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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 00:19

     Passer du rêve à la réalité... Quelle est l'homme travesti qui n’a pas fantasmé sur une maitresse sexy qui s’excite à forcer son amant à devenir femme jusqu’à en perdre ses repères de mâle ?  Je l’avoue, il m’arrive de  rêver qu'une telle femme viole mes dernières réserves masculines, qu'elle fasse définitivement de moi une femelle au service de ces délires sexuels. Voici une petite histoire inspirée des écrits d’une travestie Sabine22, "Corps d’homme, Corps de femme". Nous sommes là dans un monde virtuel où tout devient possible…

    « Je ne sais pas où je suis lorsque je me réveille, mais le confort de la chambre me rassure. Des draps de satin rose, de gros oreillers en plumes d’oie et aux murs des toiles de maître. Toutes ces toiles montrent des femmes dans des poses suggestives avec de généreuses poitrines d’où perlent des gouttes de lait. Ces tableaux me rassurent, mais j’angoisse tout de même un peu. Où suis-je, qu’est ce que je fais dans cette chambre inconnue ? Bien que je sois encore groggy par la soirée vécue, tout me revient progressivement en mémoire. On m’a probablement drogué pour mieux abuser de moi. J’ai l’impression que mon corps et mes entrailles sont en bouillie.

     Alors que je suis à peine éveillé, deux gardes en uniforme entrent dans la chambre sans prévenir : « Debout Sabine, prend rapidement une douche. Tu as cinq minutes. » Mais pourquoi m’appellent-ils Sabine ? D’un regard autoritaire, ils esquivent mes questions sur la situation présente et me montrent la salle de bain. Je me lève d’un pas mal assuré. Mon esprit a du mal à se remémorer la soirée. Et quand je me vois dans le miroir de la salle de bain, je suis surpris par mon corps tout lisse. Que m’est-il arrivé ? Plus aucun poil, même mon sexe et mon entrecuisse sont épilés…

     Ma douche terminée, je remarque qu’il n'y a pour tout vêtement qu'un minuscule string bleu posé sur une commode de la chambre. Un petit mot l’accompagne : « Sabine enfile ce string et rejoins-moi avec les gardes. » Difficile de ranger ma grosse verge dans ce fin tissu ! Finalement, j’apprécie l'image renvoyée par le grand miroir de mon corps tout lisse juste vêtu de ce string. Au point d'avoir une érection.

     La porte de la chambre s’ouvre à nouveau et les gardes entrent, une fois de plus, sans se gêner. Ils s'amusent en voyant mon sexe en érection qui déborde du petit string. Gênée, je cache mon ventre avec mes mains croisées : « Eh bien, Sabine, tu es en forme malgré la nuit que tu viens de passer. Ta maitresse sera contente de te voir ainsi. » Je réalise alors ce qui s’est passé hier. Sur un site de rencontres,  j’avais sympathisé avec Sonia, une femme d’allure hautaine, de longs cheveux auburn avec de grands yeux verts. Elle recherchait un travesti à féminiser. Comme c’était la première fois qu’une femme exprimait un tel fantasme avec moi, j’avais à mon tour expliqué mon délire. Qu’une femme me transforme en femelle soumise et qu’on passe notre vie ensemble. Sonia avait insisté, étais-je vraiment prêt à franchir le pas ? Pour faire plus ample connaissance, elle m’avait alors invité chez elle. Mais que s’était-il passé ensuite ? Ma mémoire, abrutie par l’alcool et la drogue, était incapable de s’en rappeler.

     Les deux gardes, sans plus attendre, me passèrent un collier en acier autour du cou avec une laisse et sans autre vêtement sur moi que le string, ils me conduisirent à l’étage inférieur. Nous pénétrâmes par un sombre couloir dans une sorte de cabinet médical. La salle était d’une lugubre froideur. Je frissonnais. À gauche était installée une  table gynécologique et à proximité des ustensiles médicaux. Je remarquai aussi un écarteur vaginal qui me sembla énorme. Y avait-il des vagins qui s’ouvraient à cette dimension ? La question préoccupa mon esprit un instant. Mais les deux gardes se rappelèrent à moi. Ils m’installèrent sur la table gynécologique puis m’attachèrent fermement, chevilles, cuisses et poignets.

     Entra alors Sonia : « La nuit a été bonne Sabine, me demanda-t-elle ? » Elle me rappela notre soirée puis me montra un contrat signé de ma main. Captivé par sa beauté mystérieuse et par l’ambiance de la situation d’hier, j’avais confirmé par ce contrat vouloir devenir une authentique femelle entre ses mains si elle me prenait totalement mon existence en charge. J'étais à la fois effrayé et excité par ce qui m’arrivait. Elle me relit certains termes du contrat. En les entendant, je confirmai tout en frissonnant d'un mélange d’effroi et de plaisir. Ainsi cette femme voulait faire de l’homme que j'étais encore une femelle au service de ses fantasmes. J’en frémis de plaisir :

  «À partir de cet instant, oublie ton passé me dit-elle. Tu t’appelleras Sabine et tu vivras avec moi en permanence. Tu n'auras plus à te préoccuper de tes moyens d'existence. Je te prendrais totalement en charge, car je vais faire de toi une femelle destinée uniquement à satisfaire mes fantasmes ainsi que ceux de mes amis. Tu seras dorénavant ma femelle, une esclave au service de mes envies sexuelles ! Comme ta transformation en femelle me coûtera beaucoup d’argent, je me rembourserai en t'offrant contre rémunération à des mâles aux couilles pleines, voire à des femelles en rut. De toute façon, tu n’as plus le choix.»

