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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Lundi 12 septembre 1 12 /09 /Sep 03:27

     Pour vous, tout a commencé innocemment à l’adolescence, un âge où la montée hormonale vous a poussé à de fréquentes masturbations à défaut d'une copine avec qui satisfaire ce désir nouveau qui vous submergeait. Une incontrôlable envie qui vous a pris au ventre avec une force incroyable. Vous vous êtes faufilé discrètement dans la chambre de votre sœur ou à défaut dans celle de votre mère pendant leur absence. Vous avez ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, vous avez touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à votre regard. En tremblant d’émotion, vous avez choisi une petite culotte sexy, oui, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, votre instinct vous a poussé à l’essayer. Vous l’avez enfilé sur vos hanches juvéniles tout en vous admirant dans le miroir de la grande armoire. Excité de vous voir ainsi, votre verge turgescente a jailli du fin tissu et vous à poussé à une vive masturbation. Peut-être même que vous avez joui dans la petite culotte de votre soeur. De voir par transparence votre semence perler goutte à goutte vous a procuré un plaisir plus fort que toutes les masturbations que vous connaissiez jusqu’à présent. 

     Au fil du temps, vous vous êtes pris de passion pour la lingerie féminine. Vous avez même "emprunté" des petites culottes à votre sœur, un précieux butin que vous ressortiez à chacune de vos envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des jupes au raz des fesses, des talons aiguilles vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers. A chaque séance, vous vous masturbiez tant le plaisir était fort. Vous avez découvert par ce biais une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que vous connaissiez avec les femmes. Hélas, après chaque orgasme, vous vous sentiez honteux et coupable, car un homme hétéro ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, il ne  doit jamais remettre en cause sa virilité.

     Votre conscience vous dictait alors de renoncer, de jeter ces lingeries féminines si attirantes, de corriger ce plaisir que vous cachiez à votre femme ou à votre compagne. Vous ne vouliez plus recommencer. Or, le virus de la féminisation était en vous. Vous ignoriez que vous étiez dans une spirale qui échappait à votre contrôle. Par faiblesse, vous avez recommencé en vous cachant, quitte à vous dégoûter un peu plus après chaque nouvelle expérience.

culotte-trav.jpg

     Puis est arrivé ce jour ou votre compagne vous a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, vous veniez de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte !  Elle s’est d’abord indignée puis s’est ouvertement moquée de votre penchant ridicule. Après de vaines explications, elle vous a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui-là. Eh oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, vous vous êtes senti honteux devant elle, sans défense, incapable de vous justifier.

     Avec le temps, cette séparation vous a finalement arrangé. De par votre nouveau célibat acquis, vous pouviez enfin vous livrer ouvertement à vos plaisirs féminins les plus extrêmes, mais en solitaire. Vous vous êtes donc consolé en achetant tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui vous excitaient tant : habillé en femme devant le grand miroir, vous vous masturbiez sans cesse en regardant vos jambes gainées de soie, votre corps épilé, vos tétons qui pointaient, votre queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy. Vous preniez des poses suggestives, excessivement féminines, tout en éprouvant une sensation bizarre. Vous ne vous en rendiez pas compte, mais en vous dévirilisant ainsi, vous étiez en train  de renoncer à votre statut d’homme viril…

     Pour vous consoler, vous avez rencontré sur le Net des gens qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger vos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise auprès des hommes vous stimulait toujouts plus. Conditionné par d'autres travestis, vous avez même envisagé un traitement hormonal pour mieux vous féminiser et surtout développer votre poitrine. Vous avez discuté de vos fantasmes avec des hommes, des hétéros puis vous avez accepté des rendez-vous intimes. Des hommes toujours plus nombreux que vous faisiez jouir dans votre bouche ou dans votre chatte. Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne vous attiraient pas. Avec les hétéros, vous pouviez enfin vous travestir à votre gré, jouer de votre féminité et les exciter comme une femme. Ces hommes recherchaient une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchants sexuels les plus outranciers, des jeux comme la sodomie qu’une femme n’accepte pas facilement, des actes sexuels que les hommes n’osent pas demander à leur femme par pudeur. Eux utilisaient à leur guise la femelle en chaleur que vous étiez, faisaient de vous un objet sexuel soumis à leurs fantasmes les plus osés. Et vous, vous appréciez cette inversion des rôles, être une femme soumise entre leurs bras. Vous avez alors découvert combien une queue de mec entre vos lèvres vous procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme vous ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’avais lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute.

    Ca, c’était au début, quand vous découvriez le bonheur de vivre ouvertement votre féminité. Votre féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre associé à une certaine douleur. Vous avez acquis de l’assurance et sans même vous en rendre compte, vous avez pris du plaisir par-derrière en oubliant vos érections. Vous n’éprouviez même plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie vous rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, votre anus se transformait en une chatte accueillante qui vous procurait un plaisir de femme. Oui, en devenant une femelle soumise vous renonciez inconsciemment à votre virilité de mâle. Vous n'étiez plus qu'une femme travesti en chaleur...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Commentaires

Je me retrouve vraiment dans cet article ! Merci infiniment et gros bisous !!!

commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 12/09/2016 à 04h19

Je voulais que les travestis qui avaient ressentis une certaine féminité en eux à l'adolescence puissent se retrouver dans cet article. Pour ma part, ce sentiment féminin s'est révélé bien plus tard, lorsque je suis devenu un homme mature et que j'ai découvert que des femmes s'excitaient à féminiser leur conjoint...

réponse de : Microstring le: 12/09/2016 à 20h32

Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat (capitale du Maroc), j'aimais me sentir femelle et pute. J’adorais me faire baiser par plusieurs élèves !

J’aimais sentir leur bite aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».

Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !

Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat ait éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais…

Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves plus âgés que moi, se relayait sur mon corps et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.

 

Puis plus tard, à force de me goder, mon plaisir anal s'est intensifié à tel point que je parvenais à éjaculer sans même toucher mon petit pénis, ni me masturber !

Je considérais alors mon petit pénis comme un clitoris et mon anus comme un vagin !

 

Plus tard, ce fut avec ma sœur aînée que j’ai découvert le plaisir de me travestir afin de me sentir femme. Durant l’absence de nos parents, je luis demandais de me travestir en fille et de me considérer comme sa copine intime ou sa 2ème sœur. C’était juste pour rigoler. Mais avec le temps, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagé ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Laila comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle, j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous-vêtements et d’être admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né. Ma sœur, étant majeure à l’époque et adorant la lingerie, toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste avec charme et sensualité.

 

commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 15/09/2016 à 14h51

Merci Leila pour votre récit. Il démontre clairement que vous êtes avant tout de ces personnes qui adorent se travestir et qui se donnent sexuellement en femme passive. Votre parcours se distingue du mien par le fait que j’ai découvert la féminisation bien plus tard, alors que j’étais devenu un homme mature. Et contrairement à vous, je n’ai jamais réussi à éjaculer lorsqu’on me défonçait la chatte. Si du liquide s’en écoulait, c’était parce qu’une queue ou un gode pressait trop fortement sur ma prostate. Je précise en outre que mon pénis est d’une taille appréciable et que j’adore en jouir, même si aujourd’hui sa taille s’est réduite suite aux hormones féminines ingérées depuis des années.

Quant à me travestir, là n’est pas mon délire si on excepte  le fait que j’adore porter de minuscules strings. J’avoue que voir mon sexe dans ces fins tissus, mes fesses dénudées, mon corps intégralement épilé et mes seins qui pointent m’érotise follement. Il ne reste plus à ma compagne qu'à me violer pour me combler…

Plusieurs questions me viennent à l’esprit :

-          Avez-vous pris ou prenez vous régulièrement des hormones pour vous féminiser ?

-          Et vivez-vous en femme dans l'intimité de votre couple ?

-     Et jusqu'où votre femme est-t-elle prête à accepter votre féminisation ?

Bises

André

réponse de : Microstring le: 18/09/2016 à 20h30

Réponse à tes questions :

- Avez-vous pris ou prenez-vous régulièrement des hormones pour vous féminiser ?

