DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Je ne sais si je vous l’ai dit, mais les filles avaient leur ventre aussi lisse que mon sexe. C’était un plaisir immense de caresser leur vulve avec ma langue dans ces conditions. Ce jour-la, ce fut imprévu. Alors que Fatou venait de jouir comme une folle dans ma bouche, elle invita Mariam à faire de même. Celle-ci posa sa vulve mouillée sur ma bouche encore pleine de la cyprine de Fatou. Je suçai son clitoris charnu en découvrant le goût différent de sa mouille. Ma langue eut vite raison de son plaisir. Mariam jouit rapidement en gardant son vagin collé à mes lèvres. Au lieu de s’écarter de moi après sa jouissance, elle resta immobile pendant quelques secondes serrant fermement ma bouche contre sa vulve. Je me laissai faire surpris. Qu'avait-elle encore dans la tête ? Puis soudain, elle se vida de son urine en moi. Elle serra énergiquement ma tête entre ses cuisses et m’obligea à avaler ce liquide chaud qui giclait à grands jets dans ma bouche. Je déglutis avec peine son urine essayant de tout avaler. Pendant qu’elle pissait en poussant très fort, Fatou nous regarda excitée. Une fois de plus, elle constata la perversité de sa copine. Boire ce liquide chaud d’un goût nouveau ne me déplut pas tellement la situation fut excitante.
Et que penser de cette ballade en voiture ? On devait se rendre chez des amis. Je conduisais tranquillement pendant que les filles discutaient en admirant la ville. Soudain Mariam exprima une envie irrépressible de faire pipi. Je tentais de repérer des toilettes publiques. Mais rien en vue. Dans ces moments d’urgence les w.c. viennent toujours à manquer. Je proposai de stationner la voiture et de prendre un café dans un bar pour que Mariam profite des toilettes.
Comme elle ne pouvait plus se retenir, elle suggéra de se vider dans ma bouche : « Chiche s’exclama Fatou ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. Bien que contrarié par leur décision, j’arrêtai néanmoins la voiture en pleine circulation. Je passais sur le siège arrière avec Mariam tandis que Fatou prenait le volant à ma place. Elle redémarra promptement pour ne pas trop gêner les autres voitures. Je m’allongeai sur la banquette tandis que Mariam écartait prestement sa culotte d'une main et venait s’accroupir contre mon visage en se tenant de l'autre main à la carrosserie. Quel soulagement pour elle de se vider dans ma bouche, une véritable délivrance. De mon côté, pas une goutte d’urine ne fut perdue malgré les à coups de la circulation. D’ailleurs, Fatou faillit avoir un accident à force de nous regarder dans le rétroviseur. Elle se fit traiter de chauffard. Pour toute réponse, elle tira la langue. Elle se rendit compte par la suite que sa culotte était toute mouillée d’excitation…
Ces fantaisies liquides se répétèrent au point que boire l’urine des filles ou nous pisser dessus devint fréquent. C’est bien connu, les femmes éprouvent toujours l’envie de faire pipi après un orgasme. La salle de bain devint donc l’endroit idéal pour ces jeux liquides. La position favorite était de m'assoir nu sur la cuvette des w.c. Les filles se cambraient vers moi en avançant leur bassin, écartaient avec leurs doigts les lèvres de leur vulve pour en dégager l’urètre. Puis elles m’aspergeaient ensemble de leur urine. Debout comme des mecs, elles tournaient leur bassin pour orienter le jet, visant tour à tour ma bouche et ma verge en érection. Une douche des plus érotiques. Incapable de résister à la vue de leur vulve ouverte d'où s'écoulaient les jets de liquide, je me masturbais comme un dément. Sentir l'urine chaude asperger mon corps et inonder ma bouche me faisaient rapidement jouir. Par contre, j’évitais l’urine du matin, trop forte à mon goût.
Il me revient en mémoire ce que j'avais écrit à Fatou en ce temps-là :
"Quoi de plus délicieux, de plus luxuriant et davantage pétillant que ton champagne doré. Il embaume mes lèvres qui effleurent l'écrin duquel s'écoule ce divin breuvage. Ta coupe ouverte sur ma bouche, tu répands ton nectar limpide et nacré sur moi. Ma langue lape avec une délectation sublime, ma bouche avide déguste cette merveilleuse offrande féminine..."