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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 18:50

     Et si on reparlait de la notion d’identité de genre ? À l’origine, les études de genre, rebaptisées « Théorie du genre » par ses détracteurs, avaient pour but de poser les bonnes questions sur l’égalité sociale des femmes par rapport aux hommes. Historiquement, les hommes dominants avaient imposé un rôle secondaire aux femmes, faire des enfants, les élever et entretenir la maison. Sous la poussée des féministes durant les années soixante-dix, on a donc commencé à étudier la distinction des genres  pour mieux comprendre la différenciation sociale entre les sexes et lutter contre les discriminations qu’elle engendrait. Et pour cela, il fallut construire un individu nouveau déconnecté des habituels comportements masculin-féminin. D’où les excès de la théorie de genre... 

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     En fait, l’identité de genre est un concept moderne qui dissocie le sexe génétique de l’identité sexuelle qui elle est une construction sociale. L'identité de genre consiste à s’interroger sur la façon dont chaque personne vit son orientation sexuelle indépendamment de son sexe biologique. Il s’agit en fait d’étudier comment s’articulent la différenciation entre identité sexuelle et orientation sexuelle dans le but de déconstruire les stéréotypes habituels.  Autrement dit, chaque individu, qu'il soit homme ou femme, vit sa sexualité et son genre en fonction de ses désirs et de ses attirances sans tenir compte du formalisme imposé par les critères sociaux mâle-femelle.

     On est bien d’accord que les vêtements n’ont pas de chromosome XX ou XY, et par conséquent, qu’il n’y a rien de naturel dans le fait de porter une jupe pour une femme. Un comportement donc bien lié à l’environnement social. Or, au sein même des deux sexes officiellement définis, ne pas être conforme aux stéréotypes de son genre est perçu comme une agression.

     Après soixante ans d’étude venus étayer la distinction entre sexe génétique et sexe social, il serait temps que ces comportements, qualifiés de marginaux par les psys, acquièrent enfin toute la légitimité qui leur est due…


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 06:12

     Vous l’aurez compris, ma liaison avec cette femme ne dura pas. Elle comprit très vite l’homme que j’étais, un homme accro aux hormones féminines, qui préférait être femellisé plutôt qu’assumer ses fonctions de mâle dans l’intimité de son couple. Elle ne me reprocha pas mes fantasmes, mais préféra fréquenter des hommes plus virils.

     Une fois de plus, je me retrouvais seul avec mes délires de gros seins remplis de lait. Pour me consoler, j’appelais Yasmina au téléphone. Elle essaya vainement de me rassurer et promit de me voir le plus tôt possible. Comme sa mission d’aide humanitaire se terminait, on convint de se retrouver à Paris dans les jours suivants.

     Dans ses bagages, il y avait un véritable trésor : que des hormones sous forme de gélules, de comprimés et d’ampoules. Étant sage-femme, elle n’avait aucun problème à se les procurer auprès de son ONG :

 -     André, je t’ai apporté de quoi suivre un traitement hormonal pour plusieurs mois dans le but d'allaiter.

-      Je ne veux pas de ton cadeau, c’est toi que je veux.

-      Excuses-moi. Bien que tu sois le seul homme avec qui je m’éclate réellement, j'ai maintenant ma nouvelle amie à assumer. Tu sais combien je vous aime tous les deux.

-      Mais alors, pourquoi ne pas continuer ensemble ? On pourrait vivre à trois avec Uzly.

-      Comme toi, j'ai envie que tu réussises à induire une lactation. Si tu y arrives, je te promets de rester en contact avec toi. Mais cette fois-ci, suis mes conseils à la lettre et oublie ton côté mâle. 

       En me rendant compte que Yasmina vouloir toujours me femelliser, je fus rassuré. Notre séparation n’était donc pas définitive. La preuve, elle était là devant moi avec ses fantasmes laitiers. 

-     Comme je l’avais dit, tu dois simuler les réactions hormonales d’une femme enceinte pour réussir à induire une lactation. N’essaie pas d’avoir des montées de lait trop vite, ça ne marchera pas, car tes glandes mammaires ne sont pas suffisamment développées. Il faut qu’elles atteignent le stade 4, voire 5 sur l’échelle de Tanner, le stade 5 correspondant à une poitrine mature*. Le principe est d'augmenter progressivement les doses hormonales pendant six mois minimum pour avoir des glandes mammaires capable d'allaiter.

