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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:34

     Les filles fantasmèrent étrangement sur ma féminisation et plus étrangement encore sur ma poitrine, Fatou en particulier. Elle adora exciter mes mamelons, les pincer, les sucer et tirer dessus pour les allonger, une fixation sur mes seins qui m’amusa au début. Elle acheta une pompe aspirante pour cela. Hormis les mamelons qui pointaient en permanence, le résultat ne fut pas concluant à ses yeux. C'est alors qu'elle me suggéra de prendre des hormones féminisantes. Mariam en rajouta : « Ce serait chouette d’avoir des seins de femme avec une queue de mec ! » Face aux délires des filles, l’idée m'amusa. Hum, une vraie poitrine de femme à la place de mes pectoraux ; le summum de la féminité pour un homme. Une fois de plus, je ne me rendais pas compte de cette escalade féminine voulue par ces deux femmes.

     Néanmoins, je résistai. Je précisai que cela aurait des conséquences néfastes sur ma vie et ma santé. On ne joue pas avec les hormones. Modifier biologiquement l’anatomie de mon corps me sembla une aventure trop hasardeuse. D'autant plus qu'on dit que les hormones féminisantes rendent stérile et impuissant. Fatou insista. Etant infirmière, elle connaissait tout des hormones féminines, elle gérerait facilement cet aspect. Après mûre réflexion, je refusai. Je voulais rester un mâle qui exprime toute sa vigueur, ne serait-ce que pour l’enfanter le moment venu. Me féminiser devait rester un jeu. Préserver mon statut de mâle face à ces deux femmes représentait déjà un sérieux challenge. Sot que j'étais, j'ignorais encore tout de leur détermination à mon égard.

DSC00013.jpg     Quelque temps après, je ressentis des troubles de santé. Malaises, fatigue et vertige devinrent mon lot quotidien. Je craignis aussi pour mon cœur à cause de palpitations anormales. De plus, je ne me donnais plus sexuellement avec le même entrain. Je m'inquiétai de tant de passivité face à leurs assauts sexuels. Les filles me rassurèrent gentiment sur ma santé déficiente. Je consultai finalement un médecin. Septique face à mes symptômes, il compléta son diagnostic en demandant une analyse de sang. L'analyse sanguine prouva un taux de testostérone anormalement bas ainsi qu'un taux d'œstradiol, une hormone féminine, étrangement élevé. Il me prescrivit donc des hormones mâles pour compenser ce déséquilibre.

Equivoque-038A.jpg     Lorsque j'en parlai aux filles, elles m'avouèrent incorporer discrètement des hormones féminisantes à ma nourriture. Les malaises ressentis n’étaient que la conséquence des effets secondaires de ces hormones que j’ingurgitai en toute ignorance. Et les douleurs dans ma poitrine correspondaient à mes seins qui se développaient. Je sentis effectivement à la palpation une petite protubérance naître sous chaque mamelon.

     Tout en caressant mes seins naissants, Fatou s’excusa d’avoir abusé de ma confiance. C’était plus fort qu’elle, une pulsion qui dépassait sa raison. Et Mariam la poussait continuellement à agir dans ce sens.  Entre-temps, mes seins continuèrent à se développer. Quelle sensation étrange de me sentir pousser une poitrine de femme ! Cela fit le bonheur de Fatou, même si ma libido s’en trouva perturbée. Elle insista par la suite pour que je continue à prendre des hormones féminisantes. Partagé entre l’idée de lui plaire et la raison du mâle, j’hésitai longuement. Seule concession à ses envies, j'acceptais de prendre des compléments alimentaires, du Pueraria Mirifica précisément. Ce que j'ignorais alors, c'était que cette plante qui contenait des oestrogènes commençait inconsciemment à conditionner mon esprit vers toujours plus de féminité...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 22:44

