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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 20:46

     Quelques temps après, Maman me confia son désir de concevoir une petite fille avec mon père. L’idée d’avoir une sœur avec qui jouer m’emballa. J'imaginai Maman en train de nous allaiter ensemble, moi sur un sein et ma petite soeur sur l'autre. A chaque tétée, on changerait de seins pour éviter de créer des jalousies. Lorsque je lui en parlai, elle s’en amusa. Hélas, la relation entre mes parents se dégrada de plus en plus. Maman supposa alors que mon père avait une maitresse car il ne lui faisait même plus l’amour. Et comme en ce temps là, on se mariait pour la vie...

  

     Il lui devenait dans ces conditions impossible d'engendrer une fille. Maman finit par faire une fixation sur moi, un transfert inconscient qui prit de l’ampleur au fur et à mesure que son couple se détériorait. Aussi surprenant que cela paraisse, ce désir correspondit à une période où je vécus mon complexe d’Œdipe. Tandis que mon genre masculin s’affirmait, je devins amoureux de Maman. Un seul but, lui plaire et encore mieux, la conquérir !

 

commodeA.jpg     Comme beaucoup de femmes, Maman se passionnait pour la lingerie fine. La commode de sa chambre regorgeait de soutiens-gorges, de culottes, de porte-jarretelles et de bas. Je me régalais de la voir choisir ses dessous quand elle s’habillait. Elle hésitait souvent et me demandait mon avis. Glisser une culotte sur ses hanches, agrafer un soutien-gorge sur sa poitrine ou dérouler des bas sur ses longues jambes produisaient sur moi d’étranges émois.

   

    Ce jour là, surprise ! Maman devança mes pensées ! Elle choisit dans la commode sa plus petite culotte puis l’enfila sur moi. Pris au jeu, j'en choisis d’autres et les essayais. Hélas, elles étaient toutes trop grandes pour mon "bijou". C'était ainsi qu'elle appelait ma petite verge. Elle profita donc de faire ses courses dans un magasin de lingerie pour acheter des culottes de petite fille à ma taille. Une fois à la maison, Maman me donna un bain puis enfila une de ces culottes sur mes hanches. Elle me trouva adorable ainsi vêtu. A son avis, ces culottes me convenaient bien mieux que des slips de garçon. Un jour où je la regardais s’habiller, elle essaya son soutien-gorge sur ma poitrine d’enfant ainsi qu'une de ses petites robes. « Pour jouer » me dit-elle.

 

     Et ce transfert alla crescendo. Elle laissa pousser mes cheveux blonds pour les coiffer à la façon d’une fille. Elle me fit même des nattes. Elle profita de se maquiller pour me maquiller aussi. Le blush transforma mon regard. Et je découvris le gout du rouge à lèvres bien avant d’embrasser une femme. Plus tard, elle m’épila les sourcils et me vernit les ongles. Bien sur, on partagea ces moments intimes uniquement pendant les absences de mon père.  

 

aze-500x500.jpg     Je m’habituai aux fantaisies de Maman au point de trouver normal ses débordements féminins. Mes références de petit garçon furent tellement bouleversées que je me piquai à son jeu. A la fin, il m’arriva même de jouer avec ses petites culottes. Ce qui me captiva fut le contact soyeux de ses bas nylon sur mon sexe de garçon. Maman ne me fit jamais de reproches lorsqu’elle me surprenait ainsi. Amusée, elle réajustait ma culotte et me conseillait sur mes choix. De sentir la délicatesse de ces fins tissus habiller mon ventre nu finit par me procurer une étrange exaltation.

 

     Je voulus avant tout plaire à Maman pour qu’elle m’aime encore plus. Par ce transfert inconscient, je devenais sa poupée d’Amour, la fille qu’elle voulait avoir. A cinq ans, je ne comprenais rien à ces comportements d’adultes. Je ne voyais qu’une mère nourricière que j’aimais passionnément et qu’il me fallait conquérir. Quoi de mieux alors que de satisfaire ses caprices. Chose surprenante d’après Maman, me traiter ainsi en petite fille adoucit mon caractère, je devins plus docile, moins capricieux et plus équilibré.

 

A suivre…

      

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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