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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 19:59

     En lisant mon blog, certains lecteurs s’interrogent sur la véracité de mes aventures d'homme "femellisé". Je ne cherche pas à "dégourer" ces gens sceptiques. A force de douter, ils passent à côté du vrai plaisir. D’autres sont captivés par mon parcours et m’envient de vivre au grand jour ce qui pour eux reste un fantasme. Et combien n'osent pas franchir le pas. Ils hésitent en permanence et se contentent d'une féminisation solitaire qui finit à chaque fois par une vulgaire masturbation. Moi, j’ai priorisé ma sexualité au détriment de ma vie de famille. Pour vivre pleinement ma sexualité, il faut être libre et sans attache, ce qui favorise la rencontre avec les femmes qui s’excitent à ces jeux. Quant aux hommes qui désirent franchir le pas de la féminisation hormonale, qu'ils lisent mes écrits. Nombreux sont ceux qui s’inspirent de mon traitement hormonal et m’interrogent sur ses résultats.

    Malheureusement, les femmes qui fantasment sur la féminisation des hommes sont encore des exceptions. C’est d’ailleurs ce qui fait leur qualité. Etant abonné à un site de rencontre érotique, j'ai plaisir à discuter avec ces trop rares femmes. Sans aucune gêne, elles me confient ouvertement ce fantasme si particulier. Cela débute toujours par l’envie de dominer sexuellement un homme, une impression diffuse qui conduit  un homme à se plier à leurs désirs de passivité . Elles expriment par ce biais un sentiment de possession mâle, d’où l’inversion des rôles mâle-femelle et le succès des godes ceintures.

     Or, la féminisation des hommes est avant tout un fantasme masculin. Nombreux sont ceux qui espèrent de leur compagne une telle démarche. Ce n'est qu'après avoir gouté à ces jeux d'un genre particulier, et suite à moult turpitudes, que des femmes  découvrent l'excitation engendrée par de telles attitudes. En conséquence, ces femmes d’expérience considèrent que la soumission sexuelle d'un homme passe mieux lorsqu'il est féminisé. Au point de ne plus pouvoir s'en passer par la suite d'ailleurs.

     Loin de moi ces pensées, ou des Domina gynarchistes se vengent des hommes en les rabaissant à l'état d'esclave servile. Etre asservi à leurs pieds n'est pas mon trip. La "femellisation" d’un homme est avant tout un partage intime lié à une grande complicité sentimentale. Et là, il ne s’agit plus de se travestir en cachette puis de se masturber en fantasmant.

man talka     Laissons parler cette correspondante : « Mon ordinaire est d’aimer ardemment un homme qui réagit en pure Blonde. Une poupée Barbie que j’habille de fines dentelles, que je chouchoute et qui se transforme en jouet sexuel. Je suis une femme essentiellement intéressée par la sensibilité de mon homme, un juste équilibre entre désir, soumission, ambivalence et plaisir. Aimer mon Chéri lisse et en dentelle, voir le bombé de son sexe dans une petite culotte, le féminiser toujours plus même s’il reste très viril, je parle là de centimètres et de tempérament, et pour finir, le pénétrer sur une chaise comme une chienne. J’adore cet amour différent et si puissant ! Des bonheurs qui me secouent à chaque fois...»

     Eh oui, ces femmes nous aiment plus féminins qu’elles dans notre ressenti et plus viril qu’elles dans nos attributs masculins. En somme, elles nous désirent en femelle soumise dans un corps de mâle. Un côté domina chez ces femmes qui jouent toutes les partitions de la soumission, qui fessent leur soumis pour le plaisir, qui le violent par sadisme puis qui fondent d’Amour pour lui. L’homme basique, fort de sa prétention de mâle viril ne les intéresse plus. Ces femmes nous préfèrent en dentelle, le téton pointant sous le voile d’une chemise légère avec le sexe bandant dans un petit string des plus féminins. Quoi de plus émouvant !