      Arriva inconsciemment la prochaine étape de ma féminisation. Les lavements, les sondes anales et les spéculums prirent beaucoup de place dans  nos jeux liquides. Etant infirmières, les filles disposaient de tous l'arsenal nécessaire à la clinique où elles travaillaient. Elles utilisaient pour mes lavements une poche en caoutchouc reliée  à une canule par un tuyau. La poche, une fois remplie de liquide, était fixée en hauteur. Le liquide se vidait alors dans mon colon par simple gravitation. Fixé au tuyau, il y avait un petit robinet qui permettait de doser le débit en fonction de la force des spasmes ressentis. La première fois, ce fut non seulement humiliant devant ces deux femmes, mais aussi très douloureux. Des crampes intestinales qui me rappelèrent d’horribles crises de coliques. Je remarquais combien Mariam s’excitait à me voir souffrir ainsi. Quel sadisme chez elle ! Néanmoins, je ressentis un plaisir étrange à sentir mon ventre se remplir de liquide.  Et quel bonheur de me vider ensuite, une merveilleuse délivrance. Par la suite, je devins un fervent adepte des lavements au point de ne plus pouvoir m’en passer. Cela me rappela les lavements hygiéniques de Maman à la différence que j’aimai me remplir toujours plus avec les deux filles.

 

     Mariam adorait aussi m’enfoncer des sondes anales le plus profondément possible dans le colon. De par son métier, elle suivait avec facilité le parcours de la sonde en tâtant mon ventre, une experte en la matière. Tandis que la sonde se frayait un chemin dans mes entrailles, elle me fixait d'un regard excité. Elle la reliait ensuite au robinet de la douche à travers un dispositif qui permettait à l’eau de circuler dans mon colon en un flot continu.

 

v1jvon5q     Elle me faisait parfois des lavements à base d’huile lorsque je ne répondais pas à ses envies. Ces lavements sont réputés punitifs parce que le colon évacue ce liquide visqueux durant des heures, voire des jours et tachait mes strings et mes pantalons. D’autres fois, elle insérait un spéculum qui laissait mon anus largement ouvert après un lavement, ce qui était très humiliant. Toujours ce côté sadique et pervers qu’elle pouvait extérioriser avec moi.

      Je fis un jour l’expérience d’un lavement bien particulier. Les deux filles avaient bu beaucoup de bière et s’étaient retenues le plus longtemps possible avant d’uriner. Tout en s’amusant, elles urinèrent dans le bocal habituellement réservé aux lavements. Je les regardai faire devinant enfin ce qui se tramait. Mariam enfonça la sonde dans mon anus et ouvrit le clapet. De sentir leur urine chaude me remplir les entrailles me procura des sensations inouïes. Afin de garder ce précieux liquide le plus longtemps possible, Mariam me ferma l’anus avec un plug gonflable. Impossible dans ces conditions d’évacuer trop vite. 

     Dénaturée par son métier, Mariam affabula sur un lavement particulier. Il nécessita pour cela une stérilisation parfaite des accessoires utilisés. Un jeu captivant, mais oh combien dangereux si on ne respecte pas une hygiène absolue. Elle me demanda d'abord de pisser pour vider complètement ma vessie tandis qu’elle et Fatou ne cessaient de boire de la bière pour mieux remplir la leur. Elle m'enfonça ensuite avec des gestes experts une sonde stérilisée dans la vessie. Elle brancha dessus une double tuyauterie puis l'enfonça dans sa propre vessie et celle de Fatou en écartant bien les vulves pour en dégager l’urètre. Etant toutes les deux infirmières, ce geste médical lui était habituel. Puis elle s'allongea alors sur le lit avec Fatou à son côté. Elle me demanda alors de m'allonger sur le tapis en contrebas d’elles deux. Par simple gravitation, je sentis l'urine de Maryam et de Fatou remplir doucement ma vessie vide. Waouh, quelle étrange sensation ! Je gardai ce précieux liquide dans mon ventre longtemps tellement cela m'excita. Marcher dans la rue avec l’urine de ces deux femmes dans mon ventre me procura une étrange émotion. Mais incapable de me retenir, je finis par pisser après des heures de rétention. Quel régal de voir ma verge pisser l’urine de Mariam et de Fatou...  

 

Photo domi97 015     Une autre fois Mariam voulut pratiquer un lavement bizarre. Je lui demandai des précisions. Elle ne répondit pas. Curieux et excité par tant de mystère, je me laissai tout de même faire. Elle lubrifia généreusement mon cul et enfonça la canule au maximum. Le bocal était rempli d’un liquide dont j’ignorais la composition. Comme d’habitude, ses gestes étaient très professionnels. Elle ouvrit ensuite le petit robinet et attendit tandis que le liquide s’écoulait dans mon intestin. Une odeur particulière se répandit dans la salle de bain.  Je tentai de deviner, peut-être de l’anis. Avec l’arrivée des premiers spasmes du colon, Mariam régula le débit en fermant plus ou moins le robinet. Après dix minutes, le boc à lavement fut complètement vidé. Plus de deux litres de liquide venaient d’être transvasés dans mon colon. Mon ventre gonflé telle une baudruche, des vertiges me prirent la tête.

