DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Les filles fantasmèrent étrangement sur ma féminisation et plus étrangement encore sur ma poitrine, Fatou en particulier. Elle adora exciter mes mamelons, les pincer, les sucer et tirer dessus pour les allonger, une fixation sur mes seins qui m’amusa au début. Elle acheta une pompe aspirante pour cela. Hormis les mamelons qui pointaient en permanence, le résultat ne fut pas concluant à ses yeux. C'est alors qu'elle me suggéra de prendre des hormones féminisantes. Mariam en rajouta : « Ce serait chouette d’avoir des seins de femme avec une queue de mec ! » Face aux délires des filles, l’idée m'amusa. Hum, une vraie poitrine de femme à la place de mes pectoraux ; le summum de la féminité pour un homme. Une fois de plus, je ne me rendais pas compte de cette escalade féminine voulue par ces deux femmes.
Néanmoins, je résistai. Je précisai que cela aurait des conséquences néfastes sur ma vie et ma santé. On ne joue pas avec les hormones. Modifier biologiquement l’anatomie de mon corps me sembla une aventure trop hasardeuse. D'autant plus qu'on dit que les hormones féminisantes rendent stérile et impuissant. Fatou insista. Etant infirmière, elle connaissait tout des hormones féminines, elle gérerait facilement cet aspect. Après mûre réflexion, je refusai. Je voulais rester un mâle qui exprime toute sa vigueur, ne serait-ce que pour l’enfanter le moment venu. Me féminiser devait rester un jeu. Préserver mon statut de mâle face à ces deux femmes représentait déjà un sérieux challenge. Sot que j'étais, j'ignorais encore tout de leur détermination à mon égard.
Quelque temps après, je ressentis des troubles de santé. Malaises, fatigue et vertige devinrent mon lot quotidien. Je craignis aussi pour mon cœur à cause de palpitations anormales. De plus, je ne me donnais plus sexuellement avec le même entrain. Je m'inquiétai de tant de passivité face à leurs assauts sexuels. Les filles me rassurèrent gentiment sur ma santé déficiente. Je consultai finalement un médecin. Septique face à mes symptômes, il compléta son diagnostic en demandant une analyse de sang. L'analyse sanguine prouva un taux de testostérone anormalement bas ainsi qu'un taux d'œstradiol, une hormone féminine, étrangement élevé. Il me prescrivit donc des hormones mâles pour compenser ce déséquilibre.
Lorsque j'en parlai aux filles, elles m'avouèrent incorporer discrètement des hormones féminisantes à ma nourriture. Les malaises ressentis n’étaient que la conséquence des effets secondaires de ces hormones que j’ingurgitai en toute ignorance. Et les douleurs dans ma poitrine correspondaient à mes seins qui se développaient. Je sentis effectivement à la palpation une petite protubérance naître sous chaque mamelon.
Tout en caressant mes seins naissants, Fatou s’excusa d’avoir abusé de ma confiance. C’était plus fort qu’elle, une pulsion qui dépassait sa raison. Et Mariam la poussait continuellement à agir dans ce sens. Entre-temps, mes seins continuèrent à se développer. Quelle sensation étrange de me sentir pousser une poitrine de femme ! Cela fit le bonheur de Fatou, même si ma libido s’en trouva perturbée. Elle insista par la suite pour que je continue à prendre des hormones féminisantes. Partagé entre l’idée de lui plaire et la raison du mâle, j’hésitai longuement. Seule concession à ses envies, j'acceptais de prendre des compléments alimentaires, du Pueraria Mirifica précisément. Ce que j'ignorais alors, c'était que cette plante qui contenait des oestrogènes commençait inconsciemment à conditionner mon esprit vers toujours plus de féminité...