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 15:47

     Un lecteur, qui s’inspire de ma propre expérience de féminisation hormonale pour se féminiser à son tour, m’a fait remarquer que mes fantasmes ressemblent étrangement à des Mangas érotiques, des dessins et des illustrations d'origines japonaises. Après consultations de ces mangas, ces illustrations reflètent effectivement mes fantasmes de féminisation masculine. Sur un plan purement sexuel, on les appelle Hentaï et plus particulièrement Futanari losqu'il  s'agit de transsexuelles. Mais que renferment ces dessins ? 

007.jpg     Les Hentaï nous montrent des êtres issus de l’imaginaire japonais qui évoluent dans un environnement où dominent l’inceste, la perversion, le sadisme et surtout l’anormalité sexuelle. Ils se focalisent essentiellement sur le fétichisme et expriment donc toutes les métamorphoses qui en découlent. On y voit par exemple des femmes à la poitrine opulente s’accoupler avec des monstres surnaturels ou d’énormes pieuvres qui les pénètrent par tous les orifices. Ou alors des personnes matures copuler selon leur orientation sexuelle avec des gamines ou des garçons pubères. Ces jeunes encore innocents découvrent avec une délicieuse naïveté la perversité des adultes. Ils en éprouvent tellement de plaisir qu’ils les provoquent à leur tour dans des jeux que la morale et la Loi réprouvent. De quoi remettre en cause nos propres acquis...

 Busty_blonde_futa_getting_her_dick_sucked_by_a_blowfish.jpg    Quant aux Futanari, ils représentent plus spécialement des fantasmes transsexuels et hermaphrodites poussés à leur paroxysme. Possédant les parties génitales des deux sexes, ces êtres surnaturels se permettent des fantaisies encore plus extravagantes que les Hentaï. J’avoue que de voir ces dessins enflamme mon imagination. Peut-être même suis-je en train de faire une fixation, voire un transfert. Dans mes rêves les plus fous, je me vois à chaque fois avec un corps de femme conforme à mes délires sexuels, des seins lourds et opulents avec des tétons en forme de  clitoris d’où s’écoulent du lait à profusion. Entre mes cuisses, j’ai une énorme verge en érection qui gicle des litres de sperme chaud. Et à la place des testicules, cette protubérance hideuse, j’ai un vagin ouvert à toutes les jouissances. Et là aussi, j’éjacule des jets de cyprine à l’image de ces femmes merveilleuses qu’on appelle vulgairement des femmes fontaines.

     En fait, ces dessins permettent à leurs auteurs d’exprimer des délires chimériques englobant tous les excès virtuels de la transsexualité, particulièrement ceux réprouvés par la Loi et censurés par notre conscience. Oui, ces représentations suggestives enflamment mon esprit et me confortent dans ma recherche d’un équilibre ou féminité rime avec masculinité. Avec ce blog, j’exprime ma différence par rapport aux homos et aux transsexuelles. On fait des lois pour eux, qu’on nous donne aussi le droit à la reconnaissance, qu’on puisse jouir à notre tour de notre corps féminisé sans essuyer les foudres du jugement dernier. Contrairement aux films pornos qui n’ont aucun effet sur ma libido, ces dessins enflamment mon imagination et deviennent le moteur de ma sexualité...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mardi 1 janvier 2 01 /01 /Jan 21:00

     Je vous invite à regarder cette vidéo à l'adresse :

http://marinakate.com/?p=203

     Une séance de féminisation très réussie dans un institut de beauté spécialisé pour travestis. C'est assez bluffant. Hélas, ceci ne se passe pas en France. Mais l'idée est bonne pour vous Mesdames. Offrez à votre mari une telle séance pour notre plus grand plaisir.