     Sonia me dit cela tout en tournant autour de moi, sans me quitter des yeux. Puis elle ausculta mon corps, palpa mes petits seins et mes parties intimes. Elle décalotta mon gland, l’écarta pour mieux voir les détails de l’urètre. Puis ce fut au tour de mon entrecuisse et de mon anus. J'étais là, nu devant elle, soumis, inquiet et terriblement excité : 

« Pour commencer, je vais faire appel à une esthéticienne. Tu seras entièrement épilée au laser et donc aussi lisse qu'une femme. Puis je te ferai prendre un traitement hormonal pour développer tes seins et arrondir tes hanches. Parallèlement à ce traitement, tu subiras quotidiennement plusieurs pompages de tes seins pour grossir tes tétons et les préparer à des montées de lait. Bien sûr, tu laisseras pousser tes cheveux et tu seras toujours habillée en femme sexy. Bien que ta chatte soit déjà ouverte, il faudra la préparer à subir les assauts de mes amis. Tu porteras donc en permanence un plug qui maintiendra ton anus bien dilaté. Chaque jour, la femme qui s'occupera de pomper tes seins viendra te faire des séances de dilatation et me confirmera tes progrès. Reste une dernière question, que faisons-nous de tes testicules et de ta verge ? »

     Je restais pétrifiée à l’idée de me retrouver castré ! Sonia écarta mon string, prit mon sexe dans sa main et caressa mes testicules. Elle serra un peu pour mieux sentir leur grosseur. Malgré la peur panique qui s’emparait de moi, mon sexe se raidit. Cette femme savait y faire, elle possédait sur moi un pouvoir érotique hors du commun. « Vois-tu chérie, j’hésite ! Je pourrais te castrer pour accélérer ta féminisation. Je pourrais même faire opérer ton  sexe pour que tu aies un vagin à la place du pénis. Tu serais alors une authentique femelle ! »

 Ce disant, elle se pencha sur moi, approcha ses lèvres de ma verge et la  caressa du bout de sa langue, une caresse que je savourais délicieusement en fermant les yeux. « D’un autre côté, une si belle queue et de si belles couilles pourraient exciter certains clients. Moi-même, j’aimerais en profiter. Bon, je t’accorde un répit. Nous allons d’abord développer tes seins tout en évitant des hormones trop fortes qui handicaperaient tes érections. »

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     Je vis Sonia s’éloigner, ouvrir le tiroir d'un petit meuble métallique puis revenir avec un tube de gel à la main. Elle étala délicatement le gel sur mes seins et mon ventre, puis massa pour le faire pénétrer. Cela provoqua une nouvelle érection. Sonia reprit alors le tube d’hormone et enduisit mon sexe de gel. Puis elle le masturba vigoureusement. Un pur régal lorsque j’éjaculais :

-        Encore ! Oui encore, je suis votre femelle Sonia ! C’est trop bon !

-        Je verrai par la suite s’il faut t’implanter des prothèses mammaires. Auparavant j’aimerais provoquer des montées de lait.

-        Mais Sonia, je ne peux pas avoir de lait puisque je ne suis pas une femme.

-        Détrompe-toi, les hommes aussi ont des montées de lait si on fait le nécessaire.

     Cette vision d’avoir des seins débordant de lait affola mes sens. Je fermais les yeux et m’imaginais avec une grosse poitrine d’où le lait giclerait généreusement. A cette idée, j'eus une nouvelle érection:

-        L’esthéticienne commencera son travail demain. En attendant, je vais te traiter pour te femelliser.»

     J’aperçus alors Sonia avec une seringue à la main. Elle introduisit l’aiguille au-dessus de mon téton droit et vida la seringue dans mon sein. C’était un concentré d’hormones féminines mélangé à du sérum physiologique. Elle prit une nouvelle seringue et la piqua sans hésiter dans mon autre sein. Les hormones s’y infiltrèrent doucement, délicieusement. Mes seins se gonflèrent remarquablement.

- As-tu fait pipi ce matin ?

- Oui répondis-je.

     Elle décalotta alors mon gland et y injecta le contenu d'une autre seringue par l’urètre. Je sentis le liquide pénétrer étrangement ma vessie, la distendre jusqu'à l'extrême.

-  Ce sont aussi des hormones femelles mélangées à du sérum physiologique. Garde ce liquide le plus longtemps possible avant d'uriner, me dit-elle.

- Oui, fut ma seule réponse.

     Elle défit ensuite les liens qui me retenaient sur la table de travail. Alors que je croyais la séance terminée, elle  revint avec un bocal duquel sortait un long tuyau terminé par une canule. 

- Je vais te faire un lavement aux hormones maintenant. Ce sont des herbes qui favorisent le développement des seins et accélèrent la lactation. C'est plus efficace quand elles sont injectées par le colon.

     Une fois de plus je ne répondis pas. Il était trop agréable de me laisser féminiser entre les mains de cette femme. Qu'elle me remplisse ainsi d’hormones féminines me combla d’un bonheur immense. La femelle qui vivait en moi s’épanouissait enfin dans une resplendissante féminité.

     C'est alors qu'un bruit insolite me réveilla. J'étais là étendu sur mon lit, nu avec mon corps d'homme. Quelle déception de revenir ainsi à la vie... »


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 22:27

     Un de mes lecteurs avec qui je corresponds régulièrement m'a conseillé de détailler les conséquences de mon annonce. Voilà qui devrait le satisfaire...

