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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 09:36

"L'allaitement au masculin est-il possible ?

Par Nelly Deflisque

     Et si les hommes allaitaient eux aussi ? Bien que leurs glandes mammaires soient atrophiées, ils pourraient, et certains exemples en témoignent, nourrir leurs enfants à l'image des femmes. Magicmaman fait le point sur cette pratique non-consensuelle, au masculin.

     Si le concept peut effrayer, il n’en reste pas moins une réalité. Oui, certains hommes, dans certaines conditions peuvent allaiter. Dérangeante pour certains, révolutionnaire pour d’autres, cette pratique ne laisse personne indifférent et surtout pas les principaux intéressés, les papas et futurs papas. Si l’histoire atteste de quelques exemples de pères nourriciers, certains contemporains audacieux ont souhaité à leur tour essayer l’aventure « tétée ». Bravant les difficultés et les préjugés, ces hommes ont eu à cœur de tester l’allaitement pour enfin connaître une expérience jusque-là réservée aux femmes.

     Alors, les seins masculins sont-ils en passe de devenir la nouvelle coqueluche des nourrissons ? Magicmaman fait le point sur cette pratique avec Véronique Darmangeat, consultante en lactation et Hubert Montagner, professeur de psychologie et auteur de L’arbre enfant (Ed. Odile Jacob).

Quand l'histoire témoigne...

     Aux légendes ancestrales succèdent des témoignages historiques, dont certains naturalistes se font l’écho. Ainsi, à son époque déjà, Charles Darwin s’interrogeait sur l’utilité des seins masculins et justifiait leur présence par un allaitement dans les temps antérieurs. Selon lui, les mammifères mâles ont progressivement abandonné cette pratique au point de rendre complètement caduque leur lactation, laissant aux femelles le soin d’allaiter leurs petits. Plus concrètement, en 1992, des zoologistes ont constaté que des chauves-souris mâles de Malaisie produisaient du lait en petite quantité quand on leur pressait les mamelles. Depuis cette découverte, les seins masculins sont revenus sur le devant de la scène, poussant les plus éminents scientifiques à s’interroger sur leurs capacités à allaiter...

Les contemporains s'y mettent !

     Quid des êtres humains ? Plusieurs exemples d’hommes allaitant leurs petits ont été recensés, et ce, dans de nombreux pays. Sur le continent africain existe une tribu nomade (dont la population totale avoisine les 20 000) nommée Aka, au sein de laquelle certains pères nourrissent leurs enfants à la tétée. La proximité entretenue par ces hommes avec leurs nouveau-nés serait-elle suffisante pour expliquer leur production de lait ?

     Ce n'est pas tout. D’autres témoignages portent à croire que les situations d’urgence peuvent donner lieu à un allaitement masculin. Selon l’Agence France Presse, citée par Libération (blog de Libération Les 400 culs), en 2002, un Sri-Lankais est parvenu à allaiter ses deux petites filles – qui ne supportaient pas le lait de vache - après la mort de sa femme. Il déclarait alors aux journalistes venus l'interroger : « Elles le rejetaient (le lait de vache, ndlr) chaque fois que je les nourrissais au biberon. Alors incapable de supporter leurs cris, je leur ai offert ma poitrine et je me suis aperçu que je pouvais les nourrir ». Plusieurs récits de papas poussés par l’instinct de survie de leur petit abondent également en ce sens…

     Enfin, selon de sérieuses études, certains désordres hormonaux liés à des traitements par chimiothérapie, notamment, joueraient un rôle dans la production de lait chez certains hommes malades. Ces derniers produiraient alors du lait en abondance. Proximité, urgence, problèmes hormonaux... En dehors de ces configurations, les hommes peuvent-ils tous postuler au titre de père nourricier ?

Comment s'y prendre ?

