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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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ALLAITEMENT EROTIQUE

Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 05:56

     A lire les commentaires sur le Web, pas de juste milieu en matière d’allaitement érotique. On tranche dans le vif : pour ou contre ! Heureusement que l’anonymat d’Internet, permet une fois de plus de briser les tabous. Depuis quelque temps, une sexualité refoulé ou cachée se dévoile ouvertement quitte à choquer les esprits trop rigoureux. Reste à démêler la part du fantasme de la réalité. Pourquoi ne peut-on exprimer une vision différente de la sexualité sans déclencher la colère des foules ou passer pour un malade ?  Pourquoi cette pratique serait-elle plus condamnable qu’une autre ? De tout temps, des hommes ont tété et bu le lait des femmes sans pour cela passer pour des pervers. Je retrouve là les mêmes réactions excessives que pour la femellisation des hommes. On peut en discuter longuement tant qu’on ne se justifie pas en avançant la cause humanitaire qu’est l'allaitement d’un enfant. 

     Aux opposants de cette pratique, je propose de raisonner par l’absurde : Avant tout, les vaches produisent du lait pour nourrir leur veau. Or le premier homme qui a gouté au pie d’une vache et qui a bu son lait a du se faire salement insulter. Et pourtant, c’est le lait que nous buvons tous aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle des vaches se font "pomper" les pies plusieurs fois par jour et continuent à avoir du lait alors qu’elles n’allaitent plus leur veau depuis longtemps. Même les laits industriels pour bébés sont du lait de vache. Or tout le monde trouve ça normal.


39     Encore mieux, comparons la pratique de l’allaitement à l’avortement ? Là, on parle du meurtre légal d’un fœtus et en plus financé par la sécu et donc par la collectivité. Cela me rappelle la remarque d'un ami : "Si l'avortement est  un crime, la pipe est du cannibalisme et la masturbation un génocide." Où va-ton avec de tels convictions ? Plus beaucoup de personne s’offusque de la sodomie bien que ça sente parfois très mauvais. Même les hétéros s’y  mettent. Et que dire des gens qui se régalent du sperme ou de la cyprine de leur partenaire ou de ce liquide qu’on nomme champagne doré par décence. Pourquoi veut-on m’astreindre à sucer uniquement un sein vide de lait ? Les moralistes me répondent à chaque fois que c’est plus "sain". 

     Dans ces conditions, que des gens condamnent l’allaitement entre adultes m’échappe, à moins que ce ne soit pour exprimer leurs frustrations. Dire que boire le lait d’une femme est un acte contre nature, c’est manquer d’ouverture d’esprit. Traiter les gens de malade mental, de fou ou de déchet humain ne résout rien. Bon sang, soyons cohérents dans nos raisonnements. Voyez les homos. Que de chemin parcouru en quelques décennies ! A partir d’une sexualité criminalisée par la Loi et ressentie comme répugnante par une majorité de gens, ils accèdent maintenant au mariage légal au même titre que les hétéros. Des comportements sexuels qui étaient jugés dégradants et passibles d'emprisonnement hier sont légalement autorisés aujourd’hui. Ce qui fait que je ne désespère pas de voir un jour l’allaitement entre adultes reconnu comme tel...

     N’oublions pas que beaucoup de femmes ressentent de telles envies, mais n’osent pas en parler à leur conjoint à cause de préjugés liés à la pudeur. Les confidences de femmes allaitantes rapportées ci-dessus ont au moins l’avantage de bousculer les aprioris. Le Net, bien qu’excessif parfois, délie les langues et pose publiquement la question de l’allaitement érotique. Quant au législateur, il n’a rien à faire dans les chambres à coucher. Cessons cette confusion qui veut que le conjoint tétant les seins de sa femme durant l’allaitement de bébé soit un déviant et que la mère qui se livre à cette pratique soit indigne. Faut-il laisser les femmes gaspiller ce précieux liquide quand elles ont les seins engorgés ? Moi je préfère le boire...


