PRESENTATION

  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

Profil

  • Microstring
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

Recherche

Mardi 26 avril 2 26 /04 /Avr 03:39

     Voyons les transformations obtenues chez les transsexuelles suite à un traitement à base d’Androcur, d’estradiol et de progestérone. Il va de soi que ces résultats ne sont pas directement transposables à des hommes qui désirent uniquement avoir des seins. Ces derniers évitent les anti-androgènes afin de préserver leur virilité. Je n’aborde par conséquent aucun des effets secondaires négatifs des traitements féminisants. Le lecteur trouvera sur le Net toutes les informations utiles à ce sujet.

     La rapidité à se féminiser dépend de l’âge, de la morphologie de chacun et du régime hormonal suivi. J’en profite pour dire que les transsexuelles au-delà de la trentaine ont peu de chance d’effacer leur coté mâle. La chirurgie esthétique leur sera d’une grande utilité dans ce cas. Et oui, plus on commence jeune et mieux ça marche. Je l’ai maintes fois observé chez des adolescents ayant commencé leur traitement avant la quinzaine, en cachette de leurs parents cela va sans dire. Ils deviennent femme à s’y tromper. Des transsexuelles disent même qu’il faudrait débuter un traitement hormonal dès que l’enfant exprime ouvertement sa féminité, bien avant l’apparition des premiers symptômes pubertaires mâles. Hélas, il en va autrement puisque les parents rejettent la transsexualité de leur fils à cet âge. Et au cas ou ils acceptent, la loi n'autorise que des retardateurs de puberté.

mardik2A

     Parmi les modifications physiologiques observées, on note principalement une forte dévirilisation. Les premiers signes perceptibles de féminisation apparaissent après deux mois de traitement. Outre un développement mammaire conséquent, les traits du visage s'adoucissent, la peau du corps devient plus fine, la chevelure se densifie, la pilosité s’amenuise et les poils repoussent moins vite et plus fins ; le timbre de la voix évolue vers des tonalités moins graves ; la masse musculaire corporelle diminue sérieusement et les graisses sont redistribuées selon une morphologie plus féminine - hanches et fesses plus marquées, cuisses et ventre arrondis, haut du corps plus menu tandis que taille, poignets et chevilles s’amincissent. Hélas, le squelette ne se modifie pas. Il garde sa charpente masculine. Plus aucune transformation physique n’est envisageable après trois à cinq ans de traitement continu.

     Du coté sexuel, ces traitements atténuent fortement la libido mâle. On n’éprouve plus aucune envie sexuelle hormis un intérêt grandissant pour se féminiser encore plus. Les érections deviennent moins fréquentes et moins soutenues. Par la suite, on constate une régression de la verge et des testicules. Par conséquent, on note un ralentissement de la fertilité qui conduit progressivement à la stérilité. A la longue, l’impuissance s’installe et la pénétration sexuelle devient difficile, voire impossible. Cela n’a pas d’importance puisque la plupart des transsexuelles désirent être femme à 100%. Il existe par contre une contradiction parmi celles qui se prostituent. Leurs clients exigent souvent d’elles une virilité certaine. Et oui, beaucoup d’hommes, et de plus en plus de femmes d’ailleurs, fantasment sur un homme féminisé, aux seins généreux, aux formes féminines et doté d’un sexe mâle digne de ce nom. Cruel dilemme qui oblige ces transsexuelles à une "gymnastique hormonale" insensée entre leur aspirations de femme et la préservation de leur virilité.

     Ces substances, Androcur en particulier,  modifient aussi fortement le psychisme. Troubles de l’humeur et instabilité émotionnelle deviennent la règle. On est irritable, anxieux, nerveux et dépressif, ce qui déstabilise au point que se manifestent parfois des tendances suicidaires. Par la suite, la libido devient plus féminine. C’est pourquoi nombre de transsexuelles sont passives sexuellement et éprouvent le besoin de se donner par derrière. Au niveau des modifications biologiques hormonales, on constate une diminution progressive de la testostérone et une augmentation de l’œstradiol au cours d'analyses sanguines.

chat sein jpg1

     Comme un bon dessert, je garde la poitrine pour la fin. Il existe chez l’homme un système glandulaire identique à celui des femmes, mais complètement atrophié. Et cette atrophie après la puberté ne fait que s’aggraver avec l’âge. Soumises à l’action des hormones féminines, les glandes mammaires se "réveillent" à nouveau. Après une quinzaine de jours, on ressent des picotements au niveau des mamelons. Puis après un mois, ceux-ci grossissent et saillent en permanence. Ils prennent une forme tubulaire et leur couleur s’assombrit, ainsi que les aréoles d’ailleurs. De rose, ils se  foncent jusqu’à brunir complètement. Ils restent constamment en érections et atteignent rapidement la taille d’un centimètre.  Ils deviennent extrêmement sensibles, voir douloureux. Le moindre frottement devient insupportable, mais quel bonheur de les sentir ainsi.

