Partager l'article ! Allaiter, 1, DES SEINS NOURRICIERS: Je raconte à la rubrique "UNE JEUNESSE DOREE" l'Amour sans fin que je voua ...
Je raconte à la rubrique "UNE JEUNESSE DOREE" l'Amour sans fin que je vouais à Maman et mon intérêt particulier pour sa poitrine laiteuse. Opulente, avec des mamelons aussi gros qu’une tétine de biberon, ses seins étaient une invitation permanente à la tétée. Chaque moment où nous nous retrouvions seuls était propice à me nourrir ainsi. Matin, midi et soir ou l’après-midi au goûter. Elle disait avec un sourire complice lorsque je sortais de l'école : « C’est pour ton quatre heures. » Nous étions alors en parfaite symbiose sans que mon père n’en sache rien. Hélas, comme je grandissais, je savais qu'arriverait un jour où je devrais me défaire de cette habitude. L’idée de ne plus sentir son lait couler dans mes veines me rendait malade. Maman me rassurait à chaque fois disant qu'il ne fallait pas m'inquiéter...
Bien que je sois devenu un grand garçon, elle continua donc à m’allaiter en cachette de mon père. Pour calmer mes angoisses d’enfant, mais aussi parce qu’elle appréciait de partager ces moments d'intime complicité avec moi. Habitude remarquable qui ajoutait à mon bien-être, Maman arrivait à se sucer les seins. Tandis que je tétais un sein d’une bouche gourmande, elle profitait de se sucer l’autre tout en se régalant de son propre lait. Etait-ce par jeu ou par plaisir ? Boire leur propre lait est si rare chez les femmes. Devenu adulte, je découvris des vidéos de lactation où des femmes suçaient leurs seins laiteux. Or, la plupart trichaient et recrachaient leur lait. Furieux d'un tel gaspillage, moi qui était souvent en manque, je vilipendais durement ces femmes. Je remarquais par contre que les hommes dans ces vidéos buvaient tous ce nectar sans en perdre une seule goutte...
Il existait chez moi et Maman une attitude inconsciente qui me poussait à la téter malgré mon âge avancé. Moi buvant à un sein et elle à l’autre, l’image me colle encore à la peau aujourd’hui. Tout en tétant, je jouais parfois avec sa poitrine. Je pressais un téton, je regardais le liquide laiteux jaillir en de multiples jets qui s'étalaient sur sa peau. De son coté, Maman prenait tellement de plaisir à m’allaiter qu’elle ne cherchait plus à me sevrer. Elle ne comprenait pas ces femmes qui se débarrassaient de l’allaitement comme d’une corvée. Malgré les années qui passaient, l’allaitement était ressenti entre nous comme la communion de nos esprits, unissant nos deux corps dans un même élan.
A cause de mes absences prolongées au pensionnat, les seins de Maman se tarirent partiellement. Or, ces moments où elle m’allaitait étaient si précieux qu’elle prit l’initiative d’entretenir ses montées de lait pendant mes absences. On dit que les succions répétées d’un bébé engendrent naturellement des montées de lait chez sa mère. Comme Maman se suçait facilement les seins, elle stimula donc ses glandes mammaires ainsi durant mes absences prolongées. Elle prit parallèlement des remèdes de grand-mère et utilisa un tire-lait en complément. « Pour garder une belle poitrine » me disait-elle. Et le résultat était que ses seins gonflés de lait se dressaient fièrement tandis que d’autres femmes voyaient leur poitrine s’atrophier après avoir cessé d’allaiter. Je suppose aussi que par ce biais, Maman me rendait aussi dépendant, une façon de garder auprès d’elle ce fils qu’elle chérissait tant. Aucune mère n’aime voir ses enfants partir vers leur propre destin.
Vous l’avez compris, ma passion actuelle des gros seins débordants de lait puise ses sources dans l’allaitement vécu des années durant avec Maman. Devenu adulte, je fus incapable de m’en passer. Retrouver le goût du lait maternel devint source d’équilibre chez moi. Tout au long de ma vie, je n’eus de cesse de proposer aux femmes allaitantes de les téter, à commencer par la mienne, et ceci malgré la conscience d’offusquer leur pudeur.
Je profitai de la grossesse de ma première femme pour la conditionner dans ce sens. Je lui racontais l'allaitement vécu avec Maman et pourquoi j'en étais accroc. Bien que réticente au début, elle prit goût à mes succions répétées. A la longue, elle reconnut que c'était excitant d'être tétée simultanément par notre fille et par son mari. Tout en nous offrant son lait à boire, elle se caressait le clitoris et jouissait. Elle finit elle aussi par apprécier ces instants magiques.
Plus récemment, ce fut ma rencontre avec Yasmina qui déclencha un nouveau festival laitier. Elle induisit une lactation rien que pour satisfaire mes envies laitières. Et comme elle me forçait à prendre des hormones pour avoir de vrais seins de femme, l'idée nous vint d'avoir des montées de lait à mon tour. Un challenge qui occupe mon esprit depuis.
Que ces femmes qui m’offrirent leur lait avec tant de générosité en soient remerciées…
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