DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Déclin de la domination masculine et féminisation de la société engendrent un nouvel ordre social au sein des couples. Notre monde se féminise incontestablement. En disant cela, je pense au livre prémonitoire d'Alain Soral paru en 1999, " Vers la féminisation" ou à Jean Ferrat, un chanteur engagé, qui disait que la femme était l'avenir de l'homme. La féminisation des esprits serait-elle une manipulation dont les féministes seraient la cause ? Eric Zemmour n’y va pas par quatre chemins. Dans son livre "le premier sexe", par opposition au livre de Simone de Beauvoir, le second sexe, il dénonce le passage d’une société patriarcale traditionnelle vers une société féminisée, voire dévirilisée. Il faut le reconnaître implicitement; appuyé par les revendications féministes et la reconnaissance des gays, l’homme d’aujourd’hui se féminise. À l’instar des femmes, il se fait épiler en institut ; il se parfume, porte des bijoux et prend goût aux soins de peau. Il préfère le compromis à l’autorité et privilégie le dialogue et la tolérance à l’autorité. Les femmes adorent nos fesses épilées et le succès des strings pour hommes le prouve. Inconsciemment, elles nous désirent à leur image, tendre et doux, sensuel et disponible. Tout ce qui relève du masculin est provocant pour elles, une tare qu’elles nous reprochent et qu’il nous faut assumer. Cette approche de la dévirilisation nous touche en plein cœur. L’homme idéal serait-il une femme ? Fini le macho aventurier des années soixante qui marchait au whisky et aux pt'ites pépés ! Un jour arrivera peut-être où un père dira à son fils : "Tu seras une femme mon fils..."
Voyez ce qu'il se passe avec l'identité de genre où l'homme et la femme cohabitent en un même individu. Ce qui était proscrit jadis est maintenant normalisé par la Loi ; je pense en particulier à l’homosexualité. Encore conditionnés par les sous-entendus péjoratifs liés à cet état, les hommes s’en défendent inconsciemment. Bien qu’ils se laissent sodomiser ou sucent des queues, ils préfèrent parler de bisexualité. Laissez-moi rire ! Eh oui, la Loi remplace l’ordre moral d’hier. Sous le couvert de la tolérance et du consensus, plus personne n’ose s’offusquer de la féminisation de notre société à moins de passer pour un conservateur rétrograde. Dire aujourd’hui des hommes qu’ils perdent de leur virilité n’est plus un euphémisme. Sous le couvert de la tolérance et du consensus, plus personne n’ose s’offusquer du combat féministe. Exit la fierté du mâle et place à la suprématie féminine. L'homme nouveau est arrivé...
Avec l’arrivée d’Internet et des nombreux sites pornos qui y prolifèrent, une sexualité plus libertine s’affiche dans les chaumières. Elle devient même un sport national où tous les "coups" sont permis. Conséquence directe du Net, les gens se libèrent de leurs instincts sexuels en passant beaucoup plus de temps à satisfaire leurs propres fantasmes devant l'écran de leur ordinateur plutôt qu’à combler les envies de leur partenaire.
C’est pourquoi s’étalent sur le Net toutes sortes de fantasmes plus ou moins extravagants, les seuls qui m’intéressent d’ailleurs puisqu'ils reflètent mon état d'esprit. Je le dis clairement, je suis devenu un pervers sexuel, car transgresser l'interdit sexuel est ce qui stimule ma sexualité. En ce domaine, les hommes restent les maîtres, bien que des femmes commencent à se découvrir les maîtresses d’un jeu pernicieux. Voyez ce qu'il se passe avec la D/S et le SM où souffrance rime avec jouissance. Selon de récents sondages, ces disciplines sexuelles deviendraient le sport favori des couples modernes. On ne s’excite plus à baiser, mais à réaliser ses fantasmes les plus extrêmes. Qu’importe la jouissance, c’est la façon d’y arriver qui prime. À chacun donc d’afficher ses travers sexuels les plus outranciés sur le Web.