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Samedi 19 octobre 6 19 /10 /Oct 04:08

  C’est depuis un blog canadien que la nouvelle se propagea sur le Web. Un couple désirant partager sa passion de l’allaitement érotique fit le buzz. Rendez-vous compte, la femme allaitait son mari huit fois par jour, et ceci, rien que pour entretenir ses montées de lait. Ayant conscience de toucher à un sujet tabou, le couple se justifiait en précisant que la lactation érotique n’était pas du fétichisme, ni une course à l’obtention de lait ou une activité perverse, mais simplement un partage qui renforçait le lien affectif. Le couple précisait qu’une telle relation boostait sa sexualité et lui donnait une nouvelle dimension.

     Inutile de préciser que la blogosphère s’enflamma. Durant quelques temps, la question fut d'actualité et les forums regorgèrent d’opinions diverses et variées. Une majorité de mères qui allaitaient leur bébé s’offusquèrent d’un conjoint qui désirait téter et boire le lait materne à leurs seins. Une pratique bizarre, voire dégoutante qui leur répugnait. Tant que durait l’allaitement, elles disaient que leur poitrine et le lait produit étaient à l’usage exclusif de leur progéniture. Gênées ou énervées par l’insistance de leur conjoint, elles précisaient qu’il ne fallait pas confondre maternité et sexualité, qu’il fallait éviter de mélanger le sein nourricier et le sein en tant qu’objet de désir sexuel.

     Un débat qui délia les langues et permit, grâce à l'anonymat du Net, d'exprimer d’autres opinions. Des femmes racontèrent le plaisir à allaiter leur conjoint en même temps que leur bébé. Elles reconnaissaient que les premières montées de lait étaient quelque chose d’inoubliable. Tout en allaitant bébé normalement, elles avouaient éprouver un intense plaisir à allaiter leur homme, un plaisir qui engendrait un épanouissement plus complet au sein du couple disaient-elles. A tel point qu’elles continuaient souvent à allaiter leur conjoint après le sevrage de leur enfant.

     Heureusement que la plupart des femmes, bien qu’elles ne se reconnaissent pas cette pratique, ont un jugement plus nuancé. Vivre une telle sexualité entre adultes ne les dérange pas outre-mesure, du moment qu’il n’y a pas contrainte. Après tout, ce qui se passe dans une chambre à coucher relève de l’intimité.

     Andréa s’exprime en des termes plus que rassurants sur un forum : «  C’est très intime d’allaiter son mari et j’ai du mal à confier une telle relation en public. Et pourtant, en cas d'engorgement Papa est d'une grande aide. Il joue souvent avec ma petite fille Alicia à se voler un sein nourricier, ne serait-ce que pour mieux la stimuler à boire à mon sein. Alicia éclate alors de rire avec mon téton dans sa bouche et finit par lui proposer mon autre sein. Puis, ils tètent ensemble durant plusieurs minutes. J’avoue que voir  mon homme, si vigoureux par nature, avec sa tête posée contre mon sein en train de téter avec ma fille dans un état si paisible m’apporte un énorme bonheur.

     Au cours d’une relation sexuelle, je peux avoir une montée de lait inopinée. Pour éviter de tremper le lit, mon mari boit alors le lait qui jaillit par accident... J’aimerais faire comprendre aux autres femmes combien il est merveilleux de ressentir un si grand bonheur en allaitant son conjoint... »

     Et que penser de Divine ? « Au quatrième mois de grossesse, je ressentis de forts lancements dans ma poitrine, des douleurs associées à une sensibilité extrême des mamelons et un plaisir intense à voir mes seins gonfler. J’eus besoin qu’on les suce en permanence, ce que fit mon mari, d’abord avec hésitation puis avec ravissement. A force de succions, je produisis du colostrum, un liquide clair et très sucré, bien avant la naissance de notre fille. Je ne manquai pas de m’interroger à ce sujet. Les tétées de mon mari favorisaient-elles des montées de lait précoces au risque d’engendrer un accouchement prématuré ? Par pudeur, je cachai mes habitudes de lactation érotique à la gynécologue. Néanmoins, elle me rassura, cela arrivait parfois.

