DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     « Les plaisirs de l'amour sont les seuls vrais plaisirs de la vie » disait Montaigne. J'ajouterai que conjugués aux plaisirx interdits, ils deviennent sublimes. Ils donnent le sentiment de dialoguer avec les dieux quand arrive l’orgasme. L'expression «aller au septième ciel» en est la preuve éclatante. Cependant, le plaisir érotique n'est pas une manne qui tombe du ciel à l'improviste. Pour être vraiment sublime, il doit se cultiver avec intelligence, et ceci, en profitant sans complexe de l’orientation sexuelle des uns et des autres.

 

     Ai-je toujours eu ce désir de féminisation en moi ? Je répondrais catégoriquement non, même si j’avais depuis quelque temps des comportements qui pouvaient le laisser croire. J’étais auparavant comme la plupart des hommes, un authentique macho. Jeune, je ne recherchais la compagnie des femmes que pour faire l’amour et satisfaire mon ego de mâle. Quant au travestissement et à la soumission, cela me semblait des pratiques bien étranges.


     A l'approche de la quarantaine, j'ai eu envie de porter des maillots de bain toujours plus petits pour mieux exposer mon intimité au soleil. Comme m'exposer tout nu sur une plage publique me semblait indécent, cela me conduisit à rechercher des maillots de bain femme que je roulais sur mes hanches pour les réduire encore plus. Je les choisissais dans une matière très fine, au toucher très érotique. Si du monde arrivait sur la plage, je déroulais le maillot qui reprenait une taille décente. Par la suite, je trouvais disgracieux tous les poils qui envahissaient mon ventre. Je me rasais donc le sexe par réaction érotique. Je découvris parla suite  l'épilation à la pince qui laissait mon sexe et mon ventre lisse bien plus longtemps. De nouvelles sensations libidineuses qui se concluaient à chaque fois par d'excitantes masturbations. Mais hormis cela, rien d'autre de féminin dans mes comportements.

 


524966016      Tout commença un soir à Paris lors d'une rencontre avec deux charmantes Ghanéennes dans un bar d'ambiance. L’une s’appelait Fatou. Grande et élancée comme une antilope, elle était belle comme une nuit étoilée. Comment résister à son regard sombre, à son sourire d'ange ? Quand elle s’exprimait de sa voix chaude, ses paroles glissaient sur moi comme du velours. Il émanait d’elle toute la beauté mystérieuse de l’Afrique noire. Elle me présenta à Mariam, son amie de toujours. Une femme toute en rondeur avec une poitrine des plus généreuses.  J’adorai leur accent anglais teinté de créole et je fus captivé par leur joie de vivre. Je ne suus l'expliquer; il transpirait de ces deux filles une sensualité qui exacerba de suite mes sens.

 

     Elles travaillaient toutes deux au noir - passez-moi l'expression - comme infirmières dans une clinique privée. Toute la nuit on rit, on chanta et on but dans ce petit bar d'ambiance. Cela me changea de ces Parisiennes prétentieuses qui savaient tout, qui connaissaient tout. L’alcool déliant les langues, les conversations devinrent plus grivoises. Elles me confièrent à mots couverts qu’elles vivaient en couple. Je demandai naïvement qui faisait la femme. Avec humour, elles m’invitèrent à venir chez elles si je voulais le savoir.

 

     Au petit matin, je me retrouvai donc chez ces filles. Je me souviens bien de cette première nuit. Contrairement à mes attentes, rien ne se passa pas comme prévu. Quoi que je dise, quoi que je fasse, à aucun moment je ne sus m’imposer. Sous le prétexte d’un jeu érotique, les filles me déshabillèrent et m’attachèrent fermement les poignets ainsi que les pieds avec des bas en nylon. "Pas de panique ! Ce n’est qu’un jeu pensais-je". Offert à leur regard inquisiteur, je fus fouillé au plus profond de mon intimité. Rien n’est plus humiliant pour un homme que de se montrer à des inconnues avec le cul en l’air. Fatou souleva mes testicules et joua avec ma verge d’un air désabusé, comme si j'étais de la marchandise. Puis je dus me mettre à quatre pattes, le cul en l'air, pendant que Mariam écartait mes fesses et inspectait mon anus. Elle aventura un doigt inquisiteur entre mes fesses. Mon corps se tendit par surprise :

- Trop serrée cette chatte. Il va falloir l’ouvrir dit Mariam en riant. 

     Fatou surenchérit. 

- Il faut aussi raser tous ces poils qui l'enlaidissent.

Bien que surpris par la situation, devenir le jouet érotique de ces filles emballa mes sens, une fois n’est pas coutume, d’autant plus que j’étais novice en la matière. Désinhibé par l’alcool bu, je me laissai donc faire. C’est alors que Fatou s’empara d’un rasoir. Que pouvais-je faire, ligoté comme je l'étais ? Ces deux femmes emballaient tellement ma libido que je me défendis mollement. Et ma foi, me faire raser intégralement par une femme ne me déplut pas puisque je finis par bander. Mariam recommanda à son amie d'insister entre les fesses et autour de l'anus.