-      Crois-tu que dans ces conditions mes seins seront assez gros pour que je puisse les sucer directement ?

-      Ne rêve pas, tu es un homme génétique. Ta poitrine ne peut pas se développer comme celle d'une femme, même si tu prends beaucoup d'hormones femelles… 

-      J’aimerais tellement y arriver. Tu sais combien je fantasme là-dessus...

-      Voici comme poursuivre ton traitement. Je te donnerai tous les détails surle traitement à suivre plus tard. Avant d'avoir des montées de lait, il faut d'abord développer tes seins au maximum, que tes glandes mammaires atteignent au moins le stade 4 sur l'échelle de Tanner, le stade minimum où il y aura suffisamment de tissus mammaires pour produire du lait. Tout d'abord, je te conseille de prendre un bloqueur d'hormone mâle. Tu dois atteindre un seuil très bas, identique à celui d'une femme génétique. Cela te rendra définitivement stérile, voire impuissant, mais par contre tu développeras rapidement ta féminité. Cela ne devrait plus poser de problème puisque tu es déjà stérile. Et ta verge bande si mou que tu n'arrives même plus à pénétrer une femme.

     Au cinquième mois, tu compléteras le traitement hormonal en y adjoignant de la Dompéridone à haute dose. À six mois de traitement, tu cesseras alors brusquement ces hormones tout en continuant la Dompéridone. Cela imitera biologiquement une femme qui accouche et trompera l’hypophyse. Cette glande déclenchera alors naturellement une lactation après quelques jours. Pour favoriser les montées de lait, il faudra parallèlement que tu utilises un tire-lait pour simuler les tétées d’un bébé. À moins que tu arrives à te sucer toi-même les seins s’ils sont assez gros ou que tu trouves un bébé pour cela.

Yasmina rit de bon cœur à cette idée. Elle regarda mes seins puis les caressa en titillant les mamelons. 

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-      Suite à l’arrêt brusque des hormones féminines, quelques gouttes de lait devraient apparaître après deux à trois jours au plus tard. Ce sera du colostrum, un liquide brun-clair très sucré et délicieux. Continue alors la Dompéridone à forte dose tout en utilisant le tire-lait ou ta bouche si tu arrives à te téter directement tes seins. En quelques jours, ta production de lait va progressivement augmenter. Si tu suis à la lettre mes conseils, tu arriveras à produire 250 à 350 ml de lait par jour environ.

-      Waouh! Ce serait chouette d'y arriver. Je pourrai faire mon café du matin avec mon propre lait, voire même boire directement mon propre lait. Ce serait merveilleux si j’arrivais à me sucer les seins et à boire directement ce délicieux breuvage que produira mon corps. Plus besoin d'un tire-lait ou de la bouche d'un bébé. J’en rêve…

-      J’espère que tu vas y arriver, tu sembles si accroc que je suis de tout cœur avec toi.

-      Mais à quelle dose dois-je prendre ces hormones ?

-      A la fin de ton traitement, les doses seront très fortes, bien supérieures à ce que prennent les transsexuelles. Je te ferai une  prescription que tu suivras impérativement sans tenir compte des effets secondaires négatifs.

-      Aie ! Cela va complètement dénaturer mon côté mâle.

-      Si tu veux induire une lactation, c'est la seule façon d'y arriver. Souviens-toi, tu as déjà essayé et malheureusement ce fut un échec. Tu étais si pressé que tes glandes mammaires ne se sont pas assez développées.

-      Mais sans toi à mes côtés, ce sera difficile de franchir le pas.

-      Je serai toujours là pour t'accompagner sur le chemin qui fera de toi une femme allaitante.

     A ces mots, je tremblais d'excitation et serrais Yasmina dans mes bras.