     Mes premières montées de lait suite à l’accouchement me procurèrent des sensations inouïes. J’adorai mes gros seins gonflés de lait, aux veines apparentes, aux mamelons turgescents et les fourmillements annonciateurs des montées de lait. Comme Bébé n’arrivait pas à tout boire, mes seins s’engorgeaient et devenaient douloureux. Je me souviens de la première fois, quand mon mari me téta suite à une montée de lait soudaine. Ce fut une véritable délivrance, mais aussi une expérience troublante car fort érotique. Je ne pus m’empêcher d’avoir un orgasme. Par la suite, je trouvai normal qu’il me suce les seins, boive mon lait et provoque ainsi mes orgasmes. Que de plaisir lorsqu’il buvait à un sein tandis que Bébé se nourrissait à l’autre. Mais le plus souvent, je préférai attendre que Bébé ait terminé sa tété pour mieux nous livrer à notre jeu favori... »

 

tumblr lj9erqkAcP1qzozj1     Pour Laurence, ce fut aussi une découverte fantastique. « Bien après que mon bébé soit sevré, je ne pus me passer d'allaiter mon mari tellement le plaisir ressenti était fort. Je l’allaitai durant près de trois ans, matin, midi et soir, en fonction d’un rythme adapté à son travail. De par ses absences prolongées, il était souvent en déplacement professionnel, mes seins s’engorgeaient souvent. Je compensais alors ce brusque afflux avec un tire-lait. C’était moins sympa et plus contraignant qu’un mari. Si j’oubliais de le faire un seul jour, mes seins au petit matin étaient tendus comme deux obus et me faisaient mal tellement j’avais de lait. Parfois, ça « débordait » et mouillait mon lit. Comme je ne travaillais pas, je me rabattais sur mon tire-lait. Installée confortablement devant la télévision, c’était relaxant et agréable, mais rien à voir avec la bouche de mon mari.

     Au début, le tire-lait me procura des orgasmes. Par la suite, il me stimula toujours autant, mais pour jouir, je dus me masturber tout en voyant mes seins remplir les récipients du tire-lait. Enfin calmée et mes seins vidés, je stockai mon lait au réfrigérateur en attendant que mon mari revienne. Celui-ci adora les petits-déjeuners préparés ainsi. A présent nous espérons tous deux avoir rapidement un autre enfant afin de renouveler cette merveilleuse aventure... »

     Vous allez me dire que c'est complètement débile et pervers ces couples qui se livrent à de telles pratiques. Effectivement, nombreuses sont les femmes sur le Net qui condamnent l’allaitement érotique avec des termes parfois virulents. Elles se sentent agressées dans leur rôle de mère par ces pratiques. Qu’on puisse utiliser leurs seins nourriciers à des fins sexuelles alors qu’ils sont réservés à bébé les choquent profondément. Certaines considèrent que les lactophiles sont des déviants au même titre que les zoophiles, les pédophiles et les nécrophiles. Il faut les soigner d’urgence.

     Voyez ce commentaire contrariant partagé par beaucoup internautes : « Y’a aussi des messieurs qui portent des couches-culottes et qui se souillent. Ils prennent leur pied quand une madame les change, les lave et poudre leurs délicates petites fesses. Ça a beau être sensuel pour eux, je trouve ces comportements malades ! Il y a toutes sortes de pratiques sexuelles “bizarres” que ce soit la zoophilie, la pédophilie, la nécrophilie etc. Ce n’est pas parce que ça les excite que c’est acceptable. Ils ont grandement besoin de se faire soigner. Moi, je la fermerais au lieu de me vanter en public de cette pratique déviante. C’est mon opinion et elle est partagée avec beaucoup d’autres gens. J’ai beau être « smooth » pour plein de choses, mais là, c’est trop. »