Non jamais. Ces produits sont interdits dans les pays arabo-musulmans. De plus, je n’en ai pas besoin. Me travestir me suffit pour me sentir femme.

- Et vivez-vous en femme dans l'intimité de votre couple ?

Quand l’envie nous prend. J’adore me sentir sa soubrette et sa lopette surtout quand elle revient de l’un de ses amants « grosse bite », sa chatte dégoulinant de sperme et qu’elle me demande de la nettoyer. Je te raconterai cela une autre fois.

3 Et jusqu'où votre femme est-t-elle prête à accepter votre féminisation ?

Juste mon travestissement et mon statut de mari soumis et cocu volontaire.

 

commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 19/09/2016 à 16h02

On voit par tes réponses combien ta perception de ta féminité diverge de la mienne. A mon avis, tu es un authentique travesti passif. Contrairement à moi qui prends des hormones pour avoir de vrais seins de femme et ne ressent pas le besoin d'être habillé en femme...

Ceci dit, nous dépendons tous deux de femmes qui poursuivent des buts différents. La mienne désire réallement faire de moi une transsexuelle dans dans l'intimité tout en préservant ma nature de mâle en société. La tienne satisfait ses désirs d'amants au travers de tes délires de travesti 

réponse de : Microstring le: 23/09/2016 à 17h49

2 articles à lire sur l'homosexualité au Maroc :

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/12/homosexualite-au-maroc-on-me-disait-que-j-avais-une-maladie-contagieuse_4900410_3212.html

 

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1502943-au-maroc-la-situation-des-homosexuels-est-terrifiante-mais-je-garde-espoir.html

commentaire n° :4 posté par : lailatvx le: 27/09/2016 à 09h38

Article qui me fait penser à la situation en France dans les années cinquante.

Bien que l'homosexualité ne soit pas ma tasse de thé, je considère que la liberté sexuelle entre adultes est un droit imprescriptible.

réponse de : Microstring le: 06/10/2016 à 18h08

Juste gros bisous et longue vie à ton site !

commentaire n° :5 posté par : lailatvx le: 06/10/2016 à 14h19

Merci Laila. Un commentaire qui me motive à continuer de relater mes expériences sexuelles vécues. Et ceci, malgré un emploi du temps très chargé.

réponse de : Microstring le: 06/10/2016 à 18h10

jolie queue

commentaire n° :6 posté par : honorine le: 10/10/2016 à 12h47

Une photo que je trouve très sexy...

réponse de : Microstring le: 12/10/2016 à 18h32

a l'age de huit ans des seins ont commencés a pousser,alors ma voisine du meme age m'as habillé en fille,j'amais,nos parents laissaient faire et s'en amusaient,au fil des ans mes seins ont grossi pour 95b a 12 ans,le zizi lui est resté minuscule, dès que je rentrais de l'école ma voisine m'habillais en fille et me dominais,j'étais devenu sa bonniche et je m'y trouvais bien.a l'age adulte des seins 105c,un zizi minus sans érection mais des testicules bien apparentes,ma voisine devenue infirmiere est venue vivre avec moi,me dominant de plus en plus,j'étais devenu sa chose,m'infligeant des punitions,m'interdisant de me vider de mon sperm,participant a des croisieres sm,moi comme soubrette elle a décidé de me faire castré,en demandant a une participante vétérinaire de me castré a la prochaine croisiere,ce qui a été fait,attaché a la rambarde jambes écartées la vétérinaire m'as posé l'élastrator sur les testicules sans anesthésie,j'ai eu très mal pendant 6 heures puis la douleur a diminuée au fur et a mesure que mes testicules devenaient noire,l'élastique m'as été enlevé 15 jours après en meme temps que mes testicules mortes avant la fin de la croisiere,je ne l'ai jamais regrètté me trouvent très bien sans sperm,j'avais encore beaucoups de jouissance par mes tétons et surtout étant sodomisé soit par elle au gode ceinture soit par ses nombreux amants,nous vivont comme ça fesant beaucoups de jeux de role et fréquentant les clubs et réunions sm  

 

commentaire n° :7 posté par : boby26 le: 14/10/2016 à 09h49

Bizarre comme votre histoire ressemble à des fantasmes que je lis parfois sur le Net. Et pourtant, je ne demande qu’à vous croire tellement l’idée me plaît...

Posséder naturellement des seins avec des bonnets C à l’âge adulte, moi qui espère avoir une très grosse poitrine, vous me faites rêver. Cela prouve chez vous un sérieux dérèglement hormonal à la puberté, un manque de testostérone qui a fait que votre verge de petit garçon ne s’est jamais développée. Il aurait fallu consulter un endocrinologue…

Quelle chance d’avoir pour amie une infirmière qui vous a comprise ! Les infirmières ont des comportements sexuels qui sortent souvent de l’ordinaire. Peut-être que le milieu médical dans lequel elles évoluent en est la cause. Ma compagne est elle-même sage-femme et au travers de mes textes, on devine combien sa sexualité est parfois dérangente 

Quant à la castration, il faut un état d’esprit bien particulier pour s’y prêter et une totale confiance dans sa compagne. Elle conduit systématiquement à d’intenses sodomies, seul moyen de retrouver la jouissance. Il m’arrive d’aller sur des sites spécialisés pour voir jusqu’où un homme peut se soumettre. La castration est à mon avis la forme la plus extrême de la soumission à une femme. J’avais discuté, il y a longtemps, avec une personne qui s’était fait retirer les testicules et le scrotum. Étrange la beauté de cette verge qui se dressait avec dessous un entre-jambes lisse sans aucun relief.

 

Longue route et beaucoup de plaisir à vous et à votre compagne…

réponse de : Microstring le: 14/10/2016 à 18h47

oui j'ai un déreglement hormonal depuis ma naissance,quand meme de la testostérone mais beaucoups trop d'estrdiol'plus qu'une femme),mon parcours n'est pas un fantasme,pour moi tout s'est fait petit a petit au fil des ans,c'est vrai que mon amie a une sexualitée un peu spéciale,ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre,ma castration je l'ai accepté de plein gré n'ayant pas d'érection et pour éjaculer il fallait me traire pendant pas mal de temps meme après une sodomie ou je jouissais beaucoups elle m'en avait parlé plusieurs fois,je la voyais pas sous cette forme,c'est cette vétérinaire qui lui a dit comment elle fesait pour les animaux,elle ont donc décidés de faire idem pour moi. et comme j'étais soumis en public,les hommes soumis qui avaient des attributs normaux et qui regardaient ont pris peur,il ne risquaient rien,dans notre groupe tous sévice doit etre accepté librement et conduire aux plaisirs,pour moi il suffit de me titiller un peu les bouts de seins et l'on fait de moi ce que l'on veut.je n'ai jamais envisagé de la quitter,je me sentirais complètement perdu si je le fesais,je vie au féminin en privé,pour sortir dans notre secteur assez ambigue (vu mes seins impossible a cacher)bien sur en sous vètement féminin h24 sauf pas de culotte,c'est une règle de notre groupe,les soumis bonniche sont toujours cul nu,pour moi pas de problème, pour d'autres qui ont de attributs assez imposant et les nouveaux pas si facile a accepter pour aller au travail ils ont le droit de porter une culotte féminine.nous vivont très heureux dans notre groupe,composé de beaucoups de mèdecins et infirmieres,aucun n'as des enfants. 

commentaire n° :8 posté par : Boby le: 15/10/2016 à 10h53

Votre histoire de soumis avec votre compagne m’impressionne fortement. Vous êtes arrivé à un stade d’évolution remarquable en matière de soumission.  

Résumer en quelques mots l’histoire de votre vie ne permet pas de comprendre les étapes successives qui vous ont conduit à la castration. C’est un lent parcours, une succession d’état, de ressentis et d’influences vécue au fil des années qui vous amené à être l’homme soumis que vous êtes aujourd’hui. Et puis, il y avait cette verge qui ne servait à rien, et pourtant vous arriviez à éjaculer. Aviez-vous essayé le Viagra auparavant ?