     Après avoir défini mon traitement hormonal en détail, elle en profita pour abuser de ma féminité. Elle excita mes petits seins puis m’ouvrit avec sa main au cours d'une prodigieuse sodomie. Elle attendit que mon sperme s'écoule de ma verge puis me parla de sa fille adoptive Ulzy. Après ces heures merveilleuses passées ensemble, elle repartit vers son destin en me laissant seul avec mon délire de lactation. Fallait-il franchir le pas, devenir femme pour réussir à allaiter ? A cet instant j'étais prêt à le faire, quitte à perdre mon identité de mâle pour réussir là où aucun homme sensé n'avait fait cette folle démarche…

* Ce qui importe est la quantité des glandes mammaires, mais aussi la qualité des cellules qui les composent. Des femmes avec des petits seins (bonnets AB ) réussissent à allaiter...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 21:04

     Il est surprenant comme mon fantasme de femellisation a évolué au fil des années. Mes lecteurs le savent, je suis maintenant séparé de ma compagne Yasmina. A vrai dire, son côté lesbien a pris le dessus sur sa raison. Tout au long des années vécues ensemble, elle a fait de moi la femme de ses fantasmes, une femelle avec de gros seins et une chatte ouverte à ses délires de domination tout en ayant un mari, un homme dont elle était fière en société. Échec et mat, j’ai tout perdu ! Contrairement à ses promesses, Yasmina m’a quitté pour une très gamine délurée dont elle a la garde officiellement. La voilà à partager un délire de mère adoptive et incestueuse avec cette fille. Elle qui a toujours rêvé d’éduquer sexuellement une gamine à sa façon, comprenez que je ne fais plus le poids. Heureusement, notre séparation n’est que relative puisqu’on se revoit à l’occasion. Eh oui, elle ne peut plus se passer de l’homme que son fantasme a façonné au fil des années. Et moi, comme un con, j’espère son retour. Je lui ai même proposé de faire ménage à trois.

     Nous nous sommes rencontrés récemment à Paris. Elle revenait d'une mission humanitaire en Afrique. Elle avait plein de boites d'hormones avec elle et voulait que je tente l'impossible challenge d'induire une lactation... 

    Depuis notre séparation, je tentais vainement d’oublier la femelle que j’étais dans ses bras et de redevenir un homme. Or, conditionnés depuis des années par les hormones féminines, mon corps et mon caractère ne pouvaient plus à s’en passer. Les hormones avaient façonné un individu qui se sentait homme en société et femelle dans l'intimité. Mes seins laiteux étant au centre de nos fantasmes. J’espèrais les voir grossir toujours plus et provoquer de généreuses montées de lait que je boirais directement. J'étais obsédé par toutes ces grosses poitrines de femmes giclant du lait sur le Net et mon regard plongeait en permanence dans les décolletés des femmes rencontrées dans la rue. J’en venais à jalouser celles qui allaitaient leur bébé. Rendez-vous compte, je finis par rêver d’allaiter une femme adepte d'allaitement, voire même un bébé. Ce serait merveilleux si je pouvais me sucer directement les seins, mes tétées entretiendraient alors mes montées de lait.

     Depuis notre séparation et malgré ce fantasme obsessionnel, j’ai cessé tous traitements hormonaux en gérant au mieux leurs effets secondaires. Hélas, tel un drogué, j'étais en manque ! Ne plus pouvoir vivre avec Yasmina ce délire d’avoir des montées de lait me démoralisait complètement. En conséquence, je replongais dans les hormones en gérant au mieux. Fallait-il me lancer à fond comme le voulait Yasmina, induire une lactation selon ses conseils ? Pas un seul jour sans que je contemple les boites d'hormones qui attendaient ma décision de faire le grand saut. Pas facile, je l’avoue, prendre une aussi grande quantité d'hormones féminines allait dénaturer ma condition de mâle. J'hésitais, car je n'avais pas l'âme d'une transsexuelle...

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         Entre-temps, je rencontrais à nouveau une charmante femme, bien plus jeune que moi. Sa jeunesse, son corps aux seins généreux, sa croupe rebondie et son ventre nerveux réveillèrent mes désirs mâles ; un feu ardent me consumait à présent. Oui, mais voilà, malgré l’aide des petites pilules bleues, j’avais beaucoup de mal à satisfaire ses envies sexuelles. Elle s’inquiètait par ailleurs de mes seins anormalement développés et se posait des questions sur le liquide séminal qui s’écoulait de ma verge à l’orgasme ; trop clair à son avis. Pour justifier ma poitrine de femme et ma stérilité, je prétextais un dérèglement hormonal avec pour conséquence une gynécomastie. Même pas le courage d’assumer mon délire de femelle et de lui dire la vérité. Comme nous ne vivons pas ensemble, je reprenais discrètement des hormones féminisantes sans rien lui dire. Bien que j’avais conscience d’accentuer mon impuissance et ma stérilité, c’était plus fort que moi. Sentir ma poitrine se réveiller à nouveau me procurait des sensations si merveilleuses que je ne résistais pas à l’appel des hormones. Or, un choix s’imposait par honnêteté envers cette femme : fallait-il faire fi de ma féminité au risque d’en être malade par privation ou l’assumer au risque de la voir partir vers d’autres horizons ? Quel horrible dilemme !