     Je me sentis défaillir. Je me massai le ventre pour calmer les douleurs. Mais rien n’y fit, la tête me tourna encore plus et mon regard devint vitreux. Je voulus me vider pour retrouver un peu d’équilibre, mais Mariam refusa fermement. Comme d’habitude, elle plaça un plug spécial pour m’empêcher de me vider. Je me plaignis de malaises inhabituels. Elle me rassura. Ce ne fut qu’après une attente interminable qu’elle m’autorisa à me vider. Je fus incapable de me lever tellement je fus pris de vertige. Mariam m’aida à m’assoir sur la cuvette des toilettes puis elle me laissa seul pendant que je me vidais.  J’eus encore la force de me laver avec la pomme de douche puis je m’écroulai sur le carrelage. J’eus beau m’asperger la tête et laisser l’eau couler sur mon corps, rien n’y fit.

6a0borvu.jpg     C’est dans cet état que Mariam me trouva. Elle ferma l’eau du robinet de la douche et au lieu de s’inquiéter de mon état, elle s’empara de mon cul et le dilata avec une facilité déconcertante. Elle y entra ses doigts bien lubrifiés puis une main entière tellement mon anus était décontracté. Inconscient, je me laissai faire tout en gémissant légèrement. Dans les brumes incontrôlables de mon cerveau, je sentis sa main fourrager dans mon ventre. Mariam continua son excitante besogne. Finalement, le liquide séminal s’écoula de ma verge molle. Je ne ressentis aucun plaisir à jouir ainsi si ce n’était la main de Mariam qui fourrageait dans mon cul largement ouvert. Pour finir, elle me demanda de boire le sperme qui s’en écoula. J'en fus incapable...

     En fait, Mariam avait mélangé à l’eau du lavement une demi-bouteille d’apéritif anisé. Non seulement l'alcool avait réagi plus rapidement que si je l'avais bu par les voies naturelles, mais par ce biais, j'en avais absorbé bien plus que je n'en supportais habituellement.  Quand je bois, mon instinct me dicte d’arrêter avant l'ivresse. Mais la, aucun réflexe de ce genre d’où une réaction beaucoup plus violente...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 18:38

     Je ne sais si je vous l’ai dit, mais les filles avaient leur ventre aussi lisse que mon sexe. C’était un plaisir immense de caresser leur vulve avec ma langue dans ces conditions. Ce jour-la, ce fut imprévu. Alors que Fatou venait de jouir comme une folle dans ma bouche, elle invita Mariam à faire de même.  Celle-ci posa sa vulve mouillée sur ma bouche encore pleine de la cyprine de Fatou. Je suçai son clitoris charnu en découvrant le goût différent de sa mouille. Ma langue eut vite raison de son plaisir. Mariam jouit rapidement en gardant son vagin collé à mes lèvres. Au lieu de s’écarter de moi après sa jouissance, elle resta immobile pendant quelques secondes serrant fermement ma bouche contre sa vulve. Je me laissai faire surpris. Qu'avait-elle encore dans la tête ? Puis soudain, elle se vida de son urine en moi. Elle serra énergiquement ma tête entre ses cuisses et m’obligea à avaler ce liquide chaud qui giclait à grands jets dans ma bouche. Je déglutis avec peine son urine essayant de tout avaler. Pendant qu’elle pissait en poussant très fort, Fatou nous regarda excitée. Une fois de plus, elle constata la perversité de sa copine. Boire ce liquide chaud d’un goût nouveau ne me déplut pas tellement la situation fut excitante.

     Et que penser de cette ballade en voiture ? On devait se rendre chez des amis. Je conduisais tranquillement pendant que les filles discutaient en admirant la ville. Soudain Mariam exprima une envie irrépressible de faire pipi. Je tentais de repérer des toilettes publiques. Mais rien en vue. Dans ces moments d’urgence les w.c. viennent toujours à manquer. Je proposai de stationner la voiture et de prendre un café dans un bar pour que Mariam profite des toilettes.