 « Homme mature cherche femme qui souhaite féminiser un homme à outrance. Je lui offre mon corps jusqu'à avoir des seins hormonés. S'il le faut, je serai opéré du vagin rien que pour son plaisir. Madame, faites de moi votre soumis femellisé ! Je suis "ouvert" à toutes propositions sérieuses. »

     Ne recevant pas de réponse à mon annonce, je vous laisse imaginer ma déception. Hormis une jeune femme qui s’intéressa par curiosité à mes seins hormonés et deux maitresses vénales qui me proposèrent des séances de féminisation forcée, je constatai une fois de plus combien les femmes recherchaient avant tout des hommes qui les baisent royalement. Place à la copulation et à la nature animale des humains ! Exceptionnelles  les vraies amatrices d’homme femellisé.

     Or, trois mois plus tard, alors que j'avais oublié mon annonce, je reçus un email d’une femme qui trouvait mon annonce à son goût. Elle se prénommait Nat. Après quelques échanges sur le web, j’eus une vision plus précise de ses attentes. Célibataire et d’un âge certain, elle tenait un bar essentiellement fréquenté par de jeunes travestis dans une petite ville de province en France. A la recherche de leur identité de genre, ceux-ci venaient y faire la fête tout en testant leur pouvoir de femme sur les hommes comme sur les femmes d’ailleurs. Les penchants de Nat à leur égard étaient légendaires et tous les travestis de la région se devaient de passer par son bar. Au début, elle se moqua gentiment de ces garçons maquillés, "perruqués" et habillés comme des filles. Puis à force de les voir ainsi, l’image qu’ils dégagait finit par stimuler ses sens. Prise dans le tourbillon de leur féminisation, elle les conseilla et les encouragea à se féminiser toujours plus. Elle devint incapable par la suite de voir les hommes autrement. Elle les croisait parfois le jour en ville. Habillé comme tous les hommes, il était difficile d'imaginer que la nuit venue, ils se métamorphosaient en papillons qui se brûlaient les ailes au contact des hommes.

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      De par son âge avancé, la solitude commençait à lui peser, surtout quand elle se retrouvait seule dans son appartement face à ces problèmes. Bien qu’elle "goûta" sans modération à ses jeunes clients travestis pour se consoler, ces oisillons encore trop sauvages manquaient d'expérience : « Ils n’ont pas l’esprit assez mature pour satisfaire mes penchants sexuels. » Néanmoins, dès qu'une nouvelle tête apparaissait, elle s'empressait de la choyer. Nat me parla aussi d'un problème d’exploitation de son bar. Le propriétaire de l’immeuble voulant récupérer son bien, il s'était lancé dans une démarche administrative pour faire fermer son bar. Et quoi de mieux comme argument officiel que d’avancer la gêne nocturne apportée au voisinage. Un combat qui la décourageait, car ce propriétaire avait de puissantes relations.

     Dénaturée par sa clientèle travestie, l’idée avait pris corps dans son esprit de prendre pour amant régulier un homme bien à elle, un homme mature avec qui elle partagerait sa vie et ses fantasmes. Les hommes de la ville l’appréciaient beaucoup, mais lorsqu’ils découvraient ses véritables orientations sexuelles, ils se sauvaient par crainte d'y laisser leur virilité.  En conséquence, elle s’inscrivit sur un site de rencontres érotiques, le même que moi. Elle espérait y trouver l’homme de sa vie. Les réponses fusèrent nombreuses trop nombreuses mêmes. Mais pourquoi les hommes éprouvaient-ils le besoin de montrer leur queue ? Cela l'agaçait prodigieusement. Je lui demandai pourquoi j'avais été retenu. La photo jointe à mon annonce, où on me voyait intégralement épilé dans un minuscule string blanc de femme, se distinguait des autres. Selon elle, je dégageais un érotisme plein de promesses. 

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     Nat me demanda si j’étais prêt à aller jusqu’au bout de ses fantasmes. Elle me prévint, être féminisé à son contact dans le milieu travesti où elle vivait en permanence deviendrait un acte irréversible. Elle exprima clairement l’idée de m’hormoner pour que je réagisse en femme. Et pour finir, elle me prévint qu'elle voulait que j’ai un vagin à la place de mon pénis. Devenu femme jusque dans ma chair, il me faudra alors la partager avec ses clients travestis, des jeunes à la queue vaillante.

     Émoustillé par ses propos, je n’hésitai pas. Le hasard avait mis sur mon chemin cette femme. Avec de tels délires, cela méritait toute mon attention. Que Nat désirait que j'aille jusqu’à l’ultime opération ne put que stimuler mon imagination. Et pourtant avoir un vagin ne m'attirait pas. A mon avis, aucune femme en ce bas monde ne désire faire de son mari une transsexuelle avec un vagin à la place d'un membre viril. C'est là un fantasme de mec ! Pour mieux me situer, je lui détaillai ma relation vécue avec Yasmina ainsi que mes envies laitières. Lorsqu’elle apprit que j’avais déjà une poitrine hormonée et quelques gouttes de lait qui en avaient jailli, elle s’emballa :

Puissions-nous vivre ce fantasme ensemble le plus vite possible.

Je le souhaite vivement, répondis-je.

