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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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DES TRANS

Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 02:10

     Suite à l’intervention de l’Union européenne, la France fut contrainte d’assouplir sa législation en matière de changement d’identité sexuelle pour les personnes transgenres. Depuis fin 2016, il n’est donc plus obligatoire de subir une chirurgie du sexe pour obtenir officiellement un changement de sexe devant l’État civil. Profitant de cette nouvelle loi, Diana entreprit dès lors les démarches pour être reconnue  officiellement Femme. Cela fut fait fin 2017. Cela ne prit que trois mois tellement sa féminité surpassait celle de beaucoup de femmes génétiques. Il faut dire que le dossier présenté par son ami avocat, un ex-client,  était bien monté. Des témoignages de la famille et d’amis, beaucoup de photos aussi, renforcés par un changement de prénom officiel auxquels s’ajoutaient des déclarations de médecins reconnaissant sa transition et certifiant son traitement hormonal féminisant depuis des années. 

     On pourrait être surpris par le choix de Diana qui se voulait femme et qui n’était toujours pas opérée du sexe. Pourquoi ? Parce qu’elle aimait en jouir d’une part, mais elle espérait surtout concevoir un enfant bien à elle, un enfant conçu avec sa propre semence. Pourquoi n’y avait-elle pas pensé plus tôt ? Elle reconnaissait implicitement son erreur qu’elle imputait à ses délires de jeunesse : « Il fallait d’abord, vivre pleinement ma transition en femme, rencontrer d’autres transgenres pour affirmer ma transsexualité, m’amuser et profiter de mes jeunes années. » Bien que l’idée lui trotte dans la tête, ce ne fut qu’arrivé à 24 ans qu’elle songea à concevoir sérieusement un enfant.

     Diana était à présent si préoccupée par ce projet qu’elle en parlait en permanence dans son entourage. Certaines personnes en riaient ou se moquaient d’elle tandis que ses proches comprenaient ses attentes. Ne pouvant créer une famille à l’image des couples hétéros, la solitude pour les transgenres devient difficile à gérer en vieillissant. Diana le disait clairement : « Lorsqu’on vieillit, notre beauté perd de son attrait auprès des hommes et ils finissent par se désintéresser de nous. Se retrouver seule et sans enfant à un âge où les autres couples sont entourés de leur progéniture doit être difficile à vivre. Et comme toutes les femmes, elle avait besoin de materner… »

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     Étonnant comme elle proposa d’abord de faire un enfant à sa mère, sa complice de toujours. Approchant la quarantaine, celle-ci préféra refuser : trop d’inconnues subsistaient face au niveau héréditaire lié à sa parenté directe. Une tante lui proposa une lointaine cousine. Cette dernière accepta, mais moyennant finance. Son compagnon fut aussi d’accord, car cet argent permettrait d’ouvrir un crédit bancaire pour acheter un appartement. Mais pas question de faire l’amour. Pour Diana, non plus d’ailleurs. Elle ne se voyait pas faire l’amour à une femme : « Je ne suis pas lesbienne, disait-elle avec insistance... » La solution était donc de le faire par insémination artificielle. Encore fallait-il trouver le spécialiste qui accepterait de le faire. 

     À l’occasion d’un renouvellement de son traitement hormonal féminisant, elle parla de son projet au médecin qui suivait sa transition, un homme tolérant comme on aimerait en voir plus souvent. Il  lui proposa une solution tres simple : «  Cesse de prendre ton traitement hormonal durant quelques mois pour faire des spermatozoïdes plus virils puis viens me voir avec cette fille quand vous serez toutes les deux décidées. Tu te masturberas dans une éprouvette et je ferai le transfert de ta semence dans le vagin de la fille. » Selon lui, la durée de vie des spermatozoïdes était largement suffisante pour ce type de transplantation. Une Fécondation In Vitro, mais de façon simplifiée. Malheureusement, n’ayant pas l’argent nécessaire pour enfanter sa cousine, Diana mit provisoirement son projet en stand-by. Ce qui ne l’empêcha pas d’en parler à d’autres filles moins gourmandes financièrement. Mon Dieu qu’il fut difficile de trouver une fille prête à la suivre dans cette démarche !

