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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Lundi 17 janvier 1 17 /01 /Jan 05:32

       A vous qui me lisez en espérant trouver des réponses sur les motivations profondes qui poussent un homme à se féminiser, laissez-moi vous raconter le lent cheminement qui me conduisit vers toujours plus de féminité. Moi qui étais auparavant un macho pur et dur, qui avait une conception patriarcale du couple et de la de famille, je découvris la féminisation au travers de deux amies ghanéennes. Oh, rien à voir avec ces conneries qu’on lit sur Internet. Il ne fut pas question de chaîne, de collier, de soubrette au service d’une maitresse ou d’esclave mâle agenouillé à ses pieds. Quant au travestissement, il ne fut jamais une finalité en soi, bien que certains accessoires féminins devinssent indispensables à mon conditionnement de femelle. Aimer ces femmes stimula surtout leurs propres fantasmes de "femellisation", ce qui me permit de découvrir la part de féminité qui cohabitait inconsciemment en moi. Une découverte tellement étrange qu'elle bouleversa ma sexualité future... 

lavinia book plkrv2vfrz      Mais comment en suis-je venu à exprimer une telle féminité ? Pour me situer, sachez que je suis un homme ayant dépassé la cinquantaine. Doté d’un caractère autoritaire et d’apparence physique plutôt froide, je reste conscient, quelles que soient les circonstances de la vie. En tant que responsable d’une petite entreprise, les personnes de mon entourage ne se doutent pas de mes habitudes féminines. Et de plus, je n’ai rien d’un don Juan ou d’un fornicateur mâle qui saute sur tout ce qui bouge. Par contre, j’aime « approfondir » les choses du sexe avec les femmes, aller jusqu’au bout de leurs envies les plus secrètes, et, pourquoi pas, leur faire découvrir de nouveaux horizons. Leur plaisir devient alors mon plaisir. Homme de raison piégé par ces femmes, mon esprit se met alors au service de leurs fantasmes. Et des fantasmes, elles en ont si on sait se donner à elles en oubliant notre côté machiste !


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 18:59

     Déclin de la domination masculine et féminisation de la société engendrent un nouvel ordre social au sein des couples. Notre monde se féminise incontestablement. En disant cela, je pense au livre prémonitoire d'Alain Soral paru en 1999, " Vers la féminisation" ou à Jean Ferrat, un chanteur engagé, qui disait que la femme était l'avenir de l'homme. La féminisation des esprits serait-elle une manipulation dont les féministes seraient la cause ? Eric Zemmour n’y va pas par quatre chemins. Dans son livre "le premier sexe", par opposition au livre de Simone de Beauvoir, le second sexe, il dénonce le passage d’une société patriarcale traditionnelle vers une société féminisée, voire dévirilisée. Il faut le reconnaître implicitement; appuyé par les revendications féministes et la reconnaissance  des gays, l’homme d’aujourd’hui se féminise. À l’instar des femmes, il se fait épiler en institut ; il se parfume, porte des bijoux et prend goût aux soins de peau. Il préfère le compromis à l’autorité et privilégie le dialogue et la tolérance à l’autorité. Les femmes adorent nos fesses épilées et le succès des strings pour hommes le prouve. Inconsciemment, elles nous désirent à leur image, tendre et doux, sensuel et disponible. Tout ce qui relève du masculin est provocant pour elles, une tare qu’elles nous reprochent et qu’il nous faut assumer. Cette approche de la dévirilisation nous touche en plein cœur. L’homme idéal serait-il une femme ? Fini le macho aventurier des années soixante qui marchait au whisky et aux pt'ites pépés ! Un jour arrivera peut-être où un père dira à son fils : "Tu seras une femme mon fils..."