     Et plus loin, une autre femme récidive : « On est dans un monde libre, mais y’a quand même des choses qui ne se font pas. Moi quand je me récure les narines, je le fais en privé et je n’ouvre pas un blogue pour partager ma morve avec le monde entier. Mes histoires de cul restent du domaine privé. Quelqu’un ici a déjà fait l’éloge de la pédophilie qui ne serait qu’une pratique “mal comprise” par les bien-pensants. Je ne me surprends pas de le voir cautionner d’autres pratiques hors-normes. La prochaine fois, je le signale aux autorités sans le moindre remords... »

A suivre…


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Lundi 14 octobre 1 14 /10 /Oct 18:36

     Une fois séparé de Maman, je découvris « l’adult breastfeeding ou ABF » un terme anglais qui désigne l’allaitement entre deux adultes responsables. Pour moi, une alternative passionnante à mes envies laitières. Parfois appelé ANR pour « Adult Nursing     Relationship », cette pratique admise dans les pays anglo-saxons, inquiète beaucoup les esprits latins. Et pourtant, nombreux sont les sites sur le Net qui en parlent alors qu’on s’en offusque toujours en France. Catalogué comme une pratique dégoutante, l’allaitement entre adultes, comme l’allaitement prolongé d'ailleurs, provoque le sens moral des gens et des femmes en particulier.

     Que de pudibonderie à son sujet. Nos sociétés modernes ont créé un lien si fort entre les seins et la sexualité que la vue d’un adulte tétant une femme allaitante offense nos esprits puritains. De plus, la pédiatrie, née à la fin du 19° siècle, a influencé notre regard dans ce sens. Toutes les cultures ne sont pas obsédées à ce point par les seins. En Afrique par exemple, ils sont considérés comme des organes essentiels à l’alimentation du nourrisson, d’où ces femmes aux seins nus qui allaitent naturellement durant plusieurs années sans ressentir de complexe.

     Halte à la psychologie de comptoir ! En enfreignant les tabous de la société par ce biais, j’ai conscience d’entrer en conflit avec l’idée que se font les gens de la normalité. Or, j’estime ne pas avoir à enfiler une camisole de force pour autant. Ca se passe entre adultes consentants et il n’y a donc pas de trouble à l’ordre public. Alors quand j’entends des femmes dire que j’affame les nourrissons... J’insiste, ma passion est inoffensive et je ne vole pas le lait de bébé puisque les seins de la mère s’adaptent à la demande. Aux femmes qui s'offusquent de mes habitudes, j'ai toujours gardé à l'esprit que l'enfant était prioritaire sur mes envies.

     Voyez comme cette pratique perdure depuis la nuit des temps. La nourrice de Toutankhamon par exemple eut droit à sa propre tombe, un rare privilège pour une personne issue du peuple. Dans l’Antiquité, on avait aussi coutume de stimuler la lactation des mères en difficulté en faisant téter des vieillards. Et plus près de nous, le pape Jessépuki fut allaité ainsi sur son lit de mort. Comme il ne s’alimentait plus, on fit venir une nourrice qui fut bénie et élevée au rang de Sainte plus tard. Voyez aussi les tableaux représentant la Charité Chrétienne du temps chrétien. Une fille sauva son père en prison en le nourrissant de son sein laiteux. Et que penser des nourrices du siècle dernier qui connurent une grande popularité aussi bien auprès des bébés qu’auprès des hommes d'ailleurs.

want-an-adult-nursing-re-hojgx1     L’allaitement du conjoint commence toujours de la même façon. Consécutivement à la naissance de bébé, la femme allaitante a souvent les seins douloureux car engorgés de lait. Une seule issue, se vider les seins en les pressant pour se soulager. Le conjoint accepte rarement de téter et s'il le fait, il recrache le lait avec dégout. Quel gâchis ! Horrible de gaspiller ainsi ce breuvage alors que tant d'hommes en sont friands. 

     Une fois vaincu les frontières de la pudeur, on constate que des couples deviennent même accroc par la suite, la femme ne pouvant plus se passer du plaisir éprouvée et l’homme prenant goût au lait maternel à force de téterD'un commun accord, la femme entretient donc ses montées de lait, et ceci, bien après que l’enfant soit sevré. A mon sens, l’allaitement entre adultes est quelque chose de plus fort que le sexe. Il développe une sensation de bien-être, une profonde complicité qui crée un échange intime, un partage exceptionnel. Donc rien à voir avec l'infantilisation des hommes ou la régression enfantine. Moi, cela me rappelle les berlingots et les sucettes de mon enfance.