Mais alors que faut-il penser des hommes féminisés qui rêvent de soumission en offrant leur cul à la façon d’une femme à une maîtresse dominatrice ? Tandis qu’un courant libertin normalise l’amour libre, l’homosexualité, l’inceste entre adultes, le BDSM et les boîtes échangistes, il demeure une incompréhension notoire dans l’opinion publique quant à la féminisation des hommes. À voir leurs réactions, nos compagnes ne sont pas encore prêtes à jouer à ces jeux sexuels. Bien que les machos se moquent ouvertement de ce sujet, reconnaissons qu’en chaque homme cohabite une part de féminité, souvent inconsciente d’ailleurs, car réprimée par notre éducation de mâle. Hélas, malgré la libéralisation des mœurs, cette féminisation masculine reste assimilée à une homosexualité refoulée alors qu’il faut la comprendre comme un transfert du pouvoir sexuel de l’homme vers la femme.
Dans ce cas, il semble difficile de vivre mes envies de "femellisation" sans heurter la susceptibilité de mon entourage et des femmes en particulier. Malgré des signes encourageants, la féminisation reste toujours comprise comme une atteinte à l’intégrité du mâle, une horrible castration de sa virilité. Il reste donc à faire comprendre mes penchants féminins de mâle aux femmes qui n’en sont pas adeptes. C’est ce que je m’efforce de faire à travers ce blog...
Merci pour ce compliment. Le but de ce blog est de décrire jusqu'où une femme peut aller dans son désir de féminiser un homme. Il décrit aussi ce qu'un homme ressent à être féminisé alors qu'il se sent un authentique mâle...
Je viens de découvrir le blog et je suis contente de trouver dans les grandes de mon opinion sur le sujet.
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Heureux que nos points de vue se rejoignent sur l'essentiel. A la lecture de ce blog, tu le constates, le travestissement n'est pas ce qui emballe ma libido, bien que certains accessoires de lingerie soient indispensables. Mon approche de la féminisation consiste plutôt à m'hormoner soumis à l'influence d'une femme qui fantasme à ce sujet...
J'étais jeune quand j'ai commencé à aimer la lingerie féminine et à vouloir la porter. J'étais dans une famille de femmes, j'ai passé mon enfance à voir le linge étalé sur les séchoirs: des
vêtements, des draps, bien sûr, mais aussi et surtout des soutiens-gorge, des culottes, des porte-jarretelles, des gaines et encore...... J'étais fascinée par cet univers féminin. Je crois que
c'est vers 12 ou 13 ans que j'ai eu pour la première fois envie d'essayer la lingerie des mes soeurs ou de ma mère. Je ne me souviens plus exactement de la première fois, mais je crois bien que
c'était à la mer et c'était des maillots de bain, essayés en cachette, dans une cabine.
Je me rappelle seulement le plaisir éprouvé, la douceur sur mon corps. Le soutien-gorge était évidemment la pièce préférée, celle qui sanctionnait la féminité. Et je me rappelle aussi qu'une de
mes premières envies a été celle de me faire voir par un copain. Drôle de chose, puisque je ne suis pas exhibitionniste et ne me montre pas en public, habillée en femme. Mais j'avais envie de
cela. J'ai alors choisi un copain. Je le trouvais le plus mignon. Je n'avais pas très bien conscience de ce que ça pouvait être la sexualité, mais je le trouvais vraiment mignon et, tout aussi
naturellement, c'est à lui que j'ai fait ma proposition. Je l'ai appelé, l'ai convaincu à laisser un moment les copains, je l'ai emmené à la cabine: "Qu'est-ce que tu veux?", dit-il un rien
agacé. "Tu devrais voir comme je suis bien avec ce maillot", lui dis-je en lui montrant un bikini qui devait appartenir à une amie de mes soeurs. Pas de chance: "C'est pour ça que tu m'a appelé?
Je m'en fiche !" a été sa réponse. J'ai été honteuse et déçue.