À suivre


Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 02:44

     A l’aube de cette nouvelle année 2019, je commence à me sentir vieux et la solitude me pèse depuis ma séparation avec Yasmina. Or, mon fantasme de gros seins débordant de lait me prend toujours autant la tête. En naviguant sur le Net, je me rends compte que ce fantasme, bien qu’il ne soit pas fréquent, est assez répandu chez certains hommes biologiques, chez les transgenres en particulier. 

     Les hasards de la vie viennent justement de me faire rencontrer une charmante transgenre de vingt-quatre ans. Diana est une grande femme, naturellement féminine qui possède de longs cheveux noirs, un visage aux traits fins et un corps ambré aux courbes harmonieuses. Il y a trois ans, elle s’est fait poser des implants mammaires assez conséquents, lesquels attirent immédiatement le regard des hommes. Chez les transgenres, une grosse poitrine est le signe le plus important de leur féminité d’où des implants aux dimensions bien plus généreuses que celles des femmes. Par contre, Diana n’est pas opérée du sexe. Si ce n’étaient ses jambes qui manquent de finesse, elle serait une femme physiquement parfaite.

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     Contrairement à la plupart des transgenres, elle a commencé un traitement hormonal féminisant très jeune, bien avant sa puberté. Dès sa petite enfance, elle s’est sentie fille dans son corps de garçon. Vers neuf-ans, elle volait déjà les pilules anti-grossesses de sa tante. S’en était rendu compte, celle-ci accepta la féminité de ce petit neveu. Au lieu de la sermonner, elle contacté alors un ami médecin qui lui prescrivit un traitement hormonal féminisant... en toute discrétion... Rendez-vous compte, à douze ans, elle suivait déjà un traitement hormonal identique à celui pris par les transgenres adultes. Selon l’avis de Diana, il faut démarrer un tel traitement bien avant que la puberté s’installe. Le but est de bloquer la montée des hormones mâles à la pré-puberté, la testostérone en particulier, en les remplaçant par un anti-hormona mâle et des hormones féminines à hautes doses. Cela trompe l’organisme de garçon qui devient dès lors celui d'une fille. L’idéal est de commencer un traitement vers huit ans, voire neuf ans au plus tard, dès que la dysphorie de genre est confirmée. Or, la loi interdit tout traitement hormonal sur des mineurs. Seuls sont autorisés les retardateurs de puberté. À cause de ces lois contraignantes, beaucoup de transgenres n’arrivent pas à effacer complètement leurs caractères physiques mâles. Selon une enquête, la moyenne d’âge où elles commencent un traitement féminisant se situe autour de la trentaine, un âge où elles assument leur transition, mais aussi un âge où les caractères physiques masculins sont déjà bien ancrés. Cherchez l’erreur…

     Nous nous sommes donc plus et j’ai invité Diana à s’installer chez moi pour partager quelques moments intimes, mais aussi dans l’espoir de satisfaire ensemble mes propres fantasmes. Mon Dieu que j'étais prétentieux! Diana fait partie de ces filles au caractère bien trempé et ne se laisse pas commander par les hommes.

     Elle vit de tout et de rien et n’hésite pas à vendre occasionnellement son corps lorsqu’elle est à cours d’argent. Comme moi, ce n’est pas le genre de personne qui se choque des sexualités marginales. Les transgenres ont l’esprit bien plus libéré en matière de sexe. Si en plus elles se prostituent, j’imagine les excès sexuels qui leur sont demandés, à commencer par les miens… On peut leur parler de tout sans fausse pudeur si on respecte leur condition transgenre. Sinon l’insulte fuse facilement, la plus connu étant : PD ! Un comble n’est-ce pas ? Leur morale sexuelle est essentiellement basée sur les aspects pratiques de leur propre existence de transgenre. Brimée continuellement par un environnement social intolérant, leurs comportements féminins sont systématiquement moqués ou exploités par les hommes. Diana a d’ailleurs un jugement très dur envers eux. Rien à voir donc avec nos préjugés habituels mâle/femelle. 

