DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME

     Enfin arriva le jour tant attendu de cette partouze. J’en profitai pour prendre un comprimé de Viagra 100 mg. Amber arriva la première à la maison. Sa queue la démangeait tellement qu’elle voulut immédiatement me sodomiser. Comme elle était très excitée, elle jouit rapidement puis son excitation retomba très vite. J’eu l’impression de me reconnaitre dans sa jouissance tellement ses réactions furent similaires aux miennes. Après avoir récupéré, Ambre s’installa devant l’ordinateur de la maison sans plus faire attention à moi.  Je m'inquiétais du retard de son amie. A cause du Viagra, ma queue commençait à me démanger sérieusement.

     Sa copine arriva enfin. On bavarda un instant sur la terrasse en buvant un verre tandis qu’Amber restait « scotchée » à l'ordinateur. Sa copine me fixa de son regard de salope et écarta ses cuisses. Sous sa minijupe, elle ne portait rien. Entre ses cuisses, je distinguai nettement sa verge épilée. Elle se caressa alors devant moi. Une salope, non, une vraie professionnelle du sexe ! Elle savait y faire avec les hommes. Sa réaction m’excita. Je lui dis que j’avais envie de sentir le goût de son sperme dans ma bouche. En fait, je voulais le comparer à celui d’Amber. Je m’agenouillai entre ses cuisses, m’emparai de sa petite verge et je la suçai à fond de gorge. Mais elle résista à mes savantes caresses. A bout de souffle, je lui demandai pourquoi elle ne jouissait pas. Elle me répondit qu’elle se retenait car elle avait envie de me prendre par derrière.

0_557.jpg     Qu’à cela ne tienne, on passa dans la chambre à coucher. En me déshabillant, elle remarqua mon corps entièrement épilé, mes seins qui pointaient anormalement et le petit string de femme que je portais. Mais elle ne fit aucune remarque.  A ses yeux, j’étais un mec.

     J’essayai d’abord de la sodomiser. Mais après toutes ces heures à l’attendre, l’effet du Viagra s’était fortement atténué. Je ne bandai plus assez fort pour lui ouvrir l’anus avec mon gland. J’enfonçai alors délicatement un doigt enduit de lubrifiant puis un deuxième. J’essayai de l’enculer à nouveau. Mais rien n’y fit, ma queue resta désespérément molle ! C’est alors que mon excitation retomba. Finalement, c’est elle qui prit son pied. Elle me sodomisa à fond et jouit follement de sa petite verge nerveuse. Puis comme tous les couples du monde, on discuta tranquillement allongé sur le lit. Elle me parla de ses multiples amants. Comparativement à eux, j’étais à ses yeux un homme plutôt libéré sexuellement. Avantage avec moi, elle pouvait réaliser ce qui l’excitait vraiment. Je lui précisais que mon plaisir résidait essentiellement dans son plaisir. Plus je la sentais s’exciter et plus je m’excitais.

     C'est alors qu'Amber qui voulait voir sa copine m’enculer entra dans la chambre. Elle tenait sa verge bandante d'une main. Tandis que sa copine me prenait à nouveau par derrière. Amber en profita pour me violer la bouche. Sentir son sperme gicler dans ma bouche tandis que sa copine jouissait en même temps dans ma chatte fut un moment inoubliable. Sa semence avait un goût différent, bien plus astringente, car elle ne prenait plus d'hormones. Au passage, je m’interrogeai sur ce gout prononcé pour le sperme des transsexuelles. Recevoir leur semence en moi était comme de communier avec eux. Un peu à l’image d’une femme qui se donne et reçoit le fruit du plaisir de son amant.

     Vers minuit je raccompagnais les deux filles chez elles. Elles voulaient se préparer pour sortir en boîte. De retour à la maison, je fus surpris de bander dur en me déshabillant. Une érection insoutenable ! Il y avait longtemps que je n’avais pas vu ma verge monter aussi haut sur mon ventre. Excité face au miroir de la salle de bain, je me branlais et jouis rapidement en giclant des rafales de sperme translucide. Bander aussi durement me procura une jouissance d’enfer.

006.jpg     Le lendemain matin, rebelotte. Ma queue encore toute raide, je me branlai à nouveau. Mais l’envie était cette fois-ci dans la tête. Je n’arrivai pas à l’orgasme, comme si mon corps refusait le plaisir au niveau de mon sexe. L’envie de jouir était si forte que je dus me violer l’anus avec un gode gonflable. Je ne cessais de le gonfler, à gémir de douleur. Une torture lancinante, un coup de folie où la souffrance renforça mon plaisir. Jouir en même temps de ma verge et de ma chatte me fit crier de plaisir. Une jouissance de femme.

     A l’évidence, Viagra suppléa parfaitement à mon impuissance hormonale. Redevenir homme le temps d’un orgasme me remonta le moral. Je pensai aux acteurs de films pornos qui bandaient des heures durant. On dit qu’ils prennent ces petites pilules bleues plus que de raison. Serait-ce aussi pour moi la façon de compenser une virilité perdue ? A cette idée, je m’emballai ; je pouvais donc continuer à m’hormoner…


Lun 21 nov 2011 Aucun commentaire