     Selon Véronique Darmangeat, notre experte en lactation, les glandes mammaires des hommes ne sont pas prévues pour l’allaitement, a contrario des femmes dont le corps se prépare tout au long de la grossesse à la mise au sein. De plus, si les hommes sont bels et bien pourvus de glandes mammaires et d’hypophyse (qui secrète l’ocytocine, favorisant l’éjection du lait), ces derniers ne peuvent spontanément répondre à la demande d’un bébé affamé. En effet, leur production de dopamine aurait pour effet d’empêcher ce phénomène lacté. Néanmoins, il semble possible - toujours selon notre professionnelle - que dans certains cas plutôt rares, les hommes puissent stimuler leur lactation à l’aide d’un tire-lait ou d’une succion du mamelon par la bouche du bébé. Les conséquences ? « Les seins des hommes se développent, et leurs hormones se féminisent. Sont-ils prêts à faire ces concessions s’interroge Véronique Darmangeat. Cette question essentielle sous-tend en filigrane celle de la confusion des genres et des motivations profondes des hommes à se lancer dans cette aventure, jusque-là considérée comme exclusivement féminine.

Quid de la confusion des genres ?

     Pour Hubert Montagner, professeur de psychologie et ancien directeur de recherche à l’Inserm, il est nécessaire d’établir une frontière entre le psychique et le physiologique dans le domaine de l’allaitement au masculin. « Si le phénomène existe bel et bien, il ne faut pas que les papas se prennent pour des mamans. Ces hommes qui tentent l’expérience en donnant le sein sont dans une ambivalence père-mère et envoient une information floue à leurs petits », souligne-t-il. Selon ce spécialiste, cette confusion des rôles ne permet pas au bébé de s’installer dans des « relations accordées » où la singularité de chaque parent est respectée. À travers cette conception, les hommes (encore rares) qui souhaitent allaiter et vivre cette fusion avec bébé doivent dépasser de nombreux obstacles et préjugés pour mener à bien leur désir. À savoir, le regard de la société et les barrières psychologiques culturelles, qui veulent que seules les femmes soient détentrices de ce pouvoir… nourricier."

À lire sur le site de Magimaman à l'adresse :

https://www.magicmaman.com/,l-allaitement-au-masculin-effet-de-mode-ou-prochaine-realite,69,2098454.asp

      Ces deux raisonnements reposent sur les valeurs traditionnelles de la famille. Une fois de plus, on ne tient pas compte des hommes et des transgenres qui vivent de telles situations...

 

Par Microstring - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 08:54

     Les vacances ont ceci d'agréable que je trouve enfin le temps de me ballader sur le Web... Et là, je fais parfois des découvertes incroyables. Voyez cette réaction à l'annonce officielle sur la transgenre qui a allaité son bébé tout en étant suivie médicalement. Sous le prétexte de corriger les "dérives humaines" l'article ci-dessous prête plutôt à rire par son intolérance extrême. La version originale est à lire sur le site :

https://www.medias-presse.info/genderfolie-ne-homme-transforme-femme-il-allaite-son-fils/87625/

"Genderfolie : né homme, transformé femme, il allaite son fils !

     La théorie du genre est avant tout un véritable cri de haine satanique contre la Création divine ! Tout est fait par les apprentis sorciers transhumanistes, haineux de toutes morales et lois naturelles, pour contrer la nature, la biologie, l’anatomie afin de créer un homme nouveau, indépendant de la création originelle. Révolution anthropocentrique diabolique au service d’un messianisme terrestre qui chante des lendemains paradisiaques qui ne seront qu’une descente en enfer pour l’humanité !

     Rien n’arrête donc la genderfolie et son cortège d’horreurs génétiques ! La dernière folie en ce domaine arrive des États-Unis où un individu né homme devenu femme allaite son fils. Premier cas du genre, enregistré par la science, tout émoustillée de ce « succès » créationniste.

     La mère biologique de ce pauvre enfant, à qui on nie le droit d’avoir un père et une mère normaux, dotée des organes et hormones indispensables à l’allaitement, ne veut pas le nourrir. C’est donc, et là on frise l’indicible, l’autre soi-disant “mère” de l’enfant,  née homme devenu femme, qui, grâce à un régime pharmacologique expérimental qui comprenait l’administration d’hormones spéciales, a réussi à produire environ 203 grammes de lait par jour, suffisamment pour alimenter le fils pendant 6 semaines. Cet exploit médical à la Frankenstein a été réalisé au Mount Sinai Center for Transgender Medicine and Surgery de New York par les médecins Tamar Reisman et Zil Goldstein.