 

     Une fois le sexe et le derrière bien lisses, Fatou s’occupa de ma poitrine. « Oh, ces petits tétons ! On va en faire de vrais seins de femme... » Elle utilisa pour ce faire une pompe à seins aux globes transparents. Soumis à une intense succion, mes seins démesurément gonflés devinrent hyper sensibles. Bizarre comme les tétons restèrent en érection une fois la pompe retirée. Le moindre frôlement les exacerbait. Suivit une pierre ponce - une caresse rugueuse et surprenante qui mit les mamelons à fleur de peau si je puis dire. Alors qu'ils étaient à vif, Fatou les enduisit de pâte dentifrice à la menthe. La sensation de fraicheur ressentie fut extrême, une douce brulure enflamma mes sens.

Tu aimes, me demanda Fatou ?

Que pouvais-je répondre face à la situation.

- C'est une impression étrange répondis-je les yeux brillants.

Sa copine Mariam en profita pour me lier les testicules et la verge en érection avec une fine cordelette. Cette queue dont j’étais si fier fut ficelée comme un saucisson. Quand elle relâcha le lien un quart d’heure plus tard, la sensation fut fulgurante. L’afflux de sang engendra une douleur insupportable. Puis une forte chaleur suivie, au point que ma verge se dressa, prête à exploser. Pour finir, Mariam enduisit aussi mon gland de pâte dentifrice et le frotta avec une brosse à dents. Démentiel ! Le plus dur fut de ne pas jouir dans la seconde. Les filles m’obligèrent alors à me masturber devant elles. Inutile de préciser que la situation présente déclencha une éjaculation d’une rare intensité. Mon sperme gicla si fort que des gouttes atteignirent mon visage. Les filles rirent de voir ma semence jusqu’au coin de ma bouche. Fatou me demanda de l’avaler d’un coup de langue...

 

1757188890.jpg     Par la suite, je pensai naïvement avoir mérité de leur faire l’amour. Mais leur jeu continua. Il est vrai qu’un homme qui bande ne réfléchit plus. Elles m'attachèrent à la tête du lit puis se livrèrent à leur jeu favori : faire l’amour entres-elles en frottant leurs seins et leur chatte humide sur moi. C'est à cet instant que Mariam s'absenta en échangeant un regard complice avec Fatou. Lorsqu'elle revint, elle était emmanchée d’un énorme gode-ceinture sur le ventre. Inquiet, je regardai les deux filles tour à tour. A voir leur regard lubrique, je compris. Ce gode n'était pas pour Fatou, mais pour moi. Celle-ci déposa généreusement du lubrifiant sur mon anus puis y entra délicatement un doigt. Sous la caresse imprévue, je me cambrai. Mariam se plaça alors derrière mon cul puis écarta mes fesses. J’eus beau me débattre quand elle tenta de me pénétrer, elle réussit tout de même à s'enfoncer en moi. Que pouvais-je faire attaché comme je l’étais ? Cette première intromission me fit mal, très mal. Je ne pus retenir des cris, ce qui excita encore plus les deux filles.

 

     C’est ainsi que je fus sodomisé pour la première fois de ma vie. Une douloureuse expérience, mais aussi une excitante découverte de voir deux femmes s'aimer tout en me possédant sexuellement à leur façon. Autant dire que le mâle que j’étais remballa sa fierté. J'avais le derrière en feu et avoir été possédé ainsi par ces deux filles sema le trouble en moi. J'avais apprécié d'être le jouet sexuel de ces deux femmes. Inutile de vous préciser que ma virilité de mâle en prit un sérieux coup cette nuit-là.  D’autant plus que les filles se refusèrent à moi. Mais qu’importe, la plus belle histoire d'Amour de ma vie commençait...

      Par ce biais, j’acquis au moins une certitude, c’était effectivement Mariam qui faisait l’homme au sein de ce couple de femmes peu banales. 

 

 

Dim 13 fév 2011 1 commentaire

Ma femme et moi, on suit toujours tes nouvelles publications. Gros bisous !!!

lailatvx - le 24/10/2018 à 05h14

@Leila : En lisant ma prose, on constate que je fais une véritable fixation sur mes seins. Le besoin d'induire une lactation est si fort que malgré les effets secondaires des fortes doses hormonales à prendre, j'ai envie d'essayer. A défaut de Yasmina qui m'a quitté, il faudrait une femme qui me stimule dans ce sens. Ce qui n'est pas évident...

PS : j'ai fait un tour sur ton blog. Tu as de très belles photos de transgenres. Faudra que je prenne le temps de les regarder en détail...

Bises

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