Qu’espérer de plus de cette femme d’expérience ? Restait à nous rencontrer réellement, car le Net réserve parfois des surprises… 


 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 22:00

     Arriva ce jour difficile où ma liaison avec Yasmina prit fin. Quelle déception ! Impossible pour moi de vivre sans elle, elle était au coeur de ma sexualité. Au cours d'une mission humanitaire à Sarajevo, elle s'était acoquinée avec une jeune fille mineure. Comme excuse, elle me reprocha d'être incapable de délicatesse et bien trop prétentieux pour me prêter totalement à ses envies de femellisation. En fait je refusais de prendre des anti-hormones mâles, type Androcur qui avait la réputation d'être un castrateur chimique. Suite à notre séparation, je constatais combien il était difficile de revenir à une sexualité conventionnelle dans mon état. A cause des hormones prises, je ne bandais pratiquement plus et j'avais une poitrine de femme à la place de mes pectoraux. Conséquence de mes années de femellisation, les autres femmes se désintéressaient d'un homme comme moi.

     Seul dans la vie et n’étant plus conditionné sexuellement par Yasmina, ma motivation de femelle s’étiola progressivement. Il m’arriva même d’envier les hommes normaux, eux avançaient avec leur queue bandante sans remettre en cause leur identité de genre, sans devoir affronter l’opinion négative des gens. Je pris donc la décision de faire table rase de mon passé de mâle femellisé, de jeter à la poubelle cette sexualité marginale que je vivais depuis tant  d'années. Retrouver une vie normale en redevenant simplement un homme aux yeux des femmes. Oui, mais à condition de bander et d'éjaculer, ce qui n'était plus mon cas...

     Ce jour-là, Yasmina vint me voir à l'improviste avec sa nouvelle copine. Elle s'appelait Uzly, une fille originaire de  Serbie. Mon Dieu qu'elle était jeune. Mais connaissant Yasmina et son fantasme de fillettes pubères, je ne m'étonnai pas. Inutile de lui rappeler le côté border-line d'une telle relation, elle en avait parfaitement conscience. Je fus frappé par le contraste de la peau café au lait de Yasmina avec la blondeur immaculée d’Uzly. Par dépit amoureux je les baptisais "Black and White".

     En fait, Yasmina avait rencontré Uzly au cours d’une mission humanitaire à Sarajevo. L’ONU, s'opposant aux forces serbes qui encerclaient la ville, avait négocié un couloir humanitaire. En tant que sage-femme d'une ONG, le directeur de Yasmina l'avait envoyée là-bas. Yasmina s'emballa pour la blondeur d'Uzly et sa peau plus blanche que neige. Et que dire de ses yeux d’un bleu si intense qu’on ne voyait qu’eux. Uzly fut captivée par la peau d'ébène de Yasmina. C'était la première fois qu'elle voyait une femme black en vrai. Ses parents étant décédés suite aux milliers d’obus qui tombaient quotidiennement sur la ville, elle s'était retrouvée seule, sans famille et sans ressource. Définitivement orpheline et abandonnée de tous dans cette guerre infernale, elle devint la proie des hommes. Pour survivre, elle se donna à eux en échange d’un repas chaud ou d’un bon lit. Elle traîna de maison familiale en foyer social, inconsciemment à la recherche d’une mère perdue pour toujours.

     Comme Yasmina était attirée par des filles pubères, elles sympathisèrent et firent l’amour ensemble le soir même. Follement éprise de cette gamine, Yasmina la ramena avec elle grâce à des documents falsifiés, une "autorisation parentale" qui lui confiait la garde définitive de l’enfant mineur. Uzly lui fut reconnaissante de l'avoir sorti de l'enfer de Sarajevo. Elle se sentit rassurée au contact de cette femme de caractère. Se poser la question d'une sexualité marginale avec cette femme adulte ne l'effleura même pas. Elle avait subi tant d'abus au contact des hommes de son pays qu'elle trouvait normal sa relation exceptionnelle avec Yasmina. 

     Ce fut facile pour Yasmina d’amener cette fille paumée dans son univers sexuel. Choyée et cajolée, Uzly s’abandonna entre les bras de cette femme si différente des autres. Perturbée par des mois d’errance, elle se réjouit de retrouver les seins généreux et laiteux d’une mère. Elle se sentit protégée et vivre en petite fille entre les bras de Yasmina la rassura. Elle assimila avec ravissement les étranges moeurs sexuelles de sa mère adoptive. Cela la changeait des hommes vicieux et méchants. On était là entre femmes. En fait, je découvris plus tard qu'Uzly n'avait pas encore quinze ans. Une gamine précoce, à peine pubère, qui avait déjà beaucoup vécu les dérives des hommes.

Sarajevo       

     Curieuse du spectacle que lui donnerait sa jeune soumise, Yasmina m’offrit ce jour-là à Uzly :

- André, pour m'excuser de t'avoir quitté, je t'offre Uzly.

- C'est gentil de m'offrir cette gamine.

 - A l'âge où les filles découvrent les premiers baisers, les premières caresses, Uzly connait déjà tout des hommes, me répondit-elle. Tu vas en faire l'expérience devant moi.

