DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
Yasmina possédait l’art de stimuler ma libido comme aucune autre femme n'avait su le faire auparavant. Emportées par sa perversité et la force de ses fantasmes de femellisation, toutes mes convictions de mâle tombèrent aux oubliettes. Moi l’hétéro convaincu, je fus prêt à faire le grand saut avec elle. Que les autres femmes me parurent fades par comparaison. Comme je ne désirais pas faire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, Yasmina m’engagea dans un processus hormonal féminisant qui me piégea définitivement.
De par ses tendances lesbiennes, elle me préférait aux filles qui, contrairement à moi, manquaient de perversité au lit. S’occuper de leur chatte ne lui suffisait plus. De par ma femellisation libérée de toute contrainte, je renouvelais sans cesse sa libido. Découvrir qu’on pouvait transformer un homme à ce point fut une révélation. Pour elle qui aimait les jeunes filles autant que les hommes soumis, faire de son amant une femelle en rut, une vraie salope, devint sa passion. Elle en rêva à haute voix. Et moi, je me nourrissais de sa perversité pour surpasser la sienne. Oh, contrairement aux romans érotiques, cela ne se fit pas en quelques jours, on ne transforme pas un homme en femelle d’un coup de baguette magique. Au début d'ailleurs, j'avais naïvement mis une condition : préserver mon statut d’homme viril en société. Pour elle, il fallait comprendre que le reste du temps, je serai femme à 100%...
Un seul but alors chez Yasmina, féminiser non seulement mon corps, mais aussi mon esprit pour ensuite pratiquer des jeux les plus déviants possible : " Mets-toi dans la peau d’une femelle, vis pleinement ce que tu ressens puis comporte-toi comme telle." Etant sage-femme, cet état passait obligatoirement par les hormones féminisantes. Elle se procura facilement ces hormones à l'hôpital ou elle travaillait. A son avis, il n’y avait que par ce biais que je me féminiserai en ayant de vrais seins de femme. L'idée m'excita, mais me fit peur aussi. J'avais beaucoup lu sur les effets secondaires des hormones féminisantes et je craignais pour mon coté mâle. Ce fut bien plus tard que je compris qu’elle désirait inconsciemment faire de moi une transsexuelle. Or, contrairement à ce que je pensais jusqu'à présent, la crainte de me femelliser à ce point excita mes neurones.
Soumis à l'influence de Yasmina, avoir des seins énormes devint aussi mon obsession. C'est pourquoi, malgré mes réserves, je plongeais avec une joie sauvage dans un traitement hormonal féminisant. Plus ma poitrine se développait, plus je m’excitais et plus j'abusais des hormones, abandonnant progressivement mon identité de mâle viril. Inconsciemment, j'entrai pleinement dans son jeu. Elle-même me poussait à consommer toujours plus d'hormones...
Je le détaille aux chapitres « DES HORMONES », les hormones féminisantes modifièrent profondément mon physique, mon caractère, ma santé, mon allure générale ainsi que ma libido de mâle. Le moteur principal de mon excitation fut le développement de mes seins. Un tel état de femellisation me perturba sérieusement et remit en cause mon statut d’homme viril. Les hormones prises à long terme eurent des effets irréversibles, non seulement sur mes seins qui pointèrent de plus en plus, mais aussi sur mon corps qui s’enroba d'une épaisse couche de graisse. Quant à ma virilité, elle s'atrophia progressivement jusqu'à ne plus pouvoir bander dur. De plus, mon caractère s’adoucit ; je devins plus tolérant face aux choses de la vie. Une petite déception tout de même : Je trouvai que ma poitrine ne se développait pas suffisamment. Et contrairement aux femmes, elle poussait en pointe. La progestérone, réputée arrondir la forme des seins, n’y changea pas grand-chose si ce ne fut de retrouver un certain tonus physique. Néanmoins, de voir mes seins devenir très sensibles et se développer de jour en jour me rendit dingue au point que préserver ma virilité devint secondaire. Et pourtant, je refusais de prendre des anti-hormones mâles, tel Androcur, qui m'auraient rendu définitivement stérile et impuissant.
Tout au long de ma cure hormonale, je ressentis d’irrésistibles pulsions qui me poussaient à me masturber violemment. Des envies qui se produisaient lorsque j’étalais de l’Oestrogel sur ma poitrine. Peut-être une réaction de défense inconsciente du mâle qui se féminisait. A chaque application, j'avais un début d’érection et, hop, je ne pouvais pas m’empêcher de branler ma verge endormie. Je pestais contre cette queue ramollie qui n'arrivait plus à jouir correctement. Excité comme une pucelle, j’enduisais alors ma main d’Oestrogel puis je me branlais sauvagement avec. A cette condition seulement, ma verge se raidissait légèrement et j’arrivais à éjaculer quelques gouttes d’un sperme transparent. Vivre le combat sexuel de mon corps masculin qui s’opposait à la féminisation ne fut pas chose facile. Tantôt homme et tantôt femme, je remettais sans cesse en question mon identité sexuelle de mâle.
