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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 16:15

     Etre transsexuelle est un état qui se distingue nettement du travestissement. Et pourtant les gens de la rue font généralement la confusion. Contrairement aux travestis qui ne remettent pas en cause leur statut d’homme, les transsexuelles se sentent femme dans leur tête et prisonnières de leur corps d'homme. Elles aspirent à vivre pleinement en femme et rejettent leur côté mâle. Une erreur de la nature dont elles ne sont pas responsables et qu'il leur faut assumer toute leur vie face à une société qui se moque d'eux. Les plus chanceuses hériteront d’un corps androgyne facile à féminiser. Mais pour les autres, ce sera un calvaire difficile à assumer. Voyez le très sérieux site américain à ce sujet. Une mine d'informations pour qui veut devenir femme : http://www.transgendercare.com/default.asp

633_1000.jpg     Dès leur petite enfance, ces « garçons manqués » rêvent de féminité. Ils se sentent plus proches de leur mère que de leur père. Ils l’aident aux tâches ménagères et préfèrent la poupée de leur sœur plutôt que le ballon des garçons. Ils se sentent filles dans l’âme et se comportent naturellement comme telle. Alors que les garçons rêvent de poils et de muscles, eux se maquillent en cachette, enfilent le soutien-gorge de leur mère et glissent leur petite verge dans une culotte de leur sœur. Ils s’essaient à toutes ces petites choses qui font le secret des femmes. Et quel plaisir de se découvrir face au miroir de la salle de bain maquillé et habillé comme une vraie fille ! Confus d’être surpris ainsi accoutré, ils trouvent injustes les remontrances des parents et du père en particulier.

     Confrontés sans cesse à leur élan de féminité naturelle par rapport aux conventions d’une société qui les obligent à vivre en garçon, ils deviennent malheureux. Se maquiller et s’habiller en femme ne relèvent pas d’une pulsion sexuelle passagère comme chez les travestis, mais d’un état normal qu’ils désirent vivre au grand jour. Devenus ados, ils sympathisent avec les filles de leur classe. Très vite, ils deviennent la proie des garçons qui ne pensent qu'à se faire sucer par ces garçons androgynes. Ils font alors l’expérience de la fellation avec les garçons du collège ou avec des hommes plus âgés. Ceux-ci leur permettent enfin d’exprimer leur féminité. Influencés par d’autres garçons efféminés, ils se procurent des hormones féminisantes en cachette de la famille. Les parents assistent impuissants à la transformation de ce fils en fille. Les réprimandes familiales ne changeront rien au destin de ces garçons. Avant même d’être majeurs, ils fuguent ou  quittent le « cocon familial » pour fréquenter les transsexuelles. Enfin libérés des contraintes familiales, ils franchissent toutes les étapes de la féminisation avec elles. Leur début en femme ne sera que du bonheur.

t8.jpg     Je me demande si traiter ces garçons aux hormones féminisantes bien avant que la puberté ne marque de son empreinte mâle ces filles d’un genre particulier ne serait pas plus avantageux. En empêchant bien avant la pré-puberté les hormones mâles d’agir, les hormones femelles neutraliseraient leur physique masculin, favoriseraient leur apparence féminine tout en développant les caractères sexuels secondaires féminins. J'imagine le bonheur d'un garçon efféminé de dix ans qui se sent fille en voyant ses seins se développer comme ceux de ses copines de classe. Cette réaction féminine lui permettrait de se sentir mieux dans sa peau et favoriserait une meilleure intégration sociale puisque ses traits et son corps seraient plus conformes aux attentes de la société. Le problème serait de déceler cette dysphorie de genre dès la petite enfance sans la confondre avec celle des travestis. En diagnostiquant ces comportements très tôt, les psys se rendraient vraiment utiles. Cela éviterait à ces garçons efféminés bien des désagréments plus tard.

     Comme les transsexuelles se sentent femmes jusque dans les moindres cellules de leur corps, elles font tout pour corriger ce qu’il convient d’appeler une erreur de la nature. Une hormonothérapie féminisante aux effets secondaires difficilement supportables, une chirurgie esthétique coûteuse et, ultime étape, l’opération du sexe qui leur donne un vagin à la place du pénis, ce que les spécialistes appellent une réassignation sexuelle. Et dernière ligne droite, une identité féminine devant l'état civil. Je ne parle pas du suivi médical durant des années et des interminables formalités administratives qui en découlent. Renier leur sexe d’origine et changer d’identité officiellement se transforme en une sinécure, un difficile chemin de Croix pour ces gens. Mais être Femme est à ce prix pour elles.