36.jpg     Comme elle ne pouvait plus se retenir, elle suggéra de se vider dans ma bouche : « Chiche s’exclama Fatou ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. Bien que contrarié par leur décision, j’arrêtai néanmoins la voiture en pleine circulation. Je passais sur le siège arrière avec Mariam tandis que Fatou prenait le volant à ma place. Elle redémarra promptement pour ne pas trop gêner les autres voitures. Je m’allongeai sur la banquette tandis que Mariam écartait prestement sa culotte d'une main et venait s’accroupir contre mon visage en se tenant de l'autre main à la carrosserie. Quel soulagement pour elle de se vider dans ma bouche, une véritable délivrance. De mon côté, pas une goutte d’urine ne fut perdue malgré les à coups de la circulation. D’ailleurs, Fatou faillit avoir un accident à force de nous regarder dans le rétroviseur. Elle se fit traiter de chauffard. Pour toute réponse, elle tira la langue. Elle se rendit compte par la suite que sa culotte était toute mouillée d’excitation…

     Ces fantaisies liquides se répétèrent au point que boire l’urine des filles ou nous pisser dessus devint fréquent. C’est bien connu, les femmes éprouvent toujours l’envie de faire pipi après un orgasme. La salle de bain devint donc l’endroit idéal pour ces jeux liquides.  La position favorite était de m'assoir nu sur la cuvette des w.c.  Les filles se cambraient vers moi en avançant leur bassin, écartaient avec leurs doigts les lèvres de leur vulve pour en dégager l’urètre. Puis elles m’aspergeaient ensemble de leur urine. Debout comme des mecs, elles tournaient leur bassin pour orienter le jet, visant tour à tour ma bouche et ma verge en érection. Une douche des plus érotiques. Incapable de résister à la vue de leur vulve ouverte d'où s'écoulaient les jets de liquide, je me masturbais comme un dément. Sentir l'urine chaude asperger mon corps et inonder ma bouche me faisaient rapidement jouir. Par contre, j’évitais l’urine du matin, trop forte à mon goût.

     Il me revient en mémoire ce que j'avais écrit à Fatou en ce temps-là : 

"Quoi de plus délicieux, de plus luxuriant et davantage pétillant que ton champagne doré. Il embaume mes lèvres qui effleurent l'écrin duquel s'écoule ce divin breuvage. Ta coupe ouverte sur ma bouche, tu répands ton nectar limpide et nacré sur moi. Ma langue lape avec une délectation sublime, ma bouche avide déguste cette merveilleuse offrande féminine..." 


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 03:02

     Arriva ce fameux jour anniversaire ou on dina tous les trois dans un grand restaurant parisien pour fêter l’événement. Au dessert, Fatou sortit un cadeau de son sac. Mon cœur empli d’une émotion mal contenue, j’ouvris la petite boite et regardai surpris les deux femmes. C’était un minuscule string en dentelle rose. Fatou me demanda avec son charmant accent d’aller aux toilettes et de l’enfiler à la place du slip d'homme que je portais. Etrange impression que d’enfiler un string de femme dans des toilettes publiques. Cela me fit bander. Je rangeai difficilement mon sexe dans ce petit bout de dentelle. Au retour, les deux filles fixèrent mon ventre avec insistance. C’est ainsi que je commençai à porter de la lingerie de femme sous mes vêtements masculins.  

super-32227-36396      A la suite de ce cadeau, Fatou jeta tous mes slips de mec et exigea que je porte dorénavant uniquement des culottes et des strings de femme en guise de sous-vêtement. A voir l’exaltation que cela engendra chez les deux filles, je ne leur refusai pas ce plaisir. Une nouvelle escalade de ma féminisation sans que je m'en rende compte tellement leur plaisir de porter ces fins tissus était partagé. Inconsciemment, j’éprouvai finalement une provocante délectation à extérioriser ma féminité de cette façon. Ces délicats tissus dans lesquelles je rangeais mon sexe m’érotisèrent beaucoup par la suite. Au point de ne plus pouvoir m'en passer. Oh bien sûr, je me posai des questions face à ces délires féminins. J’eus conscience d’entrer dans une spirale sans fin. Mais cela m’était trop agréable de me laisser aller au gré des fantasmes de Fatou et de Mariam.  

