DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Un soir, je fus à nouveau piégé par les filles. Comme d’habitude, j’étais nu, juste vêtu d’un petit string. Je venais de préparer le dîner dans cette tenue. Alors que nous dinions tranquillement ensemble, l'ami travesti de Maryam arriva sans crier gare. Il venait récupérer ses affaires. Par décence, je voulus revêtir une tenue plus décente que ce petit string qui ne cachait pas grand chose de mon sexe épilé. J'enfilai rapidement un peignoir. Doté d'un physique androgyne, l’homme me fut sympathique. Rien à voir avec ces travestis d’un goût douteux. Sa jeunesse, son allure gracile ainsi que son côté androgyne étaient très féminins.
Fatou l'invita à dîner avec nous. La soirée dérapa rapidement pour le plus grand bonheur des filles. Provocantes, elles demandèrent au travesti de se déshabiller. Captivé par son corps androgyne, je ressentis une sensation étrange à découvrir ce travesti aussi lisse que moi. Je remarquais ses mamelons gonflés aux aréoles très sombres. Il portait une petite culotte blanche qui contrastait curieusement avec sa peau noire. D'un geste habile, il cacha discrètement son sexe entre ses cuisses afin d'avoir le ventre aussi plat qu'une femme. J’eus l’impression de me voir en négatif. Surprenant constat, rien ne me différenciait de ce travesti si ce n’était la couleur de notre peau et son jeune âge.
Comme moi, il se passionnait pour la lingerie féminine. On échangea quelques propos à ce sujet. Je lui fis remarquer qu’un string lui conviendrait mieux qu’une culotte. Il mettrait ses fesses rebondies en valeur. La conversation continua sur l’inconvénient de porter des strings trop longtemps. A la longue, leur ficelle irritait la raie des fesses à cause du poids excessif de nos attributs sexuels. D’autant plus que le sexe avait tendance à s’en échapper par l'entrejambe trop étroit. Le travesti abonda dans mon sens. C’est pourquoi lui-même mettait des culottes de femme en dentelle. C’était bien plus confortable à porter tout en restant très excitant. Les filles nous écoutèrent interloqués de voir deux hommes vêtus de dessous féminins discuter de lingerie comme des femmes.
Excitées de nous voir ainsi, elles voulurent qu’on fasse l’amour ensemble. Je refusai énergiquement, prétextant que les hommes ne m’intéressaient pas. Ils me faisaient même débander. Elles insistèrent en disant que cet ami travesti exprimait sa féminité bien mieux que certaines femmes. Je répondis amusé que je n’étais pas une « gouine ». Les deux filles se jetèrent alors sur moi. Avec l’aide de leur ami travesti, elles m’attachèrent solidement les mains et les pieds avec une paire de bas. Je me défendis mollement. Pourquoi leur résister, l’ambiance, teintée d’un fort érotisme, était si plaisante que je me retrouvai rapidement ligoté à genoux sur la moquette de la chambre.
Sous le regard lubrique des filles, le travesti ôta alors sa culotte et commença une lente masturbation devant moi. Je fus impressionné par la taille de son sexe en érection. Je pensai à la réputation qu'avaient les blacks. J'en avais une preuve flagrante sous les yeux. Il voulut s’enfoncer dans ma bouche. Horrifié par ce sexe de mec, je détournai la tête et me débattis dans mes liens. J’hurlai ma colère et criais que je n’étais pas un PD. Fatou et Mariam insistèrent en riant. Elles applaudirent en criant de joie quand le membre énorme s’introduisit enfin dans ma bouche. Je voulus le mordre, mais j’en fus incapable. Ce membre de mâle dans ma bouche sema le trouble en moi. Je tentai alors de le sucer ne voulant pas décevoir les filles. Pas évident la première fois sans le blesser avec mes dents. Je ne sus pas comment m’y prendre et je manquai à chaque fois de m’étouffer.
Sous le prétexte de s'intéresser à ma chatte, les filles m’enduisirent copieusement l’anus de lubrifiant. Elles ne se gênèrent pas d’y enfoncer les doigts pour me préparer à la sodomie. Elles m’immobilisèrent brusquement pour cela tandis que le travesti bloquait fermement mes hanches par derrière. J’étais à quatre pattes, pieds et poings liés, le cul en l'air, livré à la lubricité des filles et à la queue de ce travesti. Je me débattis et me tordis dans tous les sens, mais il fut impossible d’éviter l’intromission de l'énorme verge. Quand le travesti pénétra lentement mon anus, il y eut un grand silence. Fatou et Mariam observèrent admiratives mon anus se dilater progressivement et le gros membre raidi s’enfoncer délicatement dans mon cul. Mariam me fit remarquer combien sa main avait habitué mon anus à s'ouvrir. Une fois sa queue complètement en moi, le travesti accéléra le rythme et finit par me sodomiser sauvagement. J’eus beau crier et me débattre, il jouit brutalement en ahanant fortement. Pendant tout le temps que dura ce viol, Fatou et Mariam encouragèrent le travesti à me défoncer. A la fin, elles voulurent que je suce le sperme qui coulait encore de sa queue quand il se retira.
Le cul en feu, je venais de me faire violer par un homme. Je ressentis une sensation d’écœurement à laquelle se mêla un plaisir étrange. Je me dis : « André, tu es sur la mauvaise pente. Tu deviens PD à force d’être féminisé par ces filles ». Ecoeuré par ce constat, je menaçai le travesti de porter plainte. Les filles m’en dissuadèrent en précisant que j’avais visiblement éprouvé du plaisir à me laisser enculer. Je voulus alors m’enfuir, ne plus dépendre de ces deux furies. Mais je n’en fis rien, j’étais trop amoureux de Fatou et drogué au sexe par son amie Mariam. Hormis ces deux filles, aucune femme ne m’avait donné autant de plaisir. Je fus déçue de reconnaître mon état. J’abdiquai par Amour jusqu'à en devenir PD. Je me dis qu'un homme qui aime ainsi n’est plus un homme. Il devient un soumis qui abandonne totalement sa condition de mâle. Les filles tentèrent bien de me consoler. Or leur perception bien trop différente de celle des hommes ne me rassura pas.
Dépucelé ainsi, mon honneur de mâle en prit un sérieux coup. Découvrir qu’un sexe d’homme me donnait plus de plaisir que le gode-ceinture de Mariam me contraria. Je me sentis coupable du plaisir éprouvé. Le membre du travesti vivait en moi et trouvait naturellement la façon idéale de me pénétrer. Je sentais son gland vibrer au fond de mon ventre. Ce membre n'était pas comme un gode inerte, c’était chaud et ça vivait dans mes entrailles. Sans compter que me faire violer ainsi avait favorisé mon côté de femelle passive.
Par la suite, il y eut d’autres pénétrations avec ce travesti. A la fin, je pris goût à sa grosse queue. Il aima aussi décharger son sperme dans ma bouche ; un goût étrange venu d’ailleurs. Recevoir la semence de ce travesti en jouant un rôle passif m’excita à la longue. Finalement, je partageais mon cul avec lui et avec les filles. Mon anus se transforma en une chatte gourmande. Faisant abstraction du dégoût homosexuel lié à mon éducation, j’en oubliai mon statut de mec et profitai pleinement du plaisir ressenti. Jusqu’au jour où ce fut moi qui enculai le travesti. Me voir faire l’amour à ce travesti excita follement les filles. Cela se termina par une mémorable orgie...