DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Comme ma copine Amber adore jouir dans le cul des mecs, ses traits masculins reprennent le dessus. Elle estime donc qu’il est temps de corriger cela, mais aussi d'avoir une vraie poitrine plutôt que des faux seins. Elle prend donc des hormones féminisantes depuis trois mois. Et comme toutes les jeunes transsexuelles, elle plonge à fond dedans : Androcur et je ne sais plus quel œstrogène...

      Au fil du temps, je constate combien son corps se transforme. Il devint passionnant d’observer sur elle les changements que j’avais auparavant noté sur moi. En quelques semaines, les traits de son visage s’adoucirent, son corps se féminise, ses fesses s’arrondissent, ses mamelons s’assombrissent et la petite boule annonciatrice de la glande mammaire en développement gonfle sa poitrine. Contrairement à moi, je remarque aussi combien son derrière s'arrondit. Atteinte de boulimie, elle a faim en permanence et grossit donc du ventre. Comme pour moi, elle ressent aussi une grande lassitude et une intense fatigue physique. C’est bien connu des transsexuelles, les hormones, et particulièrement Androcur, fatiguent énormément. Par conséquent, elle passe son temps à dormir. Au lieu de forniquer quand elle vient chez moi, elle s’allonge sur le canapé du salon devant la télévision puis, bercée par les images, s’endort. Totalement passive, elle ne prend plus aucune initiative. Toute trace d’agressivité a disparu en elle et sa libido est tombée. En conséquence, plus aucune sexualité anime notre relation. Je suppose ausi qu'elle a un copain. Sa distraction préférée quand elle ne dort pas est d’exciter les mecs sur le Net. Pour cela, elle montre son cul bien cambré aux gogos. La prenant pour une femme, ceux-ci se branlent à chaque fois devant leur écran.

01     Tout en m’émerveillant de sa transformation, je la conseille utilement. Dommage de ne pouvoir partager avec elle mes impressions sur ma propre féminisation. Comment lui révéler que je prends aussi des hormones féminisantes ?  Je lui parle de Yasmina. Je me lance et j’explique que cette femme est une authentique salope. Dans la foulée, je lui confie qu'elle s’excite à vouloir me féminiser. Sa réaction est immédiate. Elle, qui est ouverte à toute forme de sexualité trouve cela débile. Elle est incapable de comprendre que je puisse être féminisé. Un homme comme moi, ça reste un mec quoiqu'il arrive, même s’il porte des strings de femme et se laisse enculer par elle. A ses yeux, mon anus n’est pas une chatte. Pas question de me «femelliser » puisque je ne suis pas un travesti. Je constate à cette occasion combien elle se moque de ces gens. Je vous l’avais dit, beaucoup de transsexuelles deviennent intolérantes quand on marche sur leurs platebandes.

     Ce jour là, elle me dit sans détour qu’elle a envie de me défoncer le cul. Par provocation, je lui réponds qu’elle n’est plus la salope que j’ai connue. Elle me confie alors avoir cessé les hormones depuis une quinzaine de jours. De parler de cul avec elle réveille ma libido. On se souvint de cette soirée mémorable passée ensemble avec son amie transsexuelle. Surprise ! Elle me l'avait offerte en cadeau de Noël : une salope dépourvue de tout complexe au lit quand elle avait bu. L’idée de me voir enculer par une autre transsexuelle l'avait autant excité que moi. Elle voulait m’entendre crier quand toutes les deux me défonceraient la chatte. On convint donc de passer ensemble la soirée de Noël. Amber me demanda de prévoir beaucoup d’alcool au dîner. Quand elle est soule, sa copine se lâchait complètement.

     Excité par notre conversation, Amber me demanda de sucer sa verge. Comme à chaque fois, je fus impressionnée par sa grosseur, un clitoris pas très féminin. Il fallut me réhabituer avant de l’engloutir complètement dans les profondeurs de ma gorge. Et de savoir que son énorme engin me défoncerait le cul m’excita encore plus. La soif de sentir son sperme gicler au fond de ma gorge étant plus forte que tout, elle ne résista pas longtemps à mes savantes caresses. A chaque fois qu’elle s’enfonçait dans ma gorge, elle poussait des cris comme une vraie femme. Quand elle jouit, j’appréciais son sperme au goût plus doux et moins astringent qu’auparavant. Comme le mien, il était devenu liquide et transparent.


Ven 11 nov 2011 Aucun commentaire