi beaucoups me faire des gros lavements et j'y ai rapidement pris gout,elle ne m'as jamais présenté comme soumis mais comme docile,d'ailleurs dans le groupe personne ne disait esclave,rarement soumis mais soubrette,bonniche.
Faut-il que votre « voisine » ait une vision de la sexualité bien particulière pour dire à son amant de vous sodomiser alors qu’elle n’avait que 18 ans. A priori, elle a été inspirée par vos premières expériences au pensionnat. Je suppose que vous lui confiiez toutes vos aventures et les traitements subis par les surveillants. D’abord celui qui vous a sodomisé à 11 ans comme une brute. Vous étiez certainement un garçon gracile qui attirait les sodomites. Et comme vous étiez assimilé à une fille… Puis cet infirmier, plus doux, comme vous dites, qui vous a initié au lavement. Vous faire des lavements du colon puis lubrifier l’anus fut une excellente idée. Cela me rappelle ma mère... Etre dilaté si jeune et sodomisé 2 fois par semaine a dû sérieusement élargir votre anus. Les muscles du sphincter étant en plein développement à cet âge, j’imagine le résultat. Puis il y a eu cette découverte, jouir par votre « chatte » alors que vous ne connaissiez rien de la jouissance mâle. J’imagine le plaisir ressenti et la défonce anale qui s’en suivit.
Vous dites qu’il y avait aussi des filles qui se faisaient baiser par le personnel du pensionnat. Il serait intéressant de savoir si on les dépucelait ou si on les sodomisait pour justement préserver leur pucelage. Je le répète, votre pensionnat m’aurait plu. Quand je pense au puritanisme d’aujourd’hui… Moi je n’ai eu droit qu’à sucer et à branler jusqu’à l’éjaculation mon proviseur à 11 ans. J’étais curieux d’apprendre sur le sperme des adultes…
Et puis ce furent les différents amants de votre amie de toujours et ses fantasmes de domination. D’abord de gros lavements du colon qu’elle remplissait de liquide différents jusqu’à ressentir des spasmes douloureux. Puis la libération quand vous pouviez enfin évacuer le liquide. Parfois des lavements punitifs à l’huile qui obligent à serrer les fesses plusieurs jours d’affilés tellement l’huile met du temps à s’évacuer. J’en connais un bout à ce sujet, ma mère était experte. Hormis les lavements qui gonflent mon ventre, ma compagne actuelle me sonde régulièrement jusqu’à remplir tout le colon. Et ma foi, je reconnais que j’adore quand l’excitation se mêle à la douleur puis à la jouissance.
Il va de soi que trouver une amie comme la vôtre est rare. Quant à vous traiter de soumis, de soubrette ou de boniche, peu importe l’appellation, l’essentiel n’est-il pas de répondre à ses fantasmes SM et de prendre votre pied ? Pourriez-vous m’en dire plus sur votre amie et votre groupe SM, sur ses pratiques actuelles ?
Je me retrouve vraiment dans cet article ! Merci infiniment et gros bisous !!!