Passer du rêve à la réalité... Quelle est l'homme travesti qui n’a pas fantasmé sur une maitresse sexy qui s’excite à forcer son amant à devenir femme jusqu’à en perdre ses repères de mâle ? Je l’avoue, il m’arrive de rêver qu'une telle femme viole mes dernières réserves masculines, qu'elle fasse définitivement de moi une femelle au service de ces délires sexuels. Voici une petite histoire inspirée des écrits d’une travestie Sabine22, "Corps d’homme, Corps de femme". Nous sommes là dans un monde virtuel où tout devient possible…
« Je ne sais pas où je suis lorsque je me réveille, mais le confort de la chambre me rassure. Des draps de satin rose, de gros oreillers en plumes d’oie et aux murs des toiles de maître. Toutes ces toiles montrent des femmes dans des poses suggestives avec de généreuses poitrines d’où perlent des gouttes de lait. Ces tableaux me rassurent, mais j’angoisse tout de même un peu. Où suis-je, qu’est ce que je fais dans cette chambre inconnue ? Bien que je sois encore groggy par la soirée vécue, tout me revient progressivement en mémoire. On m’a probablement drogué pour mieux abuser de moi. J’ai l’impression que mon corps et mes entrailles sont en bouillie.
Alors que je suis à peine éveillé, deux gardes en uniforme entrent dans la chambre sans prévenir : « Debout Sabine, prend rapidement une douche. Tu as cinq minutes. » Mais pourquoi m’appellent-ils Sabine ? D’un regard autoritaire, ils esquivent mes questions sur la situation présente et me montrent la salle de bain. Je me lève d’un pas mal assuré. Mon esprit a du mal à se remémorer la soirée. Et quand je me vois dans le miroir de la salle de bain, je suis surpris par mon corps tout lisse. Que m’est-il arrivé ? Plus aucun poil, même mon sexe et mon entrecuisse sont épilés…
Ma douche terminée, je remarque qu’il n'y a pour tout vêtement qu'un minuscule string bleu posé sur une commode de la chambre. Un petit mot l’accompagne : « Sabine enfile ce string et rejoins-moi avec les gardes. » Difficile de ranger ma grosse verge dans ce fin tissu ! Finalement, j’apprécie l'image renvoyée par le grand miroir de mon corps tout lisse juste vêtu de ce string. Au point d'avoir une érection.
La porte de la chambre s’ouvre à nouveau et les gardes entrent, une fois de plus, sans se gêner. Ils s'amusent en voyant mon sexe en érection qui déborde du petit string. Gênée, je cache mon ventre avec mes mains croisées : « Eh bien, Sabine, tu es en forme malgré la nuit que tu viens de passer. Ta maitresse sera contente de te voir ainsi. » Je réalise alors ce qui s’est passé hier. Sur un site de rencontres, j’avais sympathisé avec Sonia, une femme d’allure hautaine, de longs cheveux auburn avec de grands yeux verts. Elle recherchait un travesti à féminiser. Comme c’était la première fois qu’une femme exprimait un tel fantasme avec moi, j’avais à mon tour expliqué mon délire. Qu’une femme me transforme en femelle soumise et qu’on passe notre vie ensemble. Sonia avait insisté, étais-je vraiment prêt à franchir le pas ? Pour faire plus ample connaissance, elle m’avait alors invité chez elle. Mais que s’était-il passé ensuite ? Ma mémoire, abrutie par l’alcool et la drogue, était incapable de s’en rappeler.
Les deux gardes, sans plus attendre, me passèrent un collier en acier autour du cou avec une laisse et sans autre vêtement sur moi que le string, ils me conduisirent à l’étage inférieur. Nous pénétrâmes par un sombre couloir dans une sorte de cabinet médical. La salle était d’une lugubre froideur. Je frissonnais. À gauche était installée une table gynécologique et à proximité des ustensiles médicaux. Je remarquai aussi un écarteur vaginal qui me sembla énorme. Y avait-il des vagins qui s’ouvraient à cette dimension ? La question préoccupa mon esprit un instant. Mais les deux gardes se rappelèrent à moi. Ils m’installèrent sur la table gynécologique puis m’attachèrent fermement, chevilles, cuisses et poignets.
Entra alors Sonia : « La nuit a été bonne Sabine, me demanda-t-elle ? » Elle me rappela notre soirée puis me montra un contrat signé de ma main. Captivé par sa beauté mystérieuse et par l’ambiance de la situation d’hier, j’avais confirmé par ce contrat vouloir devenir une authentique femelle entre ses mains si elle me prenait totalement mon existence en charge. J'étais à la fois effrayé et excité par ce qui m’arrivait. Elle me relit certains termes du contrat. En les entendant, je confirmai tout en frissonnant d'un mélange d’effroi et de plaisir. Ainsi cette femme voulait faire de l’homme que j'étais encore une femelle au service de ses fantasmes. J’en frémis de plaisir :
«À partir de cet instant, oublie ton passé me dit-elle. Tu t’appelleras Sabine et tu vivras avec moi en permanence. Tu n'auras plus à te préoccuper de tes moyens d'existence. Je te prendrais totalement en charge, car je vais faire de toi une femelle destinée uniquement à satisfaire mes fantasmes ainsi que ceux de mes amis. Tu seras dorénavant ma femelle, une esclave au service de mes envies sexuelles ! Comme ta transformation en femelle me coûtera beaucoup d’argent, je me rembourserai en t'offrant contre rémunération à des mâles aux couilles pleines, voire à des femelles en rut. De toute façon, tu n’as plus le choix.»