Ah si seulement Yasmina était restée à mes côtes...

 

Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 21:54

    Mesdames, quand je vous observe dans vos robes décolletées, avec vos seins généreux, vos hanches galbées, vos longues jambes, vos collants sexy, vos escarpins vertigineux, votre chevelure ondoyante, votre bouche aux lèvres brillantes et vos ongles vernis, je vous envie. Vous êtes si belles et si libres de jouer de vos atours. Quelle chance vous avez d’être femme ! J’aimerais tellement être comme vous. 

     Quand je vous observe d'un regard gourmand, je vois bien que vous vous dites : « encore un mec qui me matte en s’imaginant des trucs ! » Et pourtant, je ne vous regarde pas avec des envies lubriques. Je vous regarde parce que vous déclenchez en moi le désir d’être aussi féminine que vous, parce que je m’identifie à vous. Je vous aime tellement que mon désir est de vous ressembler. Quand je rêve au féminin et donc à être féminisé par une femme, cela se transforme en une intense volupté. Avec ce fantasme masculin, je vis ma féminisation en portant des attributs féminins comme vous, ce qui me conduit systématiquement à une jouissance sexuelle. Hélas en solitaire, car cela choque l’idée que vous vous faites d'un homme viril.

trav-copie-1     Mesdames, vous l’ignorez peut-être, mais il existe beaucoup d’hommes comme moi, des hommes qui vivent discrètement leur féminité refoulée. Coupable d’une tare qui les submerge, une maladie honteuse alors qu’ils adorent simplement se voir au féminin. Impossible pour eux de se travestir en femme, de se montrer tels qu’ils sont eux-mêmes. En conséquence, la société les oblige à une souffrance terrible ! 

     Mesdames ne me prenez pas pour un homo et ne soyez pas cette femme qui perçoit ma féminisation comme une négation du mâle, comme une sorte de castration qui m’ôte toute masculinité, toute possibilité de pénétration à vos yeux. Par ces comportements, je ne fais qu'exprimer la part de féminité qui vit en moi. Je suis un homme et je désire le rester. Qu'il est difficile de me confier à vous. Et pourtant mes confidences sont une grande preuve d’amour. Lorsque vous m'acceptez ainsi, cela me permet de traverser plus facilement les épreuves du temps. 

     Mesdames, si vous me découvrez fortuitement à vivre clandestinement ma féminité, ne me rejetez pas. Au contraire, aidez-moi à la vivre ouvertement. C’est pour moi un bonheur sans égal. Je désire juste explorer ma féminité à vos côtés, sortir, travailler, faire du shopping comme vous. Je rêve de vous aimer en étant simplement moi-même sans avoir à me cacher. Acceptez-moi tel que je suis et je vous rendrais mille fois plus heureuse. Sinon, quel enfer cette vie de travelo !


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Lundi 12 septembre 1 12 /09 /Sep 03:27

     Pour vous, tout a commencé innocemment à l’adolescence, un âge où la montée hormonale vous a poussé à de fréquentes masturbations à défaut d'une copine avec qui satisfaire ce désir nouveau qui vous submergeait. Une incontrôlable envie qui vous a pris au ventre avec une force incroyable. Vous vous êtes faufilé discrètement dans la chambre de votre sœur ou à défaut dans celle de votre mère pendant leur absence. Vous avez ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, vous avez touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à votre regard. En tremblant d’émotion, vous avez choisi une petite culotte sexy, oui, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, votre instinct vous a poussé à l’essayer. Vous l’avez enfilé sur vos hanches juvéniles tout en vous admirant dans le miroir de la grande armoire. Excité de vous voir ainsi, votre verge turgescente a jailli du fin tissu et vous à poussé à une vive masturbation. Peut-être même que vous avez joui dans la petite culotte de votre soeur. De voir par transparence votre semence perler goutte à goutte vous a procuré un plaisir plus fort que toutes les masturbations que vous connaissiez jusqu’à présent. 