     Récompense ultime de tant d’efforts hormonaux, une forme indurée à la palpation prend naissance sous les seins entre le premier et le second mois. Solidaire du mamelon et de l’aréole, une petite boule se développe rapidement jusqu’à atteindre la taille d’un abricot en quelques mois. Ce résultat donne envie de continuer la cure hormonale malgré des effets secondaires forts désagréables. Après six mois de traitement, chaque sein atteint la taille d’une demi-orange bien ronde. N’espérez pas dépasser une taille de bonnet A en soutien-gorge. Seule une transsexuelle sur quatre y arrive. Mais comme ces dames jugent leurs seins encore trop petits, elles s’orientent à ce stade vers des prothèses mammaires bien plus conséquentes. Et oui, les seins chez ces gens sont l’expression principale de la féminité.

     Abusant des hormones féminisantes, certaines transsexuelles ont même des montées de lait pendant leur traitement. Je vécus cela avec l’une d’entre-elle. Lorsque je lui suçais les seins, il s’en écoulait une substance qui rappelait celle du lait maternel. Hélas, je ne m'intéressais pas encore à la lactation à cette époque.

     Il me revient en mémoire l’histoire d’une amie transsexuelle du temps de mes frasques avec ces gens. Voulant à tout prix assurer sa descendance avant de se faire opérer du sexe, elle engrossa sa meilleure copine fille. Une fois certaine que son amie était enceinte, elle se bourra d’hormones en vu de se faire opérer le plus vite possible. Neuf mois plus tard, sa copine accoucha d’un garçon. Hélas, suite à un accouchement difficile, elle tomba gravement malade et dut être hospitalisée. Les quelques tétées prises à l’hôpital avec sa mère malade ne suffirent pas au nourrisson. Refusant de boire autre chose que le lait maternel, ifut difficile de le sevrer au biberon.  Ne sachant comment soulager son fils, la transsexuelle lui offrit son sein hormoné sans trop y croire. Le bébé s’empara du sein de son père avec avidité. Et là, comme par miracle, quelques gouttes s’en échappèrent sous la force des succions. Le père transsexuel comprit tout l’intérêt de continuer d'allaiter. Il se fit prescrire de la Dompéridone et continua à donner le sein à son fils. En quelques jours, il eut des montées de lait comme une femme. Oh, ce n’était pas une fontaine, mais cela suffit à nourrir partiellement le bébé ; le temps de le sevrer du lait maternel. Je ne vous raconte pas le plaisir qu’eut cette transsexuelle à donner le sein à son fils.

     Au travers de l’histoire de l’Humanité, la littérature regorge de cas similaires; ce qui prouve qu’au-delà d’une morale bienséante, des père ont nourri leur enfant au sein lorsque cela s’imposait...

 

Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 20:16

     Arrivé à ce stade de réflexion, il convient de définir ces hommes qui se féminisent d’une manière ou d’une autre uniquement par plaisir et sans remettre en cause leur identité de genre masculine. Rien à voir avec les transsexuelles qui elles considèrent leur corps mâle comme une erreur de la nature et effectuent donc toutes les démarches pour devenir femme avec un acharnement qui mérite notre respect.

     Qu'on soit androgyne, travesti, drag-queen, fétichiste de lingerie ou qu'on rêve d’une authentique poitrine de femme comme moi, l’expression anglaise « transgender » définit une diversité sexuelle par laquelle des gens refusent qu'on classe leur orientation sexuelle uniquement en fonction de leur sexe biologique. Un néologisme qui reste donc une approximation impropre à rendre compte de l’extrême diversité des comportements féminisants chez les hommes. En effet, catégoriser ces personnes en fonction de pratiques sexuelles consiste à faire l’impasse sur leurs motivations psychologiques. Gardons au terme transgenre le sens le plus large possible afin de contenter tout le monde.

