Marqué à jamais par l'aventure
vécue avec Fatou et Mariam, j’eus un passage à vide. Comme j’avais ces deux filles dans la peau, je m’expatriai donc vers d’autres contrées. Seul moyen à mon avis pour essayer de les oublier.
Malgré la mer et le soleil tropical du pays que j’habitais maintenant, je n’y arrivais pas. Trouver deux femmes en une seule, qui de plus se passionneraient à me féminiser, relevait de
l’impossible. On n’a qu’une seule chance dans sa vie. Etais-je passé à côté ? Le moral au plus bas, je traversai une période où l'existence me sembla sans intérêt. Je me réfugiai dans le travail,
évitant de penser à cet amour perdu.
Conditionné par ces deux filles, je continuai néanmoins à satisfaire mes envies de
féminisation, mais en solitaire cette fois-ci. Oh, ce fut très discret par rapport à ce que j’avais vécu. Je me contentai d’avoir un corps aussi lisse que celui d'une femme et de porter des
petits strings féminins en guise de sous-vêtements. Je trouvai un salon d’esthétique qui accepta de m’épiler alors que ce n’était pas encore l’usage ici. Bien sûr, il ne fut pas question d’épiler
les zones intimes. Puritaines jusque dans l’âme, les esthéticiennes de ce pays se choquaient de telles pratiques. Avec le
temps il s’installa tout de même une certaine complicité avec mon esthéticienne. D'une part, j’étais un bon client et, de par mon âge, je n’avais rien d’un pervers sexuel à ses yeux. Et pourtant,
si elle savait…
Vous vous en doutez, je ne portais plus de slips de mecs depuis longtemps, même dans
des cas intimes. Je vins donc à mes rendez-vous chez l'esthéticienne vêtu de sages culottes de femme et adaptées à la circonstance. Seul un œil exercé se rendait compte de la
différence. Hormis une petite doublure à l’entrecuisse, les culottes de femmes n’ont aucun renfort sur le devant contrairement aux slips d’hommes qui eux sont renforcés pour maintenir les
attributs mâles. Leur tissu très fin laissait donc entrevoir la forme de mon sexe tout en le masquant subtilement aux yeux de mon esthéticienne.
A chaque épilation, je vins par jeu avec des culottes de plus en plus plus petites.
Par réflexe professionnel, l’esthéticienne épilait les poils qui en dépassaient sans se rendre compte de mon subterfuge. Hélas, il ne fut jamais question d’aller au-delà. D’ailleurs, elle
n’insistait jamais entre les cuisses. Pudeur de femme ! Une fois seul à la maison, je m’épilais les «parties interdites ». Au niveau des testicules si fragiles, pas facile de retirer les bandes
de cire. Quant au sillon interfessier, je ne voyais rien de mon travail dépilatoire. Quelle maladresse, que de contorsions et de souffrance à m’épiler ainsi ! Mais une fois lisse, quel plaisir de
sentir la douceur de ma peau à ces endroits intimes. Bien souvent, mes doigts s’égaraient là où Mariam m'avait donné tant de plaisir. Cela se terminait à chaque fois par une délicieuse
masturbation. J’adorais ensuite m’enduire le corps de lotions ou de crèmes hydratantes. Ma salle de bain se remplit de nombreux produits de beauté, ce qui ne manquait pas de surprendre les
invités qui se rendaient aux toilettes.
Il y avait à quelques kilomètres de chez moi, une petite plage isolée de toute
habitation. Je pris l’habitude de m’y rendre le matin en semaine pour profiter de la mer et du soleil en toute tranquillité. C’était aussi l’endroit idéal pour pratiquer un peu d’exercice. Il y
avait plus loin d’énormes rochers en bord de mer sur lesquels je m’efforçai de courir comme un jeune cabri.
Découvrir les plaisirs de la plage en solitaire fut un régal. Enduire d’huile bronzante
mon corps lisse, exposer aux rayons du soleil mon ventre et mes fesses épilés stimula une terrible sensualité en moi. Hélas, bien qu’isolée, pas question de me mettre nu ou de porter un minuscule
string sur cette plage. Quelqu’un pouvait me surprendre. De plus, des voyeurs se cachaient parfois dans les bosquets environnants.
Selon mon
habitude, j’utilisais des bikinis de femme en guise de maillot de bain. Leur coupe plus ajustée et leur matière plus fines me convenaient à merveille. Comme mes culottes, leur entrejambe très
étroit cachait difficilement mon sexe. Lorsque j’écartai les cuisses, un observateur attentif pouvait discerner mes testicules épilés. De par leur matière extensible, en roulant ces bikinis sur
mes hanches, ils se transformaient en de minuscules strings qui recouvraient juste la protubérance de mon sexe. Un peu à l’image d’un cache-sexe ou de ces microstrings d’aujourd’hui qui couvrent
à peine la vulve des femmes. Si une personne s’approchait ou lorsque je me levais pour me baigner, je déroulais le maillot pour lui redonner l’apparence d’un maillot de bain décent. Ce qui aurait
été impossible avec un string.