     Au fil du temps, vous vous êtes pris de passion pour la lingerie féminine. Vous avez même "emprunté" des petites culottes à votre sœur, un précieux butin que vous ressortiez à chacune de vos envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des jupes au raz des fesses, des talons aiguilles vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers. A chaque séance, vous vous masturbiez tant le plaisir était fort. Vous avez découvert par ce biais une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que vous connaissiez avec les femmes. Hélas, après chaque orgasme, vous vous sentiez honteux et coupable, car un homme hétéro ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, il ne  doit jamais remettre en cause sa virilité.

     Votre conscience vous dictait alors de renoncer, de jeter ces lingeries féminines si attirantes, de corriger ce plaisir que vous cachiez à votre femme ou à votre compagne. Vous ne vouliez plus recommencer. Or, le virus de la féminisation était en vous. Vous ignoriez que vous étiez dans une spirale qui échappait à votre contrôle. Par faiblesse, vous avez recommencé en vous cachant, quitte à vous dégoûter un peu plus après chaque nouvelle expérience.

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     Puis est arrivé ce jour ou votre compagne vous a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, vous veniez de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte !  Elle s’est d’abord indignée puis s’est ouvertement moquée de votre penchant ridicule. Après de vaines explications, elle vous a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui-là. Eh oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, vous vous êtes senti honteux devant elle, sans défense, incapable de vous justifier.

     Avec le temps, cette séparation vous a finalement arrangé. De par votre nouveau célibat acquis, vous pouviez enfin vous livrer ouvertement à vos plaisirs féminins les plus extrêmes, mais en solitaire. Vous vous êtes donc consolé en achetant tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui vous excitaient tant : habillé en femme devant le grand miroir, vous vous masturbiez sans cesse en regardant vos jambes gainées de soie, votre corps épilé, vos tétons qui pointaient, votre queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy. Vous preniez des poses suggestives, excessivement féminines, tout en éprouvant une sensation bizarre. Vous ne vous en rendiez pas compte, mais en vous dévirilisant ainsi, vous étiez en train  de renoncer à votre statut d’homme viril…

     Pour vous consoler, vous avez rencontré sur le Net des gens qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger vos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise auprès des hommes vous stimulait toujouts plus. Conditionné par d'autres travestis, vous avez même envisagé un traitement hormonal pour mieux vous féminiser et surtout développer votre poitrine. Vous avez discuté de vos fantasmes avec des hommes, des hétéros puis vous avez accepté des rendez-vous intimes. Des hommes toujours plus nombreux que vous faisiez jouir dans votre bouche ou dans votre chatte. Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne vous attiraient pas. Avec les hétéros, vous pouviez enfin vous travestir à votre gré, jouer de votre féminité et les exciter comme une femme. Ces hommes recherchaient une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchants sexuels les plus outranciers, des jeux comme la sodomie qu’une femme n’accepte pas facilement, des actes sexuels que les hommes n’osent pas demander à leur femme par pudeur. Eux utilisaient à leur guise la femelle en chaleur que vous étiez, faisaient de vous un objet sexuel soumis à leurs fantasmes les plus osés. Et vous, vous appréciez cette inversion des rôles, être une femme soumise entre leurs bras. Vous avez alors découvert combien une queue de mec entre vos lèvres vous procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme vous ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’avais lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute.

    Ca, c’était au début, quand vous découvriez le bonheur de vivre ouvertement votre féminité. Votre féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre associé à une certaine douleur. Vous avez acquis de l’assurance et sans même vous en rendre compte, vous avez pris du plaisir par-derrière en oubliant vos érections. Vous n’éprouviez même plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie vous rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, votre anus se transformait en une chatte accueillante qui vous procurait un plaisir de femme. Oui, en devenant une femelle soumise vous renonciez inconsciemment à votre virilité de mâle. Vous n'étiez plus qu'une femme travesti en chaleur...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 24 janvier 7 24 /01 /Jan 21:42