     Sous le regard intéressé de Yasmina, Uzly souleva alors sa robe et retira calmement ses bas un à un tout en me fixant dans les yeux. J'observais ses longues jambes chaussées de talons aiguilles. Puis elle me lia fermement avec les pieds et les mains. Je me laissais faire par jeu. Sans aucune gêne, elle se déshabilla devant moi. J'eus tout loisir d'admirer son jeune corps, sa lourde poitrine et sa pilosité intime d'une blondeur captivante. Elle remarqua mon regard envieux. Elle  me força alors à me mettre à genoux. Debout face à moi, elle écarta sa vulve juvénile de ses doigts et m'offrit son clitoris à lécher. Excitée de soumettre ainsi un homme à son plaisir tout en se donnant en spectacle à Yasmina, elle jouit rapidement dans ma bouche. Je gouttai ravi à la fraicheur printanière de sa jouissance. Elle me demanda ensuite d'ouvrir plus grande ma bouche et y colla sa vulve mouillée en serrant fortement ma tête contre son pubis. D'un seul coup, un flot ininterrompu d’urine chaude se déversa en moi. Je déglutis avec peine, mais évitais de  perdre une seule goutte. Se vengeait-elle des hommes qui avaient tué ses parents, abusé d'elle durant cette abominable guerre ? Yasmina s’exclama et s'étonna de ses capacités  à s'imposer si facilement à un homme mature.

     Remis de cet interlude liquide, j’annonçai la nouvelle à Yasmina. Je donnai ma décision en profitant du calme qui suivait cette partie de jambes en l’air si particulière : « Dorénavant, je cesse les hormones. Je vais reprendre une vie normale. N’attends plus jamais rien de féminin de ma part, d'autant plus que nous sommes séparés maintenant. » Elle me sourit, car elle me connaissait trop bien. Soumis à ses fantasmes depuis tant d'années, j’avais définitivement basculé dans la femellisation selon elle. Dépendant des hormones depuis trop longtemps, il me serait impossible de décrocher, de revenir en arrière. Et effectivement, elle avait raison. Après quelques mois d’abstinence hormonale, je fus en manque. Je désespérai de voir mes seins régresser, mes ongles redevenir cassants et mes cheveux s'éclaircir. De plus, je recommençais à être agressif.

     Non seulement je replongeai dans les hormones, mais excité par ma nouvelle cure, ma libido féminine me stimula encore plus qu'auparavant. Je fus si excité que je passai une annonce sur un site de rencontre sexuelle : « Homme mature cherche femme d'expérience qui souhaite femelliser un homme à outrance. Je lui offre mon corps jusqu'à avoir des seins hormonés et plein de lait. S'il le faut, j'accepterai d'être opéré du vagin rien que pour son plaisir. Madame, faites de moi votre soumis femellisé ! Je suis "ouvert" à toutes propositions sérieuses. » La photo jointe à l'annonce me montrait épilé dans un minuscule string blanc qui avait bien du mal à cacher mon sexe.

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 03:13

     Revenons dans ce magasin ou Amanda, une amie transsexuelle, essayait maladroitement ses vêtements masculins dans le but de se présenter à son futur emploi de serveur. Je remarquai près de la caisse un discret présentoir avec des culottes de femmes de toutes les couleurs. Irrésistiblement attiré, je m’en approchai et découvris de tout petits strings. Waouh, de minuscules triangles hyper-sexys comme je les aimais ! Qu’il est difficile d’en trouver aujourd’hui, car la mode est aux culottes à taille basse alors que moi, j’adore les remonter bien haut sur mes hanches à la façon de Pamela Anderson. A condition d’être intégralement épilé, cela donne un look sexy et bien plus féminin à mon corps. Question d’esthétique et de bon goût au regard des femmes. Quelle horreur ces hommes qui s’exposent en lingerie de femme avec des poils débordants de partout. Une insulte à ceux qui aiment porter ces délicats tissus ! Normal que les femmes nous fuient dans ces conditions, c’est si ridicule ! Surprenant aujourd’hui comme certaines femmes nous apprécient ainsi. Pour elles, un sexe et un anus de mec épilé a quelque chose de fascinant. Les mœurs évoluent...

     A voir ces fins tissus exposés, je les imaginai sur mon ventre lisse. Impossible d’y résister, je choisis un string d’un bleu éclatant et l’observai en détail ; une taille médium faite dans une matière extensible. Une matière idéale. De par l’étroitesse des strings de femme à l’entrejambes, il n’est pas évident d’y loger la protubérance de mon sexe. C’est pourquoi j’apporte une attention particulière à ce détail. Cela m’évite de remettre en place mes attributs de mâle qui débordent souvent d’un string mal ajusté. Nos amies transsexuelles qui ne sont pas opérées du sexe savent de quoi je parle. Autre chose à laquelle j’attache une grande importance. Avec le poids de mon sexe, la ficelle du string finit à la longue par  irriter l’anus. Destiné aux femmes, ce n’est pas leur but à l’origine, j’en conviens. L’idéal à mes yeux est un string dans une matière extensible, qui remonte bien haut sur les hanches, très étroit devant sur le ventre, avec l’entrejambes relativement large et qui se termine à l’arrière par un triangle qui met en valeur la rondeur des fesses. Reste que je craque à chaque fois pour ces petites choses terriblement sexys. Et ce jour-là, ce ne fut que du plaisir pur...

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     Rien que de toucher ces fins-tissus me faisait trembler d’émotion. Je me rappelai alors combien je me sentais honteux et en même temps excité lorsque j’en achetai auparavant. Dans le parcours d’un soumis femellisé entre une grande part d’humiliation sexuelle. Pour cela, la Domina exploite l’excitation ressentie par son soumis pour neutraliser sa condition de mâle et l’amener dans un monde qu’il ne maitrise plus. Et dans mon cas, quoi de mieux que de m’obliger à acheter moi-même mes petites culottes tellement elles m’excitaient.

