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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Jeudi 17 février 4 17 /02 /Fév 19:30

     Avant de vous raconter mes péripéties sexuelles, laissez-moi vous décrire l’environnement social qui marqua mon enfance et ma jeunesse. Come-back de quarante ans. Imaginez la société au moment de la révolution sociale de 68 ainsi que la libération sexuelle qui s’en suivit. Les femmes actuelles qui montrent avec tant de facilité leurs strings et exposent leur nombril percé ne se doutent pas des tabous sexuels de ce temps là.

 

   C’était les débuts du rock en France et le costume trois pièces était le seul vêtement qui habillait les hommes. Aucune minijupe en vu à l’époque. Hors de question pour une femme de découvrir ses genoux, les robes et les jupes descendaient bien en dessous. Quant au string, il restait à inventer. De plus, aucun hyper-marché pour présenter à nos envies masculines des petites culottes de femmes. La lingerie était vendue par des corsetières et la gaine était le sous-vêtement préféré des dames, bien qu'il torturait outrageusement les corps. Il fallait avoir la taille très fine, les seins en pointe et les hanches rebondies. La pilule contraceptive n’existait pas, l’avortement était interdit et une fille mère était la honte de ses parents.

 

     Pas d’éducation sexuelle dans les écoles, cela choquait qu'on parle publiquement de sexe à des enfants. La sexualité se pratiquait donc en cachette et s’apprenait de façon empirique.  Bien que dissimulée, la pédophilie était une pratique courante, les oncles ainsi que les tantes se chargeant discrètement d'initier les ados aux choses du sexe. Mais coté BDSM ou homosexualité, c’était prendre le risque de passer pour un malade ou un obsédé sexuel aux yeux du public.

 

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     Les homos qu'on appelait alors des pédérastes dissimulaient leurs attirances masculines et les plus efféminés évitaient d'onduler des fesses en public s'ils ne voulaient pas se faire insulter voire rosser par les machos. Malmenés par l’opinion publique, leur cas relevait de la maladie et de la Loi. De par un service militaire obligatoire, l'Armée se chargeait de les réorienter dans le droit chemin.

 

     Les hommes ignoraient tout du clitoris des femmes et celles-ci se cachaient du plaisir honteux qu’elles en éprouvaient. La pornographie était ignorée du grand public et mis à part quelques rares photos échangées sous le manteau, pas de revues X et encore moins de films et de cinémas pornos. La télé était en noir et blanc, la vidéo personnelle relevait d’un rêve et Internet de la science fiction. Demandez à vos parents, il fallait attendre 21 ans pour s’émanciper. C’était le début des sixties, on se préparait à aller sur la Lune et la Terre entière pensait que Mars était habité par des petits hommes verts. J'étais un jeune homme plein de fougue et j'avais soif d'aventure. La vie commençait pour moi...


A suivre



Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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