     Qu’espérer de plus de ce long parcours sexuel qui conditionne ma vie depuis tant d'années ? Moi le macho fier de sa virilité de mâle, me voici devenu un être hybride, mec à l'extérieur et femme à l'intérieur. Au contact de mes amies ghanéennes, un couple de lesbiennes, de Rio, une merveilleuse transsexuelle, et surtout de Yasmina qui m’imposa durant ces dernières années son délire de femellisation au point d’en perdre la raison, je suis devenu une personne à l'état ambigüe. Ni mâle ni femelle, je suis à présent incapable de me défaire d'une identité de genre hybride, incapable de revenir à mon état originel de mâle tellement je suis drogué aux hormones femelles. Il apparaît aussi dans ma démarche une contradiction que les transsexuelles dénoncent souvent. On ne peut pas être à la fois un homme avec une verge bandante et une femme avec des seins proéminent. Les hormones féminisantes s’opposent à cette dualité. Tôt ou tard leurs effets féminisants neutralisent la masculinité.

     Les transformations liées aux hormones que je prends depuis des années sont physiquement bien installées à présent. Je ne me reconnais plus dans mon nouveau corps. Ma silhouette masculine a beaucoup perdu de sa virilité. Moi qui espérais garder un corps svelte et une énergie de bon aloi, je l’avoue, je n’aime plus mon corps. Mes muscles ont fondu comme neige au soleil et je manque totalement d'énergie. Résultat, le sport m’est devenu un exercice difficile. J’ai beaucoup grossi, un ventre proéminent, un bassin aux rondeurs inquiétantes, enrobé d’une masse adipeuse. Un régime s’impose, mais Dieu qu’il est difficile de résister à la faim qu’entraîne mon régime hormonal. Rendez-vous compte, j’ai pris deux tailles de pantalon depuis. Auparavant, j’adorais ma silhouette nue dans un minuscule string féminin. Mon corps ainsi vêtu me faisait penser à celui d’une femme. Il ne lui manquait que des seins pour être parfait. Et bien maintenant, je me trouve ridicule avec mon ventre débordant et mes chairs avachies. Et pourtant j’ai des seins… 

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   En société, je garde l'apparence d'un homme viril, un peu macho, voire rebelle avec les femmes, mais à l’intérieur, je suis une femelle hypersensible, fragile et face à une situation triste, les larmes me montent facilement aux yeux. Moi, à qui on avait appris à ne jamais pleurer, je mesure les changements vécus. Une immense satisfaction tout de même, j’ai une vraie poitrine de femme maintenant. Oh, rien à voir avec les seins opulents qu’ont certaines femmes. Les miens poussent en pointe. Mamelons et aréoles sont projetés en avant, un peu comme les seins d'une fille pubère en développement. Comme tous les ados, il me faut attendre que la saillie des aréoles se résorbe et arrive au même plan que les seins si je veux atteindre le dernier stade de développement d'une poitrine de femme ; à la différence que je dois me bourrer d'hormones pour y arriver. Je me contente pour l’instant de petits bonnets B. Mais j’ai bon espoir d’atteindre une taille C, ceci grâce à l’allaitement qui gonflera mes glandes mammaires. Tout mon être tend vers ce but et j’adapte mon régime hormonal en conséquence. 

     Par contre, lorsque je vois les gens de mon âge, j’ai quelques avantages à prendre des hormones féminines. Ma chevelure présente un volume qu’on me jalouse parfois. Ma peau est d’une douceur agréable et les poils qui ont résisté à l’épilation laser sont devenus très fins.  Moi qui avais les traits du visage assez dur, me voici avec un regard et un profil adouci. Les femmes ne s’y trompent pas et me sourient bien plus qu’avant. Et côté caractère, j’ai acquis une tolérance qui plait. Je ne condamne plus certaines idées comme auparavant. 

     Un problème nouveau tout de même, impossible de cacher ma poitrine sous les vêtements légers qu’on porte ici. Les mamelons pointent fièrement et le volume de mes seins est le reflet bien visible d'une nature ambigüe. Dans mon entourage professionnel, personne ne se doute de cette transformation si ce n’est que j'en perçois les regards curieux. Les gens pensent à une gynécomastie, une réaction fréquente chez les hommes de mon âge. Mais lorsque je suis torse nu, amis et médecins ne s’y trompent pas. Ils comprennent qu’il se passe quelque chose. Or ils n’osent pas me poser les questions qui gênent par pudeur


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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