Je craignais aussi que ma femellisation ne se traduise par une discrimination sociale. Des signes de féminisation finiraient par me trahir auprès des gens de mon entourage, ne serait-ce que mes seins proéminents et ma voix à la tonalité fluctuante. Et être pris pour un travelo n’avait rien de réjouissant. Mais c’était plus fort que moi. Conditionné par les hormones et soumis à l’influence perverse de Yasmina, je m’isolais de mes amis et de ma famille afin de mieux vivre ensemble nos penchants sexuels. A l’image d’un drogué, j’entrais dans une spirale infernale qui me conduisait vers une quête insensée dont ni moi ni Yasmina ne connaissions l’issue. Par contre, Yasmina se réjouissait de ma dépendance hormonale et de ma féminisation outrancière. Mon dieu qu’il devenait difficile de rester un homme dans ces conditions. Ah si seulement je pouvais vivre ma femellisation au grand jour et crier mon bonheur sur les toits. Hélas, la morale des hommes me l'interdisait...
Merci M de votre commentaire. Cela m'encourage à continuer même si je manque de temps. Où en êtes-vous concernant votre poitrine ?
J'ai tout arrété car des soucis médicaux se sont réveillés et en plus je me suis fait percer les tétons et je veux pas tout mélanger. Sans compter que même au bout de quelques mois y avait aucun changement avec ce que j'essayais et quant à passer par les hormones, faut passer par une ordonnance, le mèdecin... et j'ai vraiment pas l'envie de me justifier ;)
Désolé pour vos soucis de santé
J'ai jamais été adepte du piercing, bien que cela me tente parfois
Vous le constatez, les hormones sont la seule voie efficace pour développer les seins. Si cela vous tente, on trouve de l'Oestrogel sur le Net...
je ne peux que souscrire, ayant depuis longtemps essayé "d'imposer" femellisation à féminisation! Entièrement d'accord sur le caractère "vulvé" qu'adopte la "femelle", être parée en pute et servir de pute est l'obsession de la femellisation. C'est une "pute" qui me parait de ses atours qui la première m'a faite piner par un client. L'émotion est d'être utilisée comme trou à pines et de se substituer au travail de la putain. A suivre
Tandis que je me bagarre avec les mots pour trouver une définition simple à ce qu'est la femellisation par rapport à la féminisation, toi, en quelques mots tu y arrives. Bravo pour la clareté de tes définitions. J'adore tes expressions comme "caractère vulvé" ou "trou à pines". Quand à se substituer au travail de la putain, c'est bien ainsi que je conçois la finalité de la femellisation d'un homme...
Au plaisir
Merci, en effet la féminisation vise des personnes qui vont se transformer, s'identifier, vivre en femme. La femellisation se vit sous l'emprise d'une DOMINATRICE maquerelle qui nous substitot à la femelle afin de vider les couilles des mâle à l'abattage.Se parer comme une putain est lui prouver le déni de virilité accepté le plaisir est dans l'émotion de lui montrer notre entière passivité sous son autorité. Nous sommes plutôt des tapette que des transgenre ou autres. MADAME nous utilise comme pinoir, nous sommes à ses yeux des vides couilles et devenons des salopes à condition qu'ELLES sachent nous conduire à l'inversion. Véritables connasses à éduquer en pouffiasses ou pétasses, le meilleur moment est celui où ELLES demandent aux mâles "- vous pouvez la piner et vous soulager". "- entre connasse j'ai quelqu'un pour te faire enculer" est l'accueil tant attendu par la lope que nous sommes.
Bonne pinées gertrude
Ne serais-tu pas trop excessif dans tes propos ? Je devine chez toi une certaine provocation. J’en conviens, il y a toujours au départ un homme passif, excité par la féminisation et l’inversion des rôles mâle-femelle. Celui-ci comprend par la suite que seule une femme dominatrice comblera ses espoirs, les autres femmes recherchant plutôt des mâles virils pour se faire « sauter ». A partir de là, il se laisse agréablement piéger par elle.