     Ce transsexuel âgé de 30 ans a eu les honneurs des médias mainstream et des magazines scientifiques dont le Transgender Health qui, dans un article louangeur, a décrit minutieusement la thérapie mise en place qui comprenait des hormones, un médicament pour la nausée et un pour la stimulation des seins. Ce trans avait déjà reçu un traitement hormonal féminisant pendant de nombreuses années, avant de débuter cette cure pour l’allaitement pour avoir des seins sans opération chirurgicale.

La genderfolie tue l’humanité !

Bioéthique et Santé / Bioéthique, Santé et Science — par Francesca de Villasmundo — 16 février 2018"


Par Microstring - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 07:18

Une femme transgenre, née homme, peut allaiter selon une récente étude américaine 

     Une étude scientifique américaine publiée en janvier 2018 – officiellement la première sur ce sujet - décrit comment une femme transgenre américaine a pu allaiter son enfant adopté, grâce à la prise d'hormones provoquant des montées de laitCe cas officiel démontre que, dans certaines circonstances, une lactation modeste mais fonctionnelle peut être induite chez les femmes transgenres. Mais les experts affirment que d'autres recherches doivent être conduites afin de déterminer si le lait est correctement nourrissant et sûr pour les bébés, et d'autre part, quelles sont les doses précises d'hormones à prendre dans ce cas précis.

     L'étude, publiée dans "Transgender Health", expose le cas d'une femme transgenre de 30 ans, homme à sa naissance, qui prend des hormones féminines depuis six ans. Elle n'a subi aucune opération chirurgicale de la poitrine ou de l'appareil génital. Elle avait sollicité l'aide d'une équipe médicale, car sa compagne enceinte ne voulait pas allaiter. Vous l'aurez compris, cette future mère faisait une transition femme vers homme. Et donc allaiter son futur bébé la contrariait fortement. Comme les seins de son ami transgenre étaient bien développés ( niveau Tanner V), elle espérait pouvoir allaiter son nourrisson à la place de sa compagne indique le rapport de l'étude, menée par une équipe de l'école de médecine Icahn de l'hôpital Mount Sinai de New York.

beau costume

     La patiente avait suivi un régime hormonal qui avait précédemment déclenché la lactation chez d’autres femmes. Il comprenait une augmentation graduelle des hormones féminines oestradiol et progestérone. Son traitement incluait également la prise d'un médicament anti-nausée, la dompéridone. Cette molécule est utilisée pour favoriser la lactation, voire l’augmenter chez les femmes allaitantes. Elle devait se le procurer au Canada, le médicament n'étant pas autorisé aux Etats-Unis. Elle devait également utiliser un tire-lait, pendant cinq minutes sur chaque sein, trois à cinq fois par jour.

     La jeune femme transgenre a suivi ce régime pendant trois mois et demi, temps d'attente avant la naissance du bébé. Elle a pu l’allaiter pendant six semaines puis a complété avec du lait maternisé en raison d'une insuffisance de son volume de lait produit. La croissance du nourrisson, ainsi que ses habitudes alimentaires étaient dans la normale. Ce cas démontre clairement  que, dans certaines circonstances, une lactation modeste, mais fonctionnelle peut être induite chez les femmes transgenres.

     A lire cette étude : https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/trgh.2017.0044, on se rend compte que les médecins ont un temps de retard. Face à l'échec de ma propre tentative de lactation, j’ai communiqué avec deux transgenres, il y a de cela deux ans déjà. L’une habitait aux USA et l’autre en Australie. Toutes deux passionnées de lactation, elles avaient suivi un traitement hormonal simulant une femme enceinte pendant plus de six mois. L’une produisait régulièrement près de 450 ml de lait par jour et l’autre un peu moins de 250 ml et cela pendant plus d'un an tant elles étaient passionnées de lactation. Voir aussi ce lien qui conforte mes observations : http://www.milkjunkies.net/2013/05/trans-women-and-breastfeeding-personal.html.Une transgenre qui a allaité le bébé fécondé par sa femme début 2013. 