Je suis surtout impressionné par « l’idéologie sexuelle » de votre compagne et du groupe dans lequel vous évoluez. Des femmes avec de tels fantasmes de soumission sont si rares. Convaincre son soumis de se laisser castrer trahit un comportement extrême de leur part. A l’évidence, votre compagne et la communauté SM dont vous faites partie ont réussi à vous conditionner. Faut-il être follement amoureux pour en arriver à cet extrême ! Certainement le signe le plus manifeste de la soumission chez un homme amoureux de sa femme.

Vivre en lingerie féminine 24/24H, j’en déduis que vous êtes un soumis féminisé. Reste donc à aller jusqu’au bout de votre soumission, à vous déviriliser complètement, à vous hormoner, à devenir FEMME jusqu’au bout des ongles. Et cela commence par une épilation intégrale, le poil proclamant la virilité masculine, ce qui me semble contraire à la soumission.

Par contre, je pense à l'enfant que vous n'aurez jamais suite à cette castration. Et vous le précisez, personne n'a d'enfant dans votre groupe. N'aurait-il pas fallut conserver votre sperme avant d'en arriver à cet extrême ?

En fait, je conclus que l’impuissance d’un homme conduit à chaque fois à la soumission à une femme, et parfois, à une forme extrême…

réponse de : Microstring le: 15/10/2016 à 18h10

depuis mon enfance elle m'as toujours dit que j'étais une fille,mes parents aussi,d'ailleurs en primaire j'étais a l'école des filles,c'est vrai que j'avais l'air d'une gamine avec mes cheveux blond très long,ma mère ne les coupait pas,quand mes seins ont commencer a pousser,mes parents m'ont mis en pension dans une intitution d'éducation spéciale,les punitions étaient corporel,féssée,martinet,verge,orties,cachot etc,et j'en recevais beaucoups,il ne se passait pas une journée sans,ce qui explique ma docilitée,ce n'était rien d'autre qu'une institution de correction,comme j'avais des seins et un zizi minuscule,ils m'ont habillés en fille minijupe et culotte caoutchouc toilé très épais a l'époque 1954 et mis avec les pisseuse puisque que je fesais pipi culotte.je suis resté huit ans dans cette institution rentrant chez les parent deux jours tous les quinze jours et dans la meme tenue,dur mais les études très poussées,mes parents étaient contant,pour les punitions c'est bien fait pour toi tu n'as qu'a pas faire de bétise ,j'ai eu le bac a 16 ans. mon sperm a été analysé et ne pouvait pas féconder,ma castration a été faite j'avais 35 ans,j'en ai 70,c'est vrai que d'en venir a l'acte a pris un peu temps,elle me disait souvent,ton sperm ne vaut rien,donc tes couilles ne servent a rien et te font mal,il vaudrait mieux les enlever,ont en parlait souvent,c'est la rencontre avec la vétérinaire qui a décidé de l'acte,pas comme je le prévoyais,mais devant ses affirmations que ça ne fesait pas très mal,j'ai accepté.le viagra n'aurai servi a rien pas plus que la prise de testostérone,la prise d'hormone féminine impossible j'en ai déja beaucoups trop,très peu de poils,épilation très facile, l'operation pour me faire un vagin,je n'y ai jamais pensé mon amie non plus et zizi trop petit,je suis très bien comme ça,ni homme ni femme,je suis moi. 

commentaire n° :9 posté par : boby26 le: 15/10/2016 à 19h18

Je trouve votre confession passionnante. J’adore  correspondre avec des gens qui sortent de l’ordinaire et partent pour un long voyage tel que le vôtre, des personnes sexuellement marginales, hommes ou femmes, qui vont jusqu’au bout de leurs fantasmes. Bien que nos options sexuelles divergent, je comprends mieux à présent votre cheminement et sa conclusion. 

Vous avez donc grandi au contact de votre voisine. Je suppose que vous aviez à peu près le même âge. Devenus des ados pubères qui se découvraient, vous vous êtes livrés par curiosité aux premières découvertes sexuelles avec elle. Elle avait quel âge lors de cette première relation ? 

Attirée par votre coté fille, elle a voulu voir vos seins proéminents et, surprise, a découvert votre verge atrophiée. Je suppose que l’idée de « jouer » à la petite fille avec vous lui est venue tout naturellement d’autant plus que vos parents favorisaient votre état féminin. Connaissait-elle déjà votre handicap et vous féminiser, était-ce un jeu d’ado ou une volonté délibérée de sa part ?

Puis ce fut ce pensionnat très spécial selon vos dires, plutôt une maison de correction comme on disait à l’époque. Drôle de pensionnant où on vous assimila à une fille. Encore plus surprenant, on vous habilla en fille et vous avez vécu avec les filles du pensionnat. La culotte caoutchouc, je comprends car vous étiez incontinent. Mais porter une jupe et vivre avec des filles ne pouvait que favoriser votre féminité au détriment du garçon que vous étiez biologiquement. Votre voisine n’a fait que confirmer cette aptitude féminine. L’homme féminisé et impuissant que vous étiez ne pouvait que se soumettre à elle. Elle vous conduisait dans le sens de vos attentes. Mais elle-même, comment vivait-elle sa propre sexualité ? Je suppose qu’une fois adulte, elle prenait des amants et vous traitait en soumis féminisé.

Influencée par sa décision, c’est donc elle qui vous a poussé à être castré au sein de votre groupe SM. J’imagine la situation : Le vétérinaire qui pose l’élastor devant tout le monde et jour après jour les testicules qui changent de couleur et se meurent. Une expérience vécue en public,  particulièrement impressionnante pour les autres soumis qui assistaient à votre castration volontaire. Un bel acte de soumission aussi qui prouvait votre attachement à cette voisine. Pourquoi n’avoir pas été jusqu’à l’ablation totale du scrotum, ne serait-ce que pour des questions esthétiques.

Depuis 35 années ont passé. Ni homme ni femme, vous vous complaisez dans cet état de soumis féminisé au sein de votre groupe SM. Je suppose que toute votre vie s’est passée auprès de cette femme si convaincante. Je suis curieux de connaître les fantasmes qui animent l’homme mature que vous êtes aujourd’hui…

PS : Faites un tour sur ce forum : https://fetlife.com/groups/722 Je suis certains que vous trouverez des liens et d’autres personnes avec qui partager votre passion.

réponse de : Microstring le: 16/10/2016 à 17h25

avec ma voisine nous somme du meme age et élevés ensemble,c'est sa mère qui me gardait pendant que mes parents étaient au travail,ont étaient baignés et douchés ensemble alors mon anatomie elle l'a connu très tot,elle a commencé a m'habillé en fille ont devaient avoir cinq ans a peu près,a la primaire avant la pension,ont était l'un a coté de l'autre,ont ne se quittait pas,c'est vers dix douze ans qu'ont a commencer a jouer avec nos sex,a quinze ans c'est devenu plus sérieux,elle s'est rendu compte que je n'avais pas d'érection du tout,mon sex est un limaçon,alors elle allait tater la culotte des autres garçons tout en restant avec moi,ont devait avoir 18 ans quand elle a pris son premier amant,un homme beaucoups plus agé,dans la trentaine,c'est d'ailleurs cet amant un peu bi qui a voulu voir mon sex et qui m'as sodomisé sur la demande de mon amie,c'était pas ma premiere sodomie,j'en avais eu plusieurs a l'intitution,la premiere fois forcé j'ai eu très mal,c'était un surveillant qui m'as pris comme une brute,l'enfonçant d'un coup sans lubrifiant,j'avais 11 ans,la deuxieme c'était l'infirmier de l'institution,plus doux,il a commencé par me faire deux lavements,lubrifié a la vaseline et sodomisé ça m'as surpris d'avoir une très forte jouissance,c'est le surveillant qui lui avais demandé de m'élargir,j'étais sodomisé pratiquement deux fois par semaine toujours préparé avant par l'infirmier,j'étais pas le seul a l'etre, a l'institution c'était le lot des filles et de certain garçons.mon amie très portée sur le sex avait plusieurs amants dont je profitais aussi dans la bouche ou le cul et mon amie amait beaucoups ça,elle aime aussi beaucoups me faire des gros lavements et j'y ai rapidement pris gout,elle ne m'as jamais présenté comme soumis mais comme docile,d'ailleurs dans le groupe personne ne disait esclave,rarement soumis mais soubrette,bonniche.    