    Comme mon sexe avait tendance à déborder des strings féminins, l’entrejambe n’étant pas adapté au sexe des hommes, Fatou me montra comment le ranger dedans. Elle avait un ami travesti qui lui avait montré comment il faisait. Curiosité toute féminine ! Exit la protubérance typique des mâles à l'entrejambes ! Il fallait remonter les testicules dans le ventre, ce qui n’est pas facile au début, tirer la verge en arrière et coincer le tout avec un string bien serré pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme. Malgré la protubérance de mes testicules sur le pubis, cela faisait illusion. Quand je serrais les cuisses, mon sexe disparaissait complètement. Avec la peau des testicules qui débordait légèrement, cela suggérait les grandes lèvres d'un vagin. On pouvait alors croire à un pubis de femme. Une situation pour le moins inconfortable quand je m’asseyais brusquement, mes testicules se rappelant douloureusement à moi. Je finis par m’habituer à ranger mon sexe ainsi avec le temps.

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      Fatou voulut un jour que nous allions ensemble à la piscine dans un maillot de bain avec mon sexe justement caché entre mes cuisses. De voir le regard des femmes se poser sur mon bas-ventre sans relief l’amusa beaucoup. Moi j'étais moins fier. Heureusement, le temps se gâta et on dut s’abriter de la pluie.

     Par la suite, j’eus plaisir à accompagner les filles dans les boutiques de lingerie fine. De voir ces montagnes de culottes et de strings de toutes les couleurs et de toutes les formes stimulait mon imagination. Fatou repérait toujours le minuscule string qui me  convenait à merveille. Elle me provoquait parfois devant la vendeuse en me demandant mon avis. Gêné, je répondais gauchement.

    A sa demande, je finis par acheter mes strings de femme seul malgré la réaction des vendeuses. « Encore un malade » devaient-elles penser. Cela se voyait à ce point dans mes yeux ? La vendeuse devinait que c'était pour moi, même si je précisais que c’était pour faire un cadeau à ma femme. Chacun savait que l'autre savait, mais aucun n'en parlait le premier. Certaines vendeuses, souvent des jeunes femmes sans expérience, étaient encore plus gênées que moi. Depuis, j’ai beaucoup moins d'appréhension et je m'amuse de l’expression surprise de certaines vendeuses. Avec l’expérience, j’ai remisé ces complexes au vestiaire tandis que les vendeuses se sont habituées à tous ces mecs qui achètent des petites culottes.

     Je pris pour habitude de me rendre dans une petite boutique spécialisée. A cette époque la mode était aux minuscules strings à ficelle. Plus ils étaient mini et plus ils étaient chers d'ailleurs. Je raffolais de ces minuscules choses et ranger mon sexe dedans m'excitait beaucoup. La jeune vendeuse finit par savoir ce qui me plaisait. Elle me téléphonait dès qu'elle recevait des nouveautés et je ne résistais jamais à ses appels...

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      Avec le temps, mon attirance pour ces fins tissus ne fit que s’accroître. Mes tiroirs regorgèrent de dizaines de culottes et de strings, parfois microscopiques, que j’enfilai au gré de mes pulsions. Plus c’était petit et plus j’adorai. Chaque matin, j’hésitai longuement avant d'enfiler la petite culotte que je porterai pour la journée.  Fatou la choisissait souvent pour moi. Et de ranger d’une main leste mon sexe qui en débordait me rappelait que je portais une lingerie de femme voulue par les deux filles. Par contre, Fatou m'interdit de mettre ses propres culottes. Elle disait que je les déformais...

     Les filles, comme moi d'ailleurs, trouvèrent normal par la suite que je déambule dans l'appartement avec mon corps lisse juste revêtu d'un petit string qui mettait mes fesses en valeur. Sentir ces fines lingeries sur mon sexe épilé entretenait ma libido. Le renflement que faisaient mes attributs masculins sous le string ainsi que mes fesses dénudées excitaient beaucoup les filles. Elles ne pouvaient s'empêcher de toucher. Etre une poupée sexuelle dont ces dames abusaient à leur gré devint une habitude à laquelle je pris goût...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mercredi 25 mai 3 25 /05 /Mai 17:41