A suivre

Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 02:49

HOMO OU HETERO ? A vous de choisir

    Bien que je pense être un hétéro convaincu, j’éprouve une irrésistible attirance envers les transsexuelles non-opérées. Elles stimulent ma libido tout autant que les femmes, mais dans un registre sexuel différent. L’ambigüité de leur état ambivalent, une féminité oubliée des femmes, un corps hyper-sexualisé, des fesses nerveuses avec des seins hormonées ou gonflés par de généreuses prothèses réveillent mes instincts les plus mâles. Et que dire de leur clitoris si particulier ou de leur chatte ouverte à toutes les extravagances ? Elles ont ceci de merveilleux qu’elles pratiquent le sexe comme nous les hommes. Contrairement aux femmes, leurs fantasmes sont les miens et mes fantasmes sont les leurs, ce qui, je l’avoue, favorise une relation sulfureuse. 

     Quelle joie pour moi de les observer dans ce qu’elles ont de plus féminin et de plus sexy. Plus aucune femme n’arrive à s'habiller comme elles, à onduler des hanches comme elles. Plus aucune femme ne sait aguicher comme elles un homme. Elles seules savent mettre en valeur leurs appâts naturels. Quand je fais l’amour, caresser leur corps androgyne et voir leur petit clitoris se dresser affole mes sens. Lorsqu’elles éjaculent en poussant des cris de femelle, elles me font penser à des femmes fontaines. Quelle trouble aussi de sentir le fruit de leur orgasme gicler. Avec le temps, je me suis habitué à déguster ce nectar offert avec tant d’entrain. Et lorsque leur clitoris s’enfonce en moi jusqu’aux tréfonds de mes entrailles, cela me procure bien plus de sensations que les godes-ceintures de ma compagne. Et attention à ceux qui rêvent d'elles comme des bêtes de sexe, ne vous méprenez pas sur ces femmes d’un genre particulier. Quand elles aiment, elles attendent des hommes Amour et respect.

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     Mais alors suis-je devenu gay ? Prendre du plaisir avec le clitoris des transsexuelles ou les enculer ferait-il de moi un homo qui s’ignore ? Les avis divergent sur ce point. Pour la plupart des gens, les transsexuelles non-opérées sont des hommes travestis et rien d’autres. Non pas que ces gens soient homophobes, mais parce qu’ils ignorent les problèmes d’identité de genre et d’orientation sexuelle. Pour eux, la biologie et la génétique s’imposent. Si la transsexuelle possède des chromosomes XY, elle est un homme, un point c’est tout. La plupart des gens perçoivent les transsexuelles comme une perversion de l’esprit humain et coucher avec elles relève donc de l’homosexualité. Même si les transsexuelles sont bien plus féminines que nombre de femmes, elles ne seront jamais Femme à leurs yeux. Un raisonnement qui rappelle l’obscurantisme d’une époque heureusement révolue ou il fallait être homme ou femme. Entre les deux, point de salut ! 