Cela a servi au moins à me mettre sur mon chemin. Oublié le copain, je savais quand même une chose: j'aimais porter la lingerie féminine. C'était déjà quelque chose. J'ai commencé à l'essayer
très souvent, à la maison, en cachette, le plus souvent, enfermée dans la salle de bain.
On arrive à mes 14 ans. Il fallait quand même aller au-delà de quelques essayages. Au collège, j'étais dans une classe de garçons. Beaucoup devaient être assez précoces ou au moins très
"travaillés" par leur sexualité naissante. Souvent, certains d'entre eux caressaient les fesses des copains et il fallait se rebiffer: évidemment, les vrais mecs ne se laissaient pas caresser les
fesses, sinon on passait pour pédé. Les premières fois, je ne me suis pas laissée faire. Un jour, par contre, le garçon qui était assis à coté de moi a commencé à me caresser les fesses: cela me
plaisait beaucoup et je l'ai laissé faire. Cela s'est su tout de suite, puisque j'ai entendu quelqu'un dire: "Ce pédé (donc moi) se laissait peloter les fesses et ça lui plaisait". Bref, une
trentaine de garçon connaissaient mon inclination.
Parmi eux, il y avait Ali. On habitait à vingt mètres de distance et on étudiait souvent ensemble, soit chez moi, où il y avait souvent quelqu'un, soit chez lui, où il n'y avait personne jusqu'à
sept heures du soir. Ali devait bien savoir, comme les autres, que j'avais accepté de me faire caresser les fesses, donc il n'a pas hésité à me mettre les mains sur le derrière quand on était
ensemble, seuls, pour "étudier". Les premières fois, là encore, je me suis rebiffée, un peu pour la crainte de tout adolescent au passage difficile vers une sexualité accomplie et un peu pour une
sorte de réticence toute féminine (le "bon sens commun" dit que les femmes, la première fois, se refusent toujours...).
Mon refus n'a pas tenu longtemps. Après quelques jours (on allait vers le printemps), Ali avait pleinement le droit de me caresser les fesses et il ne s'en privait pas. Il essayait même de me
forcer à lui caresser son sexe, probablement dressé sous son pantalon. Là aussi, j'ai commencé par refuser. Il fallait avancer par petits pas. Ali semblait finalement d'accord, même si tout cela
arrivait sans qu'on échange un mot ou presque: pour lui aussi, plus jeune de quelques mois, il s'agissait d'une découverte absolue.
Mais nous étions en chemin, le but (même si nous n'en étions pas tout à fait conscients) était fixé. Il fallait, tout de même, encore une étape intermédiaire: Ali ne se contentait plus de me
caresser les fesses, mais il se mettait derrière moi pour frotter son sexe dressé contre mon derrière. On gardait nos pantalons, mais malgré cela, j'étais mouillée et lui aussi, je crois. On
approchait du dénouement.
Bien plus tard, nous étions chez moi, dans ma petite chambre. Nous avions recommencé nos attouchements. A un certain moment, j'étais couchée à plat ventre sur mon lit, Ali était sur moi, frottait
son sexe contre mes fesses. Jusqu'alors, Ali avait toujours pris l'initiative, cette fois-là, ce fut moi. J'étais prête, évidemment, même si je n'en étais pas totalement consciente. Tandis qu'il
se frottait contre moi, je lui dis: "Relève-toi un instant !". Je me rappelle que je me suis retournée vers lui, qui s'était mis debout, et j'ai le vague souvenir d'une expression de
surprise sur son visage. J'ai dégrafé mon pantalon, je l'ai baissé, je me suis recouchée à plat ventre. Derrière moi, je l'ai entendu, encore debout, dégrafer son pantalon. Il a sorti son sexe,
il a baissé mon slip, il s'est couché sur moi et m'a pénétrée. Je me rappelle une merveilleuse sensation. J'ai joui presque tout de suite. Il m'a fait l'amour, il a joui en moi.
