DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Avec le temps, je découvris le tempérament extrêmement soupçonneux de Rio. D’une jalousie maladive, elle me fit injustement des scènes de ménage alors que rien ne s’était passé. Un regard complice ou une conduite amicale avec ses copines déclenchait parfois des colères d’une violence inouïe. De véritables pugilats s'en suivaient. Je dus me protéger de ses gestes déplacés et des talons aiguilles lancés à la dérobée. Des conflits particulièrement difficiles à gérer où la raison n’avait plus sa place. A chaque fois je menaçais de la quitter si elle ne se corrigeait pas.

     Pleine de remords et pour se faire pardonner de ses conduites maladroites, pour me garder aussi auprès d'elle, Rio exploitait mon point faible avec un art qui me faisait à chaque fois craquer. Impossible de lui résister tellement elle faisait la "salope". Elle m'excitait en créant des situations toujours plus perverses.  Piégé, je plongeais à chaque fois dans ses délires avec une allégresse digne du plus pervers des hommes.

     C'est ainsi qu'elle m'amena une nuit à un spectacle privé des plus originaux : des réunions intimes connues des seuls initiésIl y avait là plusieurs de ses amies transsexuelles qui se produisaient dans un spectacle surprenant. Depuis une petite scène, elles se déshabillaient lentement sur une musique languissante puis se caressaient la verge et l'anus, parfois jusqu’à l'orgasme, devant un auditoire de voyeurs. Emportées par l’ambiance, certaines provoquaient ouvertement les voyeurs. Elles descendaient de la petite scène, choisissaient un homme puis se masturbaient devant lui en échange de quelques billets glissés dans leur string. Interdiction formelle de toucher ou de tenter un geste déplacé sur elles. Par contre, celles-ci pouvaient tout se permettre. Si le voyeur était généreux, elles déchargeaient carrément leur semence rien que pour lui. Ce soir-là, il y avait même des femmes dans la salle. Et ce sont elles qui s’empressèrent de payer les premières pour avoir droit à une jouissance personnelle. 

Futanari 317

     Rio s'était arrangée discrètement pour que ses copines viennent se masturber et éjaculent tour à tour dans ma bouche. Etre le point de mire des voyeurs qui regardaient les transsexuelles jouir entre mes lèvres me gêna au début. Mais encouragé par les applaudissements des autres participants,  j’avalais par la suite chacune de leur jouissance avec un plaisir gourmand. Je pressentais leur orgasme et au moment ou le sperme allait gicler, j’avalais alors leur verge avec empressement pour ne pas en perdre une goutte. Mon Dieu, quel bonheur de sentir leur sexe s'enfoncer dans ma bouche et leur semence au goût si variés remplir mes entrailles. Rio s'émerveilla de ma gourmandise. Le ventre plein du plaisir de ces transsexuelles, je lui confiai combien j'avais apprécié cette soirée. Un fantasme venait de se concrétiser sans qu’elle n'en sache rien : sucer des transsexuelles à la queue leu leu. Qui n'a jamais goûté à la semence de ces femmes d'un attrait particulier ne peut comprendre ma réaction.

     Difficile dans ces conditions de reprocher ses écarts de conduite à Rio. Par contre, je ne m'habituais pas à sa nature instable et à ses humeurs vagabondes. En fait, je découvrais chez les transsexuelles des comportements caractériels liés à une instabilité chronique. Ces gens passaient d’une humeur agréable à la déprime totale en quelques minutes. Il suffisait d'un regard, d’une remarque maladroite et leur caractère basculait brusquement. Un conflit de personnalités déstabilisant, certainement lié à leur état, leur esprit masculin s’opposait à leur caractère feminin.

     Par crainte de me perdre face à ses propres dérives, Rio tenta plusieurs fois de se suicider. Ce fut un moyen de pression qui me perturba sérieusement. Je me lassai également des malentendus qui suivaient à cause de ses copines. De plus, la drogue et l’alcool aidant, elle perdit tous repères sociaux. Elle plongea dans une réalité qui ne fut plus la mienne. Bien qu'elle soit à l'origine d'une sexualité qui exacerbait ma libido, je supportais de moins en moins ses égarements. Ajoutés aux nuits turbulentes passées dans les boîtes, je me lassais de ses extravagances. De par mon âge mature, j’aspirais à une vie plus sereine. La pardonner parce que ma sexualité était comblée ne me suffit plus.

     Les excès et le caractère sulfureux de Rio finirent par avoir raison de ma patience. Des transsexuelles jalouses de notre union m’encouragèrent à la quitter. Je découvris à cette occasion, une concurrence terrible entre elles à mon sujet. Sous le prétexte de casser notre couple, elles racontaient n’importe quoi à Rio, ce qui sema le trouble dans son esprit. Cela se terminait parfois entre elles par des crêpages de chignons d’une force dont peu de femmes sont capables.

     Après quelques années d’une relation tumultueuse et financièrement ruineuse, je décidai de la quitter. Saturé de cette vie déséquilibrée et sans espoir d’un avenir meilleur avec elle, je me séparai à regret de mon adorable Brésilienne. Comme elle aspirait à rejoindre une copine en Floride, je lui offris le voyage, sans espoir de retour...


Dim 16 oct 2011 Aucun commentaire