     Il faut savoir que les hommes qui apprécient les transsexuelles ne sont pas attirés par les hommes. Bien au contraire, la plupart éprouvent une forte aversion sexuelle à leur égard. Beurk, des poils et une queue ! Par contre, ils ne résistent pas à l'hyperféminité des transgenres. Ils les trouvent plus vraies que nature et bien plus sexy que beaucoup de femmes. Et là, plus question de chromosomes, c’est de l’attirance sexuelle pure ! Reconnaissons que les transgenres symbolisent aujourd’hui une féminité portée à son paroxysme ; féminité que les femmes biologiques abandonnent par soucis d’égalité sociale ; un combat féministe qui, de plus, féminise la société et finit par agacer les hommes d’ailleurs. Mais ou sont donc passées les pin-up des années cinquante ou les starlettes dénudées des sixties ? Cela expliquerait-il le succès des transsexuelles bien plus libres de pensée, bien plus sexy et qui apprécient les choses du sexe sans se choquer ? Serions-nous brimés par la gente féminine au point de nous rabattre sur des transsexuelles ? Nous ne sommes que des hommes après tout. L’attirance à l’égard des femmes sexys est une réaction de mâle que nous impose la nature.

     Bien qu’une telle relation engendre des attitudes sexuelles assimilables à de l’homosexualité, n’oublions pas que les transsexuelles sont avant tout attirées par des hommes hétéros ; ce qui les fait rejeter naturellement les femmes et les gays sur un plan sexuel. Peut-on dire alors d’un tel rapport qu’il devient hétérosexuel ? A lire les avis des transsexuelles et les réactions des hommes qui les fréquentent, je le pense... 


Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 22:47

     Je viens de me rendre compte que cet article n'était pas répertorié correctement. Je l'ai donc déplacé du livres "Allaitement érotique" vers "Transexuelles".

     J'avais fait le test du site COGIATI concernant la tendance transsexuelle MtF des individus. (http://transsexual.org/cogiati_french.html) Ce test s’adresse à des gens atteints de dysphorie de genre, homme vers femme non opérés. Il ne m'est donc pas destiné, mais j'ai trouvé amusant de le faire. Il est assez ancien et n’est malheureusement plus mis à jour. Néanmoins le résultat est assez bluffant. Amies transgenres, je vous invite à répondre à ce questionnaire et à découvrir votre véritable identité de genre.

     A noter que ce test ne reconnait pas l’autogynéphilie, une forme de fétichisme lié au fait qu’un homme s’excite à l’idée d’avoir une anatomie féminine sans pour autant se sentir transsexuelle. Ce qui est mon cas puisque je ne désire pas changer de genre bien que j'ai une poitrine hormonée. Les lecteurs habitués à mon site le savent, je suis à la fois une femme avec un pénis et un homme avec des seins. Et j'aime ça ! Passer de l'un à l'autre avec le sentiment de ne jamais perdre la voie du retour. Avoir une grosse  poitrine de femme débordante de lait m’excite jusqu’à en devenir obsédé. Ah ! Comme j’aimerais pouvoir me téter directement les seins et boire directement mon propre lait, un challenge difficile, mais que je vivrai un jour, j'en ai la certitude...

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     Voici le résultat de mon test COGIATI :

Your COGIATI result value is: -165. Vous faites partie de la catégorie suivante :

COGIATI catégorie DEUX : HOMME FEMININ

     Cela signifie que le COGIATI a classé votre identité de genre intérieure comme étant essentiellement masculine et que vos problèmes de genre sont affaire d'expression personnelle plutôt qu'un problème médical. Le conflit que vous éprouvez est essentiellement causé par une honte intérieure de vos besoins et de vos désirs ou en raison de la curiosité que ces besoins représentent. Il y a, quoi qu'il en soit, quelque indication d'une part féminine de votre être et cela est intrinsèque à votre constitution.

ACTIONS SUGGEREES:

     Votre situation est relativement simple, aussi devriez-vous pouvoir être soulagée. Étant donné que votre situation n'est pour l'essentiel pas liée à une cause physique ni biologique, les suggestions vous concernant sont relativement simples.