commentaire n° :10 posté par : boby26 le: 16/10/2016 à 18h34

 Faut-il que votre « voisine » ait une vision de la sexualité bien particulière pour dire à son amant de vous sodomiser alors qu’elle n’avait que 18 ans. A priori, elle a été inspirée par vos premières expériences au pensionnat. Je suppose que vous lui confiiez toutes vos aventures et les traitements subis par les surveillants. D’abord celui qui vous a sodomisé à 11 ans comme une brute.  Vous étiez certainement un garçon gracile qui attirait les sodomites. Et comme vous étiez assimilé à une fille… Puis cet infirmier, plus doux, comme vous dites, qui vous a initié au lavement. Vous faire des lavements du colon puis lubrifier l’anus fut une excellente idée. Cela me rappelle ma mère... Etre dilaté si jeune et sodomisé 2 fois par semaine a dû sérieusement élargir votre anus. Les muscles du sphincter étant en plein développement à cet âge, j’imagine le résultat. Puis il y a eu cette découverte, jouir par votre « chatte » alors que vous ne connaissiez rien de la jouissance mâle. J’imagine le plaisir ressenti et la défonce anale qui s’en suivit.

Vous dites qu’il y avait aussi des filles qui se faisaient baiser par le personnel du pensionnat. Il serait intéressant de savoir si on les dépucelait ou si on les sodomisait pour justement préserver leur pucelage. Je le répète, votre pensionnat m’aurait plu. Quand je pense au puritanisme d’aujourd’hui… Moi je n’ai eu droit qu’à sucer et à branler jusqu’à l’éjaculation mon proviseur à 11 ans. J’étais curieux d’apprendre sur le sperme des adultes…

Et puis ce furent les différents amants de votre amie de toujours et ses fantasmes de domination. D’abord de gros lavements du colon qu’elle remplissait de liquide différents jusqu’à ressentir des spasmes douloureux. Puis la libération quand vous pouviez enfin évacuer le liquide. Parfois des lavements punitifs  à l’huile qui obligent à serrer les fesses plusieurs jours d’affilés tellement l’huile met du temps à s’évacuer. J’en connais un bout à ce sujet, ma mère était experte. Hormis les lavements qui gonflent mon ventre, ma compagne actuelle me sonde régulièrement jusqu’à remplir tout le colon. Et ma foi, je reconnais que j’adore quand l’excitation se mêle à la douleur puis à la jouissance.

 

Il va de soi que trouver une amie comme la vôtre est rare. Quant à vous traiter de soumis, de soubrette ou de boniche, peu importe l’appellation, l’essentiel n’est-il pas de répondre à ses fantasmes SM et de prendre votre pied ? Pourriez-vous m’en dire plus sur votre amie et votre groupe SM, sur ses pratiques actuelles ?

réponse de : Microstring le: 17/10/2016 à 18h15

les fille du pensionnat étaient sodomisée,a l'époque pas de préservatif et ils ne se retiraient pas pour éjaculer,dans le cul comme dans la bouche,oui mon cul était bien large mais je n'ai jamais eu de pertes fécale.les lavements c'est allé jusqu'a quatre litres,minimum de rétension 3quart d'heure,souvent j'avais trois lavement a la suite deux de 2litres et le troisième de quatre au début j'avais très mal au ventre puis j'en ai pris l'habitude et j'avais moins mal,vidé  elle me remettait 2 litres une couche culotte caoutchouc et on sortait faire les courses,j'arrivais a me retenir deux heures avant de me vider dans la couche,il lui arrivait aussi de me mettre 1/2 litre d'huile d'olive avec une longue sonde avant de sortir,avec l'huile elle ne me mettait pas de couche uniquement la culotte caoutchouc,j'avais de l'huile dans le fond de la culotte en 1/4 d'heure et mes fesses glissaient dedans,c'est plaisant,nos pratique n'ont pas beaucoups changées,toujours des jeux de role et jeux d'eau et la recherche du plaisir,pour le dominé comme pour le dominant,au début des jeux docteur patient,puis clinic,dilatation spéculum,lavement,etc,puis soubrette,bonniche,servante,ensuite prostitué.beaucoups de nos réunion avais lieu a la campagne ou un des chirurgien avais une grosse maison bourgeoise avec un parc de 6 hectares entourés de murs, qu'ont appelait le chateau,il y a piscine,écurie,grange,jardin,fontaine,mare,meme un ruisseau traverse la propriétée,mon lit n'avais pas de matelat j'étais forcé de dormir sur le sommier métalique sans draps poignets et jambes attachés,souvent un lavement dans le ventre,c'est la que j'ai fait connaissance a la lutte dans la boue,a la fontaine l'eau sortait par un sex d'homme en plastique rigide,j'y ai été mis dessus le sex dans le cul jambes pendantes bras attachés au poteau qui était derriere,ont y était laissé une heure ou plus suivant la demande de ces dames,il faut dire que la fontaine n'avais pas de pression mais l'eau froide 12° rentrait quand meme dans le ventre,c'est la que j'ai pris mon premier lavement a l'urine,j'étais bras et jambes attaché sur un chevalet un entonnoir dans le cul,ils buvaient beaucoups de bierre,pissaient dans un boc,le boc plein ils le versaient dans l'entonnoir,ça a duré toute une soirée,il y avait aussi carcan,poutre triangulaire(mis dessus jambes pendantes ça fesait très mal,idem pour la poutre pointue,par contre je n'ai jamais fait le poney,mais une sodo par un petit poney oui,ils étaient quand meme quatre pour le retenir,j'ai eu mal au cul pendant deux jour mais beaucoups de jouissance aussi de me sentir sallie,après le poney dès qu'il m'apercevais venait vers moi sex bien tendu pour me saillir,j'y tenais pas tellement,suis pas zoo,ça s'est limité a quelques soirée bien arrosées.

oui a mon amie savait tout les sodomies comme les punitions,elle voulait toujours tous les détails,aussi qu'ils m'avais fait resté cul nu,culotte interdite pour faciliter les punitions la deuxième année,comme la minijupe était très courte elle ne cachait pas grand chose,alors ça ne facilitait pas que les punitions,j'étais forcé de sortir en promenade dans cette tenue,idem en colonie, j'en avais pas d'autre,juste un pull pour l'hiver,c'est curieux j'y pense souvent et en joui.

le groupe est unpeu moins nombreux et ont se rencontre moins souvent. 

commentaire n° :11 posté par : boby26 le: 17/10/2016 à 20h22

En lisant vos aventures de soumis, je reconnais avoir à faire à un connaisseur. Au même titre qu’un artiste qui va jusqu’au bout de son œuvre, je devine en vous un individu qui va jusqu’à l’excès sexuel. Il y a tant à dire sur votre parcours qu’il me fait rêver…

D’abord cette voisine au tempérament sexuel si particulier. Ce n’est pas le genre de femme qu’on trouve à tous les coins de rue. Est-ce votre « petite nouille » et votre incapacité à bander qui l’a conduite à vous traiter en soumis ? Non, il y a  certainement des sentiments très forts qui justifient votre rapport à cette femme. Peut-on parler d’affinité, oui, je le pense. On ne reste pas toute sa vie avec la même femme s’il n’y a que le sexe qui vous unit.

Heureuse époque où la sexualité des adultes comme celle des mineurs d'ailleurs était cachée. J’avais bien compris que le pucelage des filles du pensionnat était respecté, ce qui favorisait donc leur sodomie par des surveillants, ne serait-ce que pour éviter les complications avec la Loi en cas de plainte. En ce temps, le préservatif comme la sodomie n’était pas encore d’usage, Nous sommes là bien avant les années Sida. On pouvait facilement inonder de sperme le cul des filles bien que la sodomie offusquait les gens communs. Suites à ces multiples sodomies, j’imagine leurs penchants une fois adulte. Etant complètement dénaturées, ce n’était que du bonheur pour leurs amants et leurs maris ! Quant à jouir dans leur bouche, cela m'étonne, les filles de cet âge n’appréciant pas encore l’odeur et le goût du sperme. J’ai connu un comportement identique en Afrique de l’Ouest, là où les femmes musulmanes attachent beaucoup d’importance à leur pucelage. Et à l’image des filles du pensionnat, elles finissent par être accroc à la défonce anale.