    A  la longue, je vécus soumis à tous les délires sexuels de Fatou et de Mariam. C'était si agréable de se laisser faire ! En développant mon côté féminin, elles favorisèrent aussi ma passivité sexuelle. Pour une fois qu’un homme se donnait sans retenue, Mariam en profita. Ce fut parfois d’une bestialité inquiétante. Dominer un homme  lui permettait d’extérioriser tout le sadisme qui dormait en elle. Elle-même ne se reconnaissait plus quand on faisait l’amour. Elle m’ouvrait l'anus jusqu’à me faire crier de douleur, variant ses caresses jusqu’à l’obscénité. J’appris à être propre pour cela. C’est ainsi que je redécouvris les lavements du colon, mais rien à voir avec ceux de mon enfance. Elle me remplissait le ventre avec toutes sortes de liquides et m’obligeait à me retenir jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable. Elle fermait mon anus avec un accessoire spécial, une double poire qui empêchait toute fuite. Elle aima me voir souffrir et me tordre de douleur lorsque survenaient les premières crampes intestinales Me vider était ressenti comme une délivrance. Je découvris à cette occasion combien la douleur peut  renforcer le plaisir. De la part d’une infirmière, cela ne m’étonna pas.

10851     Inutile de vous décrire tous les gadgets qui forcèrent mon intimité. Les jouissances de Mariam reposaient principalement sur la dilatation extrême de mon anus. Elle l'appela "sa chatte". Elle voulut y entrer une main, masturber ma prostate pour me faire éjaculer ainsi. Elle avait lu quelque part que caresser un soumis de cette façon le vidait lentement de son sperme, sans gicler sans avoir le plaisir de l'orgasme. Au début, ce fut difficile, j'avais selon elle les hanches trop étroites. A défaut de jouissance, sentir sa main dans mon ventre me procura des sensations nouvelles. Terrible ! Mêler la douleur à cette possession intime fit de moi un autre homme. Par ce biais, elle arriva même à me faire boire ma semence. Qui n'a jamais vécu cela sous le joug d'une femme excitée ainsi ne peut comprendre.

     Quant à Fatou, je lui offris mon âme tellement j’étais amoureux. Quoi de plus fort que d'être au service de son plaisir tout en reculant mes propres limites. Livrer mon corps et mon esprit, lui donner le droit d'en jouir sans aucune condition était la plus belle preuve d'Amour que je pouvais lui donner. Une passion dévastatrice m'envahit, comme une drogue dont je ne pouvais plus me passer. J’aurais aimé décrire les sentiments qui m’unissaient à elle, mais je m’en garderai. Le lecteur s’intéresse à ma transition sexuelle et non à mes sentiments amoureux. En écrivant cela, il me vient à l’esprit une chanson de Jacques Brel qui refléte parfaitement mes sentiments amoureux : « Ne me quitte pas ». Quoi de plus beau que les paroles de cet air célèbre quant on aime à la folie : « Je serai l’ombre de ton ombre… » Aucun homme, pas même un poète, n’est capable de se donner ainsi à une femme. Moi, je l’étais.

      J’aimais aussi voir Mariam faire l’amour à Fatou. Cela se transformait en une explosion des sens à laquelle je participai allégrement, tantôt en tant qu'homme ou comme une femme selon les circonstances. D’autres fois, je ne devais pas m’en mêler, c’était une affaire de femmes d’une délicatesse inouïe. Il se passait entre elles deux une chimie affective incompréhensible pour un homme.

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     Quand Mariam me pénétrait, Fatou nous observait troublée par sa violence. Non seulement elle découvrait le sadisme de sa maitresse, mais de me voir possédé ainsi affolait ses sens. Arrivait l’instant où Mariam la défonçait à son tour passant de mon cul à sa chatte, revenant à mon cul puis dans le sien sans tenir compte de nos cris. Fatou et moi, nous nous serrions alors fortement la main face à ses assauts répétés, unis dans un même concert de cris et de jouissances. Il y avait à cet instant en Mariam comme une joie sauvage à nous défoncer. Peut-être la jalousie de me voir aimer Fatou à ce point.

     D’autres fois, elle se caressait devant moi et giclait des litres de cyprine tellement ça l’excitait de voir Mariam m’enculer avec force. D'entendre mes cris de douleur l'excitait au plus haut point. Elle jouissait alors en collant sa vulve contre ma bouche. De me forcer à boire le fruit de ses jouissances ajoutait à notre plaisir. Remise de ses émotions, elle me confiait qu’aucun homme ne buvait sa mouille de cette façon. Je répondais qu’avaler ce précieux nectar jusqu’à le sentir dans mes entrailles était pour moi une façon de communier avec elle. Encore aujourd’hui, je reconnaitrai son goût parmi des milliers de femmes.