     Quant à la compagne sujet de cette étude, je suppose qu'elle est une transgenre FtM qui fait donc une transition inverse de celle de son "mari" : une femme se sentant homme, mais qui a accepté de porter le bébé de son couple tout en refusant de l'allaiter. Peut-être qu'elle avait subit une ablation des seins, opération fréquente chez ces gens. Il est aussi fréquent de voir ces transgenres FtM refuser tout comportement féminin qui vont à l'encontre de leur transition. Simple supposition, car les motivations profondes de ce couple n'ont pas été diviguldées publiquement.


Par Microstring - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 22:47

     Je souhaiterais revenir sur l'allaitement long développé au chapitre 2, "Allaitement prolongé". L’allaitement long, une expression choquante de nos jours tellement les femmes manquent au principe le plus élémentaire de nourrir leur bébé au sein. Dans cette forme d’allaitement, c’est l’enfant qui décide naturellement de son sevrage, autrement dit, c’est un allaitement à la demande à la condition que la mère puisse suivre les contraintes qui lui sont liées.

     Le mode de vie des femmes d’aujourd’hui fait qu’elles doivent reprendre impérativement leur activité professionnelle après un congé de maternité. Et pourtant, des femmes souhaiteraient le prolonger tant le plaisir partagé avec leur bébé est grand. De ce fait, nombreuses sont celles qui cessent d’allaiter après trois mois, une privation qui perturbe profondément leur bébé. D’autres femmes, considérant que l’esthétique de leurs seins est plus importante que d’allaiter leur enfant, passent directement au biberon. Des laits faits par des industriels peu scrupuleux, plus intéressés par le profit que par la santé des nourrissons. Nous vivons actuellement un exemple concret avec Lactalis et ses laits pour bébés. Comparativement au lait naturel, ces laits artificiels engendrent souvent maladies et complications. Certains psys conseillent même de cesser l’allaitement long, car il prouverait un raté du sevrage tandis que des lesbiennes féministes s’opposent carrément à la lactation. Une fonction animale de femelle selon elles, indigne des femmes. Or, des spécialistes précisent même que des enfants allaités artificiellement seront des enfants contrariés plus tard. On le constate les opinions sur l’allaitement naturel divergent, souvent au détriment de l’enfant.

     Je ne rappellerai pas ici les bénéfices de l’allaitement naturel. Quant à l’allaitement long, le lait maternel reste recommandé en complément de la nourriture solide au-delà de 6 mois, car il couvre une part importante des besoins nutritionnels et des apports énergétiques de l’enfant. De plus, toutes les études sur l’allaitement long démontrent un développement cognitif et social bien meilleur que chez l’enfant allaité artificiellement. De toute façon, je ne vois pas l’utilité d’imposer une limite d’âge à la pratique de l’allaitement long dans la mesure où l’enfant finit par s’arrêter de lui-même. Il existe plusieurs schémas de sevrage, fonction de la durée d’allaitement :

-          Quand l’enfant commence à parler et à marcher autour d’un an à un an et demi

-          Puis à l’âge de raison vers six à sept ans

-        Et enfin à la prépuberté, lorsque le corps de l’enfant se transforme sous l'action de la montée hormonale, lorsque sa sexualité propre se développe. On considère qu’il cesse son allaitement au moment où lui-même s’ouvre au monde extérieur.

2dd3461e      L’allaitement long choque beaucoup en France. Non seulement on le considère indécent, mais  on a aussi tendance à l’assimiler à de l’inceste. Un dégout purement culturel. Or, une relation incestueuse se caractérise d’abord par la recherche d’un plaisir sexuel qui répond à un mécanisme hormonal bien précis, mécanisme qui, à défaut d’hormones sexuelles spécifiques, n’existe pas encore chez l’enfant en bas âge. À l’évidence, on a tendance à associer les seins à la sexualité et donc à les réserver au monde adulte. Et pourtant dans les cultures, dites, anciennes les seins étaient naturellement dénudés, car ils n’avaient pas ce caractère sexuel qu’on leur prête actuellement. Dans beaucoup de cultures asiatiques comme africaines, les mères donnaient le sein jusqu’à un âge très avancé. Ces mères avaient compris que nourrir un enfant au sein lui évitait des carences nutritives susceptibles de nuire à son développement.