Etant moi-même un adepte des lavements,  je m’émerveille quand je vois que vous arrivez à prendre 4 litres dans le colon. J’ai lu et relu vos descriptions des différents lavements, malheureusement trop succinctes. ¾ d’heure de rétention me semble impossible même avec un plug qui empêcheles fuites. Les spasmes deviennent vite insoutenables. Moi-même je prends 2,5 litres dans les meilleures conditions, même si parfois j’ai approché les 3 litres. Et faire 3 lavements consécutifs, m’est impossible tellement mon colon est irrité. Par contre, mon amie, qui est sage-femme, adore m’enfoncer des sondes toujours plus grosses et les remonter le plus profondément possible dans le colon après un lavement. Des instants magiques avec cette impression de sentir mes entrailles violées. Elle raffole aussi de la dilatation anale et des plugs toujours plus gros à garder le plus longtemps possible dans ma chatte.

 

Vous décrivez tellement d’aventures sexuelles que je ne peux répondre à toutes. Mais sachez que ma compagne a une approche identique à la vôtre. Elle veut sonder mes capacités de résistance en matière de sexe et pour cela elle s’aventure dans les méandres d’une sexualité qu’on peut qualifier de perverse et de marginale. En fait je suis son cobaye, celui qui lui permet de vivre ouvertement ses fantasmes les plus hard. Il ne s’agit plus de faire comme « Papa et Maman », mais de s’aventurer dans ce que d’aucun qualifie de border line... 

réponse de : Microstring le: 19/10/2016 à 04h23

oui avec mon amie il y a plus que du sex,une très grosse complicitée dès le départ,on ne se quittait jamais sauf quand j'étais a l'intitution,ont partageait tout joie et peine,elle est très attentionnée et affectueuse, domination déja par son gabarit 1,95m pour 80 kilos,puis par gout commun des jeux sexuel,elle était très précoce en ce qui concerne le sex,peut etre son origine suédoise,elle est bisexuelle ont avait une idée,ont essayait,si ont y trouvait du plaisir ont continuait,bien sur qu'au début ont se cachait,puis une fois sur Paris beaucoups moins,ça ne me genait pas de sortir le soir travesti en tenue sexy fesses nues,je prenais meme le métro comme ça,c'était jouissif,j'étais jamais seul. Dans les lavements elle mettait toujours de la glycerine et de l'huile d'amande douce,ça ne m'as jamais irrité les intestins quand a tenir 3/4 d'heure,il y avait quand meme des petit jets intenpestif,meme en essayant de me retenir un max au bout de dix minutes 1/4 d'heure je commençais a en lacher un peu,l'huile elle me l'injecte avec une canule souple de 40cms,En ce moment je suis seul,elle est partie a Sao paulo au Bresil voir une amie qui a pris sa retraite dans son pays d'origine. 

commentaire n° :12 posté par : boby26 le: 19/10/2016 à 19h02

La plupart des femmes se contentent d’une sexualité basique et s’offusquent de nos fantasmes de mec. Qu’une femme soit naturellement attirée par une sexualité border line et voilà les mecs qui la traitent de salope alors qu’ils lui courent tous après... L’aptitude aux jeux sexuels marginaux n’est  pas innée chez les femmes. Il faut un état d’esprit bien particulier. Rares sont donc celles qui sont attirées par la perversité sexuelle, des femmes d’exception comme j’aime à le dire.

Nous avons tout deux la chance d’avoir de telles compagnes, des femmes de caractère, convenez-en. Je le constate, ces femmes adorent nous soumettre à des fantasmes qui sortent des pratiques sexuelles habituelles. Leur caractère dominant exige de notre part d’être des mâles soumis. Et quoi de mieux que de faire de nous des femelles en chaleur soumises à leurs excès sexuels ! Le facteur déclenchant est souvent lié au fait que nous sommes dans l’incapacité d’avoir des érections et de gicler notre sperme comme des mâles virils d’où notre soumission à ces femmes qui nous désirent ainsi. Votre état est révélateur de ce comportement sexuel. Dans mon cas, C’est l’exploration de la part de féminité qui était en moi qui m’a conduit vers des femmes qui s’excitaient à me féminiser. Résultat, après des années de féminisation au contact de ces femmes qui me désiraient ainsi, je suis devenu impuissant et stérile à cause des hormones féminines prises, ce qui explique mon comportement de soumis sexuel.

 

A partir de là, la complicité s’installe et les jeux sexuels les plus osés sont appréciés. Faut-il s’en réjouir ? Dans la mesure où nos compagnes nous apportent les plaisirs que nous attendons d’elles, je dis oui…

réponse de : Microstring le: 20/10/2016 à 17h36

Je doit préciser que mon amie est aussi intersexuée,elle a bien vagin utérus mais il manque les ovaires,a la place du clitoris c'est un sex d'homme sans testicules,sex de 17cmx3,5 quand meme et qui a des érections contrairement a moi,jusqu'a l'age de huit ans je croyais que toute les filles étaient comme ça,c'est a l'institution le premier soir que j'ai vu que non,elle n'ont pas de pénis.par la suite ça été l'objet de beaucoups de questions,surtout quand elle a commencée a avoir des érections et qu'un liquide clair et visqueu a coulé.bien entendu elle ne pouvait pas avoir d'enfant.elle n'as jamais voulu se le faire enlever ayant peur de perdre de la jouissance,a ça les parents ont répondus,c'est la nature qui l'as faite comme ça personne n'y peut rien,bien entendu ont m'as fait jurer de ne rien dire,parole tenue mais au bout de quelques temps tout le monde le savait pour elle comme pour moi mais n'en parlait pas, juste a l'age adulte quelques plaisenterie entendue que c'était elle le male et moi la femelle,ça ne nous génait pas du tout ,il faut dire qu'habitant la campagne,nos parents éleveurs,ont a vu des animaux naitre avec des anomalies de ce genre,alors ont ne s'étonnait pas.  

commentaire n° :13 posté par : boby26 le: 20/10/2016 à 09h51

Waouh ! 1,95 mètre pour 80 kilos ! Impressionnante taille pour une femme. Et voilà que vous me précisez  que votre compagne est une intersexuée, des personnes qu’on appelait autrefois des hermaphrodites : Une verge d’une taille généreuse avec des érections possible, des testicules certainement restés dans l’abdomen et aucun ovaire, mais la possibilité d’avoir des orgasmes en éjaculant un liquide infertile. Je suppose qu’à la place du scrotum, il y a un sillon vaginal. Heureux d’apprendre qu’elle a préservé ses jouissances au lieu d’être en conformité avec son genre. Vous connaissant, votre amie ne s’est pas privée de vous sodomiser avec une verge pareille surtout après vos expériences au pensionnat. Je suis dans la mouvance « genderqueer », un mouvement qui réclame le droit à être d’un genre indéfini. Ras le bol de la dualité des genres homme ou femme, il faut choisir…

D’après votre description, j’en déduis que votre compagne est une pseudo-hermaphrodite de type féminin. (Virilisation du fœtus par un excès de testostérone d’où une virilisation des organes sexuels féminins.) Reste à connaître son caryotype pour le confirmer. (46 chromosomes XX)

Il fut un temps où je me passionnais pour ces gens. J’en avais rencontré un, une fille plutôt, que ses parents avaient fait opérer alors qu’il était encore enfant. « Intersexué » une appellation récente à connotation sexuelle qui rappelle la difficile condition de ces personnes. A ce terme d’intersexué, je préfère l’ancienne appellation qui puise ses origines dansla mythologie grecque. Permettez-moi de rappeler ce mythe, bien que vous le connaissiez certainement.