     Voyez ce qu'il se passe avec l'identité de genre où l'homme et la femme cohabitent en un même individu. Ce qui était proscrit jadis est maintenant normalisé par la Loi ; je pense en particulier à l’homosexualité. Encore conditionnés par les sous-entendus péjoratifs liés à cet état, les hommes s’en défendent inconsciemment. Bien qu’ils se laissent sodomiser ou sucent des queues, ils préfèrent parler de bisexualité. Laissez-moi rire ! Eh oui, la Loi remplace l’ordre moral d’hier.  Sous le couvert de la tolérance et du consensus, plus personne n’ose s’offusquer de la féminisation de notre société à moins de passer pour un conservateur rétrograde. Dire aujourd’hui des hommes qu’ils perdent de leur virilité n’est plus un euphémisme.  Sous le couvert de la tolérance et du consensus, plus personne n’ose s’offusquer du combat féministe. Exit la fierté du mâle et place à la suprématie féminine. L'homme nouveau est arrivé...


     Avec l’arrivée d’Internet et des nombreux sites pornos qui y prolifèrent, une sexualité plus libertine s’affiche dans les chaumières. Elle devient même un sport national où tous les "coups" sont permis. Conséquence directe du Net, les gens se libèrent de leurs instincts sexuels en passant beaucoup plus de temps à satisfaire leurs propres fantasmes devant l'écran de leur ordinateur plutôt qu’à combler les envies de leur partenaire.


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     C’est pourquoi s’étalent sur le Net toutes sortes de fantasmes plus ou moins extravagants, les seuls qui m’intéressent d’ailleurs puisqu'ils reflètent mon état d'esprit. Je le dis clairement, je suis devenu un pervers sexuel, car transgresser l'interdit sexuel est ce qui stimule ma sexualité. En ce domaine, les hommes restent les maîtres, bien que des femmes commencent à se découvrir les maîtresses d’un jeu pernicieux. Voyez ce qu'il se passe avec la D/S et le SM où souffrance rime avec jouissance. Selon de récents sondages, ces disciplines sexuelles deviendraient le sport favori des couples modernes. On ne s’excite plus à baiser, mais à réaliser ses fantasmes les plus extrêmes. Qu’importe la jouissance, c’est la façon d’y arriver qui prime. À chacun donc d’afficher ses travers sexuels les plus outranciés sur le Web.

man_talka.jpg      Mais alors que faut-il penser des hommes féminisés qui rêvent de soumission en offrant leur cul à la façon d’une femme à une maîtresse dominatrice ? Tandis qu’un courant libertin normalise l’amour libre, l’homosexualité, l’inceste entre adultes, le BDSM et les boîtes échangistes, il demeure une incompréhension notoire dans l’opinion publique quant à la féminisation des hommes. À voir leurs réactions, nos compagnes ne sont pas encore prêtes à jouer à ces jeux sexuels. Bien que les machos se moquent ouvertement de ce sujet, reconnaissons qu’en chaque homme cohabite une part de féminité, souvent inconsciente d’ailleurs, car réprimée par notre éducation de mâle. Hélas, malgré la libéralisation des mœurs, cette féminisation masculine reste assimilée à une homosexualité refoulée alors qu’il faut la comprendre comme un transfert du pouvoir sexuel de l’homme vers la femme.

     Dans ce cas, il semble difficile de vivre mes envies de "femellisation" sans heurter la susceptibilité de mon entourage et des femmes en particulier. Malgré des signes encourageants, la féminisation reste toujours comprise comme une atteinte à l’intégrité du mâle, une horrible castration de sa virilité. Il reste donc à faire comprendre mes penchants féminins de mâle aux femmes qui n’en sont pas adeptes. C’est ce que je m’efforce de faire à travers ce blog...


Par hommeofeminin.erog.fr - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 19:09

     « Les plaisirs de l'amour sont les seuls vrais plaisirs de la vie » disait Montaigne. J'ajouterai que conjugués aux plaisirx interdits, ils deviennent sublimes. Ils donnent le sentiment de dialoguer avec les dieux quand arrive l’orgasme. L'expression «aller au septième ciel» en est la preuve éclatante. Cependant, le plaisir érotique n'est pas une manne qui tombe du ciel à l'improviste. Pour être vraiment sublime, il doit se cultiver avec intelligence, et ceci, en profitant sans complexe de l’orientation sexuelle des uns et des autres.