tumblr_kyrz71O0x01qzzlhbA.jpg

    Contrairement aux transsexuelles, les personnes comme moi ne vivent pas leur identité de genre de manière conflictuelle. Elles se sentent homme et entendent le rester. Elles vivent juste une sexualité différente de la norme, un besoin irrépressible de se féminiser, de porter les signes distinctifs de l’autre sexe ou de féminiser leur corps, ce qui stimule leur libido. A cela s’ajoute une passivité sexuelle qui les conduit à se donner à un partenaire actif. Si ce partenaire est masculin, se pose alors la question de savoir si ces hommes féminisés sont homosexuels. On le voit, la question de l’orientation sexuelle dans ces cas mérite réflexion avant d’être jugée. Afin de se différencier des gays, beaucoup d’entres-eux y répondent en disant qu’ils sont bisexuels. Alors que je me plais à être féminisé sexuellement par une femme qui s’excite encore plus que moi, cela ne répond que partiellement à mes interrogations…

     Confronté à ces comportements jugés déviants depuis la nuit des temps, notre société hésite à les reconnaître comme normaux. Et oui, en dehors d’être femme ou homme, point de salut. On est là dans une démarche identique à celle des homos du temps jadis où l'homosexualité était condamnée. Il faudra du temps avant que l’opinion publique accepte ces comportements féminisants. D’autant plus que la Loi et les politiques s’en contre-fichent. Mais alors, comment vivre normalement ces « travers féminins » au grand jour ? Rendez-vous compte, un homme sur dix exprimera ouvertement d'une façon ou d'une autre sa féminité au cours de sa vie. Heureusement, ces jeux féminins s’étalent maintenant au grand jour sur le Net. Des femmes d’expérience les découvrent avec bonheur. Dégagées de toute morale puritaine, elles y  puisent une nouvelle forme de sexualité. L’effet « boule de neige » a commencé. Ce n’est plus qu’une question de temps.

     On reste aussi surpris par  l’attitude de certains spécialistes qui excluent systématiquement ces pratiques sexuelles de leur science. Alors qu’ils ont déjà du mal à accepter les transsexuelles, des hommes qui se féminisent par plaisir ne peuvent que les excéder. Mais pourquoi un homme qui se travestit serait-il anormal ? Pourquoi celui qui féminise son corps à coup d’hormones serait-il un malade ? N’est-il pas plus logique de définir ces comportements comme l’expression de la féminité qui vit en chaque homme ? Se cacher des autres, avoir une attitude fautive reste, hélas, la seule façon d’exprimer sa féminité quand on est homme...


Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 8 mai 7 08 /05 /Mai 23:53

     Après cet aparté existentiel, revenons au sujet qui nous préoccupe. Des questions plus intimes interpellent les hommes qui se lancent dans la féminisation hormonale : retrouve-t-on son potentiel de mâle après l’arrêt d’un traitement hormonal féminisant ? Et les seins se résorbent-ils avec le temps ? Il se dit chez les transsexuelles que l’arrêt brutal d’un traitement suivi durant plusieurs années perturbe autant que le traitement lui-même. Retrouver un métabolisme de mâle alors qu’on se féminise depuis longtemps ne se fait pas en quelques jours. Ceci dit, la plupart des hommes féminisés joue au yoyo avec les hormones. Ils suivent une cure de quelques mois pour se sentir femme et avoir des seins puis l’abandonne pour ne pas trop perdre en virilité. Puis ils recommencent ainsi de suite car leur envie féminité reprend à chaque fois le dessus. Etre transgenre n’est pas facile à vivre. Le risque est de prendre des hormones comme des bonbons...

seaview.jpg

     Aucune étude sérieuse ne garantit qu’on revienne à son niveau de testostérone d’origine et donc à son potentiel de mâle après un long traitement hormonal. L’atrophie de la verge et des testicules ainsi que la stérilité induite par les hormones régressent difficilement, surtout chez les personnes âgées. Retrouver une biologie de mec n’est pas évident une fois qu’on a goûté à la féminité hormonale. Quant à la poitrine, elle régresse difficilement, même lorsque le corps retrouve sa balance hormonale de mâle. Il persistera une gynécomastie visible. Quant à retrouver une musculation de mec, cela nécessite de la volonté et beaucoup d’efforts physiques tellement les muscles sont attrophiés.