 

Né des amours d’Hermès, messager des dieux et d’Aphrodite, déesse de la beauté, Hermaphrodite était un adolescent d’une rare beauté. II se baigna un jour dans la source Carie habitée par la naïade Salmacis. Séduite par sa beauté, celle-ci s’éprit de lui. Or, Hermaphrodite repoussa ses avances. Salmacis l’entraîna alors au fond de l’eau, l’étreignit de force et supplia les dieux d’être unie à lui pour toujours. Son vœu fut exaucé et ils furent unis dans un même corps réunissant à la fois la beauté de l’homme et de la femme. En voyant son nouvel aspect, sa poitrine de femme et ses membres amollis, Hermaphrodite voulut que tout homme qui viendrait à se baigner dans cette source subisse la même métamorphose…

PS : Nos échanges ne manquent pas de me passionner. Dans la mesure où ils deviennent très personnels, je ne sais pas s'il faut les  continuer en passant par les commentaires de mon blog ou correspondre directement par email, ce qui pourrait brimer les lecteurs qui suivent nos conversations. Qu'en pensez-vous ?

réponse de : Microstring le: 20/10/2016 à 18h43

elle a commencée a me sodomiser ont devait avoir quatorze quinze ans quand elle a commencée a avoir des érections,ont a beaucoups appréciés dès la premiere,ses parents nous ont surpris en pleine nature derriere un buisson,ils ont sourient et n'ont rien dit,rentré a la maison je m'attendais a une bonne engueulade de mes parents,rien du tout,ils m'ont simplement dit tu prend tes affaires et tu vas chez la voisine puisque que vous ètes inséparable,ont avais quinze ans quand ont a commencé a vivre dans le meme lit,nos parents ne savaient pas trop quoi faire ou dire,ont est intersexués tous les deux alors ils ont décidés de nous laisser libre de nos choix,tout comme ils avaient refusés la réassignation de sex disant qu'ont déciderait nous meme a notre majorité.elle a le vagin juste endessous du pénis et en joui aussi beaucoups,ont est tous les deux xxy,intersexué est une appelation très récente tous comme sex O sur la carte vitale,c'est a dire sex indéfini.j'ai eu beaucoups de chance que ma voisine soit aussi intersexuée,ça nous a beaucoups aidé,jusqu'a l'age de 16/17 ans ont ne regardaient pas les autres,il n'y avais que nous deux et puis un grand merci a nos parents qui nous ont laissés libre de choisir.

 

commentaire n° :14 posté par : boby26 le: 21/10/2016 à 09h33

Si j’ai bien compris, vous êtes donc tous deux des intersexués, ce qui pourrait expliquer ce lien qui vous unit depuis toujours. Excusez ma curiosité à ce sujet, mais étant XXY, vos organes génitaux internes ainsi que ceux de votre compagne sont bien plus complexes que ce que vous dites ? Vous précisez par exemple que votre compagne possède un vagin fonctionnel sous son clitoris péniforme lui aussi fonctionnel. Cas exceptionnel à mon avis car elle jouit de ses deux sexes selon vos dires. A ma connaissance, très peu d’intersexuels ont les deux sexes correctement développés pour en jouir complètement. J’imagine le plaisir ressenti. Percevoir dans un même corps le plaisir de la jouissance femelle et l’enchaîner par celui du mâle, ce doit être merveilleux, femme et homme à la fois ! Moi qui rêve justement de vivre ces deux orgasmes, j’envie votre compagne.

Que le monde est petit parfois. Avoir pour voisine une personne intersexuée comme vous fut un heureux hasard.  De vous découvrir tous deux, différents des autres filles et garçons ne pouvait que vous rapprocher. A la puberté, normal aussi de faire vos premières expériences sexuelles ensemble. Dormir dans le même lit à 15 ans ne pouvait que vous conduire à être sodomisé par votre copine puisque vous étiez impuissant et aviez déjà une poitrine de femme alors qu'elle avait un sexe d'homme. J’envie votre précocité sexuelle. Disons que je n’ai pas eu l’occasion de faire des expériences aussi jeune alors que l’idée m’obsédait. A l’évidence, votre différence a engendré une complicité certaine et une façon de pratiquer l’amour qui devait faire bondir les conservateurs de l’époque. Heureusement que vos parents ont fait preuve d'une grande tolérance, à moins que ce soit pas ignorance. Et dormir dans le même lit tandis que les hormones bouillaient dans vos deux corps vous a épanoui sans aucun complexe. Peut-être est-ce là l’origine de votre intime relation qui a traversée le temps. De par votre condition particulière, vous et votre amie vous inscrivez dans une démarche qui tord le cou aux intégristes et aux ignorants de tous bords, à commencer par la sodomie pratiquée aussi jeune. D’un coté, vivre avec le handicap d’une poitrine de femme et d’une petite verge qui refusait de bander et de l’autre coté une grande fille, un peu garçon, dotée d’une verge puissante de taille appréciable, ne pouvait que vous rapprocher tout en  inversant vos rôles sexuels. A 14 ans, j’imagine les nombreuses copulations qui ont suivies. Je me souviens qu’à cet âge, je me branlais plusieurs fois par jour au point que ces masturbations marquaient mon visage.

 

Je vous envie de cette situation. Combien d’intersexués se morfondent dans les méandres d’une situation psychique difficile. Vous me semblez tous deux très équilibrés dans vos jeux, bien mieux que moi qui me débat dans une réflexion sexuelle sans issue. C’est peut-être là la justification de mes dérives sexuelles… Et s’opposer à la ségrégation imposée par la dualité homme/femme me semble être LE combat actuel. Chaque individu doit pouvoir vivre dans le genre qui lui convient sans avoir à choisir un statut de femme ou d’homme. Moi-même, je me qualifie « d’inter-genre dans ma recherche des deux identités mâle et femelle...  

réponse de : Microstring le: 22/10/2016 à 20h16

oui elle a eu de la chance que les deux soit fonctionnel,quand a moi ça n'est pas le cas,j'ai des attributs féminin en interne,utérus trompe etc meme un vagin mais petit et fermé,il appel ça lèvres soudé,rien ne fonctionne.mes voisins sont arrivés a la ferme d'as coté en 1946 venant de suède,déja a l'époque la sexualité était beaucoups plus libre qu'en france,ses parents très libérés des tabous,les miens n'ignoraient rien et parlaient beaucoups de ça avec les voisins,pour eux du moment que de toute façon je vivais avec elle,ils ne voyaient aucun empèchement que ce soit dans le meme lit,bien sur dans le village ça été la révolution surtout chez les commères et les grenouilles de bénitié a tel point que le curé est venu voir nos parents qui lui ont expliqué que les interdits ne servaient a rien,le curé d'un esprit très large pour l'époque n'as pas encouragé mais pas désaprouvé non plus,il leur a simplement demandé a quel age pensez vous les mariés,ont ne s'est jamais mariés.Nos parents sont nés catho mais ne pratiquaient pas.le plus curieux c'est que la famille n'as pas désaprouvé,pourtant certains oncles et tantes étaient assez collet monté (origine bourgeoise)nous ont ne se posait pas de question,ont était né comme ça et ont vivait ensemble depuis l'age de deux ans,dans la famille ont étaient six enfants alors ça arrangeait bien mes parents que la voisine qui n'avais qu'une fille s'occupe de moi et j'y étais très bien.

commentaire n° :15 posté par : boby26 le: 23/10/2016 à 09h38

C’est la première fois que je corresponds avec une personne intersexuée qui me parle aussi ouvertement de sa sexualité. C’est pourquoi j’en profite. On dit tellement de conneries à ce sujet. On suppose qu’il y aurait environ 500 personnes intersexuées en France disposant des deux sexes fonctionnels ; ce qui est le cas de votre amie. Vous avez eu par contre moins de chance qu’elle, façon de parler quand on connaît les problèmes psychologiques engendrés par votre état. Vous dites que les organes sexuels internes d’une femme sont présents, utérus et trompe. Reste à savoir si vous avez au moins un ovaire fonctionnel, ce qui sous-entendrait la possibilité de procréer. Seul persiste le problème du vagin avec ses lèvres vulvaires soudées plus connu sous l’ancien terme de sillon vaginal. J’ignore si cela s’opère. Une question me vient à l'esprit. Puisque vous avez une verge, cela sous-entend que vous pissez normalement.Tiens justement, ce dimanche, c’était la marche Existrans à Paris, la marche des trans et des intersexes.