     Intimidé et malgré tout irrésistiblement attiré par les culottes de femme, je les choisissais au début comme un voleur pris en flagrant délit. En ce temps-là, j’adorais les dentelles. Gêné, j’avais l’impression que tout le monde m’observait. Tête baissée, je subissais honteusement le regard des clientes, des vendeuses trop curieuses ou celui insistant des caissières. Je m’en sortais en précisant que c’était un cadeau pour ma femme. Mais dans ce cas, il fallait le faire emballer, ce qui m'exposait encore plus au regard des autres femmes. Je manquais d’aplomb ; plus j’insistais et plus je me sentais maladroit. Je voyais bien au regard des femmes qu’on ne me croyait pas. Mais une fois chez moi, quel plaisir après cette humiliante épreuve de glisser sur mes hanches lisses les culottes et les minuscules strings achetés avec tant de désarroi. Je vous laisse imaginer les orgasmes qu’elles me procuraient.

     Je songeai aussi à Yasmina que je rencontrai quelques années plus tard. Elle voulut que j’aie de vrais seins de femme et pour cela me convertit aux hormones féminisantes. Elle m’obligea ensuite à acheter un soutien-gorge, mais seul. Contrairement à une petite culotte qu’il suffit de prendre dans le rayon, il fallut discuter ouvertement avec la vendeuse pour trouver la bonne taille. Je m’en sortis en précisant que j’avais une gynécomastie qui nécessitait de porter un soutien-gorge. Est-ce que la vendeuse me crut ? Je n'en suis pas sûr.

     A présent, j’achète ma lingerie en jouant du regard interrogateur des clientes. J’imagine ce qu’elles pensent en me voyant fouiller dans une lingerie qui leur est destinée. Suis-je à leurs yeux un vieux pervers qui ne cache même plus ses pulsions maladives ? Les hommes qui achètent leur lingerie sur le Net et évitent par ce biais d’affronter le regard des gens ne peuvent pas comprendre ce sentiment ou se mêlent humiliation et excitation.

     Rendez-vous compte, j'étais tellement conditionné par le virus de la femellisation que je voulus investir dans un salon d’épilation où les hommes auraient les mêmes droits que les femmes : se faire épiler intégralement le corps sans distinction de sexe. Peut-être était-ce là ma vocation ? Je restais surpris par la réaction populaire à ce sujet. Que des femmes se fassent épiler intimement ne surprenait personne, mais que des hommes demandent la même chose dans un salon de beauté et voilà nos compagnes qui se choquaient de notre réaction. L’ombre homosexuelle plane en permanence sur nous comme une dérive inadmissible. Une censure inqualifiable à mon avis ! Quel regret aussi de n’avoir pu reprendre cette boutique de lingerie que j’affectionnais tant. Vivre au quotidien dans un univers de petites culottes, avoir à moi seul un magasin où je choisirais à loisir mes strings, où je créerais moi-même des modèles parfaitement adaptés à la morphologie des hommes féminisés ; était-ce là mon destin ? Non, une petite voix intérieure me le rappelait sans cesse : « André, cesse de rêver et reviens sur terre ».

     Mais revenons à ce magasin de lingerie. Les petits strings présentés étaient si attirants que je demandai à la vendeuse de me préparer un assortiment. Elle demanda si la taille convenait.

-           C’est du médium que vous désirez ?

     Il y avait donc plus petit. J’en frémis d’émoi, moi qui recherchais justement ce qu’il existait de plus petit. Irrésistiblement tenté par  des microstrings, je craquais sur ces minuscules choses. J’imaginais mon sexe emprisonné dans ces fins tissus. Mais aussi quelle désillusion en les enfilant, ils étaient si petits que mon sexe débordait de tout côté. Je précisai sans hésiter à la vendeuse :

-           La plus petite taille s’il vous plait.

     A voir ma stature, elle en conclut que c’était pour mon amie transsexuelle. Ah, si elle savait…

-           Un instant, je vais voir s’il y a du small.

     Elle sortit un gros carton d’un placard et l’ouvrit. Il y avait dedans des centaines de strings de toutes les tailles, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Les yeux brillants d’un désir incontrôlé, je les admirai comme un précieux trésor. Mon dieu comme j’aurais aimé acheter le carton entier. Au moment de passer à la caisse, Amanda s’étonna de voir joint à ses propres achats masculins de minuscules strings de femme. Elle me regarda étonnée et comprit avec un sourire complice.

     Depuis je suis retourné plusieurs fois dans ce magasin avec Amanda. A mon grand regret, il est définitivement fermé aujourd'hui. A croire que vendre de minuscules strings ne permet pas de gagner correctement sa vie...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 20:43

     Je rencontrai Amanda, une jeune transsexuelle, quelque temps après ma rupture avec Rio, une transsexuelle brésilienne. Je fus si affecté par notre séparation qu'il me fut difficile d'oublier cette femme exceptionnelle avec qui j'avais vécu les plus folles aventures sexuelles de ma vie. 

     Dans le pays du bout du monde que j'habite actuellement, je fus irrésistiblement attiré par la jeunesse, la peau ambrée et le corps élancé d’Amanda. Nous fîmes l’amour, mais le sexe n’étant pas son truc, je n’insistai pas. Au fil du temps, notre relation évolua vers une amitié singulière. Amanda se prit pour ma fille et je réagis envers elle avec paternalisme. Elle apprécia mes conseils et ma maturité d’esprit, j’appréciai sa jeunesse et son innocence. Elle vint parfois habiter chez moi, le temps de se ressourcer, de retrouver un équilibre perturbé par son existence marginale.

