Partager l'article ! Ma femellisation, 22, REFLEXION AUTOUR DE L'AUTOGYNEPHILIE: Autogynéphilie, voici un terme médicale en provenance du C ...
Autogynéphilie, voici un terme médicale en provenance du Canada et qu’un public averti découvre en France. D’après l’encyclopédie libre Wikipedia, l’autogynéphilie, un terme proposé par Ray Blanchard, un psy ultra conservateur, désigne l’excitation sexuelle ressentie par un homme lorsqu’il perçoit l’image de son propre corps comme étant celui d’une femme. A des degrés divers, cela va de soi.
• Autogynéphilie « travestie » : excitation dans l'acte ou le fantasme de porter des
vêtements de femme. C'est le cas des travestis.
• Autogynéphilie « comportementale » : excitation dans l'acte ou le fantasme de
faire quelque chose de féminin.
• Autogynéphilie « physiologique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de
percevoir certaines parties de son corps comme celles du sexe opposé. C'est mon cas.
• Autogynéphilie « anatomique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de percevoir
son corps comme celui du sexe opposé. C'est le cas de la plupart des transsexuelles.
Un comportement autogynéphile se traduit donc par diverses envies de féminisation, chaque homme se retrouvant classifié dans une ou plusieurs de ces définitions. Moi qui suis un adepte de la "femellisation" de mon corps, qui fait une fixation sur mes seins de femme et ma queue de mec, je dirais que les définitions données par Blanchard reflètent assez bien mon sentiment. En disant cela, j’ai conscience de me faire des ennemis parmi les transsexuelles, car ce psy est fortement contesté par ces gens. Une polémique existe suite à ses travaux sur elles. Ce spécialiste considère que l’identité de genre est intimement liée à la sexualité. De ce fait, il remet en question la motivation profonde de ces personnes à devenir femme précisant qu’elle est avant tout liée au plaisir sexuel et donc liée à l’excitation ressentie.
Les définitions 3 et 4, bien qu’elles soient trop généralistes à mon avis, semblent assez bien convenir à mes propres comportements. Je fais une fixation sur mes seins de femme, j’aime mon corps intégralement épilé, je porte de minuscules strings de femme et j’adore par dessus-tout qu'une femme abuse sexuellement de moi comme si j'étais une femme. J’ajouterai aussi la seconde définition puisque je désire avoir de gros seins pour avoir des montées de lait comme une femme.
De plus, mes amours successives ont influé sur ce comportement autogynéphile en favorisant ma féminisation au-delà de mes attentes. Comme mes compagnes précédentes adoraient me sodomiser, je me sentais bien plus femme en faisant l'amour ainsi. Ma verge devenait secondaire dans ce cas, car je m'imaginais avec un vagin ouvert à leurs envies de domination. Je mouillais comme une femme et j'étais pénétré comme tel. Idem lorsqu'elles me dilataient et ouvraient ma "chatte" à l'extrême. Et oui quand je baisais, j'avais une chatte à la place de l'anus. Et cela, je le vivais au quotidien, de manière persistante et non comme une fantaisie sexuelle passagère. Et pour comble, vivre ces situations me faisait bander.
Côté travestissement fétichiste, cela m’agace un peu, car je n’aime pas me travestir. Je ne ressens aucune excitation à m’habiller en femme ou à me maquiller si ce n’est pour faire plaisir à mes compagnes. Juste envie de porter un string en dentelle ou une petite culotte sur mon corps intégralement épilé. Parfois j'en viens à cacher mon sexe entre mes cuisses et à remonter mes testicules dans le ventre pour avoir le ventre aussi plat qu'une femme. Je dois avouer que mes compagnes successives s’emballaient autant que moi à ces jeux. Elles essayaient des soutiens-gorges sur ma poitrine, me faisaient porter des bas nylon avec un porte-jarretelle et des escarpins aux talons démesurés. En fait, elles m’instrumentalisaient à mon insu dans une excitante perversion. Elles prenaient le contrôle de ma sexualité, inversaient les rôles mâle/femelle et me rendaient de ce fait totalement passif. Par réaction, l’image que je dégageais alors avec ma poitrine de femme aux tétons proéminants, avec mes longues cuisses fuselées et mes fesses nerveuses dans un petit string les poussait à me femelliser encore plus.
J’avais conscience d’être ridicule ainsi accoutré, mais comme c’était là leur délire, je me laissais donc faire. Je devenais leur femme dans ces moments-là. Contrairement aux nombreuses photos que j’ai de ma poitrine, je n’en ai aucune dans des tenues féminines. Ce travestissement élémentaire était plutôt ressenti chez moi comme une hors-d'oeuvre sexuel, un amuse-gueule. Ce n’était là qu’un jeu entre nous, une variation sexuelle.
