Partager l'article ! Ma femellisation, 17, UNE NUIT DECISIVE: Le lendemain soir, je me rendis dans ce fameux bar d'ambiance. Réservé aux co ...
Le lendemain soir, je me rendis dans ce fameux bar d'ambiance. Réservé aux connaisseurs ! Une minuscule salle à la lumière tamisée où s’entassait pêle-mêle une soixantaine de personnes dans un tohu-bohu indescriptible. Il y avait là des gens de toutes origines, mais aussi de tous les genres. Des jeunes travestis à la féminité si exacerbée qu’ils prêtaient à sourire ; des transsexuelles hypersexys à la beauté ravageuse et des femmes aux seins agressifs et aux hanches bien rondes. Les oreilles soumises à une sono fracassante, tout ce beau monde se bousculait allégrement en tenant précieusement son verre à la main. Du côté des toilettes existait une effervescence anormale. C’était le coin des drogués et de tous les trafics. D’ailleurs, le bar fut fermé par les autorités quelque temps après.
Je me glissais entre les gens jusqu’au bar et demandais à voir Diane. On me montra du doigt une grande métisse noire dans un coin de la salle. Originaire du Brésil, elle discutait avec une blonde aux seins d’enfer. Je me présentai de la part de sa copine du salon « Elle et Lui ». Belle et étrange femme que cette Diane. La voix rauque, l'accent chantant avec des seins généreux et une féminité si expressive qu'elle me captiva de suite. J’étais bien loin des idées reçues ; rien à voir avec les travestis. J'étais là face à des femmes extragantes, bien plus féminines que les femmes habituellenent rencontrées. On passa la soirée ensemble à rire et à plaisanter. A la fermeture du bar, je les invitais toutes les deux à boire un dernier verre à mon hôtel. Diane eut un sourire amusé.
Après l'assourdissante ambiance du bar d'ambiance, le calme et la fraicheur de la nuit me firent du bien. Dans la chambre d’hôtel, je fis monter par le room-service de quoi boire et manger. Puis je pris un bain. Alors que je me déshabillais, Diane et sa copine entrèrent sans prévenir. En découvrant mon corps intégralement épilé et le petit string en dentelle que je portais, les deux filles comprirent ma véritable nature. Au lieu d’en glousser comme la plupart des femmes, elles parlèrent de féminisation et d’identité de genre. Je leur confiais alors ma liaison amoureuse avec mes amies ghanéennes Fatou et Mariam en précisant qu'à aucun moment je désirais être femme.
Les filles voulurent savoir jusqu’où j’étais prêt à aller. L’ignorant encore, je leur décrivis mes habitudes sexuelles et mes fantasmes vévus avec Fatou et Mariam sans la moindre gêne. Celles-ci me parlaient de "femellisation" dans ce cas précis plutôt que de féminisation. Aucun travestissement, aucun maquillage, aucune perruque, aucune envie de me voir en femme chez elles comme chez moi. Elles m'obligeaient à vivre intégralement épilé, à porter des strings de femme en guise de slip, me dilataient la chatte, y pénétraient leurs mains, pissaient dedans, échangeaient leurs urines dans ma vessie ou pratiquaient de profonds lavements du colon. Quand j'en vins à préciser qu'elles me faisaient prendre des hormones féminisantes pour avoir des seins de femme sans que je le sache, elles échangèrent un regard complice.
Contrairement aux transsexuelles, leur but n’était pas de faire de moi une femme à leur image. Soumis à leur joug sentimental, elles s’excitaient à me "femelliser" en explorant leur côté dominant. Et moi, je me laissais aller à leurs délires jusqu'à devenir sexuellement passif. Un lent conditionnement qui me conduisait à me "femelliser" par pur plaisir. Dans l'intimité, la relation sexuelle avec ces maitresses femmes s’inversait. Je devenais alors une femelle en chaleur qui permettait à Fatou et Mariam de réaliser leurs fantasmes les plus extrêmes. Une escalade qui me conduisait vers toujours plus de "femellisation". Autrement dit, nous étions-là dans un rapport de domination/soumission, voire même de BDSM où la femme est l'instigatrice de cette 'femellisation' et l'homme le jouet d'un délire féminin qui stimule sa libido...
Waouh, quelle nuit fantastique ! Je fus subjugué par le plaisir éprouvé, bouleversé de pouvoir exprimer ma sexualité sans plus aucune retenue. Avec Diane et sa copine, je ne fus jamais brimée comme c’était habituellement le cas avec les femmes. Leurs fantasmes étaient les miens, mes fantasmes étaient les leurs. Au-delà de leur transsexualité, nous partagions les mêmes délires, tantôt homme, tantôt femme. Je me laissais aller à toutes les caresses habituellement refoulées. Je découvris qu’on pouvait faire l’amour aussi bien en femme qu'en homme sans plus aucun complexe. Savoir si on était femme ou homme ne voulait plus rien dire avec ces filles.
Je découvris le petit sexe de Diane et de sa copine blonde épilé comme le mien et fus surpris par leurs minuscules testicules. Aucune gêne face à cet appendice dont elles jouissaient délicieusement. De fellation en sodomie, j’étais tantôt une femme soumise qui s’offrait à la perversité de l’une, tantôt un homme actif qui donnait du plaisir à l’autre. En découvrant le gout de leur sperme, une semence bien plus gouteuse que la mienne, je découvris aussi combien il était facile de se défaire de ses à priori de mâle. Je leur dis que c’était la première fois que j’avais un sexe d’homme dans ma bouche. Mensonge puisque j’avais gouté maintes fois à l’ami travesti de Fatou et Mariam. Elles rirent aux éclats. « Mais mon cher, nous sommes des femmes. Et ce que tu prends pour une verge est un clitoris apprécié par beaucoup d'hommes. A la jouissance, c’est de la cyprine que tu bois… ».
Au réveil, j’avais encore le goût de leur semence dans ma bouche. Je les regardais dormir, leurs jambes entremêlées, serrées l'une contre l'autre, leurs corps totalement nus. Je fus frappé par le contraste de la peau noire de Diane et de la peau blanche de sa copine. Ces deux personnes réunissaient tout de la femme dont je rêvais sexuellement, une plastique troublante et une vision de la sexualité proche de la mienne. Comment résister à leur silhouette mince et élancée, à leur corps lisse, à leur hanche étroite, à leur peau ferme, à leurs seins généreux et à leur ventre nerveux ? Et que penser de leur verge indécente : " Un clito au dessus de la moyenne, disaient-elles ?" Leur libido étant identique à la mienne, je pouvais enfin vivre mes fantasmes sans passer pour un détraqué sexuel. Je délirais... Non, je découvrais que la femme sexuellement libérée ne pouvait être que transsexuelle puisque nous partagions les mêmes fantasmes. Une conception marginale, j’en conviens, mais suis-je encore dans la normalité avec ma vision particulière de la sexualité ?
DERNIERS COMMENTAIRES