    Visitez ensuite les autres pages du blog de Marina et de Kate, un pur délice... 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Dimanche 30 décembre 7 30 /12 /Déc 20:07

     Il n'est pas vrai que notre civilisation est inhumaine. Il n'est pas vrai que le progrès est une catastrophe écologique. Il n'est pas vrai que notre société est invivable. Bien entendu, il y a des accidents ; guerre, pollution, religion, surpopulation, économie bancale et malheur sont souvent le résultat d'une politique malmenée. Une opinion découragée, une jeunesse encanaillée et des gens dégoutés d’un avenir incertain.

blog 23     Et pourtant des milliers d'hommes et de femmes, qui ne sont ni imbéciles ni pervers trouvent que les choses ne vont pas si mal après tout. Ces gens ne manquent ni de confiance ni de raisons de vivre dans une société qui se veut libérée des contraintes puritaines d’une morale dépassée. Mais ils n'osent pas se l'avouer, de crainte de s'opposer à la pensée unique et au politiquement correct. Une véritable escroquerie morale orchestrée par des nabots qui se complaisent dans la banalité d'une situation où rien ne doit changer.

     Persuader que des hommes sont malheureux et pervers parce qu'ils se livrent à des jeux de « femellisation » est infâme. C'est une tâche bien difficile que de convaincre ces hommes qu'ils sont heureux de vivre ainsi. Que mon blog favorise ce courant de pensée ne peut que me réjouir. Merci à vous, amis lecteurs...

BONNE ANNEE A TOUS 

Que 2013 voit enfin vos désirs de "femellisation" exaucés...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 22:24

     Autogynéphilie, voici un terme médicale en provenance du Canada et qu’un public averti découvre en France. D’après l’encyclopédie libre Wikipedia, l’autogynéphilie, un terme  proposé par Ray Blanchard, un psy ultra conservateur, désigne l’excitation sexuelle ressentie par un homme lorsqu’il perçoit l’image de son propre corps comme étant celui d’une femme. A des degrés divers, cela va de soi.

• Autogynéphilie « travestie » : excitation dans l'acte ou le fantasme de porter des vêtements de femme. C'est le cas des travestis.
• Autogynéphilie « comportementale » : excitation dans l'acte ou le fantasme de faire quelque chose de féminin.
• Autogynéphilie « physiologique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de percevoir certaines parties de son corps comme celles du sexe opposé. C'est mon cas.
• Autogynéphilie « anatomique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de percevoir son corps comme celui du sexe opposé. C'est le cas de la plupart des transsexuelles.

     Un comportement autogynéphile se traduit donc par diverses envies de féminisation, chaque homme se retrouvant classifié dans une ou plusieurs de ces définitions. Moi qui suis un adepte de la "femellisation" de mon corps, qui fait une fixation sur mes seins de femme et ma queue de mec, je dirais que les définitions données par Blanchard reflètent assez bien mon sentiment. En disant cela, j’ai conscience de me faire des ennemis parmi les transsexuelles, car ce psy est fortement contesté par ces gens. Une polémique existe suite à ses travaux sur elles.  Ce spécialiste considère que l’identité de genre est intimement liée à la sexualité.  De ce fait, il remet en question la motivation profonde de ces personnes à devenir femme précisant qu’elle est avant tout liée au plaisir sexuel et donc liée à l’excitation ressentie.

hormonage     Les définitions 3 et 4, bien qu’elles soient trop généralistes à mon avis, semblent assez bien convenir à mes propres comportements. Je fais une fixation sur mes seins de femme, j’aime mon corps intégralement épilé, je porte de minuscules strings de femme et j’adore par dessus-tout qu'une femme abuse sexuellement de moi comme si j'étais une femme.  J’ajouterai aussi la seconde définition puisque je désire avoir de gros seins pour avoir des montées de lait comme une femme.

     De plus, mes amours successives ont influé sur ce comportement autogynéphile en favorisant ma féminisation au-delà de mes attentes. Comme mes compagnes précédentes adoraient me sodomiser, je me sentais bien plus femme en faisant l'amour ainsi. Ma verge devenait secondaire dans ce cas, car je m'imaginais avec un vagin ouvert à leurs envies de domination. Je mouillais comme une femme et j'étais pénétré comme tel. Idem lorsqu'elles me dilataient et ouvraient ma "chatte" à l'extrême. Et oui quand je baisais, j'avais une chatte à la place de l'anus. Et cela, je le vivais au quotidien, de manière persistante et non comme une fantaisie sexuelle passagère. Et pour comble, vivre ces situations me faisait bander.