On était devenus des vrais amants. Les jours suivants, il y a eu à nouveau des tiraillements. Ali voulait que je prenne son sexe dans ma bouche, mais je n'étais pas d'accord ou, plutôt, je
n'étais pas prête. Cela a duré seulement quelques jours, puis toute réticence de ma part a disparu: une après-midi, je me suis agenouillée près de lui, j'ai dégrafé son pantalon, j'ai sorti son
sexe. Je l'ai sucé. Il a joui dans ma bouche. Son sperme était un peu acide, je l'ai bu quand même.
Finalement, le rapport était complet. Il était l'homme actif, j'étais la passive. Chacun était donc dans son rôle. Il ne me restait plus qu'une chose à accomplir: réunir ma passion pour la
lingerie féminine à notre relation sexuelle. Ce fut assez facile, puisque bientôt je pris l'habitude, quand j'allais chez lui, de mettre sous mes vêtements de garçon la lingerie "empruntée" à ma
mère et mes soeurs. Je ne sais pas s'il appréciait. Il ne disait rien. Seulement quand j'avais des choses moins courantes, comme un porte-jarretelles, il le remarquait avec un simple: "Oh, ma
chérie !". Rien de plus. Parfois, il avait du mal à dégrafer mes affaires. Je me rappelle une fois, quand je portais une gaine noire de ma mère avec des bas: j'ai du l'aider, dégrafer les
jarretelles pour qu'il puisse me prendre. Tout cela était très beau.
Ali a été mon amant (mon seul amant!) pendant six ans. J'étais heureuse avec lui. Je me sentais très femme avec la lingerie, même si je ne me suis jamais habillée complètement en femme avec lui
(ceci a été un plaisir réservé aux amants suivants). Quand il avait une copine, il me délaissait un peu, mais il revenait toujours. Notre rapport est terminé quand il
Vous décrivez merveilleusement la sensation éprouvée avec la lingerie de femme, un univers féminin qui conditionna votre penchant sexuel futur. Une fois gouté à la lingerie féminine, vous avez eu
envie d’aller plus loin.
Ce furent quelques expériences difficiles avec les garçons du collège puis arriva Ali, l’homme qui vous fit franchir le pas de l’homosexualité et du travestissement. Etant un homme sexuellement
passif, il ne pouvait en être autrement. Il est clair que votre orientation sexuelle se porte uniquement sur les hommes. Et pour vivre complètement votre attirance sexuelle, vous avez besoin de
vous sentir Femme.
Je vous ferai remarquer que ma démarche est bien différente de la votre. Je craque pour les femmes qui me féminisent et je ne suis nullement attiré par les hommes ; bien que me sentir rempli
par une verge transsexuelle m’excite prodigieusement. A ce moment là je deviens une femelle salope jusqu’au bout des ongles...
voici le poème simple que j'ai composé pour ma femme, j'espère qu'il te plaira:
Oui, Nadia
Ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Mais malheureusement pour toi
Ma petite bite
Mon petit zizi
Ne te faisait aucun effet
Ne te satisfaisait plus
Tu voulais mieux
Tu désirais plus
Je t’ai laissé faire
Afin de me soustraire
Et devenir bonne à tout faire
Puis tu as commencé à me donner des ordres devant tes amants,
En m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre,
Les courses mal faites...
Tout cela devant eux
Et ce sentiment d'humiliation
Ne provoquait en moi aucune réaction,
Devant tes amants
J’aurais dû faire le mâle,
Taper du poing,
Mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle,
Je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié.
Tes amants étaient gênés au début,
Je représentais pour eux le dominant du couple parfait,
Mais très vite ils ont compris
Que c'était Toi le centre,
Et m'adressèrent de moins en moins la parole.
De plus en plus
Je me vis vous servir,
Bientôt le soir,
Je faisais la cuisine,
Mangeais avec vous qui monopolisiez la conversation.