Les bikinis de femmes sont souvent vendus avec des soutiens-gorges assortis.
Que faire de ces hauts devenus inutiles ? J’eus alors une idée de génie. Je me mis à la couture pour cela. Un coup de ciseau, un peu de fil à coudre et une aiguille pour modifier la ficelle qui
reliait les deux triangles du soutien-gorge et je me retrouvais avec deux minuscules cache-sexes. Un côté micro qui me ravissait. A l’achat, je choisissais donc ces bikinis en conséquence,
prenant soin de prendre la plus petite taille existante. Je découvris ainsi qu’il existait du 34. De par leur soutien-gorge minuscule, j’achetai même des maillots de bain de fillettes. Idéal pour
cette fonction !
Ma libido ainsi satisfaite, je pus me livrer à mes jeux de plage favoris. Rien à
voir avec les pâtés de sable que font les enfants. Qui n’a pas enduit d’huile bronzante son sexe épilé et son anus lisse ne peut comprendre le plaisir qu’on en retire. De par la forte lumière du
soleil, le moindre poil parasite se voyait sur mon ventre. J’en profitais donc pour m’épiler avec une pince. Des heures durant, je chassais les intrus à la recherche d’un sexe et d’un pubis
toujours plus lisse. Ces instants passés sur la plage me déconnectaient complètement de mes turpitudes professionnelles. La tête vide, j’oubliais tout.
Je fus surpris un jour par un jeune homme du pays. Certainement un voyeur qui
m’avait vu dans mes œuvres. Un homme en string qui s'épile le sexe ne pouvait être qu'un gay à ses yeux. Il me proposa tout naturellement de me sucer. Etonné, j'acceptai par curiosité. De
constater qu’il lui manquait des dents devant me fit sourire. Cela favorisa la fellation. A l'orgasme, je le prévins et au lieu de me finir à la main, il avala avec gourmandise le fruit de ma
jouissance. On se revit à l'occasion par la suite. A chaque fois complice, il me donnait de plus en plus de plaisir au point que je finis par m'habituer à ses fellations.
Vous le savez peut-être, les anciens prêtent des vertus au bain de siège à
l’eau salée. Je me régalais donc de lavements du colon à l’eau de mer. Pour cela, les petites bouteilles de soda en plastique étaient idéales. Une fois remplie d’eau, j’introduisais le goulot
dans mon anus et pressais fortement la bouteille. Par la pression ainsi créée, l’eau s’insinuait dans mon ventre et remontait délicieusement dans mes intestins. Je recommençais plusieurs fois ce
manège avant de sentir mes entrailles se remplir complètement. Mon ventre ainsi gonflé par l’eau de mer, je me retenais le plus longtemps possible avant d’évacuer.
Me remplir le cul au maximum devint un plaisir sans cesse renouvelé. Je commandai pour
cela un gode gonflable. Sentir mon ventre se gonfler comme une baudruche prête à éclater, éjecter le gode de mon anus dilaté me rappela les excès de Mariam. Je suis certain qu’elle aurait
aimé me voir ainsi. Mais cela ne me suffit pas. J’éprouvai aussi le besoin de martyriser cet anus qui en voulait toujours plus.
Un de mes jeux préférés consistait à ramasser des galets très lisses et de plus en
plus gros sur la plage. L’anus bien huilé et dilaté, j’en introduisais un maximum. Là aussi, je les gardais le plus longtemps possible. Mon cul s’animait sous leur poids et tentait vainement de
les rejeter par réflexe. Marcher avec un tel poids dans le ventre, m’obligeait à serrer l’anus distendu, ce qui me procurait des sensations très particulières. Je devais contrôler en permanence
mon sphincter. Sans compter que j'avais le derrière en feu tellement ces galets m'irritaient.
Bien sûr, ces séances de bronzage très spéciales se terminaient à chaque fois
par de fabuleuses masturbations. J’adorais voir mon sperme gicler en de minces filets blanchâtres dans la mer. Je découvris à cette occasion que les petits poissons du lagon étaient friands de
mes jouissances. A la longue, ceux-ci me reconnurent. Je m’amusais de les voir tourner autour de mon sexe pendant que je me masturbais. Comme des poissons d’aquarium, ils attendaient impatiemment
leur nourriture.
De par ces plaisirs marginaux, je ne me rendais pas compte que je m’isolais de plus
en plus des femmes. Et pourtant, je continuais à croire naïvement que l'une d’entre elles s'éclaterait ainsi avec moi...
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