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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Lundi 9 décembre 1 09 /12 /Déc 16:44

          Yasmina possédait l’art de stimuler ma libido comme aucune autre femme n'avait su le faire auparavant. Emportées par sa perversité et la force de ses fantasmes de femellisation, toutes mes convictions de mâle tombèrent aux oubliettes. Moi l’hétéro convaincu, je fus prêt à faire le grand saut avec elle. Que les autres femmes me parurent fades par comparaison. Comme je ne désirais pas faire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, Yasmina m’engagea dans un processus hormonal féminisant qui me piégea définitivement.

      De par ses tendances lesbiennes, elle me préférait aux filles qui, contrairement à moi, manquaient de perversité au lit. S’occuper de leur chatte ne lui suffisait plus. De par ma femellisation libérée de toute contrainte, je renouvelais sans cesse sa libido. Découvrir qu’on pouvait transformer un homme à ce point fut une révélation. Pour elle qui aimait les jeunes filles autant que les hommes soumis, faire de son amant une femelle en rut, une vraie salope, devint sa passion. Elle en rêva à haute voix.  Et moi, je me nourrissais de sa perversité pour surpasser la sienne. Oh, contrairement aux romans érotiques, cela ne se fit pas en quelques jours, on ne transforme pas un homme en femelle d’un coup de baguette magique. Au début d'ailleurs, j'avais naïvement mis une condition : préserver mon statut d’homme viril en société. Pour elle, il fallait comprendre que le reste du temps, je serai femme à 100%...

    Un seul but alors chez Yasmina, féminiser non seulement mon corps, mais aussi mon esprit pour ensuite pratiquer des jeux les plus déviants possible : " Mets-toi dans la peau d’une femelle, vis pleinement ce que tu ressens puis comporte-toi comme telle." Etant sage-femme, cet état passait obligatoirement par les hormones féminisantes. Elle se procura facilement ces hormones à l'hôpital ou elle travaillait. A son avis, il n’y avait que par ce biais que je me féminiserai en ayant de vrais seins de femme. L'idée m'excita, mais me fit peur aussi. J'avais beaucoup lu sur les effets secondaires des hormones féminisantes et je craignais pour mon coté mâle. Ce fut bien plus tard que je compris qu’elle désirait inconsciemment faire de moi une transsexuelle. Or, contrairement à ce que je pensais jusqu'à présent, la crainte de me femelliser à ce point excita mes neurones.

     Soumis à l'influence de Yasmina, avoir des seins énormes devint aussi mon obsession. C'est pourquoi, malgré mes réserves, je plongeais avec une joie sauvage dans un traitement hormonal féminisant. Plus ma poitrine se développait, plus je m’excitais et plus j'abusais des hormones, abandonnant progressivement mon identité de mâle viril. Inconsciemment, j'entrai pleinement dans son jeu. Elle-même me poussait à consommer toujours plus d'hormones...

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          Je le détaille aux chapitres « DES HORMONES », les hormones féminisantes modifièrent profondément mon physique, mon caractère, ma santé, mon allure générale ainsi que ma libido de mâle. Le moteur principal de mon excitation fut le développement de mes seins. Un tel état de femellisation me perturba sérieusement et remit en cause mon statut d’homme viril. Les hormones prises à long terme eurent des effets irréversibles, non seulement sur mes seins qui pointèrent de plus en plus, mais aussi sur mon corps qui s’enroba d'une épaisse couche de graisse. Quant à ma virilité, elle s'atrophia progressivement jusqu'à ne plus pouvoir bander dur.  De plus, mon caractère s’adoucit ; je devins plus tolérant face aux choses de la vie. Une petite déception tout de même : Je trouvai que ma poitrine ne se développait pas suffisamment. Et contrairement aux femmes, elle poussait en pointe. La progestérone, réputée arrondir la forme des seins, n’y changea pas grand-chose si ce ne fut de retrouver un certain tonus physique. Néanmoins, de voir mes seins devenir très sensibles et se développer de jour en jour me rendit dingue au point que préserver ma virilité devint secondaire. Et pourtant, je refusais de prendre des anti-hormones mâles, tel Androcur, qui m'auraient rendu définitivement stérile et impuissant.

     Tout au long de ma cure hormonale, je ressentis d’irrésistibles pulsions qui me poussaient à me masturber violemment. Des envies qui se produisaient lorsque j’étalais de l’Oestrogel sur ma poitrine. Peut-être une réaction de défense inconsciente du mâle qui se féminisait. A chaque application, j'avais un début d’érection et, hop, je ne pouvais pas m’empêcher de branler ma verge endormie. Je pestais contre cette queue ramollie qui n'arrivait plus à jouir correctement. Excité comme une pucelle, j’enduisais alors ma main d’Oestrogel puis je me branlais sauvagement avec. A cette condition seulement, ma verge se raidissait légèrement et j’arrivais à éjaculer quelques gouttes d’un sperme transparent. Vivre le combat sexuel de mon corps masculin qui s’opposait à la féminisation ne fut pas chose facile. Tantôt homme et tantôt femme, je remettais sans cesse en question mon identité sexuelle de mâle.

     Je craignais aussi que ma femellisation ne se traduise par une discrimination sociale. Des signes de féminisation finiraient par me trahir auprès des gens de mon entourage, ne serait-ce que mes seins proéminents et ma voix à la tonalité fluctuante. Et être pris pour un travelo n’avait rien de réjouissant. Mais c’était plus fort que moi. Conditionné par les hormones et soumis à l’influence perverse de Yasmina, je m’isolais de mes amis et de ma famille afin de mieux vivre ensemble nos penchants sexuels. A l’image d’un drogué, j’entrais dans une spirale infernale qui me conduisait vers une quête insensée dont ni moi ni Yasmina ne connaissions l’issue. Par contre, Yasmina se réjouissait de ma dépendance hormonale et de ma féminisation outrancière. Mon dieu qu’il devenait difficile de rester un homme dans ces conditions. Ah si seulement je pouvais vivre ma femellisation au grand jour et crier mon bonheur sur les toits. Hélas, la morale des hommes me l'interdisait... 

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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