     Et oui, l’allaitement entre adultes, on aime ou on n’aime pas. Or, des femmes entretiennent leur lactation aussi bien pour leur propre plaisir que pour celui de leur conjoint. Nombreuses sont les lesbiennes qui pratiquent l'allaitement érotique. Elles se comprennent entre femmes. Encore mieux, des mères de l’autre coté de l’Atlantique offrent leur lait par l’intermédiaire du Net à des mamans aux seins indigents. Parfois, c'est un service payant qu'elles proposent aussi aux hommes, ce qui est interdit en France pour des raisons d'éthique. La Loi interdit de vendre son corps et les substances qui en découlent. La modernité aurait-elle engendrée une nouvelle race de nourrice ?

              Attiré par toutes les marginalités sexuelles, je trouvais sur un forum spécialisé des femmes allaitantes qui proposaient leurs seins laiteux contre monnaie sonnante et trébuchante. Curieux, je voulus voir et entrai en contact avec l'une d'elle. Son mari était d'accord pour arrondir des fins de mois difficiles de cette façon. Par convention avec son mari, les gestes déplacés avec ses client étaient interdits.

     Malgré les tabous que nous impose la morale sociale, le Web nous révèle ces comportements relativement fréquents. Et oui l’allaitement entre adultes n’est pas un truc dégoutant et honteux comme on le pense en France, c'est un plaisir pratiqué par beaucoup de couple. Voyez ce site par exemple : http://www.experienceproject.com/explore/Abf

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 18:48

     A chaque retrouvaille après des mois d'absence au pensionnat, un irrésistible élan me poussait vers les seins de Maman. J'en donne un exemple après mon premier séjour au pensionnant dans le livre "Une jeunesse dorée".  J'avais alors sept ans. Non seulement je ressentais le besoin de sentir la chaleur de son corps, mais aussi de retrouver le goût de son lait nourricier. J’allais jusqu’à forcer sa résistance en violant littéralement sa poitrine. Mes mains fouillaient dans son corsage, en sortaient lestement un sein puis je tétais avec gourmandise. Quel délice de retrouver le goût de ce délicieux breuvage après des mois de privation !  Ayant conscience de transgresser un tabou moral, Maman tentait bien de me raisonner. Mais que pouvait-elle faire face à mon insistance ? Poussée par son instinct maternel, elle ne résistait pas longtemps. Toute à la joie de revoir son fils chéri, elle capitulait sous mes assauts. Fallait-il condamner ces agissements pourtant si naturels à mes yeux ?

 

      On dit que les enfants se détachent d’eux-mêmes du sein de leur mère vers deux ans, l'âge où ils prennent conscience de leur identité de genre, garçon ou fille. Ce qui fait qu’au-delà de cet âge, notre société condamne fermement l’allaitement. C’est faire abstraction des enfants qui éprouvent le besoin de téter plus longtemps, de ces mères qui apprécient le lien que procure l’allaitement avec leur enfant. Bien avant l'apparition des laits industriels, il était banal d'allaiter les enfants jusqu'à quatre ou cinq ans...

 

double-allaitement.jpg

 

     Nos pédopsychiatres nous enseignent que le sevrage a pour but de casser le cordon ombilical entre la mère et son fils. Une « rupture » qui permet  plus tard à ce fils de prendre son autonomie puis de s’affirmer en tant qu’adulte. Cette réaction, en général quasi innée, n’est que très peu fonction du lien affectif qui lie l'enfant a sa mère. Faut-il alors mettre des limites à l’allaitement prolongé ? Oui bien sur, il est souhaitable qu’un garçon pubère porte plus d’intérêt aux seins des autres filles plutôt qu’à ceux de sa mère. De même, qu'une jeune fille doit ressentir plus d’attrait à proposer ses seins à un garçon de son âge plutôt que de recevoir ceux de sa mère - même si de nos jours le biberon a pris leur place dans notre culture. Ceci dit, durant son enfance et tant qu’elle n’a pas de seins la fille ne peut pas proposer grand chose…