 

Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 19:46

       Ce n’était là que le début d’une idylle particulière qui affola mes sens. Je me passionnai pour Fatou et finis par tomber follement amoureux. Son corps était parfait, une lourde poitrine, des fesses rebondies et un ventre à me rendre dingue. Comme ces deux femmes étaient inséparables, on fit donc ménage à trois. Fatou se donna avec tant de fougue par la suite que je m’éclatai comme jamais. Tantôt par devant, tantôt par-derrière, Mariam et moi la prenions ensemble. Ses fesses ouvertes à nos envies emballèrent ma libido à un niveau jamais atteint. Pour la première fois de mon existence, je rencontrais une femme qui adorait être prise par-derrière.

      Tandis que Mariam s’embrasait pour mon cul, Fatou me confia ses fantasmes de féminisation. Était-ce lié à son côté lesbien ? Elle précisa qu’en chaque homme sommeillait une part de féminité, souvent inconsciente d’ailleurs, car réprimé par notre éducation de mâle. L’inversion des rôles sexuels me permettrait de découvrir une sexualité différente. Un univers nouveau s’ouvrirait à moi. Les deux femmes ne voyaient dans ma "sodomisation" que l’écho de cet état. Elles argumentèrent tant et si bien que je finis par abdiquer. Amoureux fou de Fatou, je mis provisoirement de côté mes prétentions de mâle. Se faire enculer par Amour n’est pas donné à tous les hommes. Restait à découvrir comment elle envisageait ma féminisation...  

Bitedressing-101A.jpg     Pour que puisse s’amorcer ma féminisation, Fatou estima qu’il fallait y aller progressivement en évitant de choquer ma sensibilité de mâle. Elle s’occupa d’abord de mon corps. Pour cela, elle m’habitua aux soins cosmétiques et à toutes ces petites choses qui distinguent une femme d’un homme. Me livrer ainsi à elle me procura de délicieuses sensations. Je découvris entre ses mains les plaisirs masturbatoires avec des crèmes et des onguents qui parfumaient le corps.

     Arrivée à ce stade, elle me fit remarquer combien le rasage de mon sexe était désagréable. À la repousse, elle avait l’impression de caresser une barbe de trois jours. À ses yeux, mes poils renvoyaient l’image d’un homme négligé, aux odeurs corporelles désagréables. Me convaincre au fil des conversations que l’épilation était une marque d’hygiène appréciée des femmes lui fut facile tellement j’étais accroc d’elle.

       Ce lent conditionnement l'amena un jour à m’épiler tout le corps à la cire. C’était la première fois de ma vie qu'on m'épilait ainsi. Mariam assista à la séance. Ce qui me frappa fut l’odeur entêtante de la cire chaude. J’eus l'impression d'entrer dans un monde intime réservé aux femmes. Au niveau du sexe et des testicules, ce fut plus délicat. Avec un sourire coquin, Mariam insista pour que l’anus et la raie des fesses soient bien lisses. Une fois l’épilation terminée, Fatou m’enduisit le corps d’une huile aux senteurs délicates. Malgré la douleur ressentie, cela se termina par d’agréables caresses. Elle conclut cette première séance par une savante fellation, une récompense pour m’être livré à ses envies dépilatoires. À cette occasion, je remarquais combien elle était gourmande.  
     Je découvris ainsi épilé une sensation nouvelle à me sentir lisse et doux. Ma peau nue réagissait au moindre courant d’air, à la moindre caresse. Fatou s’intéressa aussi à mon visage. Finis les sourcils en broussaille ou les poils en bataille qui dépassaient des narines et des oreilles. Avoir la peau douce durant plusieurs semaines ajouta à un érotisme de circonstance.

epilation sexe - humour      Par la suite, Fatou me demanda de trouver un institut de beauté qui puisse m’épiler intimement. Quelle humiliation pour un homme ! Expliquer au téléphone une telle épilation ne fut pas facile. En ce temps-là, il n’était pas d’usage que les hommes se fassent épiler en institut. Je remballai ma fierté de mâle face aux jugements acerbes de certaines esthéticiennes. Malgré mon insistance, tous les instituts me refusèrent un rendez-vous. Nombreux furent ceux qui me prirent pour un obsédé sexuel. Après cette vexante épreuve, Fatou et Mariam conclurent que les blancs étaient des gens conditionnés par des habitudes puritaines qui faussaient leur jugement. Je fus bien d’accord. Elle me conduisit alors chez une copine black qui travaillait discrètement au noir comme esthéticienne. Je découvris à cette occasion toute une filière de petits boulots pratiqués en toute illégalité par des gens venus d’Afrique. Et ceci dans une ambiance joyeuse des plus agréables. Le rire et la bonne humeur de ces gens me changèrent des râleurs Parisiens.  