Vois mon parcours par exemple. Le sentiment d’être comblé dans mon fantasme de féminisation et d’appartenir à une femme qui s’excitait au-delà de mes attentes fut à la base de notre union. De par son penchant lesbien, Yasmina me désira en femme avec des seins et un corps de femme. Et quoi de mieux alors de me laisser conditionner à prendre des hormones féminisantes. L’idée de spéculer sur les conséquences de ces hormones engendra une appréhension certaine chez le mâle que j’étais encore, mais elle m’excita si fortement que je plongeai avec une joie insensée dans ce délire.
Ces hormones favorisèrent ma féminisation. De voir ma poitrine se développer comme celle d’une femme me rendit dingue. Cela eut pour effet d’accroître encore plus ma passivité et de mettre au rancard ma virilité de mâle. Conséquence de ma perte de virilité, je devins alors une femelle avec une chatte ouverte à tous les excès. C’est alors seulement que je compris le fantasme de ma compagne : faire de moi une femelle en rut qu’elle offrirait à sa guise à d’autres personnes pour satisfaire son propre plaisir. Il me fallut du temps avant de remplacer les plugs et son gode-ceinture par une verge de travesti. A partir de là, toutes les extravagances sexuelles furent permises.
Aujourd’hui, je profite bien de ma chatte. Elle est au centre de ma libido. J’ai pris gout aux dilations extrêmes, aux profondes sodomies et aux mains qui fouillent mes entrailles. Je te rappelle aussi que je jouis de mon coté transgenre avec mon corps féminisé et de vrais seins de femme. A force de délirer sur ma femellisation, mon imagination a crée un personnage fantasmatique: Etre une femme avec des seins énormes remplis de lait, avec un cul ouvert à tous les excès, une vulve giclant des litres de cyprine à la jouissance et au dessus une énorme verge bandante.
Que Yasmina fasse de moi une salope reniant définitivement sa virilité, qu'elle m’habille en pute et m’offre à d'autres personnes est effectivement ce qui nous excite aujourd’hui. Il est certain que soumis à ses délires, j’en viendrais à me donner à des hommes. Avec les femmes c’est déjà fait. Mais de là à m’assimiler à une poufiasse, de parler d’abattage, de tapettes et de vide-couilles, il y a un pas que je ne me permettrais pas. A moins que ce soit peut-être la prochaine étape de ma femellisation. Seule Yasmina le sait…
moi aussi c'est ma femme qui préfère que je reste habillé comme ça avec petite nuisette très très courte et transparente mais en noir elle aime bien me montrer comme ça à tout le monde comme j'ai aucun poil nul part rien du tout ça dérange personne
Quelle chance vous avez d'avoir un système pileux pratiquement inexistant. C'est là un combat contre les poils perdu d'avance pour beaucoup de travestis.
Quant à vous montrer à tout le monde juste vêtu d'une nuisette très courte et transparente, je retrouve là le comportement d'une femme gynarchiste.
Moi je préfère être juste vétu d'un minuscule string de femme en dentelle.
L'essentiel n'est-il pas de jouir de nos travers féminins ?
ma femme et ma belle mère m'ont emmenés tout nu faire une épilation laser totale intégrale et définitive comme ça je n'aurai plus jamais aucun poil nul part elles disent que ça sert à rien et que je suis adorable comme ça et que je peux rester toujours tout nu n'importe où ça ne choque et ça ne dérange personne au contraire les gens aiment bien
Ah, l'épilation intégrale. Certains en ont rêvé, d'autres l'ont fait ! Question d'ambiance et... de moyen.
ma femme dit que je serai plus à l'aise comme ça tout nu et sans aucun poil nul part comme ça je peux rester entièrement nu n'importe où et devant tout le monde ça dérange personne quand ses amies ont acheté des dessous sexy elles viennent nous voir à la maison et c'est moi qui doit essayer paire de bas ou collant porte jaretelles guêpières petite culotte nuisette très courte et transparente les femmes veulent voir ce que ça donne je dois marcher comme ça pour qu'elles regardent on me met une paire de hauts talons pour marcher les femmes disent que je suis mignone comme ça que je tortille bien mon petit cul quand je marche
Quelle chance tu as d'avoir une telle femme. Profite bien de ses fantasmes...
comme j'ai une toute petite quiquette minuscule ça dérange personne quand on me met une toute petite culotte transparente y'a les deux petites boules qui dépassent de chaque côté mais c'est pas grave les femmes aiment bien me voir tortiller mon petit cul quand je marche
Bruno, pour avoir un ventre de femme, il faut remonter les testicules dans le ventre, mettre ta verge entre les cuisses et coincer le tout avec le string...
J'apprécie toujours autant vous lire :)