     Côté travestissement fétichiste, cela m’agace un peu, car je n’aime pas me travestir. Je ne ressens aucune excitation à m’habiller en femme ou à me maquiller si ce n’est pour faire plaisir à mes compagnes. Juste envie de porter un string en dentelle ou une petite culotte sur mon corps intégralement épilé. Parfois j'en viens à cacher mon sexe entre mes cuisses et à remonter mes testicules dans le ventre pour avoir le ventre aussi plat qu'une femme. Je dois avouer que mes compagnes successives s’emballaient autant que moi à ces jeux. Elles essayaient des soutiens-gorges sur ma poitrine, me faisaient porter des bas nylon avec un porte-jarretelle et des escarpins aux talons démesurés. En fait, elles m’instrumentalisaient à mon insu dans une excitante perversion. Elles prenaient le contrôle de ma sexualité, inversaient les rôles mâle/femelle et me rendaient de ce fait totalement passif. Par réaction, l’image que je dégageais alors avec ma poitrine de femme aux tétons proéminants, avec mes longues cuisses fuselées et mes fesses nerveuses dans un petit string les poussait à me femelliser encore plus.

     J’avais conscience d’être ridicule ainsi accoutré, mais comme c’était là leur délire, je me laissais donc faire. Je devenais leur femme dans ces moments-là. Contrairement aux nombreuses photos que j’ai de ma poitrine, je n’en ai aucune dans des tenues féminines. Ce travestissement élémentaire était plutôt ressenti chez moi comme une hors-d'oeuvre sexuel, un amuse-gueule. Ce n’était là qu’un jeu entre nous, une variation sexuelle.

     Rien à voir non plus avec la dysphorie de genre, une caractéristique propre aux transsexuelles. Ces personnes se sentent femmes prisonnières d’un corps d’homme et font donc des toutes les démarches pour devenir des femmes. Elles ne ressentent aucune excitation à s’habiller en femme. C'est leur état normal. Elles se sentent femme et s’habillent donc comme telles contrairement aux travestis qui eux s'excitent et jouissent de s'habiller ainsi. Eux ne remettent pas en cause leur statut de mâle.

     Eh oui, me voilà donc autogynéphile selon la classification des psys. Et de plus, j'aime ça. Qu’une femme stimule cette part de féminité qui cohabite en moi, qu’elle s’emballe à "fémelliser" sexuellement mon corps, qu'elle favorise le développement de mes seins et voilà que je deviens alors le plus heureux des hommes…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 20:04

     Avec le temps, je découvris le tempérament extrêmement soupçonneux de Rio. D’une jalousie maladive, elle me fit injustement des scènes de ménage alors que rien ne s’était passé. Un regard complice ou une conduite amicale avec ses copines déclenchait parfois des colères d’une violence inouïe. De véritables pugilats s'en suivaient. Je dus me protéger de ses gestes déplacés et des talons aiguilles lancés à la dérobée. Des conflits particulièrement difficiles à gérer où la raison n’avait plus sa place. A chaque fois je menaçais de la quitter si elle ne se corrigeait pas.

     Pleine de remords et pour se faire pardonner de ses conduites maladroites, pour me garder aussi auprès d'elle, Rio exploitait mon point faible avec un art qui me faisait à chaque fois craquer. Impossible de lui résister tellement elle faisait la "salope". Elle m'excitait en créant des situations toujours plus perverses.  Piégé, je plongeais à chaque fois dans ses délires avec une allégresse digne du plus pervers des hommes.