ParisParks_0382.jpg     De par une société qui les rejette, ces filles d’un genre particulier finissent par se marginaliser la plupart du temps. Elles se cachent le jour et vivent la nuit, seul moyen pour elles d’exprimer ouvertement leur féminité sans essuyer le regard inquisiteur des gens ou se faire insulter par les jeunes. Voyez leur succès dans certains cabarets, dans des boites de nuit spécialisées ou au bois de Boulogne la nuit.

     Parce qu’elles se sentent femmes, elles sont sexuellement  attirées par les hommes. Ne leur demandez pas de coucher avec une femme, c’est contre leur nature. Coucher avec des hommes généreux leur permet de se sentir femmes, mais aussi de se payer les luxueuses toilettes et les coûteuses opérations chirurgicales qui feront d’elles des femmes. Cela finit par altérer leur caractère à la longue. Confronté en permanence à la sexualité des hommes, la plupart d’entre elles dérivent vers la prostitution et l’argent facile.

     Un dernier mot à leur sujet, et pas des moindres. Les transsexuelles non opérées tolèrent que leur « mari » s’égare parfois entre les bras d’une femme, ne serait-ce que pour compenser une hétérosexualité qui lui manque. Elles ont conscience que leur mec ne se satisfait pas uniquement de leur verge, même si elles offrent leur « chatte » avec toute la passion de l’Amour. Par contre, il ne sera jamais question de toucher à une autre transsexuelle. Jalousie de femme…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mercredi 5 octobre 3 05 /10 /Oct 17:58

     Hormis les gays, les hommes ne savent pas se servir  de leur bouche quand ils sucent une transsexuelle. Par manque d’habitude, ils ont tendance à « égratigner » le sexe avec leurs dents, ce qui casse le plaisir de la fellation. Et très peu pratiquent le « deep throat », une caresse qui consiste à avaler le gland jusqu’au fond de la gorge, bien au-delà de la glotte. Or moi, j’avalais de plus avec gourmandise le fruit des jouissances de Rio. Jamais un homme ne l'avait sucée aussi bien. Sa copine non plus ne résista pas à mes caresses buccales.

      Face à ma gourmandise, les deux filles tombaient souvent en panne. Qu'à cela ne tienne. En fin gourmet que j’étais, les dîners dans l’appartement furent souvent pris en invitant une copine à se vider dans ma bouche. Rio disait que c’était mon dessert. Ayant horreur des poils, j’exigeai uniquement que leur sexe soit aussi lisse que le mien ce qui faisait de leur sexe un appendice bien plus féminin. Un pur moment d’érotisme qui exacerbait les sens de Rio. Irrésistiblement excitée par le spectacle que j'offrais, elle finissait à chaque fois par me prendre par-derrière avec sa copine blonde. 

 

07.jpg     Je découvris à cette occasion combien leur sexe était différent de celui des hommes, dans la forme, la taille et les réactions à l’orgasme. Ces gens se distinguaient principalement par des petits testicules, des billes d’enfant avec lesquels j’adorai jouer. Chacune avait à la jouissance un goût particulier. Leur semence moins astringente était bien plus douce que la mienne. Certainement un effet lié aux hormones féminisantes qu'elles prenaient. Je pense aussi que l'alimentation jouait beaucoup sur le goût de leur sperme. Je trouvai aussi l’odeur de leur sexe moins forte que la mienne. 

    Les femmes en général ont horreur du sperme et avalent donc, sauf exception, rarement notre semence. Or, quoi de plus frustrant que de se retirer d’une bouche chaude au moment de l’orgasme ! Cela gâche instantanément le plaisir. Moi par contre, j’allais jusqu’au bout des jouissances de mes copines en avalant avec délice leur semence. Quel bonheur pour ces transsexuelles de s’enfoncer dans ma gorge en serrant fortement ma tête contre leur ventre au rythme de leurs éjaculations. Certaines d’entres elles s’excitaient tellement qu’elles jouissaient plusieurs fois d’affilé. Un monde à l’envers puisque c’était elles qui suçaient habituellement les hommes. 

