DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Ce jour-là, j’étais allongé sur la plage, et comme d’habitude, à l’écart de quelques importuns. Le soleil caressait ma peau lisse, s’insinuait malicieusement entre mes cuisses enduites généreusement d’huile bronzante. Une douce langueur m'envahit et je m’endormis.
Dans mon sommeil, j'eus envie de caresses sur mon ventre, de mains qui remontent mes cuisses, de baisers sur mon corps enfiévré, d’une bouche voluptueuse sur mon sexe chaud. Tout mon être réclama la sensualité d'une femme. Il me fallut ses mains, sa peau à goûter et son corps à consommer voluptueusement. J’eus besoin de cet échange fougueux et délirant de deux êtres qui s'accouplent en gémissant de plaisir.
Mon ventre trembla d'impatience. L’excitation se fit grandissante et m’enveloppa d’un désir encore plus irrépressible. Je me retournai, m'étirai, m'offris au soleil comme je le ferai avec une femme. Ma main se coula sur mon ventre puis s’insinua entre mes cuisses. Je me concentrai sur le plaisir qui montait. Je jouai avec mon sexe dressé. Mes doigts s'activèrent, pétrirent les bourses, caressèrent la verge vibrante qui se gonfla de désir. Je continuai ma descente et glissai vers le sillon des fesses, à la recherche de la grotte secrète. Torturé d’envie, je déglutis. Mon corps s'agita. Je voulus à cet instant qu’une femme goûtât à la source de la vie. A cette idée, mes sens se déchaînèrent. J'eus faim d'un autre corps qui me libère de cette montée tumultueuse, de cette fusion incandescente. Mes sens emportés dans une tempête érotique, je brûlai sous mes caresses, à la recherche de la délivrance. Mon cœur battit plus rapidement.
Soudain, une autre main me caressa aussi, me libéra de cette lave brûlante. Je n’osai pas ouvrir les yeux par crainte de voir s’évanouir mon plaisir. Une main me masturba vite, toujours plus vite tandis qu’une autre bien huilée s’enfonça en moi. Des doigts entrèrent, ressortirent puis entrèrent à nouveau dans l’anus. Hum, je brûlai littéralement. J’imaginai dix autres mains sur mon corps. Le plaisir monta irrésistiblement. Je fus emporté par sa violence. Pris de vertige, mon esprit ne fut plus maître de mes pensées. Non, pas tout de suite ; que cela dure encore, c'était si bon... Mais les mains allèrent trop loin transformant ma chair en une torche enflammée de plaisir. Irrésistiblement, l’orgasme arriva, surgissant des profondeurs de mon corps. Il me ploya sous sa violence. Mon ventre se tordit de plaisir. J'exhalai un râle continu, emporté par la formidable explosion de jouissance.
Assommé de plaisir, de longs instants passèrent avant de reprendre conscience. Je regardai autour de moi encore stupéfait par tant de plaisir. Etait-ce un mirage ? Aussi loin que portait mon regard encore trouble, rien que la plage, le soleil et la mer qui chantait. Et moi allongé sur le sable avec mon ventre lisse sur lequel s’étalait le fruit de ma jouissance.