DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

      Arriva inconsciemment la prochaine étape de ma féminisation. Les lavements, les sondes anales et les spéculums prirent beaucoup de place dans  nos jeux liquides. Etant infirmières, les filles disposaient de tous l'arsenal nécessaire à la clinique où elles travaillaient. Elles utilisaient pour mes lavements une poche en caoutchouc reliée  à une canule par un tuyau. La poche, une fois remplie de liquide, était fixée en hauteur. Le liquide se vidait alors dans mon colon par simple gravitation. Fixé au tuyau, il y avait un petit robinet qui permettait de doser le débit en fonction de la force des spasmes ressentis. La première fois, ce fut non seulement humiliant devant ces deux femmes, mais aussi très douloureux. Des crampes intestinales qui me rappelèrent d’horribles crises de coliques. Je remarquais combien Mariam s’excitait à me voir souffrir ainsi. Quel sadisme chez elle ! Néanmoins, je ressentis un plaisir étrange à sentir mon ventre se remplir de liquide.  Et quel bonheur de me vider ensuite, une merveilleuse délivrance. Par la suite, je devins un fervent adepte des lavements au point de ne plus pouvoir m’en passer. Cela me rappela les lavements hygiéniques de Maman à la différence que j’aimai me remplir toujours plus avec les deux filles.

 

     Mariam adorait aussi m’enfoncer des sondes anales le plus profondément possible dans le colon. De par son métier, elle suivait avec facilité le parcours de la sonde en tâtant mon ventre, une experte en la matière. Tandis que la sonde se frayait un chemin dans mes entrailles, elle me fixait d'un regard excité. Elle la reliait ensuite au robinet de la douche à travers un dispositif qui permettait à l’eau de circuler dans mon colon en un flot continu.

 

v1jvon5q     Elle me faisait parfois des lavements à base d’huile lorsque je ne répondais pas à ses envies. Ces lavements sont réputés punitifs parce que le colon évacue ce liquide visqueux durant des heures, voire des jours et tachait mes strings et mes pantalons. D’autres fois, elle insérait un spéculum qui laissait mon anus largement ouvert après un lavement, ce qui était très humiliant. Toujours ce côté sadique et pervers qu’elle pouvait extérioriser avec moi.

      Je fis un jour l’expérience d’un lavement bien particulier. Les deux filles avaient bu beaucoup de bière et s’étaient retenues le plus longtemps possible avant d’uriner. Tout en s’amusant, elles urinèrent dans le bocal habituellement réservé aux lavements. Je les regardai faire devinant enfin ce qui se tramait. Mariam enfonça la sonde dans mon anus et ouvrit le clapet. De sentir leur urine chaude me remplir les entrailles me procura des sensations inouïes. Afin de garder ce précieux liquide le plus longtemps possible, Mariam me ferma l’anus avec un plug gonflable. Impossible dans ces conditions d’évacuer trop vite. 

     Dénaturée par son métier, Mariam affabula sur un lavement particulier. Il nécessita pour cela une stérilisation parfaite des accessoires utilisés. Un jeu captivant, mais oh combien dangereux si on ne respecte pas une hygiène absolue. Elle me demanda d'abord de pisser pour vider complètement ma vessie tandis qu’elle et Fatou ne cessaient de boire de la bière pour mieux remplir la leur. Elle m'enfonça ensuite avec des gestes experts une sonde stérilisée dans la vessie. Elle brancha dessus une double tuyauterie puis l'enfonça dans sa propre vessie et celle de Fatou en écartant bien les vulves pour en dégager l’urètre. Etant toutes les deux infirmières, ce geste médical lui était habituel. Puis elle s'allongea alors sur le lit avec Fatou à son côté. Elle me demanda alors de m'allonger sur le tapis en contrebas d’elles deux. Par simple gravitation, je sentis l'urine de Maryam et de Fatou remplir doucement ma vessie vide. Waouh, quelle étrange sensation ! Je gardai ce précieux liquide dans mon ventre longtemps tellement cela m'excita. Marcher dans la rue avec l’urine de ces deux femmes dans mon ventre me procura une étrange émotion. Mais incapable de me retenir, je finis par pisser après des heures de rétention. Quel régal de voir ma verge pisser l’urine de Mariam et de Fatou...  

 

Photo domi97 015     Une autre fois Mariam voulut pratiquer un lavement bizarre. Je lui demandai des précisions. Elle ne répondit pas. Curieux et excité par tant de mystère, je me laissai tout de même faire. Elle lubrifia généreusement mon cul et enfonça la canule au maximum. Le bocal était rempli d’un liquide dont j’ignorais la composition. Comme d’habitude, ses gestes étaient très professionnels. Elle ouvrit ensuite le petit robinet et attendit tandis que le liquide s’écoulait dans mon intestin. Une odeur particulière se répandit dans la salle de bain.  Je tentai de deviner, peut-être de l’anis. Avec l’arrivée des premiers spasmes du colon, Mariam régula le débit en fermant plus ou moins le robinet. Après dix minutes, le boc à lavement fut complètement vidé. Plus de deux litres de liquide venaient d’être transvasés dans mon colon. Mon ventre gonflé telle une baudruche, des vertiges me prirent la tête.

     Je me sentis défaillir. Je me massai le ventre pour calmer les douleurs. Mais rien n’y fit, la tête me tourna encore plus et mon regard devint vitreux. Je voulus me vider pour retrouver un peu d’équilibre, mais Mariam refusa fermement. Comme d’habitude, elle plaça un plug spécial pour m’empêcher de me vider. Je me plaignis de malaises inhabituels. Elle me rassura. Ce ne fut qu’après une attente interminable qu’elle m’autorisa à me vider. Je fus incapable de me lever tellement je fus pris de vertige. Mariam m’aida à m’assoir sur la cuvette des toilettes puis elle me laissa seul pendant que je me vidais.  J’eus encore la force de me laver avec la pomme de douche puis je m’écroulai sur le carrelage. J’eus beau m’asperger la tête et laisser l’eau couler sur mon corps, rien n’y fit.

6a0borvu.jpg     C’est dans cet état que Mariam me trouva. Elle ferma l’eau du robinet de la douche et au lieu de s’inquiéter de mon état, elle s’empara de mon cul et le dilata avec une facilité déconcertante. Elle y entra ses doigts bien lubrifiés puis une main entière tellement mon anus était décontracté. Inconscient, je me laissai faire tout en gémissant légèrement. Dans les brumes incontrôlables de mon cerveau, je sentis sa main fourrager dans mon ventre. Mariam continua son excitante besogne. Finalement, le liquide séminal s’écoula de ma verge molle. Je ne ressentis aucun plaisir à jouir ainsi si ce n’était la main de Mariam qui fourrageait dans mon cul largement ouvert. Pour finir, elle me demanda de boire le sperme qui s’en écoula. J'en fus incapable...

     En fait, Mariam avait mélangé à l’eau du lavement une demi-bouteille d’apéritif anisé. Non seulement l'alcool avait réagi plus rapidement que si je l'avais bu par les voies naturelles, mais par ce biais, j'en avais absorbé bien plus que je n'en supportais habituellement.  Quand je bois, mon instinct me dicte d’arrêter avant l'ivresse. Mais la, aucun réflexe de ce genre d’où une réaction beaucoup plus violente...


Lun 30 mai 2011 Aucun commentaire