      Amanda vivait en fille depuis l'adolescence. Ses parents, des gens de condition modeste,  comptaient sur moi pour la convaincre d'avoir une existence plus normalisée. Mais que pouvais-je faire ? Leur "fils" se sentait femme et aucun raisonnement ne le ferait changer d’avis. Amanda considérait que son corps de garçon était une erreur de la nature. Ayant décroché de l’école à quatorze ans, elle avait quitté la maison familiale pour vivre sa vie en ville avec d’autres transsexuelles. Depuis, elle vagabondait de-ci-de-là se donnant occasionnellement à des hommes contre de l'argent. Son éducation était donc des plus limités ; c’est à peine si elle savait écrire. Son français était tellement châtié qu’elle exprimait ses idées avec beaucoup de difficultés. Par manque de moyen financier, elle prenait rarement des hormones pour se féminiser. Néanmoins, son corps androgyne, sa silhouette élancée et la prestance de ses gestes faisaient qu’on remarquait immédiatement sa transsexualité. Habituée aux regards curieux des gens, elle ignorait ceux qui ne partageaient pas sa féminité ou les insultait selon son humeur . Il en était ainsi depuis des années. Elle assumait ouvertement sa condition transsexuelle et gardait intact l’espoir de devenir totalement femme un jour.

     Les transsexuelles de tous les pays passent généralement par la case prostitution, ce qui fait que leur conception de la sexualité est des plus libérée. Etant biologiquement des hommes, leurs fantasmes ressemblent aux nôtres. Elles censurent donc rarement nos délires de mecs. Amanda ne faisait pas exception. Je pus donc parler ouvertement de mes délires avec elle et parler de ma sexualité sans l’offusquer. Que je sois intégralement épilé et que je porte de minuscules strings de femme ne l’étonna pas. Selon elle, ces petits strings mettaient en valeur mon corps lisse et avantageaient mes fesses nerveuses. Comme j’en avais des dizaines dans mes tiroirs, elle m’en piquait un parfois. Surprenant de la voir déambuler à la maison avec son sexe caché entre ses cuisses pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme tandis que moi, je portais mes strings avec le bombé de mon sexe placé en avant comme tous les hommes.

     Bien qu’il n’y ait plus rien de sexuel entre nous, je ne me gênai pas devant Amanda. Etant souvent nu, elle remarqua mes petits seins naissants et comprit que je prenais des hormones en découvrant un tube d’Oestrogel dans ma salle de bain. Inutile de cacher mes délires, les transsexuelles ont un sixième sens pour cela. J’évitai tout de même de trop insister sur la féminité qui s’emparait de mon corps et de mon esprit. Malgré mes tétons naissants, mon corps épilé et mes petits strings, je restais un authentique mâle à ses yeux. Curieuse de tout ce qui touchait à mon intimité, elle fouillait sans cesse mes affaires à la recherche de mes petits secrets cachés. Combien de fois je cherchai ma pince à épiler, mon tube d’hormone ou le petit string sexy que j’affectionnais tant ! Des godemichets et une pompe à tétons disparurent ainsi curieusement. Même mes courriers intimes furent lus discrètement. Curiosité de femme…

    Après des années passées à s’amuser et à traîner dans la rue, Amanda prenait conscience des difficultés de la vie. Ce jour-là, elle avait le cafard. Personne pour lui souhaiter son anniversaire. Désespérée, elle me confia la cruauté de l'existence en pleurant ; un moment d’émotion où elle devint si fragile que je m’attendris. Je la pris dans mes bras et la consolai avec des mots tendres : « André, aide-moi à sortir de cette galère ». Seule dans la vie, Amanda avait besoin qu’on l’aime, qu’on la rassure sur sa pénible destinée. Elle me parla plusieurs fois de suicide tellement elle se sentait mal dans sa peau.

     Elle espérait à présent trouver un travail normal, s’insérer dans la société active et vivre comme tout le monde. Or, conditionnée par sa vie marginale, elle végétait dans un univers hors de la réalité. De par son état transsexuel, il lui était difficile de trouver un travail qui ne soit pas en rapport avec le sexe. Notre société est ainsi faite qu’elle considère que les transsexuelles existent uniquement pour satisfaire la libido des autres gens. Mais Amanda ne s’intéressait pas au sexe si ce n’était pour trouver l’argent nécessaire à sa subsistance. Une fellation par ci, une autre par là et hop, quelques billets gagnés assuraient sa misérable existence.

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     Comment aider une personne aussi asociale ? En tant que transsexuelle, elle connaissait par coeur la libido des hommes, une experte en ce domaine, mais trouver un travail et s’intégrer dans le monde professionnel relevait d’un challenge impossible. Je rencontrai toutefois le directeur de la restauration d’un grand hôtel. J’avais remarqué qu’il employait des hommes au comportement efféminé. Malgré leur statut, ces gens jouissaient d’une excellente réputation dans l’hôtellerie. Serviables et toujours de bonne humeur, ils appréciaient le contact avec la clientèle. Je lui demandai s’il avait une place pour une transsexuelle. Il refusa catégoriquement prétextant que ces personnes n’étaient pas fiables professionnellement. De plus, la clientèle se choquait de leurs attitudes exagérément efféminées contrairement aux homos qui eux demeuraient respectueux en toute occasion. Je n’insistai pas.

