DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Le week-end du 15 août, je discute à nouveau des effets de Dompéridone sur ma poitrine avec Yasmina. Comme moi, elle s’emballe à l’idée que son homme puisse avoir des montées de lait. De mon coté, je l’envie d’avoir une poitrine si grosse qui lui permette de se sucer les mamelons. Ah si seulement je pouvais avoir la même poitrine et boire mon propre lait. Les jeunes hommes agiles qui arrivent à se sucer la verge et à éjaculer dans leur bouche de cette façon me comprendront. Ma jouissance serait alors à son comble.
C’est dingue comme cette femme affole mes sens. Selon elle, je ne suis pa loin de réaliser notre fantasme. Si je prends un anti-horme mâle, je vais réussir grossir mes seins encore plus, à les sucer et donc par ce biais à induire une lactation. Excité comme une puce par notre conversation, je décide de me rendre à la plage : " Prends dans ton armoire ce minuscule bikini d’un rouge éclatant avec des boucles métalliques dorées sur les cotés." Acheté l'an dernier il était impossible de le porter en public, sa coupe étant bien trop féminine pour moi. Ah, ces pulsions incontrôlables qui dominent ma volonté !
C’est bien connu des travestis et des fétichistes de la lingerie féminine, les culottes de femme ne couvrent pas entièrement les fesses comme les slips d’hommes. Et elles sont bien trop étroites à l’entrejambes pour y loger correctement la protubérance de notre sexe mâle. D’ailleurs, elles s’insinuent malicieusement entre nos fesses à cause du poids de nos attributs sexuels, ce qui fait qu’elles couvrent encore moins nos fesses. Or là, surprise, le bikini s’ajuste parfaitement à mon derrière plus rond et mieux cambré depuis que je prends des hormones. Et mon sexe plus petit y trouve une place convenable pour se loger. Je mesure alors combien mon corps a changé. Tout excité, je me regarde ainsi vêtu dans le miroir du salon. Je trouve excitant le renflement de mon sexe dans ce minuscule bikini de femme. Mais je me sens ridicule avec mon ventre bedonnant et mes seins proéminents. Face à ce miroir, je n’ai rien d’une femme et tout d’un vieux travelo. Qu’importe, je vis enfin ses fantasmes grâce à Yasmina.
Une fois sur la plage, la pudeur me reprend face à la foule des baigneurs. C’est dimanche et il y a plein de monde. Je me déshabille et m’allonge sur ma serviette de bain dans un coin discret. Le regard insistant des gens qui passent me gêne et aucune femme à l’horizon pour apprécier ma féminité. Ce jour là, je ne me baigne pas, j’ai trop honte de me montrer. Déçu, je retourne chez moi. Et là, c’est le grand jeu. Excité par mon petit bikini, je me fais un lavement profond du colon suivi d’une violente masturbation. J’ai envie de jouir, mais je n’y arrive pas. Je tire sur ma queue inerte et martyrise à tout va mes testicules en m’insultant. Finalement la jouissance arrive et là surprise, mon sperme gicle à plusieurs centimètres. Est-ce le fit d'avoir arrêté les hormones ? Par contre, je m’inquiète toujours autant de sa transparence. Suis-je devenu définitivement stérile ?
Fabuleux 15 août ! Tandis que la Vierge monte au ciel, je sens mes seins travailler à nouveau sous l’action de Dompéridone. J’ai l’impression qu'ils se gonflent et je ressens de constants picotements. A l’évidence, les glandes mammaires réagissent fortement à ce médicament. J’en viens à espérer que mes seins prendront encore plus de volume.
Dans la semaine, Amber, ma copine transsexuelle, me rend visite. Elle me surprend alors que je somnole allongé dans un transat au bord de la piscine. Selon mon habitude, je porte pour tout vêtement un petit string des plus féminins. Elle ne s’étonne pas de me voir ainsi. Il lui arrive à ma demande d’acheter de tels strings rien que pour moi. Bien sur, elle en profite également pour renouveler sa lingerie à mes frais. Ce jour là, elle me reproche de laisser trainer régulièrement des strings et des petites culottes partout dans la maison. La femme de ménage, une mère de famille très prude, s’en est étonnée dernièrement. Amber lui a répondu que c’était à une de mes copines. Après tout, Yasmina est absente et quoi de plus normal qu’une femme oublie ses petites culottes chez moi.