 

     A lire certaines expériences d’allaitement prolongé sur le Net, je constate que je ne suis pas le seul à avoir téter Maman plus longtemps que de coutume. Voyez par exemple cette mère qui allaite encore sa fille de huit ans. A l’évidence, le plaisir ressenti par l’une comme par l’autre va bien au delà de l’allaitement nourricier. 

http://www.youtube.com/watch?v=uHRyRCHuQ7g

Ou pour ceux qui comprennent l'anglais : http://www.dailymotion.com/video/xqaivw

 

    Je disais plus haut que la plupart des enfants se détachent du sein de leur mère vers deux ans. Ca peut aussi se passer plus tard, à l'âge de raison vers les six à sept ans, quelque fois à la puberté, lorsque l'adolescent commence sa mutation hormonale. Evitons au risque de déstabiliser nos enfants de les sevrer brutalement après un congé de maternité comme c'est l'usage actuellement. Combien de génération ont été privés du lait maternel à cause de nos moeurs occidentales ! Dans beaucoup de cultures traditionnelles, les femmes vivent avec la poitrine nue et les mères donnent naturellement le sein à leurs enfants jusqu’à un âge très avancé. Dans une tribu mongole par exemple, les adultes boivent même le lait des femmes, ce qui choque nos esprits d'occidentaux. Une vision négative caractérisée par le fait que chez nous les seins sont devenus avant tout des zones sexuelles. C'est rejeter le fait que la mère tire du plaisir à donner son sein, et que l’enfant en a également a le recevoir. Le dégoût que beaucoup de personnes ressentent est purement culturel et renvoie à notre système de valeurs. C'est malheureux à dire, mais on tombe là dans le domaine de la pathologie dès qu'on aborde l'allaitement à long terme. Pourquoi faut-il se couper des rythmes biologiques pour des questions pratiques ou culturelles ? Le sevrage doit se faire naturellement, attendre que l'enfant comme la mère se détache l'un de l'autre, sans pour autant ressentir un sentiment de culpabilité.


     De quel droit les sociétés modernes censurent-t-elles une maman et son enfant en cas d’allaitement prolongé ? Rendez-vous compte, chez nous en France, des mères ont été accusées d'abus sexuel ou de mauvais traitements à enfants parce qu'elles avaient choisi d’allaiter à long terme. Maman, comme toutes les mères dans son cas, cachait donc cette habitude innée. Inutile de provoquer l’entourage. Moi-même j’en prenais conscience en grandissant. En conséquence, je n’en parlais à personnes, et surtout pas à mes copains du pensionnat.

 

     Je conclurai ce chapitre en précisant que l’allaitement prolongé provoque un très fort lien affectif entre la mère et son enfant. Selon les psys, plus un enfant profite de l’affection de ses parents au cours de son enfance et plus il aura d’affection en retour à donner à ses futurs enfants...


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 18:38

     Je raconte à la rubrique "UNE JEUNESSE DOREE" l'Amour sans fin que je vouais à Maman et mon intérêt particulier pour sa poitrine laiteuse. Opulente, avec des mamelons aussi gros qu’une tétine de biberon, ses seins étaient une invitation permanente à la tétée. Chaque moment où nous nous retrouvions seuls était propice à me nourrir ainsi. Matin, midi et soir ou l’après-midi au goûter. Elle disait avec un sourire complice lorsque je sortais de l'école : « C’est pour ton quatre heures. » Nous étions alors en parfaite symbiose sans que mon père n’en sache rien. Hélas, comme je grandissais, je savais qu'arriverait un jour où je devrais me défaire de cette habitude. L’idée de ne plus sentir son lait couler dans mes veines me rendait malade. Maman me rassurait à chaque fois disant qu'il ne fallait pas m'inquiéter...