     C'est ainsi qu'elle m'amena une nuit à un spectacle privé des plus originaux : des réunions intimes connues des seuls initiésIl y avait là plusieurs de ses amies transsexuelles qui se produisaient dans un spectacle surprenant. Depuis une petite scène, elles se déshabillaient lentement sur une musique languissante puis se caressaient la verge et l'anus, parfois jusqu’à l'orgasme, devant un auditoire de voyeurs. Emportées par l’ambiance, certaines provoquaient ouvertement les voyeurs. Elles descendaient de la petite scène, choisissaient un homme puis se masturbaient devant lui en échange de quelques billets glissés dans leur string. Interdiction formelle de toucher ou de tenter un geste déplacé sur elles. Par contre, celles-ci pouvaient tout se permettre. Si le voyeur était généreux, elles déchargeaient carrément leur semence rien que pour lui. Ce soir-là, il y avait même des femmes dans la salle. Et ce sont elles qui s’empressèrent de payer les premières pour avoir droit à une jouissance personnelle. 

Futanari 317

     Rio s'était arrangée discrètement pour que ses copines viennent se masturber et éjaculent tour à tour dans ma bouche. Etre le point de mire des voyeurs qui regardaient les transsexuelles jouir entre mes lèvres me gêna au début. Mais encouragé par les applaudissements des autres participants,  j’avalais par la suite chacune de leur jouissance avec un plaisir gourmand. Je pressentais leur orgasme et au moment ou le sperme allait gicler, j’avalais alors leur verge avec empressement pour ne pas en perdre une goutte. Mon Dieu, quel bonheur de sentir leur sexe s'enfoncer dans ma bouche et leur semence au goût si variés remplir mes entrailles. Rio s'émerveilla de ma gourmandise. Le ventre plein du plaisir de ces transsexuelles, je lui confiai combien j'avais apprécié cette soirée. Un fantasme venait de se concrétiser sans qu’elle n'en sache rien : sucer des transsexuelles à la queue leu leu. Qui n'a jamais goûté à la semence de ces femmes d'un attrait particulier ne peut comprendre ma réaction.

     Difficile dans ces conditions de reprocher ses écarts de conduite à Rio. Par contre, je ne m'habituais pas à sa nature instable et à ses humeurs vagabondes. En fait, je découvrais chez les transsexuelles des comportements caractériels liés à une instabilité chronique. Ces gens passaient d’une humeur agréable à la déprime totale en quelques minutes. Il suffisait d'un regard, d’une remarque maladroite et leur caractère basculait brusquement. Un conflit de personnalités déstabilisant, certainement lié à leur état, leur esprit masculin s’opposait à leur caractère feminin.

     Par crainte de me perdre face à ses propres dérives, Rio tenta plusieurs fois de se suicider. Ce fut un moyen de pression qui me perturba sérieusement. Je me lassai également des malentendus qui suivaient à cause de ses copines. De plus, la drogue et l’alcool aidant, elle perdit tous repères sociaux. Elle plongea dans une réalité qui ne fut plus la mienne. Bien qu'elle soit à l'origine d'une sexualité qui exacerbait ma libido, je supportais de moins en moins ses égarements. Ajoutés aux nuits turbulentes passées dans les boîtes, je me lassais de ses extravagances. De par mon âge mature, j’aspirais à une vie plus sereine. La pardonner parce que ma sexualité était comblée ne me suffit plus.

     Les excès et le caractère sulfureux de Rio finirent par avoir raison de ma patience. Des transsexuelles jalouses de notre union m’encouragèrent à la quitter. Je découvris à cette occasion, une concurrence terrible entre elles à mon sujet. Sous le prétexte de casser notre couple, elles racontaient n’importe quoi à Rio, ce qui sema le trouble dans son esprit. Cela se terminait parfois entre elles par des crêpages de chignons d’une force dont peu de femmes sont capables.

     Après quelques années d’une relation tumultueuse et financièrement ruineuse, je décidai de la quitter. Saturé de cette vie déséquilibrée et sans espoir d’un avenir meilleur avec elle, je me séparai à regret de mon adorable Brésilienne. Comme elle aspirait à rejoindre une copine en Floride, je lui offris le voyage, sans espoir de retour...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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