  1. Si vous avez quelque mal-être concernant votre expression de genre, de légers conseils peuvent vous être très utiles. Le but premier serait de vous rendre possible la jouissance de votre expression de genre libérée de tout sentiment de honte ou de gêne, et de résoudre toutes les questions restantes que vous pourriez avoir.
  2. Votre problème de genre et votre expression de celui-ci sont plus qu'un simple jeu ;  une forme d'expression d'identité personnelle, mais il n'y a pas d'indice de transsexualisme. Au contraire, toutes les informations suggèrent que la voie du transsexualisme n'est pas celle que vous devriez prendre. Elle vous plongerait dans une profonde insatisfaction. Il est possible qu'un petit pas vers une plus grande expression féminine de vous-même puisse vous apporter plus de bonheur, mais une telle entreprise ne devrait être faite qu'avec d'extrêmes précautions.
  3. Si vous ne l'avez pas déjà fait, envisagez de rejoindre les nombreux groupes dédiés au jeu des genres sous différentes facettes. Il y a tout un monde d'amis à découvrir qui partage vos intérêts. Il y a aussi des publications, des séjours, des activités qui étendraient votre expression de genre.

           Hélas, trouver des gens ayant les mêmes comportements autogynéphiles que moi semble difficile. Reste que l'anonymat du Web permet d'en parler ouvertement...


Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : DES TRANS
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Mercredi 6 décembre 3 06 /12 /Déc 22:59

 

De retour après une longue absence...

     Les lecteurs qui suivent mon blog ont certainement remarqué ma passion pour les transsexuelles[1]. De par leur fréquentation et celle des femmes qui se sont excitées à me femelliser a pris naissance l’envie de suivre un traitement hormonal pour avoir une très grosse poitrine de femme et induire une généreuse lactation en me suçant moi-même les seins. Toutes ces personnes rencontrées au cours de ces dernières années n’ont fait que développer ce fantasme qui sommeillait en moi.

     Après des années de femellisation, j’ai à présent des seins de femme, mais trop petits à mon gout (bonnet AB, voire B, ce qui correspond à un développement au stade 3 sur l'échelle de Tanner). Reste à les développer encore plus si je veux avoir des montées de lait. L'idéal serait un stade 5 sur l'échelle de Tanner, ce qui correspond à des seins matures. Mais ne rêvons pas... L’allaitement à mes yeux représente la panacée de ce que peut vivre un homme qui désire découvrir les sensations d'une femme qui allaite.

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     Or, malgré les nombreux sites consultés sur le Net, je n'en ai pas trouvé qui décrive sérieusement les procédures permettant d’induire une lactation chez un homme sans remettre en cause, dans la mesure du possible, sa nature de mâle. J’ai par contre trouvé un site qui décrit remarquablement bien les différents processus du développement de la poitrine et de la lactation chez les transgenres MtF. Après tout ce sont des hommes quand elles démarrent leur transition. Hélas, ce site, rédigé en anglais, n’est plus mis à jour depuis des années. Je m’en suis tout de même inspiré pou rédiger la série d’articles qui suivent[2].

     Mon propos consiste donc à adapter les traitements pratiqués par des transgenres qui préfèrent développer une généreuse poitrine de femme plutôt que se faire poser de gros implants mammaires. Et pour ceux qui adoptent un bébé, pouvoir par la suite induire une lactation serait idéal. Je rappelle qu’il n’est pas question pour moi de me lancer dans une transition homme vers femme à l’image des transgenres, mais de m’appuyer sur leurs démarches et leurs expériences pour atteindre ce but. Et si une femme désire m’accompagner dans cette démarche, je n’en serais que plus heureux…



[1] Transsexuelles : un terme aujourd’hui remplacé par transgenre, car ayant une connotation sexuelle moins négative aux yeux de ces gens. Ce terme définit des personnes qui font une transition d’homme vers femme (MtF) ou de femme vers homme (FtM). Reste à définir les autres personnes, qui comme moi, désirent juste développer une poitrine de femme, induire une lactation sans remettre en cause leur statut de mâle...

 

Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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