600_1000.jpg     Par la suite, il fallut que les copines transsexuelles m'offrent ma dose quotidienne de sperme. Ca devint une question d'équilibre. Et comme on prête au sperme des vertus bénéfiques, je ne m’en privai pas.  Les transsexuelles se nourrirent du plaisir que je leur donnai et moi je me nourris du fruit de leur jouissance. Ce furent des litres de sperme que je bus durant cette période sans que Rio s'en choque. Bien au contraire puisqu'elle me présentait les trans qui aimaient jouir. A tel point que prit corps dans mon esprit ce fantasme surprenant : faire jouir dans ma bouche plusieurs transsexuelles à la queue leu leu jusqu’à sentir mon ventre déborder de leur jus. Une indigestion de sperme. Lorsque j'en fis part à Rio, celle-ci eut une réponse évasive. 

     Un soir, je vis Rio échanger discrètement quelque argent avec ses copines. Etait-ce en échange de mes services ? Ne voulant pas me priver de la jouissance de ces femelles en rut, je me gardai bien d’en faire la remarque. Chacun y trouvait son compte. Accroc à leur semence je le devins, accroc du sperme de ces gens, je le suis encore aujourd’hui. Depuis Rio, je ne peux plus me passer de leurs éjaculations...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Jeudi 21 juillet 4 21 /07 /Juil 18:28

     A partir de cette nuit sublime avec Diana et sa copine blonde, je fus perdu pour les femmes. Je me passionnai tellement pour ces deux transsexuelles que j’eus le béguin pour ma Brésilienne. Je la surnommai Rio. Pas très original comme surnom me direz-vous, mais il collait bien à sa personnalité. Par la suite, je constatai que les transsexuelles portaient souvent des prénoms se terminant par la lettre A. Pourquoi ? Je ne trouvai jamais la réponse à cette question.

     La masseuse du salon « Elle et Lui » savait ce qu’elle faisait en me recommandant à Rio. Exprimer le côté féminin de ses amants était le jeu favori de cette femme d'un genre particulier. Elle prenait son pied ainsi. L'environnement transsexuel dans lequel elle faisait vivre ses amants lui permettait de les convertir rapidement à sa religionEt Dieu sait qu’elle avait de sérieux atouts pour cela ! Amener ses amants à l’état de femelle asservie à ses fantasmes lui permettait de prendre l’initiative sexuelle sur eux. Par ses comportements ambigus, peut-être y avait-il une forme de vengeance inconsciente sur les hommes. En découvrant une telle passion vengeresse, la plupart des hommes choqués dans leur amour propre s’enfuyaient. Moi, je restais...

     Je vécus au contact de Rio et de sa copine blonde des comportements que je n’osais pas exprimer habituellement avec les femmes. Alors que ces dernières se choquaient de mes extravagances, cela devint la normalité avec Rio et sa blonde. Le sentiment d'une pudique  incompréhension sexuelle qui demeurait entre hommes et femmes ayant complètement disparu, je plongeai dans une relation totalement libérée des habituels tabous sexuels.

     Sa copine vint régulièrement épicer notre relation et faire l’amour ensemble ne manqua pas de me stimuler. A ce stade, la complicité sexuelle vécue me sembla bien plus profonde qu’avec les femmes. Je retrouvai avec ces deux trans toute l’exubérance de certains jeux solitaires de mon adolescence. Vous vous souvenez que je pratiquais l’autofellation dans ma jeunesse. Une découverte pour Rio qui s’excita beaucoup lorsque j’essayai devant elle. Mais manquant de souplesse à mon âge, je ne réussis pas à me sucer la verge. Ce fut tout juste si j'arrivai à me lécher le gland du bout de la langue.

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     Les deux copines m’encouragèrent à refaire un peu de gym pour retrouver une souplesse perdue. Mais rien n’y fit, même quand elles appuyaient avec force sur mes cuisses pour m'aider à arrondir mon dos. Par contre, je découvris combien elles s’excitaient en me voyant  me masturber avec la queue à quelques centimètres de ma bouche. Lorsque l’orgasme arrivait, elles me criaient d'ouvrir la bouche et d’avaler mon sperme. J’orientais alors les giclées vers ma bouche grande ouverte. Emporté par la jouissance, le sperme giclait dans tous les sens. Je vous assure que se ramasser du sperme dans les yeux n’a rien de jouissif. Irrités par l’agressivité de la semence, les yeux deviennent tout rouges.

       Dans un milieu ou le sexe se pratiquait avec autant de facilité, on basa notre relation sur la confiance et la fidélité. Surprenant n'est ce pas ? Une seule  condition régit notre relation : ne jamais dissimuler nos envies à l’autre et éviter de « coucher » chacun de son côté sans en parler auparavant. 

     Enfin décomplexé de mes travers féminins, je vous laisse imaginer comment je vécus ma sexualité avec Rio et sa copine blonde. Outre les hormones ingurgitées, ce fut un festival sexuel ! L’exploration troublante de ma féminité grâce aux hormones féminsantes me stimula au point de partager leurs fantasmes, des fantasmes incompris des autres gens. N'ayant jamais vécu une telle aventure, j’entrai dans leur univers avec tous les excès d’un mâle en rut. 

     Adepte des jeux SM, mais n’en respectant pas les formes, Rio me conduisit vers une sexualité où sous couvert de ma féminisation hormonale, bondages, lavements intimes, dilations anales, fist et sodomies se pratiquèrent à l’excès. Femelle je le fus jusque dans mes viscères. Soumis à sa perversion transsexuelle, je devins une chose dont elle usa et abusa. Je fus traité en femelle salope, subordonnée aux vices et sévices de gens toujours plus pervers. Mon cul devint une chatte ouverte au plaisir de ces dames. Ma bouche fut le refuge de leur verge transsexuelle. Je crus atteindre le nirvana sexuel, mais cela ne suffit pas à Rio. Je dus m’exhiber, me prêter aux caresses les plus obscènes d'autres transsexuelles dans un univers d’extravagance qui affola mes sens. Je découvris aussi la jouissance dans la douleur des corps, une douleur sadomasochiste qui renforça mon plaisir. Le sexe engendrant le sexe, un cycle infernal s’installa, une sexualité très hard, un peu comme feraient des obsédés sexuels qui se laissent aller à leurs penchants les plus pervers. Il devint normal d’explorer des fantasmes toujours plus osés, de souffrir par plaisir et d’aller au-delà de nos possibilités sexuelles. A la recherche du Graal et de l’extase absolue, je plongeais dans l'univers des trans avec une joie sauvage. 

15g.jpg     Rio et sa copine eurent un pouvoir magique sur ma libido. Cela dépassa tout ce que les femmes m’avaient offert jusqu’à présent. Il leur manqua juste l’odeur de la cyprine à l’orgasme. A défaut d’être d’authentiques femmes, elles apportèrent une réponse claire à mes questionnements sexuels. Fortement influencé par leur univers féminin, je vécus dans un tourbillon sexuel où plus rien ne fut interdit. J’en vins même à prendre des hormones féminisantes au gré de leurs fantaisies. A ce stade, Rio s’emballa encore plus que moi. C’était la première fois qu’un homme se donnait à ce point. De mon côté, je ne voulus pas refaire la même erreur qu'avec Fatou et Mariam. Un jour, je lui demandai si elle pensait faire de moi une transsexuelle. Avec son accent chantant, elle eut cette réponse troublante. « Tu es mon homme, mais je te désire en femme… ». 

     Avec le temps, Rio et sa copine me firent perdre mes repères masculins. Ces deux femmes aux seins généreux, aux corps de rêve et aux fantasmes identiques aux miens comblèrent merveilleusement ma sexualité. A la longue, j’en vins à craindre pour mon hétérosexualité. Etais-je encore capable d’éprouver du plaisir avec une femme ? La question ne manqua pas de m’interroger. Au point que j’en parlai à Rio.

     Elle connaissait une femme facile prête à se donner pour un peu d'argent. Une seule condition à cela, me voir faire l'amour devant elle. Quelle fadeur ! Cela me donna l’impression d’un repas sans épice. Pourtant, ce fut merveilleux de retrouver un corps de femme aux seins lourds, au ventre rond et aux hanches généreuses. Redécouvrir le goût de sa vulve avec l’odeur si particulière de la cyprine fut une délectation. Rio voulut d’abord que je la fasse jouir avec ma langue et que j’avale le fruit de sa jouissance. Par la suite, je m’enfonçai en elle avec la sensation d’être aspiré dans un tourbillon. Quand je jouis à mon tour, je n’atteignis pas le plaisir que j’avais avec Rio. Mais d’avoir le sexe inondé par sa jouissance me rappela LA femme et ses mystères…

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Vendredi 15 juillet 5 15 /07 /Juil 18:50

     Le lendemain soir, je me rendis dans ce fameux bar d'ambiance. Réservé aux connaisseurs ! Une minuscule salle à la lumière tamisée où s’entassait pêle-mêle une soixantaine de personnes dans un tohu-bohu indescriptible. Il y avait là des gens de toutes origines, mais aussi de tous les genres. Des jeunes travestis à la féminité si exacerbée qu’ils prêtaient à sourire ; des transsexuelles hypersexys à la beauté ravageuse et des femmes aux seins agressifs et aux hanches bien rondes. Les oreilles soumises à une sono fracassante, tout ce beau monde se bousculait allégrement en tenant précieusement son verre à la main. Du côté des toilettes existait une effervescence anormale. C’était le coin des drogués et de tous les trafics. D’ailleurs, le bar fut fermé par les autorités quelque temps après.  

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     Je me glissais entre les gens  jusqu’au bar et demandais à voir Diane. On me montra du doigt une grande métisse noire dans un coin de la salle. Originaire du Brésil, elle discutait avec une blonde aux seins d’enfer.  Je me présentai de la part de sa copine du salon « Elle et Lui ». Belle et étrange femme que cette Diane. La voix rauque, l'accent chantant avec des seins généreux et une féminité si expressive qu'elle me captiva de suite. J’étais bien loin des idées reçues ; rien à voir avec les travestis. J'étais là face à des femmes extragantes, bien plus féminines que les femmes habituellenent rencontrées. On passa la soirée ensemble à rire et à plaisanter. A la fermeture du bar, je les invitais toutes les deux à boire un dernier verre à mon hôtel. Diane eut un sourire amusé.

trans_12-1-A.jpg     Après l'assourdissante ambiance du bar d'ambiance, le calme et la fraicheur de la nuit me firent du bien. Dans la chambre d’hôtel, je fis monter par le room-service de quoi boire et manger. Puis je pris un bain. Alors que je me déshabillais, Diane et sa copine entrèrent sans prévenir. En découvrant mon corps intégralement épilé et le petit string en dentelle que je portais, les deux filles comprirent ma véritable nature. Au lieu d’en glousser comme la plupart des femmes, elles parlèrent de féminisation et d’identité de genre. Je leur confiais alors ma liaison amoureuse avec mes amies ghanéennes Fatou et Mariam en précisant qu'à aucun moment je désirais être femme.

     Les filles voulurent savoir jusqu’où j’étais prêt à aller. L’ignorant encore, je leur décrivis mes habitudes sexuelles et mes fantasmes vévus avec Fatou et Mariam sans la moindre gêne. Celles-ci me parlaient de "femellisation" dans ce cas précis plutôt que de féminisation. Aucun travestissement, aucun maquillage, aucune perruque, aucune envie de me voir en femme chez elles comme chez moi. Elles m'obligeaient à vivre intégralement épilé, à porter des strings de femme en guise de slip, me dilataient la chatte, y pénétraient leurs mains, pissaient dedans, échangeaient leurs urines dans ma vessie ou pratiquaient de profonds lavements du colon. Quand j'en vins à préciser qu'elles me faisaient prendre des hormones féminisantes pour avoir des seins de femme sans que je le sache, elles échangèrent un regard complice.

      Contrairement aux transsexuelles, leur but n’était pas de faire de moi une femme à leur image. Soumis à leur joug sentimental, elles s’excitaient à me "femelliser" en explorant leur côté dominant. Et moi, je me laissais aller à leurs délires jusqu'à devenir sexuellement passif. Un lent conditionnement qui me conduisait à me "femelliser" par pur plaisir. Dans l'intimité, la relation sexuelle avec ces maitresses femmes s’inversait. Je devenais alors une femelle en chaleur qui permettait à Fatou et Mariam de réaliser leurs fantasmes les plus extrêmes. Une escalade qui me conduisait vers toujours plus de "femellisation". Autrement dit, nous étions-là dans un rapport de domination/soumission, voire même de BDSM où la femme est l'instigatrice de cette 'femellisation' et l'homme le jouet d'un délire féminin qui stimule sa libido...  

     Waouh, quelle nuit fantastique ! Je fus subjugué par le plaisir éprouvé, bouleversé de pouvoir exprimer ma sexualité sans plus aucune retenue. Avec Diane et sa copine, je ne fus jamais brimée comme c’était habituellement le cas avec les femmes. Leurs fantasmes étaient les miens, mes fantasmes étaient les leurs. Au-delà de leur transsexualité, nous partagions les mêmes délires, tantôt homme, tantôt femme. Je me laissais aller à toutes les caresses habituellement refoulées. Je découvris qu’on pouvait faire l’amour aussi bien en femme qu'en homme sans plus aucun complexe. Savoir si on était femme ou homme ne voulait plus rien dire avec ces filles.

whizzer01 jpg     Je découvris le petit sexe de Diane et de sa copine blonde épilé comme le mien et fus surpris par leurs minuscules testicules. Aucune gêne face à cet appendice dont elles jouissaient délicieusement. De fellation en sodomie, j’étais tantôt une femme soumise qui s’offrait à la perversité de l’une, tantôt un homme actif qui donnait du plaisir à l’autre. En découvrant le gout de leur sperme, une semence bien plus gouteuse que la mienne, je découvris aussi combien il était facile de se défaire de ses à priori de mâle.  Je leur dis que c’était la première fois que j’avais un sexe d’homme dans ma bouche. Mensonge puisque j’avais gouté maintes fois à l’ami travesti de Fatou et Mariam. Elles rirent aux éclats. «  Mais mon cher, nous sommes des femmes. Et ce que tu prends pour une verge est un clitoris apprécié par beaucoup d'hommes. A la jouissance, c’est de la cyprine que tu bois… ».

      Au réveil, j’avais encore le goût de leur semence dans ma bouche. Je les regardais dormir, leurs jambes entremêlées, serrées l'une contre l'autre, leurs corps totalement nus. Je fus frappé par le contraste de la peau noire de Diane et de la peau blanche de sa copine. Ces deux personnes réunissaient tout de la femme dont je rêvais sexuellement, une plastique troublante et une vision de la sexualité proche de la mienne. Comment résister à leur silhouette mince et élancée, à leur corps lisse, à leur hanche étroite, à leur peau ferme, à leurs seins généreux et à leur ventre nerveux ? Et que penser de leur verge indécente : " Un clito au dessus de la moyenne, disaient-elles ?" Leur libido étant identique à la mienne, je pouvais enfin vivre mes fantasmes sans passer pour un détraqué sexuel. Je délirais... Non, je découvrais que la femme sexuellement libérée ne pouvait être que transsexuelle puisque nous partagions les mêmes fantasmes. Une conception marginale, j’en conviens, mais suis-je encore dans la normalité avec ma vision particulière de la sexualité ?


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 10 juillet 7 10 /07 /Juil 03:31

     J’avais pour habitude lorsque j’étais en voyage à Paris d’acheter un hebdomadaire décrivant tous les spectacles de la ville. Amateur de grandes musiques dans les cathédrales, j’en profitais pour assister aux plus beaux concerts. En parcourant par curiosité la page des spectacles érotiques, je remarquais une étrange publicité : «Elle et Lui», un salon de massage au nom troublant : La publicité représentait un visage dessiné, moitié femme, moitié homme. Intrigué par l'ambiguïté de cette annonce, je décidais de voir de quoi il s’agissait. Je téléphonais et pris rendez-vous pour le lendemain après-midi.

6gb.jpg     C’était un endroit cossu dans le seixième, décoré avec soin. Rien à voir avec ces salons vulgaires de la rue Saint-Denis. Je fus reçu par une charmante hôtesse qui me conduisit dans une petite pièce élégamment meublée. Elle me tendit une serviette, m’invita à me déshabiller, à m'allonger sur la table de massage puis se retira discrètement. Quelques instants après entra une jeune femme d’allure ambigüe. Vêtu d’une courte blouse blanche, je constatai qu’elle ne portait rien dessous. Ou plutôt si, un string couleur chair si petit qu’il se voyait à peine. Tout en discutant de tout et de rien, elle commença par me masser avec une lotion aux parfums subtils. Elle remarqua mon corps intégralement épilé. C’était si rare chez les hommes qu’elle me fit la remarque. Très cool, je lui confiai mon plaisir à vivre la part de féminité qui cohabitait en moi.

     Elle me parla alors de sa transsexualité. En ce temps-là, ce terme n’était  pas encore d’usage. On disait plutôt travesti, un amalgame qui en disait long sur l’état d’esprit des gens de l’époque. Femme dans un corps androgyne, elle prenait des hormones pour se féminiser et avoir une poitrine de femme. Fière de sa féminité, elle retira sa blouse pour se montrer. Elle avait d’adorables seins de fille pubère, des petites oranges posées très haut sur la poitrine. Ses mamelons étaient sombres et aussi gros que ceux d’une femme. Comme moi, elle était intégralement épilée. Elle me dit que son sexe lisse faisait bien plus femme ainsi. J’approuvai chaleureusement. Mais contrairement à elle, je ne ressentais aucunement le besoin de devenir femme. Je lui expliquai que je recherchai une femme qui favorise mon côté féminin, mais sans remettre en question ma condition de mâle. Elle eut cette réponse surprenante : « On sait quand ça commence, mais jamais quand ça se termine… » Elle me précisa qu'elle n’était sexuellement attirée que par les hommes. Les femmes ne l'intéressaient que pour leur féminité. Moi par contre, je ne pensais qu’aux femmes...

b.jpg     Assez parlé ! Elle passa à l’acte et me suça avec talent : une professionnelle dans son genre. Intrigué par son état ambigu, j'écartai son string et caressai sa verge. Suite à une pulsion subite,  je la suçai à mon tour. Je voulus la faire jouir dans ma bouche. Retrouver le goût de ce travesti que j'avais connu avec Fatou et Mariam. Hélas, sa verge resta molle malgré mes savantes caresses. Elle s’excusa de ne pouvoir jouir. J’étais son quatrième client de la journée. Et tous l’avaient « tétée » avant moi. Je trouvai l’expression amusante. Surprenante réaction de vouloir la sucer alors que les hommes me faisaient sexuellement horreur...

     Ce premier contact transsexuel fut déterminant. Il apporta un éclairage nouveau à ma condition sexuelle. Je retrouvai chez cette personne si particulière mes propres penchants féminins, bien que mes motivations fussent différentes. Je pressentis avoir beaucoup à découvrir avec des gens de sa condition. La masseuse me donna l’adresse d’un petit bar d'ambiance. « Tu demandes Diane. Je pense qu’elle appréciera un homme comme toi. » En échange d’un royal pourboire, elle me fit cadeau de son string. Un souvenir que je rangeai délicatement dans la pochette de mon costume...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 17:43

     Mon corps écrasé de soleil, je somnolai sur la petite plage isolée en pensant aux merveilleux orgasme que me procurait ma libido. Une femme d’âge mure cherchant manifestement une place où s’allonger s’installa près de moi. Surpris dans mon intimité, je redonnai rapidement à mon bikini une forme plus convenable et me retournai sur le ventre. Quelle intruse ! Ne pouvait-elle pas me laisser tranquille dans mon coin ? Il y avait assez de place ailleurs. Elle étendit un paréo sur le sable, s’agenouilla dessus et dégrafa son soutien-gorge sans aucune gêne. Puis elle étala une lotion bronzante sur son corps en insistant sur sa poitrine. Du coin de l’œil, je regardai discrètement. Je vis distinctement ses mamelons se dresser lorsqu'elle les enduisit d'huile.

RD873419.jpg     Après quelques minutes à s'observer, on finit par se parler. Laure, c’est ainsi qu’elle se prénommait, me confia avoir remarqué mon ventre lisse : une façon élégante de me dire qu’elle m’avait surpris dans mes occupations intimes. En guise de réponse, je me remis sur le dos. Elle contempla alors avec curiosité mon ventre épilé dans le petit bikini de femme. Notre conversation porta sur mon corps intégralement lisse et sur mon aversion des poils. Je lui confiai que j’adorai m’exposer ainsi au soleil dans de minuscules maillots. Le temps passa à discuter et à nous baigner. Vers midi, je l’invitai à déjeuner à la maison.
 
     Laure était une touriste de passage. Mariée à un riche américain resté à New York, cette Française d’une quarantaine d’années était en vacances. Excités par le soleil et la mer, on fit l'amour comme deux jeunes amants. Ma nudité l'emballa. Son corps généreux aux seins lourds me captiva. Il se dégageait d'elle une sensualité troublante. Notre relation fut si agréable qu'elle quitta son hôtel et s’installa chez moi. Alors qu’elle était venue pour une quinzaine de jours, elle resta six mois. Elle s'absenta juste quelque temps pour rassurer son mari.

      Adepte du dieu soleil et de la mer, il ne se passa pas un seul jour sans que nous allions nous érotiser à la plage. Comme elle appréciait mon corps lisse et mes petits bikinis, elle s’acheta les mêmes et les roula comme moi en de minuscules strings sur ses hanches rondes. Elle adora surtout faire l’amour dans la mer, prise par devant ou par derrière avec l'eau qui s'infiltrait par tous les orifices. Par la suite, ce fut elle qui m’épila les zones intimes, une excitante découverte pour elle. Bien dans sa nouvelle peau d'amante, elle me répéta sans cesse être au paradis. Elle en oublia sa vie de citadine new-yorkaise.

Enceinte.jpg     Je remarquai qu’elle ne prenait aucune précaution particulière quand nous faisions l’amour. Je lui demandai si elle avait des enfants. Hélas non, son mari était stérile. Cela la rendait malheureuse d’ailleurs. Je pressentis chez elle une forte envie d’enfanter.

     Et ce qui devait arriver arriva. Après quelque temps, elle me confia, radieuse, être enceinte. En réaction, je l'invitai à se faire avorter. Maladroit que j'étais, je n'avais rien compris. Avoir un bébé ne pouvait être qu’un don du Ciel à ses yeux, surtout avec un mari stérile. Pensez donc, une femme de quarante ans qui n’avait jamais eu d’enfant. Mais comment allait réagir son mari ? Elle éluda ma question d'un geste ample du bras. J'embrassai son ventre avec toute la fougue d'un futur père qui n'a rien à se reprocher.

       Ce jour-là, on fit l'amour merveilleusement. Elle m'offrit tout ce dont une femme enceinte est capable. Etait-ce sa condition de femme enceinte ou la libido débordante des femmes de cet âge qui la rendait si gourmande ?

     Au fil des semaines passées ensemble, elle fit une fixation sur son bébé. Elle détailla les moindres réactions de son corps et consulta tous les gynécologues de la ville. Surtout ne pas perdre ce merveilleux don du ciel. Et moi, inconscient des conséquences de sa maternité, je la regardai s'épanouir. Elle était si heureuse qu'elle répandait le bonheur autour d'elle.

     A présent, son ventre rond se remarquait bien. J'avais plaisir à le caresser et à écouter les palpitations de l'enfant. Je redécouvrais le miracle de la fécondation. Au niveau de sa poitrine, j'assistais à une fantastique transformation. Ses seins se gonflaient, ses aréoles se boursoufflaient et les mamelons bourgeonnaient à vue d'oeil. Quel plaisir de les sucer. J'attendais impatiemment des montées de lait. Ah, boire le lait maternel comme un bébé serait une belle expérience...

     Hélas, les meilleures choses ayant une fin, il fallut nous séparer. Son mari la réclamait auprès de lui. J’accompagnai tristement Laure à l’aéroport. Notre séparation fut d'une tristesse démoralisante. Je la serrai dans mes bras avec toute l’énergie du désespoir sentant son gros ventre contre le mien. Elle pleura puis me sourit difficilement . J'en fus ému. On échangea nos adresses et nos numéros de téléphone. Elle promit de revenir, je promis de la revoir aux USA.

     Malheureusement, je n’eus plus jamais de ses nouvelles. Je profitai d'un voyage pour la voir à New York. Mais Laure n'habitait plus à l'adresse indiquée. Je frappai à toutes les portes de l'immeuble et montrai sa photo aux habitants. Personne ne se souvenait d'elle. Malgré mon insistance, on ne put me renseigner. J'en fus consterné.

     Je suppose que par crainte de me voir réclamer la paternité de l’enfant qu’elle portait, Laure préféra disparaître définitivement de ma vie. Aujourd’hui, elle coule certainement des jours heureux, partagés entre notre enfant et son mari. Je me consolai en concluant que j’avais été un géniteur ayant contribué à son bonheur. Mais je fus malheureux d'apprendre que quelque part aux USA vivait un enfant dont j’étais le père.  Heureux d’avoir pu donner un sens à la vie de cette femme, je ne sus jamais si c'était une fille ou un garçon...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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