     En ce qui concerne « la rupture ombilicale » de l’enfant, le sevrage, il intervient lorsque l’enfant  commence à s’extérioriser du milieu familial et entreprend son propre processus procréatif ; une réaction innée qui survient au plus tard à la prépuberté. Toutes les données historiques sur l’allaitement naturel nous démontrent que le sevrage naturel a lieu vers l’âge de deux à trois ans. A cause de la pression culturelle, beaucoup de mamans continuent d’allaiter en secret sans même en parler à leur médecin tellement elles sont gênées par la forte intimité qu'elles partagent avec leur enfant. Restent malheureusement ces femmes qui n'arrivent pas à produire suffisament de lait ou qui ont  des problèmes de santé…

      Des études effectuées sur  des mammifères conduisent à définir l’âge du sevrage vers 5 à 7 ans. La palette est donc large en matière d’allaitement naturel. Tout comme l’enfant apprend à marcher, à parler, il décide de son sevrage quand il s’ouvre au monde extérieur. Le sevrage long se fait toujours progressivement ce qui laisse le temps, à l’enfant comme à la maman, de se séparer en douceur, d’autant plus qu’une mère comme son enfant tire un plaisir certain de l’allaitement : le sevrage progressif présente moins de risque de dépression, un peu de nostalgie quand même et des seins douloureux pour la maman en attendant que les montées de lait régressent. À moins que le conjoint prenne la relève si la mère éprouve le besoin de continuer. Mais bien souvent après un allaitement long, la maman ressent généralement le besoin de se reposer et de reprendre une vie plus ordinaire.

     Difficile donc pour les adeptes de l’allaitement long de donner un âge de sevrage précis. Les spécialistes définissent néanmoins un seuil bas de 2 ans et demi et un seuil haut vers 6 à 7 ans. Ce qui n’empêche pas certaines mères d’allaiter jusqu’à ce moment  où leur l’enfant s’ouvre au monde extérieur, soit à la prépuberté vers dix ans...


Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Samedi 8 avril 6 08 /04 /Avr 20:47

     A l'occasion de la journée mondiale de l'allaitement, l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, rappelait que 40% seulement des nourrissons de moins de six mois étaient allaités exclusivement au sein dans le monde. Un pourcentage qui me choque profondément. L'UNICEF, elle, propose d'allaiter durant deux ans et l’American Academy of Pediatrics recommande l’allaitement pendant au moins un an, et ensuite aussi longtemps qu’il plaira à la mère et à l’enfant. A l'évidence, l'allaitement reste l'un des moyens les plus naturels et les plus  efficaces de préserver la santé de l'enfant selon ces organismes. Pas de lait industriel plus ou moins douteux à acheter, pas de biberons au bisphénol à préparer. Mais un manque à gagner certains pour les industriels...

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     Et si les hommes s'y mettaient aussi... Or, qu'un homme arrive à produire du lait et allaite son enfant choque encore trop fortement les populations et les femmes en particulier. Quant aux médecins, cela relève d'une maladie. Et pourtant, moi, je suis partant...


Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 06:10

PRENDRE UN BAIN DANS CES CONDITIONS, MOI PERSONNELLEMENT, JE NE RESISTE PAS...

Bonnes vacances à tous mes lecteurs 

lacta

     Je travaille actuellement à une rubrique qui explique la procédure permettant d'induire une lactation chez les hommes. Le sujet est hardu, car contrairement aux U.S.A, il existe un véritable tabou en France. Personne ne l'a abordé ouvertement ici. Et la documentation qui s'y réfère s'appuie essentiellement sur l'expérience de quelques transsexuelles américaines qui se passionnent à ce sujet. Si des amateurs de lactation mâle me lisent, voire des transgenres qui ont eu des montées de lait, qu'ils me contactent. J'aurais plaisir à échanger avec eux...

Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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