          Bien que je sois devenu un grand garçon, elle continua donc à m’allaiter en cachette de mon père. Pour calmer mes angoisses d’enfant, mais aussi parce qu’elle appréciait de partager ces moments d'intime complicité avec moi. Habitude remarquable qui ajoutait à mon bien-être, Maman arrivait à se sucer les seins. Tandis que je tétais un sein d’une bouche gourmande, elle profitait de se sucer l’autre tout en se régalant de son propre lait. Etait-ce par jeu ou par plaisir ? Boire leur propre lait est si rare chez les femmes. Devenu adulte, je découvris des vidéos de lactation où des femmes suçaient leurs seins laiteux. Or, la plupart trichaient et recrachaient leur lait. Furieux d'un tel gaspillage, moi qui était souvent en manque, je vilipendais durement ces femmes. Je remarquais par contre que les hommes dans ces vidéos buvaient tous ce nectar sans en perdre une seule goutte...

    Il existait chez moi et Maman une attitude inconsciente qui me poussait à la téter malgré mon âge avancé. Moi buvant à un sein et elle à l’autre, l’image me colle encore à la peau aujourd’hui. Tout en tétant, je jouais parfois avec sa poitrine. Je pressais un téton, je regardais le liquide laiteux jaillir en de multiples jets qui s'étalaient sur sa peau. De son coté, Maman prenait tellement de plaisir à m’allaiter qu’elle ne cherchait plus à me sevrer. Elle ne comprenait pas ces femmes qui se débarrassaient de l’allaitement comme d’une corvée. Malgré les années qui passaient, l’allaitement était ressenti entre nous comme la communion de nos esprits, unissant nos deux corps dans un même élan.

 

autotétée

 

    A cause de mes absences prolongées au pensionnat, les seins de Maman se tarirent partiellement. Or, ces moments où elle m’allaitait étaient si précieux qu’elle prit l’initiative d’entretenir ses montées de lait pendant mes absences. On dit que les succions répétées d’un bébé engendrent naturellement des montées de lait chez sa mère. Comme Maman se suçait facilement les seins, elle stimula donc ses glandes mammaires ainsi durant mes absences prolongées. Elle prit parallèlement des remèdes de grand-mère et utilisa un tire-lait en complément. « Pour garder une belle poitrine » me disait-elle. Et le résultat était que ses seins gonflés de lait se dressaient fièrement tandis que d’autres femmes voyaient leur poitrine s’atrophier après avoir cessé d’allaiter. Je suppose aussi que par ce biais, Maman me rendait aussi dépendant, une façon de garder auprès d’elle ce fils qu’elle chérissait tant. Aucune mère n’aime voir ses enfants partir vers leur propre destin.

 

     Vous l’avez compris, ma passion actuelle des gros seins débordants de lait puise ses sources dans l’allaitement vécu des années durant avec Maman. Devenu adulte, je fus incapable de m’en passer. Retrouver le goût du lait maternel devint source d’équilibre chez moi. Tout au long de ma vie, je n’eus de cesse de proposer aux femmes allaitantes de les téter, à commencer par la mienne, et ceci malgré la conscience d’offusquer leur pudeur.

 

     Je profitai de la grossesse de ma première femme pour la conditionner dans ce sens. Je lui racontais l'allaitement vécu avec Maman et pourquoi j'en étais accroc. Bien que réticente au début, elle prit goût à mes succions répétées. A la longue, elle reconnut que c'était excitant d'être tétée simultanément par notre fille et par son mari. Tout en nous offrant son lait à boire, elle se caressait le clitoris et jouissait. Elle finit elle aussi par apprécier ces instants magiques.

 

     Plus récemment, ce fut ma rencontre avec Yasmina qui déclencha un nouveau festival laitier. Elle induisit une lactation rien que pour satisfaire mes envies laitières. Et comme elle me forçait à prendre des hormones pour avoir de vrais seins de femme, l'idée nous vint d'avoir des montées de lait à mon tour. Un challenge qui occupe mon esprit depuis.

 

     Que ces femmes qui m’offrirent leur lait avec tant de générosité en soient remerciées…

 

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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