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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Dimanche 20 février 7 20 /02 /Fév 01:56

     En fait, tout commença avec le fort attachement qui me lia à Maman. C’est une longue histoire que je vous confie là. Dévoiler ma relation maternelle m'oblige à raconter des secrets enfouis au plus profond de ma mémoire. Aussi loin que remontent mes souvenirs d'enfant, ce ne fut que du bonheur avec elle.

 

     Ce qui caractérisait Maman durant mon enfance était sa lubie des soins hygiéniques, des soins corporels répétés et insistants. Elle m’expliquait que les hommes étaient sales et ne savaient pas s’occuper d’eux-mêmes. Je ne sus jamais si elle faisait référence à mon père. Elle apportait donc la plus grande attention à me laver minutieusement. Bain ou douche quotidienne qu’on prenait ensemble transformait ces contraintes en d’agréables moments. Quand elle me lavait, c’était parfois intrusif, notamment dans mon petit derrière et sur les parties génitales. Elle savonnait avec insistance mon sexe puis me demandait d’écarter les cuisses pour laver entre mes fesses. Elle décalottait aussi ma petite verge sous le prétexte de bien la laver. Parfois, elle s’amusait à la faire se dresser gaillardement. On riait tous les deux de ce jeu. Ma toilette terminée, on pouvait embrasser mon derrière sans crainte tant il était propre. Et pour finir, elle me massait le corps avec une lotion hydratante. Elle profitait de ces moments d’hygiène pour m'expliquer les différentes parties du corps. Je pris donc l’habitude d’être lavé ainsi et de sentir ses doigts s’insinuer dans mon intimité.

 

     Adepte des médecines douces, elle m'initia à sa science sous le prétexte d’une bonne hygiène de vie. Etant sage-femme de métier, j’eu droit à des soins spécifiques : Thermomètre ou suppositoires qu’elle enfonçait profondément dans mon derrière lorsque j’étais malade. Sous le prétexte que le "caca" empoisonnait le corps, elle m’initia plus tard aux lavements du colon. La première fois, je fus intrigué. Elle installa un bocal remplit de liquide en hauteur puis le relia à un tube terminé par une canule. Elle lubrifia mon anus et y enfonça délicatement la canule. De voir mon ventre se gonfler sous l’effet du liquide injecté m’amusa,  mais je déchantai vite en ressentant les premières douleurs intestinales. Elle me massa alors le ventre en me demandant de garder le liquide le plus longtemps possible. "Serre les fesses mon chéri"! Impressionné, je regardai mon ventre gonflé comme une baudruche. Quelle délivrance lorsque j’évacuai aux toilettes. Par sa douceur, Maman me rassurait et les câlins qui suivirent me furent des plus agréables.

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     Lorsque mon père s’absentait, j’avais droit au lit conjugal. Je devenais alors son petit homme. Elle me rappelait sans cesse que c’était elle qui m’avait mise au monde : « C’est un peu à moi tout cela ! » disait-elle en jouant avec ma petite verge. Je me calais alors contre elle en écartant les nombreux oreillers du lit. J’aimais son odeur, un parfum si particulier que quarante ans plus tard je le reconnaitrais entre mille. Tout en m’allaitant, Maman me laissait jouer avec sa lourde poitrine. Je pressais maladroitement ses seins et je regardais le liquide laiteux jaillir des tétons. " Ouille !" Elle criait lorsque je pinçais ou mordait trop fort un sein. J’adorais aussi sentir la chaleur de son ventre contre mon visage. Elle me laissait toucher son corps de Femme. Une curiosité de petit garçon qui ignorait encore tout de la sexualité. Je me rappelle ce triangle touffu entre les cuisses et son ventre chaud. Les femmes ne s’épilaient pas intimement à cette époque. Je demandais à Maman pourquoi elle n’avait pas de zizi. Fille ou garçon, elle m’expliquait alors les différences.

 

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     Tout en me montrant son pubis, elle disait que c'était par là que j'étais né. J’écartais alors les poils pour découvrir le mystère de ma naissance. Je touchais d'un doigt hésitant sa vulve par curiosité. Maman se laissait faire. "Plus tard, ton zizi s’enfoncera dans le vagin de la femme que tu aimeras et ce sera ainsi que tes propres enfants naîtront." Petit garçon innocent, je voulus essayer. Mais Maman m'expliqua qu’un fils ne fait jamais ça avec sa mère. Encore trop petit, je ne comprenais rien à ses explications. Je ne voyais en elle qu'une mère nourricière que j'aimais passionnément.

 

     Tout en me donnant le sein, elle continuait ce jeu toute seule. Je regardais sa main s’agiter fébrilement entre ses cuisses. Le regard fixe, elle soupirait de plus en plus rapidement, se cambrait en poussant des gémissements puis je voyais sa cyprine gicler d'un coup. Etonné, je regardais, ne pensant même plus à téter. Attiré par le mystère de sa jouissance, je touchais sa vulve mouillée. Elle gardait alors ma petite main sur son ventre encore tremblant de spasmes tout en se calmant. Une odeur particulière s'en dégageait. J’aimais son regard à ce moment là. 

 

     Ensuite, elle me racontait des histoires tout en me serrant tendrement contre elle : Des histoires d’amour ou un Prince charmant sauvait sa Belle. Ou si elle était contrariée par mon père, des histoires de femme trompée, de roi homosexuel et d’enfants précoces auxquelles je ne comprenais rien. Je m’endormais alors en m'assimilant à ce jeune Prince adolescent qui tombait amoureux de sa mère....


     Fils unique, je vivais en permanence dans le giron de Maman. Malheureuse avec mon père, elle se confiait à moi. Je devenais alors son petit homme. J’étais triste de l’entendre se plaindre ainsi. Je lui caressais tendrement les cheveux en essayant maladroitement de la consoler d’un mari trop souvent absent. Dans ces moments là, je devenais plus adulte qu’elle. Bien plus tard, je compris que je comblais un manque affectif lié à un mari absent. Fils prodigue à ses yeux, j’étais fier d’occuper cette position privilégiée auprès d’elle.

A suivre


 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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