     Reste à gérer les comportements  psychiques qui eux aussi se sont progressivement féminisés. Les hormones féminisantes ont conditionné le cerveau masculin au point qu’on finit par penser comme une femme. Sans compter qu’il a fallu du temps pour s’accoutumer à ces hormones et trouver un nouvel équilibre. Retourner à son état d’origine masculin semble s'opposer après une féminisation à long terme. C’est peut-être là ce qui est le plus déstabilisant. Ceci étant précisé, très peu d'hommes qui prennent  des hormones songent à s'arrêter définitivement. Devenus accroc, ils en reprendront toute leur vie.  

     Une autre question me revient à l'esprit : est-ce que prendre du Viagra permet de compenser l’impuissance engendrée par ces hormones et de retrouver une érection vigoureuse le temps d’un rapport sexuel ? Cette question sous-entend qu'on ne prenne pas d'anti-androgène genre Androcur. C’est une question à laquelle je n’ai pas encore de réponse. J’attends de voir mes propres résultats en cas d’impuissance. Si quelqu’un a déjà vécu une telle expérience qu’il m’écrive ses réactions...  

     Ceci précisé, que faut-il conclure des traitements féminisants pris par des hommes ? Ce qui les distingue des transsexuelles, c’est qu’ils n’utilisent pas d’anti-androgènes afin justement de préserver partiellement leur virilité. Dans tous les cas, celle-ci en prend tout de même un sérieux coup. Attention donc à votre libido qui risque de brimer plus d’une femme.  

     Les traitements hormonaux doivent résulter d’une démarche mûrement réfléchie. Il faut avoir conscience qu’on ne joue pas avec les hormones comme avec un godemichet. Une fois le pas franchi, on y plonge avec une ferveur qui dépasse l’entendement. La question se pose de savoir s’il faut-il juste en prendre pour avoir des seins et satisfaire une sexualité marginale. Ou alors se féminiser jusqu’à remettre en question sa condition de mâle. Certains hommes se laissent piéger au-delà de toute raison, surtout lorsque qu’une femme est à l’origine de leur féminisation. Ce qui est mon cas...  

homme-oestrogenes.jpg

     Je le répéte, les hormones rendent accroc, une addiction qui pousse à aller toujours plus loin dans la féminisation. Voir ses mamelons se dresser outrancièrement et sentir ses seins grossir alors qu’on est homme procure des sensations d’une rare émotion. D’une façon générale, il s’agit d’assumer par la suite une ambivalence qui modifie la façon d’appréhender son corps et les choses de la vie. Tant que la féminisation se pratique dans l’intimité d’une maison, ça reste gérable, mais au-delà d’un certain degré, il faut assumer une mutation qui perturbe la relation avec d'autres gens. Quoi qu’il arrive par la suite, sachez que vous ne serez plus jamais le même homme qu’auparavant.

     Inutile de sur-doser le traitement, il vaut mieux démarrer avec des doses relativement faibles, le temps que l’organisme s’adapte à sa nouvelle condition féminine. Celui-ci assimile les hormones à son rythme quoi que vous fassiez. Aller au-delà des doses normales ne peut que rendre malade. De plus, certaines hormones sont efficaces chez un individu tandis que d’autres le sont beaucoup moins. Trouver la combinaison idéale n’est pas évident. C’est là le rôle des endocrinologues. Ceux-ci, n’ont pas forcément la science infuse en matière de transgendérisme. Ils préfèrent souvent s’occuper d’une sexualité plus normalisée.  

     Evitez les hormones de synthèse dans la mesure du possible. Préférez leurs les hormones sous forme micronisée, des patchs ou bien du gel transdermique. Votre foie s'en sentira mieux. Responsables de rondeurs involontaires, ces traitements hormonaux favorisent aussi l’appétit. Ils obligent donc à un régime draconien si on ne veut pas trop grossir. De plus, ils ne font pas bon ménage avec l’alcool. Une hygiène de vie drastique s’impose donc.  

     A ceux que les traitements hormonaux rebutent, les naturalistes conseillent des phyto-estrogènes qui préservent des effets secondaires. Les publicités sur le Net promettent des miracles. Vous êtes certains de gagner deux à trois tailles de soutien-gorge,  Encore plus surprenant ! On dit que ces préparations développent uniquement les seins, sans autres réactions secondaires. Étonnant puisqu’elles contiennent un estrogène de la même nature que le 17 béta-estradiol, mais en faible quantité par rapport à un médicament.

     Un seul résultat à mon avis avec ces complèments phytosanitaires : vous êtes certain de vous délester de beaucoup de billets de banque pour un résultat plutôt mitigé. Prendre ces phyto-estrogènes comme complément alimentaire, d’accord, mais leur en demander plus ne pourra que vous décevoir...


Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés