Partager l'article ! Ma femellisation, 19, UN MONDE A L’ENVERS: Hormis les gays, les hommes ne savent pas se servir de leur bouch ...
Hormis les gays, les hommes ne savent pas se servir de leur bouche quand ils sucent une transsexuelle. Par manque d’habitude, ils ont tendance à « égratigner » le sexe avec leurs dents, ce qui casse le plaisir de la fellation. Et très peu pratiquent le « deep throat », une caresse qui consiste à avaler le gland jusqu’au fond de la gorge, bien au-delà de la glotte. Or moi, j’avalais de plus avec gourmandise le fruit des jouissances de Rio. Jamais un homme ne l'avait sucée aussi bien. Sa copine non plus ne résista pas à mes caresses buccales.
Face à ma gourmandise, les deux filles tombaient souvent en panne. Qu'à cela ne tienne. En fin gourmet que j’étais, les dîners dans l’appartement furent souvent pris en invitant une copine à se vider dans ma bouche. Rio disait que c’était mon dessert. Ayant horreur des poils, j’exigeai uniquement que leur sexe soit aussi lisse que le mien ce qui faisait de leur sexe un appendice bien plus féminin. Un pur moment d’érotisme qui exacerbait les sens de Rio. Irrésistiblement excitée par le spectacle que j'offrais, elle finissait à chaque fois par me prendre par-derrière avec sa copine blonde.
Je découvris à cette occasion combien leur sexe était différent de
celui des hommes, dans la forme, la taille et les réactions à l’orgasme. Ces gens se distinguaient principalement par des petits testicules, des billes d’enfant avec lesquels j’adorai jouer.
Chacune avait à la jouissance un goût particulier. Leur semence moins astringente était bien plus douce que la mienne. Certainement un effet lié aux hormones féminisantes qu'elles
prenaient. Je pense aussi que l'alimentation jouait beaucoup sur le goût de leur sperme. Je trouvai aussi l’odeur de leur sexe moins forte que la mienne.
Les femmes en général ont horreur du sperme et avalent donc, sauf exception, rarement
notre semence. Or, quoi de plus frustrant que de se retirer d’une bouche chaude au moment de l’orgasme ! Cela gâche instantanément le plaisir. Moi par contre, j’allais jusqu’au bout des
jouissances de mes copines en avalant avec délice leur semence. Quel bonheur pour ces transsexuelles de s’enfoncer dans ma gorge en serrant fortement ma tête contre leur ventre au rythme de leurs
éjaculations. Certaines d’entres elles s’excitaient tellement qu’elles jouissaient plusieurs fois d’affilé. Un monde à l’envers puisque c’était elles qui suçaient habituellement les
hommes.
Par la suite, il fallut que les copines transsexuelles m'offrent ma dose quotidienne de sperme. Ca devint une question d'équilibre. Et comme on prête au sperme des vertus bénéfiques, je ne m’en privai pas. Les transsexuelles se nourrirent du plaisir que je leur donnai et moi je me nourris du fruit de leur jouissance. Ce furent des litres de sperme que je bus durant cette période sans que Rio s'en choque. Bien au contraire puisqu'elle me présentait les trans qui aimaient jouir. A tel point que prit corps dans mon esprit ce fantasme surprenant : faire jouir dans ma bouche plusieurs transsexuelles à la queue leu leu jusqu’à sentir mon ventre déborder de leur jus. Une indigestion de sperme. Lorsque j'en fis part à Rio, celle-ci eut une réponse évasive.
Un soir, je vis Rio échanger discrètement quelque argent avec ses copines. Etait-ce en échange de mes services ? Ne voulant pas me priver de la jouissance de ces femelles en rut, je me gardai bien d’en faire la remarque. Chacun y trouvait son compte. Accroc à leur semence je le devins, accroc du sperme de ces gens, je le suis encore aujourd’hui. Depuis Rio, je ne peux plus me passer de leurs éjaculations...
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