Rien à voir non plus avec la dysphorie de genre, une caractéristique propre aux transsexuelles. Ces personnes se sentent femmes prisonnières d’un corps d’homme et font donc des toutes les démarches pour devenir des femmes. Elles ne ressentent aucune excitation à s’habiller en femme. C'est leur état normal. Elles se sentent femme et s’habillent donc comme telles contrairement aux travestis qui eux s'excitent et jouissent de s'habiller ainsi. Eux ne remettent pas en cause leur statut de mâle.
Eh oui, me voilà donc autogynéphile selon la classification des psys. Et de plus, j'aime ça. Qu’une femme stimule cette part de féminité qui cohabite en moi, qu’elle s’emballe à "fémelliser" sexuellement mon corps, qu'elle favorise le développement de mes seins et voilà que je deviens alors le plus heureux des hommes…
Ma femme Nadia aimait me caresser l'anus. J'aimais fort cette sensation d'interdit.
Je lui ai dit que j'adorais cette caresse. Et puis un jour, elle me dit, puisque tu aimes tant te faire caresser le cul, pourquoi je ne pourrais pas t'enculer avec un de mes godes ? Tu n'aimerais pas te sentir femme ?
Et c'est vrai que mes amis et amies trouvent que j'ai un corps très féminin.
J'ai accepté et je me suis préparé à me faire prendre. Elle m'a lubrifié mon petit trou, puis doucement, elle a commencé à me rentrer un gode de 4 cm de diamètre. Ça me faisait mal, mais je voulais recevoir cette queue factice. Elle m'encourageait en me disant qu'une femme doit souffrir un peu avant de jouir. J'ai joui incroyablement, je me sentais hyper femelle, ça a été une découverte terrible.
On a recommencé ça plusieurs fois, et je dois dire que progressivement, je préférais qu'elle m'encule plutôt que de la baiser. Elle s'en est aperçue, mais ne s'en est pas offusquée.
Un jour, elle m'a proposé qu'on change de rôle : elle s'habille en homme (c'est pas compliqué parce que les femmes sont actuellement habillées en homme la plupart du temps) et moi en femme (là c'est différent puisque nous les hommes, on met rarement des minijupes et des talons aiguille).
Donc un soir, elle commence à me transformer en femme.
Putain que c'est long et compliqué, mais super excitant. Elle m’a rasé les jambes et les quelques poils de mon torse. Elle m'a maquillé, fond de teint, rouge à lèvres,...Puis porte-jarretelles, bas brun foncé à couture, soutien et string.
J'étais très troublé et hyper excité.
En me regardant dans le miroir, je me voyais très femelle et même très salope.
Elle était aussi habillée très sexy. Et elle me disait, oui on est deux femelles putes et salopes.
Pour la première fois, je me suis senti entièrement femme puisque c'est elle qui menait le jeu en me godant le cul et en me suçant l'anus, tout en s'enfonçant un gode dans le vagin.
Le lendemain, j'étais épuisé.
Je me sentais vraiment femelle et à chacune de nos soirées, elle m'obligeait à m'habiller à nouveau en femme pour préparer le dîner, ce que je faisais avec plaisir.
Puis un jour, elle m'a dit qu'elle m'offrirait à un de ses amants un jour. J'étais abasourdi. Mais en même temps, j'attendais ce moment avec impatience, partager des hommes avec ma femme, puisque je devenais aussi une femme.
Après la découverte de ma féminité, je me sentais de plus en plus femelle. J’adorais que ma femme m'encule avec ses godes, mais moi je ne la baisais plus. En fait, au fil du temps, j'adorais m'habiller en femme sexy, un peu comme elle, qui en tant que coiffeuse était toujours habillée hyper sexe : jupes courtes, talons aiguille, maquillage très précis, et une chevelure très bien coiffée.
Elle me godait, mais évidemment elle se faisait prendre de plus en plus par ses amants, d'ou des soirées où elle s'absentait de plus en plus longtemps.
Elle « travaillait » parfois les week-ends, pendant lesquels je perfectionnais mon maquillage et mon habillement en femme. Je me suis acheté moi-même des habits et des sous-vêtements féminins. Les soirs, je m'habillais quasiment tous les jours en femme. Comme elle travaillait tard c'est moi qui faisais le dîner. Finalement, elle rentrait dîner un soir sur 2.
Un soir, elle me téléphone pour me demander si cela ne m'ennuie pas si elle revient dîner avec un de ses amants. J'étais perplexe, habillée en femme très sexy, avec une minijupe au ras des fesses, des talons aiguille, un maquillage super réussi. Je lui demande s'il est au courant. Oui, justement cela l'excite, me dit-elle. Je lui réponds, ok alors.
J'étais hyper attisé en les attendant.
Ils sont arrivés, elle toujours superbe et sexy. Lui, un bel homme de près de 50 ans. L'apéro a été très chaud. Ils ne s'arrêtaient pas de se caresser et de flirter. Moi je me faisais aussi caresser les fesses quand je passais leur servir des chips et des olives. Puis, je me suis retrouvée assise à côté de lui, pendant que ma femme est partie à la cuisine terminer la préparation du repas. Elle nous dit : amusez-vous bien pendant que je ne suis pas là.
Il m'a caressée les cuisses. J'avais mis un panty brun foncé sans slip sous ma minijupe. Il m'a baissé le panty pour me caresser le petit trou. Je mouillais fort parce que j'avais mis du lubrifiant pour me goder 2 heures auparavant. Il m'a embrassée. On a flirté plusieurs minutes. Je m'abandonnais dans ses bras, en me sentant de plus en plus femelle. Puis, folle de lui, je lui ai dit "prends moi comme une salope". Je me suis mise à 4 pattes sur le divan et il m'a pénétrée en douceur.
C'était divin. Enfin une vraie queue dans mon ventre de femelle. Elle rentrait facilement après tous les godes que j'avais reçus.
Il a pris son temps. Il m'a limée pendant une dizaine de minutes avant de lâcher son sperme. J'étais heureuse et je me sentais vraiment devenue femme.
On s'est un peu rafraîchis, puis on a dîné à 3. Ils ont été se coucher pour faire l'amour.
Le lendemain matin, il est venu me baiser avant de partir. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai décidé de me faire prendre par des hommes, puisque c'était beaucoup mieux que par des godes ou des adolescents...
Un samedi quand ma femme était partie vers 10h dans son salon de coiffure, je m'étais habillée très sexy. Une jupe rouge très courte, bas à couture brun foncé, talons aiguille vernis noirs, un soutien noir sur mes petits seins (par miracle mes seins étaient un peu bombés sans hormone...) dont je m'étais maquillée les bouts en brun foncé, un top en dentelle noire.
Je déambulais dans la maison me regardant dans les miroirs. Je me sentais très pute et je me godais le cul dès que j'en sentais le besoin.
Vers midi, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit que c’est ma femme qui l’envoie pour voir s'il peut réparer la machine à laver en panne depuis quelques jours.
20 minutes plus tard, ding dong. J'étais complètement paniquée à l'idée d'ouvrir habillée super sexy à ce technicien. J'ouvre, il entre, sans me dire grand chose, il va directement dans la buanderie et examine la machine à laver. Il la démonte, chipote pendant 30 minutes, sans me regarder. Je suis finalement très déçue qu'il ne me trouve pas appétissante.
Puis, fier, il revient en me disant voilà c'est réparé, et en me regardant d'un air vicieux, il me dit : tu es super sexy, puis il vient contre moi et me dit : donne-moi une bière et viens avec moi au salon. Troublée et rassurée, je me suis exécutée. Je suis venue m'asseoir à côté de lui sur le divan avec 2 bières.
On était tous les 2 très chauds. Je me demandais comment il allait poursuivre. Puis il m'a demandé si je ne voulais pas qu'on essaie de jouer ensemble. Il m'a avoué qu'il était bisexuel et qu'un de ses phantasme
Contrairement à nombre de femmes, vous avez la chance d’avoir une épouse qui stimule pleinement votre féminité. Votre parcours ressemble à celui d’un travesti fétichiste et bi au comportement soumis et passif. Cela ne fait aucun doute lorsque je vous lis.
Votre progression résume bien le parcours d’une majorité d’hommes attirés par la féminisation. La résultante de ce comportement ne s’est pas fait attendre. Vous préférez être sodomisé plutôt que prendre votre femme en mâle actif. De ce fait, elle est allée chercher des amants pour satisfaire ses propres envies tout en profitant de votre féminisation. Une femme dominatrice ! Normal puisqu’elle a « vaginisé » votre anus. Une situation qui vous comble à présent dans tous les sens du terme.