      Je pris goût à ces séances d’épilation à la cire encouragé par le fait que Fatou et Marial avaient horreurs des poils. Malgré la fugitive douleur ressentie à l'arrachage, c’était à chaque fois un grand moment de détente dans l’ambiance feutrée du salon d’esthétique de la copine black de Fatou. Mes habitudes évoluèrent tellement que je finis par apprécier ma peau douce et lisse comme de la soie. L'institut de beauté de cette femme devint pour moi le temple de la féminité. Je pris goût  à l’odeur de la cire, à tous ces produits qui entretiennent la peau des femmes. J’appris tout des crèmes qui atténuent les rougeurs de l’épilation et les boutons à la repousse. Je me passionnai pour ces liquides onctueux aux parfums délicats qu’on étale sur le corps. Je trouvais un plaisir particulier à me masser la poitrine, le sexe et les fesses avec.  

     Je pris soin moi-même de chasser les poils rebelles avec une pince entre deux épilations à la cire. À mon tour, j'eus horreur de ces poils qui faisaient si négligés. Comme les femmes, j’avais sur moi en permanence une pince à épiler. Elle devint l'accessoire indispensable dans ma panoplie des produits de beauté. C’était des instants magiques ou j’oubliai tout. J’insistai particulièrement sur mon sexe et mon pubis, là où se manifestait auparavant une virilité bien poilue. Je faisais la guerre aux poils comme une femme. À m'occuper de mon corps ainsi, cela  me rappelait en permanence le désir de féminisation de Fatou.

manwax3642bigA     À force d’aller en institut pour me faire épiler, je devins inconsciemment semblable à toutes les femmes. Non, pire ! J’eus des théories sur la façon d’épiler, sur les poils incarnés et sur les lotions qui évitaient rougeurs et irritations de la peau. Je parlai de gommage comme une femme. Mes gestes dépilatoires furent ceux d’une femme. Mes réactions aux poils devinrent celles d’une femme. Avec l’épilation à la cire, c'était trois semaines d’une peau douce et agréable avant que les poils ne repartent à l’assaut de mon corps. Malheureusement, après chaque épilation ou à chaque repousse, c'était un vrai calvaire. Rougeurs et irritations firent que je m’arrachai la peau pendant plusieurs jours. Au niveau de la poitrine et du pubis, cela devint un véritable calvaire au point que je me grattais jusqu'à m'arracher la peau. Les poils repoussaient drus et épais, des poils de mec qui laissaient d'horribles des marques sur ma peau. Malgré les conseils de l’esthéticienne, rien n’y fit. Crèmes et lotions, toutes plus miraculeuses les unes que les autres, n’y changèrent rien. Dur dur d’être lisse comme une femme quand on est un mec…  

 59460731_p.jpg    Et que dire de cette récente séance d’épilation teintée d’un érotisme particulier ? Normal qu’ensuite les esthéticiennes prennent les hommes pour des obsédés sexuels. Fatou et Mariam m'accompagnaient ce jour là chez leur copine esthéticienne. Celle-ci venait juste de terminer mon épilation et s’apprêtait à appliquer sur mon corps une lotion huileuse pour retirer les traces de cire encore collées à ma peau. Avec un sourire complice, Fatou lui proposa de le faire elle-même. La copine se retira et s'occupa d'une autre cliente. Fatou s’empara alors de la lotion et commença à masser mon corps avec. Très vite cela dégénéra et je finis par avoir une érection. Elle s’amusa avec mon sexe, décalotta le gland et passa des petits coups de langue furtifs dessus. La situation fut si excitante que Mariam s’empara à son tour de ma verge, l’enduisit généreusement avec la lotion huileuse et me masturba violemment tout en étirant mes bourses. Excitée, Fatou se caressa le clitoris puis s’accroupit sur mon visage pour me faire gouter sa chatte. Tandis que je jouissais comme un fou, elle déversa dans ma bouche tout son plaisir...

 

Par hommeofeminin.erog.fr - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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