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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 02:44

     A l’aube de cette nouvelle année 2019, je commence à me sentir vieux et la solitude me pèse depuis ma séparation avec Yasmina. Or, mon fantasme de gros seins débordant de lait me prend toujours autant la tête. En naviguant sur le Net, je me rends compte que ce fantasme, bien qu’il ne soit pas fréquent, est assez répandu chez certains hommes biologiques, chez les transgenres en particulier. 

     Les hasards de la vie viennent justement de me faire rencontrer une charmante transgenre de vingt-quatre ans. Diana est une grande femme, naturellement féminine qui possède de longs cheveux noirs, un visage aux traits fins et un corps ambré aux courbes harmonieuses. Il y a trois ans, elle s’est fait poser des implants mammaires assez conséquents, lesquels attirent immédiatement le regard des hommes. Chez les transgenres, une grosse poitrine est le signe le plus important de leur féminité d’où des implants aux dimensions bien plus généreuses que celles des femmes. Par contre, Diana n’est pas opérée du sexe. Si ce n’étaient ses jambes qui manquent de finesse, elle serait une femme physiquement parfaite.

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     Contrairement à la plupart des transgenres, elle a commencé un traitement hormonal féminisant très jeune, bien avant sa puberté. Dès sa petite enfance, elle s’est sentie fille dans son corps de garçon. Vers neuf-ans, elle volait déjà les pilules anti-grossesses de sa tante. S’en était rendu compte, celle-ci accepta la féminité de ce petit neveu. Au lieu de la sermonner, elle contacté alors un ami médecin qui lui prescrivit un traitement hormonal féminisant... en toute discrétion... Rendez-vous compte, à douze ans, elle suivait déjà un traitement hormonal identique à celui pris par les transgenres adultes. Selon l’avis de Diana, il faut démarrer un tel traitement bien avant que la puberté s’installe. Le but est de bloquer la montée des hormones mâles à la pré-puberté, la testostérone en particulier, en les remplaçant par un anti-hormona mâle et des hormones féminines à hautes doses. Cela trompe l’organisme de garçon qui devient dès lors celui d'une fille. L’idéal est de commencer un traitement vers huit ans, voire neuf ans au plus tard, dès que la dysphorie de genre est confirmée. Or, la loi interdit tout traitement hormonal sur des mineurs. Seuls sont autorisés les retardateurs de puberté. À cause de ces lois contraignantes, beaucoup de transgenres n’arrivent pas à effacer complètement leurs caractères physiques mâles. Selon une enquête, la moyenne d’âge où elles commencent un traitement féminisant se situe autour de la trentaine, un âge où elles assument leur transition, mais aussi un âge où les caractères physiques masculins sont déjà bien ancrés. Cherchez l’erreur…

     Nous nous sommes donc plus et j’ai invité Diana à s’installer chez moi pour partager quelques moments intimes, mais aussi dans l’espoir de satisfaire ensemble mes propres fantasmes. Mon Dieu que j'étais prétentieux! Diana fait partie de ces filles au caractère bien trempé et ne se laisse pas commander par les hommes.

     Elle vit de tout et de rien et n’hésite pas à vendre occasionnellement son corps lorsqu’elle est à cours d’argent. Comme moi, ce n’est pas le genre de personne qui se choque des sexualités marginales. Les transgenres ont l’esprit bien plus libéré en matière de sexe. Si en plus elles se prostituent, j’imagine les excès sexuels qui leur sont demandés, à commencer par les miens… On peut leur parler de tout sans fausse pudeur si on respecte leur condition transgenre. Sinon l’insulte fuse facilement, la plus connu étant : PD ! Un comble n’est-ce pas ? Leur morale sexuelle est essentiellement basée sur les aspects pratiques de leur propre existence de transgenre. Brimée continuellement par un environnement social intolérant, leurs comportements féminins sont systématiquement moqués ou exploités par les hommes. Diana a d’ailleurs un jugement très dur envers eux. Rien à voir donc avec nos préjugés habituels mâle/femelle. 

A suivre

Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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