DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Il est surprenant comme mon fantasme de femellisation a évolué au fil des années. Mes lecteurs le savent, je suis maintenant séparé de ma compagne Yasmina. A vrai dire, son côté lesbien a pris le dessus sur sa raison. Tout au long des années vécues ensemble, elle a fait de moi la femme de ses fantasmes, une femelle avec de gros seins et une chatte ouverte à ses délires de domination tout en ayant un mari, un homme dont elle était fière en société. Échec et mat, j’ai tout perdu ! Contrairement à ses promesses, Yasmina m’a quitté pour une très gamine délurée dont elle a la garde officiellement. La voilà à partager un délire de mère adoptive et incestueuse avec cette fille. Elle qui a toujours rêvé d’éduquer sexuellement une gamine à sa façon, comprenez que je ne fais plus le poids. Heureusement, notre séparation n’est que relative puisqu’on se revoit à l’occasion. Eh oui, elle ne peut plus se passer de l’homme que son fantasme a façonné au fil des années. Et moi, comme un con, j’espère son retour. Je lui ai même proposé de faire ménage à trois.

     Nous nous sommes rencontrés récemment à Paris. Elle revenait d'une mission humanitaire en Afrique. Elle avait plein de boites d'hormones avec elle et voulait que je tente l'impossible challenge d'induire une lactation... 

    Depuis notre séparation, je tentais vainement d’oublier la femelle que j’étais dans ses bras et de redevenir un homme. Or, conditionnés depuis des années par les hormones féminines, mon corps et mon caractère ne pouvaient plus à s’en passer. Les hormones avaient façonné un individu qui se sentait homme en société et femelle dans l'intimité. Mes seins laiteux étant au centre de nos fantasmes. J’espèrais les voir grossir toujours plus et provoquer de généreuses montées de lait que je boirais directement. J'étais obsédé par toutes ces grosses poitrines de femmes giclant du lait sur le Net et mon regard plongeait en permanence dans les décolletés des femmes rencontrées dans la rue. J’en venais à jalouser celles qui allaitaient leur bébé. Rendez-vous compte, je finis par rêver d’allaiter une femme adepte d'allaitement, voire même un bébé. Ce serait merveilleux si je pouvais me sucer directement les seins, mes tétées entretiendraient alors mes montées de lait.

     Depuis notre séparation et malgré ce fantasme obsessionnel, j’ai cessé tous traitements hormonaux en gérant au mieux leurs effets secondaires. Hélas, tel un drogué, j'étais en manque ! Ne plus pouvoir vivre avec Yasmina ce délire d’avoir des montées de lait me démoralisait complètement. En conséquence, je replongais dans les hormones en gérant au mieux. Fallait-il me lancer à fond comme le voulait Yasmina, induire une lactation selon ses conseils ? Pas un seul jour sans que je contemple les boites d'hormones qui attendaient ma décision de faire le grand saut. Pas facile, je l’avoue, prendre une aussi grande quantité d'hormones féminines allait dénaturer ma condition de mâle. J'hésitais, car je n'avais pas l'âme d'une transsexuelle...

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         Entre-temps, je rencontrais à nouveau une charmante femme, bien plus jeune que moi. Sa jeunesse, son corps aux seins généreux, sa croupe rebondie et son ventre nerveux réveillèrent mes désirs mâles ; un feu ardent me consumait à présent. Oui, mais voilà, malgré l’aide des petites pilules bleues, j’avais beaucoup de mal à satisfaire ses envies sexuelles. Elle s’inquiètait par ailleurs de mes seins anormalement développés et se posait des questions sur le liquide séminal qui s’écoulait de ma verge à l’orgasme ; trop clair à son avis. Pour justifier ma poitrine de femme et ma stérilité, je prétextais un dérèglement hormonal avec pour conséquence une gynécomastie. Même pas le courage d’assumer mon délire de femelle et de lui dire la vérité. Comme nous ne vivons pas ensemble, je reprenais discrètement des hormones féminisantes sans rien lui dire. Bien que j’avais conscience d’accentuer mon impuissance et ma stérilité, c’était plus fort que moi. Sentir ma poitrine se réveiller à nouveau me procurait des sensations si merveilleuses que je ne résistais pas à l’appel des hormones. Or, un choix s’imposait par honnêteté envers cette femme : fallait-il faire fi de ma féminité au risque d’en être malade par privation ou l’assumer au risque de la voir partir vers d’autres horizons ? Quel horrible dilemme !

Ah si seulement Yasmina était restée à mes côtes...

 

Dim 8 jan 2017 Aucun commentaire