Sonia me dit cela tout en tournant autour de moi, sans me quitter des yeux. Puis elle ausculta mon corps, palpa mes petits seins et mes parties intimes. Elle décalotta mon gland, l’écarta pour mieux voir les détails de l’urètre. Puis ce fut au tour de mon entrecuisse et de mon anus. J'étais là, nu devant elle, soumis, inquiet et terriblement excité :
« Pour commencer, je vais faire appel à une esthéticienne. Tu seras entièrement épilée au laser et donc aussi lisse qu'une femme. Puis je te ferai prendre un traitement hormonal pour développer tes seins et arrondir tes hanches. Parallèlement à ce traitement, tu subiras quotidiennement plusieurs pompages de tes seins pour grossir tes tétons et les préparer à des montées de lait. Bien sûr, tu laisseras pousser tes cheveux et tu seras toujours habillée en femme sexy. Bien que ta chatte soit déjà ouverte, il faudra la préparer à subir les assauts de mes amis. Tu porteras donc en permanence un plug qui maintiendra ton anus bien dilaté. Chaque jour, la femme qui s'occupera de pomper tes seins viendra te faire des séances de dilatation et me confirmera tes progrès. Reste une dernière question, que faisons-nous de tes testicules et de ta verge ? »
Je restais pétrifiée à l’idée de me retrouver castré ! Sonia écarta mon string, prit mon sexe dans sa main et caressa mes testicules. Elle serra un peu pour mieux sentir leur grosseur. Malgré la peur panique qui s’emparait de moi, mon sexe se raidit. Cette femme savait y faire, elle possédait sur moi un pouvoir érotique hors du commun. « Vois-tu chérie, j’hésite ! Je pourrais te castrer pour accélérer ta féminisation. Je pourrais même faire opérer ton sexe pour que tu aies un vagin à la place du pénis. Tu serais alors une authentique femelle ! »
Ce disant, elle se pencha sur moi, approcha ses lèvres de ma verge et la caressa du bout de sa langue, une caresse que je savourais délicieusement en fermant les yeux. « D’un autre côté, une si belle queue et de si belles couilles pourraient exciter certains clients. Moi-même, j’aimerais en profiter. Bon, je t’accorde un répit. Nous allons d’abord développer tes seins tout en évitant des hormones trop fortes qui handicaperaient tes érections. »
Je vis Sonia s’éloigner, ouvrir le tiroir d'un petit meuble métallique puis revenir avec un tube de gel à la main. Elle étala délicatement le gel sur mes seins et mon ventre, puis massa pour le faire pénétrer. Cela provoqua une nouvelle érection. Sonia reprit alors le tube d’hormone et enduisit mon sexe de gel. Puis elle le masturba vigoureusement. Un pur régal lorsque j’éjaculais :
- Encore ! Oui encore, je suis votre femelle Sonia ! C’est trop bon !
- Je verrai par la suite s’il faut t’implanter des prothèses mammaires. Auparavant j’aimerais provoquer des montées de lait.
- Mais Sonia, je ne peux pas avoir de lait puisque je ne suis pas une femme.
- Détrompe-toi, les hommes aussi ont des montées de lait si on fait le nécessaire.
Cette vision d’avoir des seins débordant de lait affola mes sens. Je fermais les yeux et m’imaginais avec une grosse poitrine d’où le lait giclerait généreusement. A cette idée, j'eus une nouvelle érection:
- L’esthéticienne commencera son travail demain. En attendant, je vais te traiter pour te femelliser.»
J’aperçus alors Sonia avec une seringue à la main. Elle introduisit l’aiguille au-dessus de mon téton droit et vida la seringue dans mon sein. C’était un concentré d’hormones féminines mélangé à du sérum physiologique. Elle prit une nouvelle seringue et la piqua sans hésiter dans mon autre sein. Les hormones s’y infiltrèrent doucement, délicieusement. Mes seins se gonflèrent remarquablement.
- As-tu fait pipi ce matin ?
- Oui répondis-je.
Elle décalotta alors mon gland et y injecta le contenu d'une autre seringue par l’urètre. Je sentis le liquide pénétrer étrangement ma vessie, la distendre jusqu'à l'extrême.
- Ce sont aussi des hormones femelles mélangées à du sérum physiologique. Garde ce liquide le plus longtemps possible avant d'uriner, me dit-elle.
- Oui, fut ma seule réponse.
Elle défit ensuite les liens qui me retenaient sur la table de travail. Alors que je croyais la séance terminée, elle revint avec un bocal duquel sortait un long tuyau terminé par une canule.
- Je vais te faire un lavement aux hormones maintenant. Ce sont des herbes qui favorisent le développement des seins et accélèrent la lactation. C'est plus efficace quand elles sont injectées par le colon.
Une fois de plus je ne répondis pas. Il était trop agréable de me laisser féminiser entre les mains de cette femme. Qu'elle me remplisse ainsi d’hormones féminines me combla d’un bonheur immense. La femelle qui vivait en moi s’épanouissait enfin dans une resplendissante féminité.
C'est alors qu'un bruit insolite me réveilla. J'étais là étendu sur mon lit, nu avec mon corps d'homme. Quelle déception de revenir ainsi à la vie... »
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