     Cependant, je ne perdis pas espoir. J’expliquai le métier de serveur à Amanda en précisant qu'elle devait se préparer pour un premier rendez-vous :

-          Si tu veux un emploi de serveur dans cet hôtel, tout dépendra de l’apparence que tu auras. Désolé Amanda, tu dois te comporter en garçon si tu veux travailler.

Elle me regarda surprise. 

-          Mais André, je suis une femme, c’est impossible…

-          Je te comprends. Mais il faut t’adapter ; à la rigueur faire comme si tu es un homme efféminé. Le reste, j’en fais mon affaire.

     On discuta longuement. Vaincue par mes arguments, elle finit par accepter. On arrivait en fin d’année et l’hôtel avait besoin de personnels en "extra". Vite rédiger un CV bidon avec une photo où elle ne faisait pas efféminée. Puis je l’accompagnai dans un magasin de la ville pour acheter les vêtements masculins nécessaires à ce premier entretien : un pantalon noir d’homme à la place d’une robe, une paire de chaussures à lacets à la place de haut-talons et une chemise blanche classique à la place d’un petit haut sexy. Quel désagréable moment à passer ! Devant le miroir de la cabine d’essayage, elle en pleura de dépit. La vendeuse s’attendrit face à cette fille bizarre.

-          André, je ne peux pas m’habiller ainsi, je ne suis pas un garçon.

-          Fais un effort Amanda, je t’en prie.

     Elle voulut laisser tomber, mais j'insistais malgré ses larmes. Je lui dis combien ses efforts seraient récompensés. Et puis après le travail, elle reprendrait son statut de femme. Cela la rassura.

     Elle se prépara à la maison des heures durant en suivant mes conseils. Pas facile de retrouver des habitudes masculines, elle qui se sentait femme depuis tant d’années. Vêtue de ses habits masculins, il fallut ramener ses longs cheveux noirs en un discret chignon coiffé en arrière de la tête. Et surtout, ne pas se maquiller, contrôler ses gestes féminins et éviter d’onduler des fesses. Après moult hésitations, on se rendit ensemble à ce premier entretien. Je la présentai au directeur de la restauration qui la fit entrer seule dans son bureau...

     Depuis, les mois ont passés. Amanda travaille comme serveur en extra dans l’hôtel en question. Tel un équilibriste, elle porte des plateaux pleins de verres et de plats à bout de bras, circule entre les tables avec une aisance remarquable. Elle trouve l’équipe de restauration sympa et se donne à fond à son travail. Elle s’est habituée à être appelée par son prénom de garçon. Le personnel de l’hôtel l’a intégré et la clientèle l’apprécie beaucoup. Elle s’amuse même de certains clients qui la draguent. Je ne l’ai jamais vue aussi heureuse...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 19:01

   Après toute une vie conditionnée par la bienséance familiale que nous imposent les conventions sociales arrive avec l’âge le besoin impérieux d’exprimer un érotisme plus cérébral, voire plus intellectuel. Les années d’expérience ont conduit l'homme que je suis à se débarrasser des préjugés moraux et à vivre enfin une existence sexuelle à la mesure de ses pulsions. Homme mature à l'esprit pervers, mon subconscient est bousculé par de nouveaux fantasmes, tous plus fous les uns que les autres. Une danse sur un volcan qui interpelle ma conscience. 

     De par une virilité parfois défaillante, je bascule avec une joie sauvage dans l’extravagance sexuelle, seule façon de bander à mon âge. Des désirs nouveaux envahissent mes pensées et finissent par réorienter ma sexualité. Baiser ne me convient plus, il me faut des femmes qui fantasment sur la femellisation, des dominatrices qui prennent l’initiative sur ma sexualité. Et de par ma passivité sexuelle nouvelle s’installe aussi le besoin d’exprimer ouvertement la part de féminité qui cohabite en moi. Goûter à un sein plein de lait, boire le jus d’une femme fontaine ou d'une transsexuelle, être sodomisé par un gode ceinture ou  fisté par une main délicate, voilà ce qui m'attire aujourd'hui. 

domi

     Qu’importe qu’on se sente mec, travesti ou femme dans l'âme, épilation, petites culottes et lingerie féminine excitent tellement mes sens que cela favorise de nouvelles formes de jouissances. L’idée de vivre une relation de soumis avec une femme dominatrice s’installe inconsciemment en moi. Et pour peu que l’une d’elles croise mon chemin et s’excite à me transformer en femelle passive au service de son plaisir, me voilà embarqué dans une spirale sans fin. A mon détriment d’ailleurs puisque je vais y laisser mes oripeaux de mâle. 

     Un jeune homme ne peut comprendre ce lent cheminement. Voyez sur le Web le nombre d’hommes matures en petite culotte ou avec leur sexe encagé qui cherchent à être dominés, féminisés puis abusés par une femme de caractère ! Pas moyen de passer outre tellement ça prend la tête. Me comporter en femelle soumise, prête à tous les excès avec une maitresse, est une situation si excitante qu’elle relance ma libido fatiguée par des années d’une morne existence sexuelle. Et plus ma virilité a des ratés et plus le besoin d’exprimer ma passivité par des comportements féminins s’affirme ouvertement. 

     C’est pourquoi des hommes s’épilent, portent de la lingerie fine sous leurs vêtements masculins, prennent des hormones féminisantes pour avoir des seins et se laissent enculer par des femmes sans pour cela se sentir homo. Reste que ces attitudes choquent encore nombre d'hommes et de femmes. Comprendre la démarche de ces hommes matures et découvrir tout le potentiel sexuel que favorisent ces comportements est une découverte formidable dans la vie... 


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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