Amber remarque aussi mon embonpoint et combien mes seins ont anormalement grossi. Par provocation, je lui réponds que j’ai plus de poitrine qu’elle. J’espère ainsi lui faire avouer qu’elle se doute que je prends des hormones. L’amener sur mon terrain serait formidable. N’oubliez pas que c’est elle qui m’a acheté les premiers tubes d’Oestrogel et de Progestogel. Or, elle ne se doute de rien. Malgré mes petits travers féminins, je reste un homme viril à ses yeux.
Le 17 août, cela fait une bonne semaine que j’ai cessé les hormones. Après des mois de sommeil, ma verge se réveille à nouveau ; des érections nocturnes si fortes qu’elles me réveillent. Serait-ce là le signe d’un retour de virilité ? Dans les jours qui suivent, j’ai une forte remontée de ma libido. Je retrouve goût à me branler et à voir ma verge grossir entre mes doigts. Alors qu’auparavant, une simple branlette me suffisait, j’ai besoin maintenant de pimenter mes masturbations. Et quoi de mieux que de me faire de profonds lavements puis de m’ouvrir la chatte avec un gode. Et là, la jouissance vient, une éjaculation rapide qui me fait pousser des gémissements incontrôlables en me contorsionnant de plaisir comme une femme ; un plaisir beaucoup plus cérébral…
Toujours de forts maux de tête, mais localisé à l’avant, sur le coté droit du front. Peut-être est-ce lié à Dompéridone. Cela ne manque pas de m’inquiéter. Déjà qu’à mon âge, je suis fragile, je crains sérieusement pour ma santé. Faut-il me sevrer progressivement pour que mon corps s’habitue à un retour à la normale ou puis-je cesser d’un seul coup ? C’est l’occasion de le constater.
Mais dominé par mes pulsions, je ne résiste pas une fois de plus au plaisir d’étaler Oestrogel sur mes seins. J’en étale même sur mon sexe et entre les fesses bien que je sache que cela me rend impuissant. Ma dépendance aux hormones féminisantes, cette envie incontrôlée d’en étaler toujours plus, ne manque pas de m’inquiéter. Partagé entre la volonté d’avoir de gros seins plein de lait et de rester un homme viril, je deviens dingue. Quelque part, je me sens prisonnier de mes propres envies. Comme les drogués, mon plaisir passe avant ma santé. Je sais que je me détruis, mais je n’y peux rien. Un jeu de yoyo très critiquable...
Jeudi 18 août :
Je n’ai pas eu d’érection nocturne comme les nuits précédentes. Devant ma mine de déterré, Ambre me propose de venir partouzer avec une copine, ce qui stimule ma libido. Serais-je assez viril ? J’en doute. Bander dur pour les enculer me sera difficile. Reste à voir si une bonne dose de Viagra m’aidera. Ce sera l'occasion d'essayer.
Vendredi 19
Privés d’Oestrogel, mes mamelons perdent de leur sensibilité. On peut à nouveau les rouler entre les doigts et les pincer fortement. Les tensions mammaires dans la poitrine disparaissent aussi. Néanmoins, je continue Progestogel. J’ai l’impression que cette hormone me fait du bien. On lui prête certaines vertus chez les hommes. Je constate aussi que ma libido se transforme. Elle redevient plus masculine.
Au matin du 22, je ne résiste pas, je suis sérieusement en manque. Je masse longuement mes mamelons avec une généreuse dose d’Oestrogel. J’aimerai tant voir mes seins encore grossir tout en restant viril…
Le 23 août, j’ai un mal de ventre terrible. Peut-être un repas mal digéré. Je me fais un lavement qui m’épuise. Envie de me masturber aussi, mais je me retiens. Il faut que je sois viril durant la partouze qui m’attend avec Amber et sa copine. J'espère retrouver des érections de mâle d’ici là. Ce sera aussi l’occasion de voir si je suis encore capable de produire des spermatozoïdes. Je dois impérativement cesser Oestrogel plusieurs semaines si je veux arriver à un résultat tangible. Je suppose aussi que jouir souvent favorisera un retour plus rapide de ma virilité. Alors je me force à avoir des orgasmes le plus possible. Mais la transparence du liquide séminal ne manque pas de m’inquiéter. Suis-je devenu définitivement stérile ?