Puis je débarrassais et rangeais la cuisine
Alors que vous alliez vous affaler sur le canapé
À regarder la télé
De plus en plus
L’un à l’autre collés…
Pendant que brutalement vous baisiez
Parfois ton amant se retirait
Te retenant par la nuque
Pour te remplir le gosier
De sa semence que tu aimais
Tu poussais des gloussements de contentement
Tu avalais tout en pompant
Tu n’as jamais avalé avec moi
De toute façon
Les fellations complètes
N’ont jamais été
Au programme avec moi
Moi toujours bandant
Sans même me masturber
J’avais joui deux ou trois fois
Mon sperme maculait le tapis devant moi
- Bon, me dis-tu,
Nous, on va se coucher
Il est évident petit cocu
Que ta place n’est plus dans notre lit
Tu vas nettoyer toutes tes saletés
Et dormir sur le canapé !
Un poème qui définit parfaitement la soumission à son plus haut degré. J'admire, mais ne me reconnais pas dans ce poème. Un authentique soumis qui se nourrit d'humiliation et une femme totalement gynarchiste qui prend son pieds ent te faisant mouiller. Si tu es heureux ainsi, longue vie à toi...
merci à toi d'avoir accepté que je t'ouvre mon coeur et que je te raconte ma vie intime et conjugale, je n'ai personne d'autre à qui raconter cela !
Vivre dans une telle solitude ton orientation sexuelle n'amène que de la souffrance. Cela doit être très difficile pour toi dans un pays comme le Maroc. Je comprends pourquoi tu éprouves le
besoin de te confier. Il n'est pas évident dans ce pays de vivre ouvertement ton homosexualité. J'ai envie de te conseiller d'aller jusqu'au bout de ton trip, de t'habiller en femme, de
sortir en femme, de vivre en femme et de rencontrer un homme que tu aimeras comme Ali, mais face au risque d'une opinion populaire rétrograde, cela est trop dangeureux pour toi...
J'ai moi-même rencontré un homme comme toi au Sénégal, un pays à 95% musulman. Intelligent et instruit, il avait été l'amant d'un haut-fonctionnaire de l'ambassade de France à Dakar. Hélas,
depuis le départ de celui-ci en France, il vivait dans la détresse et l'impossibilité de revivre une relation aussi forte...
merci pour t'on blog que j'ai trouver tres interessant, et tres bien expliquer, j'ai apprie grace toi que ses bien le therme feminisation qui colle au mieux a moi !!!malheureusement autant j'aime sa, autan bcp de femme n'accepte pas cela.....perso je suis un peut perdu dedan car je me cache pour me trav et personne a qui en parler ou avancer........mes merci de t'on blog ^^
Hélas oui, les femmes sont ainsi, elles préfèrent des hommes virils et un tantinet machos plutôt qu'un travesti ou un homme féminisé. Et pourtant, si elle savait... Mais je te rassure, il existe des femmes d'xpérience accrocs aux hommes féminisés. Et quand tu tombes dessus, tu de"viens le plus heureux des hommes... féminisés...
oui je veux bien te croire que tu devient " l'omme le plus heureux du monde !!!! " j'espere qu'un jour sa m'arrivera!!!!! mes j'ai une question....pence tu qu'il faut en parler a sa conjointe ou attendre de voir si elle a un esprie ouvert avan de lui en parler?
Lui dire brutalement ton penchant féminin va la choquer car elle ne s'attend pas à ce que son homme désire exprimer son coté féminin. Amène-là progressivement sur ton terrain, qu'elle découvre des hommes féminisés. Rencontre avec elle des travestis comme par hasard et échangez vos idées à ce sujet. Mais tout doux, ne la provoque pas. Puis passe à la seconde phase, épile-toi certaines parties du corps et profite d'une partie de jambes en l'air pour mettre une de ses culottes par jeu. Elle se posera des questions mais à partir de là, la porte sera ouverte. Si elle continue de se choquer, c'est sans espoir...
ok merci du conseil je testerais la prochaine foi que je trouve une femme .....
Bonjour
Nous venons de decouvrir un blog qui nous plait enormement
Bises
Ange et Dona (F+TV)