DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     A partir de cette nuit sublime avec Diana et sa copine blonde, je fus perdu pour les femmes. Je me passionnai tellement pour ces deux transsexuelles que j’eus le béguin pour ma Brésilienne. Je la surnommai Rio. Pas très original comme surnom me direz-vous, mais il collait bien à sa personnalité. Par la suite, je constatai que les transsexuelles portaient souvent des prénoms se terminant par la lettre A. Pourquoi ? Je ne trouvai jamais la réponse à cette question.

     La masseuse du salon « Elle et Lui » savait ce qu’elle faisait en me recommandant à Rio. Exprimer le côté féminin de ses amants était le jeu favori de cette femme d'un genre particulier. Elle prenait son pied ainsi. L'environnement transsexuel dans lequel elle faisait vivre ses amants lui permettait de les convertir rapidement à sa religionEt Dieu sait qu’elle avait de sérieux atouts pour cela ! Amener ses amants à l’état de femelle asservie à ses fantasmes lui permettait de prendre l’initiative sexuelle sur eux. Par ses comportements ambigus, peut-être y avait-il une forme de vengeance inconsciente sur les hommes. En découvrant une telle passion vengeresse, la plupart des hommes choqués dans leur amour propre s’enfuyaient. Moi, je restais...

     Je vécus au contact de Rio et de sa copine blonde des comportements que je n’osais pas exprimer habituellement avec les femmes. Alors que ces dernières se choquaient de mes extravagances, cela devint la normalité avec Rio et sa blonde. Le sentiment d'une pudique  incompréhension sexuelle qui demeurait entre hommes et femmes ayant complètement disparu, je plongeai dans une relation totalement libérée des habituels tabous sexuels.

     Sa copine vint régulièrement épicer notre relation et faire l’amour ensemble ne manqua pas de me stimuler. A ce stade, la complicité sexuelle vécue me sembla bien plus profonde qu’avec les femmes. Je retrouvai avec ces deux trans toute l’exubérance de certains jeux solitaires de mon adolescence. Vous vous souvenez que je pratiquais l’autofellation dans ma jeunesse. Une découverte pour Rio qui s’excita beaucoup lorsque j’essayai devant elle. Mais manquant de souplesse à mon âge, je ne réussis pas à me sucer la verge. Ce fut tout juste si j'arrivai à me lécher le gland du bout de la langue.

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     Les deux copines m’encouragèrent à refaire un peu de gym pour retrouver une souplesse perdue. Mais rien n’y fit, même quand elles appuyaient avec force sur mes cuisses pour m'aider à arrondir mon dos. Par contre, je découvris combien elles s’excitaient en me voyant  me masturber avec la queue à quelques centimètres de ma bouche. Lorsque l’orgasme arrivait, elles me criaient d'ouvrir la bouche et d’avaler mon sperme. J’orientais alors les giclées vers ma bouche grande ouverte. Emporté par la jouissance, le sperme giclait dans tous les sens. Je vous assure que se ramasser du sperme dans les yeux n’a rien de jouissif. Irrités par l’agressivité de la semence, les yeux deviennent tout rouges.

       Dans un milieu ou le sexe se pratiquait avec autant de facilité, on basa notre relation sur la confiance et la fidélité. Surprenant n'est ce pas ? Une seule  condition régit notre relation : ne jamais dissimuler nos envies à l’autre et éviter de « coucher » chacun de son côté sans en parler auparavant. 

     Enfin décomplexé de mes travers féminins, je vous laisse imaginer comment je vécus ma sexualité avec Rio et sa copine blonde. Outre les hormones ingurgitées, ce fut un festival sexuel ! L’exploration troublante de ma féminité grâce aux hormones féminsantes me stimula au point de partager leurs fantasmes, des fantasmes incompris des autres gens. N'ayant jamais vécu une telle aventure, j’entrai dans leur univers avec tous les excès d’un mâle en rut. 

     Adepte des jeux SM, mais n’en respectant pas les formes, Rio me conduisit vers une sexualité où sous couvert de ma féminisation hormonale, bondages, lavements intimes, dilations anales, fist et sodomies se pratiquèrent à l’excès. Femelle je le fus jusque dans mes viscères. Soumis à sa perversion transsexuelle, je devins une chose dont elle usa et abusa. Je fus traité en femelle salope, subordonnée aux vices et sévices de gens toujours plus pervers. Mon cul devint une chatte ouverte au plaisir de ces dames. Ma bouche fut le refuge de leur verge transsexuelle. Je crus atteindre le nirvana sexuel, mais cela ne suffit pas à Rio. Je dus m’exhiber, me prêter aux caresses les plus obscènes d'autres transsexuelles dans un univers d’extravagance qui affola mes sens. Je découvris aussi la jouissance dans la douleur des corps, une douleur sadomasochiste qui renforça mon plaisir. Le sexe engendrant le sexe, un cycle infernal s’installa, une sexualité très hard, un peu comme feraient des obsédés sexuels qui se laissent aller à leurs penchants les plus pervers. Il devint normal d’explorer des fantasmes toujours plus osés, de souffrir par plaisir et d’aller au-delà de nos possibilités sexuelles. A la recherche du Graal et de l’extase absolue, je plongeais dans l'univers des trans avec une joie sauvage. 

15g.jpg     Rio et sa copine eurent un pouvoir magique sur ma libido. Cela dépassa tout ce que les femmes m’avaient offert jusqu’à présent. Il leur manqua juste l’odeur de la cyprine à l’orgasme. A défaut d’être d’authentiques femmes, elles apportèrent une réponse claire à mes questionnements sexuels. Fortement influencé par leur univers féminin, je vécus dans un tourbillon sexuel où plus rien ne fut interdit. J’en vins même à prendre des hormones féminisantes au gré de leurs fantaisies. A ce stade, Rio s’emballa encore plus que moi. C’était la première fois qu’un homme se donnait à ce point. De mon côté, je ne voulus pas refaire la même erreur qu'avec Fatou et Mariam. Un jour, je lui demandai si elle pensait faire de moi une transsexuelle. Avec son accent chantant, elle eut cette réponse troublante. « Tu es mon homme, mais je te désire en femme… ». 

     Avec le temps, Rio et sa copine me firent perdre mes repères masculins. Ces deux femmes aux seins généreux, aux corps de rêve et aux fantasmes identiques aux miens comblèrent merveilleusement ma sexualité. A la longue, j’en vins à craindre pour mon hétérosexualité. Etais-je encore capable d’éprouver du plaisir avec une femme ? La question ne manqua pas de m’interroger. Au point que j’en parlai à Rio.

     Elle connaissait une femme facile prête à se donner pour un peu d'argent. Une seule condition à cela, me voir faire l'amour devant elle. Quelle fadeur ! Cela me donna l’impression d’un repas sans épice. Pourtant, ce fut merveilleux de retrouver un corps de femme aux seins lourds, au ventre rond et aux hanches généreuses. Redécouvrir le goût de sa vulve avec l’odeur si particulière de la cyprine fut une délectation. Rio voulut d’abord que je la fasse jouir avec ma langue et que j’avale le fruit de sa jouissance. Par la suite, je m’enfonçai en elle avec la sensation d’être aspiré dans un tourbillon. Quand je jouis à mon tour, je n’atteignis pas le plaisir que j’avais avec Rio. Mais d’avoir le sexe inondé par sa jouissance me rappela LA femme et ses mystères…

 

Jeu 21 jui 2011 Aucun commentaire