Découvrir qu’une queue de mec est mille fois meilleure qu’un gode pour se faire sodomiser fut une nouvelle étape que vous allègrement franchi. Vous êtes bi et vous voilà à présent libéré de toute contrainte morale par rapport à tous ces hétéros coincés dans leurs certitudes. Vous vivez pleinement votre sexualité et c’est tant mieux pour votre équilibre. Vous êtes enfin un homme libéré…
on dirait que vous lisez dans mes pensées !
j'aime être soumis et dominé
j'aime aussi être cocufié par ma femme à condition qu'elle ne me cache rien !
je t'enverrai après 1 poème que j'ai composé pour mon épouse !
gros bisous du Maroc !
Je l'attends avec impatience...
Je ne fais pas de confûsion : JE SUIS (à 100 % pour mla FEMINISATION-TOTALE ou FEMELLISATION !) .
ERIK(A)
letheilerik@wanadoo.fr
Comme je le précise, l'autogynéphilie ne consiste pas à devenir FEMME contrairement aux transsexuelles qui elles se sentent femmes dans leur tête et font donc toutes les démarches pour y parvenir.
Il s'agit uniquement de vivre pleinement ce coté féminin qui existe en chaque homme. J'ai la chance d'avoir eu une compagne pour qui ma femellisation était le moteur de sa libido. C'est pourquoi j'ai fini par prendre des hormones féminisantes. J'avoue qu'aujourd'hui cela nous procure des jouissances sexuelles inouïes. Une autre façon de pratiquer le sexe, plus passive. Ceci précisé, je vis en homme en société.
Je me SENS (depuis LONGTEMPS !!!) + fille (FEMME) que garçon (HOMME), et en même temps très attiré(e) par les femmes (LESBIENNE ?)
ERIK (A) MATZ
letheilerikwanadoo.fr .
Si tu es attiré sexuellement que par les femmes, on peut dire qu'il n'existe aucune aptitude transsexuelle en toi. Les trans ne sont attirées que par les hommes. Chez les femmes, elles n'apprécient que leur féminité. On peut donc en conclure que ce coté féminin qui s'exprime en toi relève de l'autogynéphilie.
Pourquoi être ridicules ainsi habillé(e) ? J'adore me trouver habillé(e) tel que vous le décrivez et ne me sans pas ridicule !
Quelle chance d'être avec une femme qui vous accompagne et vous encourage dans cette féminisation et qui y prend plaisir.Plus un peu de dommnination, c'est le paradis
Si vous le permettez je met en lien votre blog sur le mien.
Bien à vous
Fetichminouche la Bourgeoise
Je ne dis pas que le travestissement est ridicule. Je dis que moi-même, je me trouve ridicule habillé en femme contrairement à une jeune personne androgyne. Par contre, j'adore mon corps efféminé juste vêtu d'une fine lingerie. Une condition à cela, que le corps soit totalement épilé.
Coté lien sur ton blog, tu ne me donnes aucune indication. S'il a la légéreté et la volupté des travestis de bon gout, aucun problème...
je me féminise de plus en plus cheveux mi longs seins pointus et fesses rebondies 1m72 50 kgs
ma bite encagée en permanence pend entre mes cuisses plus de culotte et des jupettes tres courtes je deviens une vraie garce j'aime tellement la bite
Franchir le pas de la féminisation pour un homme apporte effectivement des bonheurs d'exception, surtout si c'est une femme qui nous pousse à le faire. Mais attention c'est une escalade sans fin qu'il est difficile d'assumer si on goutte aux hormones. Bonne route à toi Murielle...
PS : Tu as quel âge ?
Bonsoir
J'ai lu avec beaucoup d''interet les chapitres du bloc. Étant, à mon avis, une femme refoulée (j'ai toujours été attiré par les sous vêtements féminins, les porter en cachette avec bonheur et avoir des relations homo habillé en femme - un sort de travestissement - mais qui accentuait le plaisir de la sodomie), j'ai trouvé ce blog très instructif.
Actuellement je suis intéressé d'augmenter le volume des mes seins (tetons très sensibles). Augmenter leur volume d'une manière modéré mais par des moyens naturels. Je voudrai donc avoir un conseil de votre part.
Merci
Les attitudes que vous décrivez sousentendent un comportement féminin. Reste à savoir si vous êtes attiré par les hommes ou par les femmes pour définir avec précision votre identité de genre réelle...
Augmenter la taille des seins par des produits naturels (phytoestrogènes par exemple) se conclut souvent par un résultat dévevant et qui revient aussi cher que les hormones de synthèses. Voyez toutes ces femmes qui se réfèrent à l'expérience d'autres femmes sur les forum. D'autre part, sur un plan morphologique les gens sont plus ou moins réactif en fonction de leurs gènes. Vaste débat...
Merci pour votre réponse.
Cordialement