 

     Ai-je toujours eu ce désir de féminisation en moi ? Je répondrais catégoriquement non, même si j’avais depuis quelque temps des comportements qui pouvaient le laisser croire. J’étais auparavant comme la plupart des hommes, un authentique macho. Jeune, je ne recherchais la compagnie des femmes que pour faire l’amour et satisfaire mon ego de mâle. Quant au travestissement et à la soumission, cela me semblait des pratiques bien étranges.


     A l'approche de la quarantaine, j'ai eu envie de porter des maillots de bain toujours plus petits pour mieux exposer mon intimité au soleil. Comme m'exposer tout nu sur une plage publique me semblait indécent, cela me conduisit à rechercher des maillots de bain femme que je roulais sur mes hanches pour les réduire encore plus. Je les choisissais dans une matière très fine, au toucher très érotique. Si du monde arrivait sur la plage, je déroulais le maillot qui reprenait une taille décente. Par la suite, je trouvais disgracieux tous les poils qui envahissaient mon ventre. Je me rasais donc le sexe par réaction érotique. Je découvris parla suite  l'épilation à la pince qui laissait mon sexe et mon ventre lisse bien plus longtemps. De nouvelles sensations libidineuses qui se concluaient à chaque fois par d'excitantes masturbations. Mais hormis cela, rien d'autre de féminin dans mes comportements.

 


524966016      Tout commença un soir à Paris lors d'une rencontre avec deux charmantes Ghanéennes dans un bar d'ambiance. L’une s’appelait Fatou. Grande et élancée comme une antilope, elle était belle comme une nuit étoilée. Comment résister à son regard sombre, à son sourire d'ange ? Quand elle s’exprimait de sa voix chaude, ses paroles glissaient sur moi comme du velours. Il émanait d’elle toute la beauté mystérieuse de l’Afrique noire. Elle me présenta à Mariam, son amie de toujours. Une femme toute en rondeur avec une poitrine des plus généreuses.  J’adorai leur accent anglais teinté de créole et je fus captivé par leur joie de vivre. Je ne suus l'expliquer; il transpirait de ces deux filles une sensualité qui exacerba de suite mes sens.

 

     Elles travaillaient toutes deux au noir - passez-moi l'expression - comme infirmières dans une clinique privée. Toute la nuit on rit, on chanta et on but dans ce petit bar d'ambiance. Cela me changea de ces Parisiennes prétentieuses qui savaient tout, qui connaissaient tout. L’alcool déliant les langues, les conversations devinrent plus grivoises. Elles me confièrent à mots couverts qu’elles vivaient en couple. Je demandai naïvement qui faisait la femme. Avec humour, elles m’invitèrent à venir chez elles si je voulais le savoir.

 

     Au petit matin, je me retrouvai donc chez ces filles. Je me souviens bien de cette première nuit. Contrairement à mes attentes, rien ne se passa pas comme prévu. Quoi que je dise, quoi que je fasse, à aucun moment je ne sus m’imposer. Sous le prétexte d’un jeu érotique, les filles me déshabillèrent et m’attachèrent fermement les poignets ainsi que les pieds avec des bas en nylon. "Pas de panique ! Ce n’est qu’un jeu pensais-je". Offert à leur regard inquisiteur, je fus fouillé au plus profond de mon intimité. Rien n’est plus humiliant pour un homme que de se montrer à des inconnues avec le cul en l’air. Fatou souleva mes testicules et joua avec ma verge d’un air désabusé, comme si j'étais de la marchandise. Puis je dus me mettre à quatre pattes, le cul en l'air, pendant que Mariam écartait mes fesses et inspectait mon anus. Elle aventura un doigt inquisiteur entre mes fesses. Mon corps se tendit par surprise :

- Trop serrée cette chatte. Il va falloir l’ouvrir dit Mariam en riant. 

     Fatou surenchérit. 

- Il faut aussi raser tous ces poils qui l'enlaidissent.

Bien que surpris par la situation, devenir le jouet érotique de ces filles emballa mes sens, une fois n’est pas coutume, d’autant plus que j’étais novice en la matière. Désinhibé par l’alcool bu, je me laissai donc faire. C’est alors que Fatou s’empara d’un rasoir. Que pouvais-je faire, ligoté comme je l'étais ? Ces deux femmes emballaient tellement ma libido que je me défendis mollement. Et ma foi, me faire raser intégralement par une femme ne me déplut pas puisque je finis par bander. Mariam recommanda à son amie d'insister entre les fesses et autour de l'anus.