Une fois de plus, je le répète, la chance a voulu qu’une personne intersexuée s’installe près de chez vous, ce qui a normalisé votre existence si je puis dire. Quant à vivre et dormir avec votre voisine, j’imagine comment ça a dû jaser, surtout que vous étiez deux ados pubères. Je me demande comment était votre physique et celui de votre voisine à cet âge. Vos parents semblaient dépassés par votre condition. Avoir la chance de discuter avec un couple qui avait les mêmes problèmes avec leur enfant a permis une meilleure connaissance et donc de faire le bon choix. Bravo à eux qui donnent par cet exemple une belle preuve de tolérance.

A présent, on opère plus les enfants intersexués. Médecins et parents attendent qu’ils choisissent eux-mêmes le sexe qui leur convient le mieux. Parfois certains refusent l’opération de réassignation car ils préfèrent garder leur sensibilité sexuelle plutôt que de risquer de la perdre. Le plaisir est à mon avis le plus important, sinon on risque parfois la dérive... A mon avis, la société doit admettre qu’un humain peut vivre dans un autre genre que celui d’un homme ou d’une femme.

Par contre, je ne comprends pas pourquoi vous ne vous êtes jamais mariés après une si longue relation. Si je comprends bien, vos actes de naissance sont complémentaires, mâle et femelle, sans compter que le mariage entre personne de même sexe est légal maintenant. A moins que votre condition d’intersexué pose problème.

N’avez-vous jamais envisagé de faire un enfant ? Je suppose que si. La chirurgie en cette matière fait bien des miracles aujourd’hui...

 

En me relisant, je me rends compte de ma prétention. Faut-il que je sois bête de vous parler en des termes qui sous-entendent que je m’y connais en matière d’intersexuel. Vous êtes bien mieux placé que moi pour cela…

réponse de : Microstring le: 24/10/2016 à 17h51

nos organes féminin pour elle comme pour moi ne sont pas fini,il y a des manques a l'un comme a l'autre,impossible d'avoir un enfant,l'operation pour ouvrir le vagin est possible mais je l'ai refusé,ça ne m'interressais pas,ont était très bien ensemble comme ça ,nous marier,ont en a discuté plusieurs fois et ont est arrivé a la conclusion que ça servait a rien,si ont avait pu avoir des enfants,ont l'aurai certainement fait.nos parents ne nous ont jamais poussé a ça,ont a toujours été dans un monde a part qui nous appartient,ce qu'en pense les autres ne nous interresse pas.ont est allé assez loin dans la recherche du plaisir réciproque,le sm et les jeux de role en fesait partie,pour nous ça n'as jamais été un art de vivre mais une recherche de plaisirs inconnus.ont a vécue  une époque ou etre intersexué il fallait le cacher,ne rien dire,ce n'est pas ce que l'ont a fait,nos parents non plus.jusqu'a l'age de 16 ans je ressemblais beaucoups a une gamine,cheveux blond très long et bouclés,ma mère refusait de les couper, visage très fin,en plus a huit ans avec les seins!mon amie aussi a eu des seins très tot et malgré sa corpulance avait l'air d'une fille,d'ailleurs pendant longtemps ont m'as pris pour sa petite soeur. 

commentaire n° :16 posté par : boby26 le: 25/10/2016 à 16h23

Hormis votre relation d’intersexué avec votre voisine, je trouve remarquable votre démarche d’avoir dès votre puberté recherché avant tout le plaisir sexuel. Rares sont les gens qui plonge ainsi dans la sexualité avec un tel entrain. A vous lire, j’ai le sentiment que cela a été le fil conducteur de votre vie. Votre état d’intersexué, votre comportement de fille, votre démarche de soumis maso et efféminé au sein d’un groupe BDSM a certes dû ajoute à cette recherche. A moins que ce ne soit l’influence de votre voisine dominatrice. J’imagine le haut degré sexuel des aventures qui en ont découlées. Dois-je en déduire que c’est au contact de ce groupe BDSM et à cause de votre condition d’asexuée que vous et votre voisine êtes restés ensemble ? Ah, atteindre la plénitude sexuelle, vivre le Graal doit être fantastique. Moi, je me fais l’impression d’être un enfant de cœur par comparaison. N’avez-vous donc jamais cherché ailleurs ? Dans la mesure où vous êtes soumis et efféminé, dois-je comprendre que c’est votre voisine qui est le moteur de votre  sexualité. J’essaie d’imaginer votre profil de soumis et le sien en dominatrice…

 

Hélas, mille fois hélas, il n’y a que dans les romans que les hermaphrodites sont beaux et possèdent les deux sexes parfaitement fonctionnels. Une poitrine généreuse d’où gicle du lait pour allaiter la terre entière, et en dessous, un vagin soutenu par une grosse verge qui défonce les chattes en attente du mâle. Cela est devenu mon fantasme à la longue, un fantasme qui me taraude l’esprit en permanence. C’est mon amie transsexuelle, Rio, qui en est à l’origine. Et puis est arrivée Yasmina qui voulait faire de moi une vraie femelle. Elle m’avait demandé à plusieurs reprises de passer sur le billard pour subir une opération de réassignation sexuelle : « Puisque ta queue ne sert plus à rien, autant avoir un vagin à la place. » Il est vrai qu’à force de m’hormoner, j’étais devenu stérile et pratiquement impuissant. Mais comme je me sentais mâle dans ma tête, je répondais que l’idée excitait mes neurones, mais qu'elle s'opposait au fait que je sois un homme. Je disais qu’avoir les deux sexes serait l'idéal pour vivre tantôt la jouissance d’une femme et d’autres fois celle d’un homme. (ce qui est le cas de votre ami) Or, comme tous les fantasmes, celui-ci n’est qu’une vision irréaliste. Contrairement à d’autres hommes, je ne rêve pas de devenir femme, mais hermaphrodite…

réponse de : Microstring le: 26/10/2016 à 17h45

elle me domine oui mais elle ne m'as jamais forcé a faire quoi que ce soit,elle propose plus que je ne propose mais n'impose rien.etre intersexué n'est pas toujours facile a vivre meme pour elle,surtout moralement,c'est un peu pour ça qu'ont a fait notre petit monde a nous.elle ne reviendra pas en france,c'est moi qui vais la rejoindre,j'ai des amis et de la famille au bresil et ça fait longtemps qu'ont avais envie d'y aller.

commentaire n° :17 posté par : boby26 le: 30/10/2016 à 17h42

A l’évidence, votre relation D/S, basée uniquement sur votre soumission, me semble être un accord où vos partenaires y trouvent aussi leur compte, à commencer  par votre compagne. Votre comportement excessif vous oriente vers des situations qui relèvent d’un SM outrancier. Conjuguer plaisir avec douleur  dans le cadre d’une soumission vécue jusqu’à l’extase est votre leitmotiv. En disant cela, je pense à votre émasculation, un sacrifice, que dis-je, une offrande à votre compagne en signe de fidélité. Même si ce fut vécu il y a bien longtemps, ce comportement démontre la capacité de votre soumission. Aller jusqu’à l’avilissement en passant par l’humiliation et la honte au sein de votre groupe n’est pas donné à tout le monde…

Je ne doute pas que votre condition d’intersexué est à l’origine d’un mal-être vis à vis de la société. Ce qui vous conduit vers  une sexualité que je qualifie d’extrême, seule façon de vous exprimer par rapport à votre condition. Ceci dit, je pense que votre compagne a une libido qui dépasse la norme généralement admise. A mes yeux, c’est justement ce que j’apprécie chez vous deux. La plupart des gens s’offusque de votre façon de faire l’amour tandis que moi, je vous admire. Au travers de vos explications, je me retrouve un peu.

