DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Septième mois, Août
Je confirme à présent une accoutumance à Oestrogel à condition d’étaler
une seule réglette sur les seins. Lorsque je dépasse cette dose, ma santé défaillante me le rappelle durement. Avec les applications de Progestogel en fin de mois, je retrouve un certain
équilibre physiologique. J’ai aussi la sensation que mes seins deviennent plus lourds et moins sensibles. Et pourtant, ce ne sont que deux petites oranges.
Curieusement, mon sein gauche est bien plus gros,
alors qu’au début c’était le sein droit qui se développait mieux. Je mesure à nouveau ma poitrine, 99cm, soit plus de 9 cm par rapport au début du traitement. Merveilleux ! A présent, plus
question de masquer mes seins aux regards des gens sur une plage, car les mamelons ont doublé de volume. Ils pointent anormalement pour un homme et leur relief gonfle bizarrement mes chemises.
Impossible de porter un T-shirt moulant sans engendrer des regards insistants. Je suis impressionné par ce changement. Quelque part, je me dis que c’est génial d’être un homme différent des
autres.
J’adore sentir le balancement de mes seins quand je marche. Leur densité a
changé, bien plus lourds que les amas graisseux qu’on observe habituellement chez les hommes de mon âge atteint de gynécomastie. Je porte des vêtements amples pour les masquer aux regards de mes
amis ou dans ma vie professionnelle. En me penchant en avant, ils ne se remarquent pas trop. D’autres fois, je me fais provocant et bombe le torse pour que les mamelons pointent et soient bien
visibles.
Contrairement à un sportif qui a les pectoraux développés, mes mamelons
pointent agressivement sous mes vêtements, un peu comme ceux d’une femme sans soutien-gorge sous un petit haut. En me voyant de profil dans la vitrine des magasins, j'ai l’impression de voir une
autre personne. Ce n’est qu’en levant les bras au-dessus de la tête que je constate que mes seins sont encore peu développés par comparaison avec la poitrine des femmes. Même petit, un sein de
femme dessine un bel arrondi sur le coté des aisselles du bras qui est levé. Chez moi, ce n’est pas encore le cas. Il me faut donc continuer mes hormones.
J'observe chez les femmes une multitude de formes et de volumes en ce temps où les décolletés sont à
la mode. Bien que les soutiens-gorges push-up avantagent les femmes, ils "cassent" la forme naturelle des seins en les rapprochant et en les soulevant trop. Je trouve beaucoup plus érotique des
mamelons qui saillent sous un vêtement léger ou des seins libres qui se balancent au rythme des pas. Je ne parle pas ici des femmes qu’une ptose désavantagerait si elles avaient les seins libres
ou de celles qui cachent leur poitrine pour des questions de pudeur. Je rappelle que j’habite un pays de soleil où les femmes s’habillent légèrement.
Tandis que j’aspirais mes mamelons avec la pompe à clito, je suis
obligé d'aller d’urgence en ville sur un coup de téléphone professionnel. J’enfile en vitesse par-dessus mon pantalon un léger polo puis je pars à mon rendez-vous. Face à mes interlocuteurs, impossible de masquer
mes seins dans ce polo trop serré. Ma poitrine dégage quelque chose d’indécent, ce qui ne manque pas de troubler mes interlocuteurs. En retournant chez moi à pieds, je croise un homo efféminé. Par jeu, je me redresse, ce qui fait saillir ma poitrine. Son regard se figent
un instant sur mes seins. A-t-il compris ma démarche en voyant ma poitrine anormalement gonflée sous mon polo. Je le pense...
Je comprends mieux à présent ces hommes atteint de gynécomastie et qui en font un complexe. Cela me fait avoir un regard nouveau sur le torse des hommes.