 

     Une fois le sexe et le derrière bien lisses, Fatou s’occupa de ma poitrine. « Oh, ces petits tétons ! On va en faire de vrais seins de femme... » Elle utilisa pour ce faire une pompe à seins aux globes transparents. Soumis à une intense succion, mes seins démesurément gonflés devinrent hyper sensibles. Bizarre comme les tétons restèrent en érection une fois la pompe retirée. Le moindre frôlement les exacerbait. Suivit une pierre ponce - une caresse rugueuse et surprenante qui mit les mamelons à fleur de peau si je puis dire. Alors qu'ils étaient à vif, Fatou les enduisit de pâte dentifrice à la menthe. La sensation de fraicheur ressentie fut extrême, une douce brulure enflamma mes sens.

Tu aimes, me demanda Fatou ?

Que pouvais-je répondre face à la situation.

- C'est une impression étrange répondis-je les yeux brillants.

Sa copine Mariam en profita pour me lier les testicules et la verge en érection avec une fine cordelette. Cette queue dont j’étais si fier fut ficelée comme un saucisson. Quand elle relâcha le lien un quart d’heure plus tard, la sensation fut fulgurante. L’afflux de sang engendra une douleur insupportable. Puis une forte chaleur suivie, au point que ma verge se dressa, prête à exploser. Pour finir, Mariam enduisit aussi mon gland de pâte dentifrice et le frotta avec une brosse à dents. Démentiel ! Le plus dur fut de ne pas jouir dans la seconde. Les filles m’obligèrent alors à me masturber devant elles. Inutile de préciser que la situation présente déclencha une éjaculation d’une rare intensité. Mon sperme gicla si fort que des gouttes atteignirent mon visage. Les filles rirent de voir ma semence jusqu’au coin de ma bouche. Fatou me demanda de l’avaler d’un coup de langue...

 

1757188890.jpg     Par la suite, je pensai naïvement avoir mérité de leur faire l’amour. Mais leur jeu continua. Il est vrai qu’un homme qui bande ne réfléchit plus. Elles m'attachèrent à la tête du lit puis se livrèrent à leur jeu favori : faire l’amour entres-elles en frottant leurs seins et leur chatte humide sur moi. C'est à cet instant que Mariam s'absenta en échangeant un regard complice avec Fatou. Lorsqu'elle revint, elle était emmanchée d’un énorme gode-ceinture sur le ventre. Inquiet, je regardai les deux filles tour à tour. A voir leur regard lubrique, je compris. Ce gode n'était pas pour Fatou, mais pour moi. Celle-ci déposa généreusement du lubrifiant sur mon anus puis y entra délicatement un doigt. Sous la caresse imprévue, je me cambrai. Mariam se plaça alors derrière mon cul puis écarta mes fesses. J’eus beau me débattre quand elle tenta de me pénétrer, elle réussit tout de même à s'enfoncer en moi. Que pouvais-je faire attaché comme je l’étais ? Cette première intromission me fit mal, très mal. Je ne pus retenir des cris, ce qui excita encore plus les deux filles.

 

     C’est ainsi que je fus sodomisé pour la première fois de ma vie. Une douloureuse expérience, mais aussi une excitante découverte de voir deux femmes s'aimer tout en me possédant sexuellement à leur façon. Autant dire que le mâle que j’étais remballa sa fierté. J'avais le derrière en feu et avoir été possédé ainsi par ces deux filles sema le trouble en moi. J'avais apprécié d'être le jouet sexuel de ces deux femmes. Inutile de vous préciser que ma virilité de mâle en prit un sérieux coup cette nuit-là.  D’autant plus que les filles se refusèrent à moi. Mais qu’importe, la plus belle histoire d'Amour de ma vie commençait...

      Par ce biais, j’acquis au moins une certitude, c’était effectivement Mariam qui faisait l’homme au sein de ce couple de femmes peu banales. 

 

 

Par hommeofeminin.erog.fr - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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