Ainsi vous avez décidé de vous installer au Brésil. Je suppose que vous avez des amis qui vous ressemblent. On dit que la vie est difficile là-bas : Dixit la chasse aux travelos. Mon ami Rio avait justement fuit son pays à cause de cela.

 

Au plaisir 

réponse de : Microstring le: 02/11/2016 à 03h55

moi c'est ma femme qui adore me regarder me faire enculer elle a demandé à son frère si ça le dérangeait pas de venir à la maison pour me sodomiser il a dit que non au contraire ça lui ferait plaisir alors ma femme me regarde me faire enculer quand je suis allongé sur le dos elle me tient les jambes repliées en arrière au dessus de la tête et elle me tient les cuisses bien écartées des fois elle demande à sa mère de l'aider à me tenir les jambes écartées pendant la sodomie elle me parle en même temps elle me dit ça va? ça te plait? tu as l'air d'adorer ça, tu te régale ça te fait du bien ça se voit et quand je suis pris par derrière à quattre pattes elles regarde la bite de son frère entrer et sortir de mon trou du cul

commentaire n° :18 posté par : Bruno le: 29/11/2016 à 20h48

Et vous voilà revenu à une sexualité plus classique. La sodomie n'est qu'une variante de l'amour, et ceci quelle que soit la position utilisée. La position où on voit sa ou son partenaire dans les yeux me semble être la meilleure...

Bien des femmes adorent voir un mec se faire enculer...

réponse de : Microstring le: 30/11/2016 à 17h01

oui ma femme adore me regarder me faire enculer ça lui fait plaisir ele dit que je gémis je couine et je pousse plein de petits cris très aigus et très forts comme une femelle pendant la saillie ça se voit tout de suite que j'adore ça elle a dit à son frère la saillie le fait jouir j'ai vu sa bite faire son petit jus toute seule pendant la saillie ça veut dire que ça le fait jouir comme une femelle y'a même pas besoin de lui toucher la bite elle jouit toute seule

commentaire n° :19 posté par : Bruno le: 10/02/2018 à 15h16

Où tes commentaires relèvent de fantasmes fermiers où ils reflètent ouvertement ce que tu vis réellement. Dans ce cas, tu as beaucoup de chance avec cette femme. Moi qui fantasme en ce moment sur l'allaitement érotique, cela me rappelle des femmes allaitantes qui désirent être branchées sur des trayeuses électiques pour brebis dans une ferme.

D'autre part, je me suis souvent demandé comment réagirait ma verge si elle était connectée à une telle trayeuse? 

réponse de : Microstring le: 15/02/2018 à 14h46

ma femme préfère que je reste toujours tout nu elle me met des hauts talons elle dit que je tortille bien mon petit cul nu quand je marche que c'est mignon à regarder avec une paire de bas et portes jartelles tout le monde dit que je suis mignone que je tortille bien mon petit cul nu quand je marche que c'est mignon à regarder

commentaire n° :20 posté par : Bruno le: 09/09/2018 à 23h44

Profitez bien de votre femme. Qu'elle favorise à ce point vetre féminité est rare chez les femmes. Pour mieux la séduire, enfilez sur votre corps nu et intégralement épilé un minuscule string sexy avec vos haut-talons. Elle va adorer...

réponse de : Microstring le: 10/09/2018 à 02h38

oui je n'ai aucun poil nul part rien du tout et comme j'ai une toute petite quiquette minuscule ça dérange personne de me voir tout nu c'est pour ça que ma femme préfère que je reste toujours entièrement nu elle adore me montrer tout nu à tout le monde ça lui fait plaisir que tout le monde sache et puisse voir que j'ai une toute petite quiquette minuscule

commentaire n° :21 posté par : Bruno le: 13/09/2018 à 17h17

Etrange personnage Bruno vivant avec une femme encore plus incroyable....

réponse de : Microstring le: 19/09/2018 à 05h31

ma femme dit à tout le monde de faire attention parce que je suis un petit éjaculateur précoce et mon petit jus gicle très très vite ça amuse tout le monde ses amies disent que c'est normal que toutes les petites lopettes comme moi qui tortillent leur petit cul nu comme ça en marchant font leur petit jus tout de suite

commentaire n° :22 posté par : Bruno le: 13/09/2018 à 17h21

J'ignorais que les hommes qui avaient de petites quiquettes étaient des éjaculateurs précoces. Je découvre avec toi un comportement que j'ignorais

réponse de : Microstring le: 19/09/2018 à 05h32

ma femme dit que ça sert à rien que je mette un string parce qu'il n'y a rien du tout à cacher c'est trop minuscule elle préfère que je reste cul nu la quiquette à l'air avec paire de bas et porte jaretelles si on va faire des courses ou voir des amies elle me met juste une mini jupe et quand on passe le w-e chez ma belle mère elle me met juste une petite nuisette très courte et transparente 

commentaire n° :23 posté par : Bruno le: 13/09/2018 à 17h30

Quelle chance tu as d'avoir une femme qui favorise ta féminité avec des accessoires aussi féminins ! Ceci dit, porter un petit sting de femme pour y mettre ton bijou apporte beaucoup de plaisir. Quant à ta belle mère, je rêve d'avoir une belle-mère comme la tienne...

réponse de : Microstring le: 19/09/2018 à 05h37

maintenant je suis toujours habillée en femme et hauts talons paire de bas porte jarettelles et une mini jupe je ne porte jamais de petite culotte ma femme dit que ça sert à rien elle préfère que je reste toujours cul nu elle aime bien parce que quand je suis assis tout le monde peut voir ma toute petite quiquette minuscule ou quand je me penche en avant tout le monde peut voir mon petit cul nu par derrière ça fait plaisir à ma femme tout le monde dit que je suis très mignone et que je suis une vraie petite sissy

commentaire n° :24 posté par : Bruno le: 13/11/2018 à 02h45

Un côté travesti exhibitionniste favorisé par ta femme et qui semble t'exciter beaucoup . Profites-en . Quant à ne pas porter de minuscules strings, je pense que tu passes à côté du plaisir intenses de sentir sa queue enfermée dans de si fins tissus. A chacun son trip. Moi, j'adore...

réponse de : Microstring le: 13/11/2018 à 16h23

quand y'a du monde qui vient à la maison ma femme me met juste un collant ou une toute petite culotte transparente comme ça quand le petit jus se met à gicler tout seul ça gicle dans le collant ou la petite culotte et ça évite d'en mettre parout

commentaire n° :25 posté par : Bruno le: 13/11/2018 à 02h49

Dommage de perdre ce précieux nectar que des femmes d'expérience adorent boire. Tu as bien de la chance d'avoir pour compagne une femme qui s'excite à te féminiser. Prends soin d'elle, ces femmes sont si rares...

réponse de : Microstring le: 13/11/2018 à 16h18

ma femme dit à tout le monde que c'est plus pratique comme ça le petit jus peut gicler tout seul n'importe où et ça évite d'en mettre partout après j'ai la quiquette qui baigne dans le sperme mais ça dérange personne je reste comme ça

commentaire n° :26 posté par : Bruno le: 01/01/2019 à 14h53

Si votre femme vous aime comme ça et que cela vous convient, je vous incite à continuer en 2019...

réponse de : Microstring le: 01/01/2019 à 15h30

oui ma femme préfère que je reste comme ça avec juste un collant ou une petite culotte comme ça je peux faire mon petit jus n'importe où même devant tout le monde ça dérange personne parce que je n'en met pas partout tout le monde voit le petit jus qui gicle tout seul dans le collant mais j'en met pas partout c'est plus pratque

commentaire n° :27 posté par : Bruno le: 31/01/2019 à 18h03

Jouir dans une petite culotte transparente de femme et voir les gouttes de sperme perler lentement au travers du fin tissu est un moment très jouissif. Pour ma part, je n'ai jamais eu l'occasion de le faire devant mon ex-femme et encore moins en petit comité. Tu as beaucoup de chance d'avoir une femme qui te pousse à te féminiser de cette façon

réponse de : Microstring le: 01/02/2019 à 15h44
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