Partager l'article ! Ma femellisation, 5, UNE MONTAGNE DE STRINGS: Arriva ce fameux jour anniversaire ou on dina tous les trois dans un g ...
Arriva ce fameux jour anniversaire ou on dina tous les trois dans un grand restaurant parisien pour fêter l’événement. Au dessert, Fatou sortit un cadeau de son sac. Mon cœur empli d’une émotion mal contenue, j’ouvris la petite boite et regardai surpris les deux femmes. C’était un minuscule string en dentelle rose. Fatou me demanda avec son charmant accent d’aller aux toilettes et de l’enfiler à la place du slip d'homme que je portais. Etrange impression que d’enfiler un string de femme dans des toilettes publiques. Cela me fit bander. Je rangeai difficilement mon sexe dans ce petit bout de dentelle. Au retour, les deux filles fixèrent mon ventre avec insistance. C’est ainsi que je commençai à porter de la lingerie de femme sous mes vêtements masculins.
A la suite de ce cadeau, Fatou jeta tous mes slips de mec et exigea que je porte dorénavant uniquement des culottes et des strings de femme en guise de sous-vêtement. A voir l’exaltation que cela engendra chez les deux filles, je ne leur refusai pas ce plaisir. Une nouvelle escalade de ma féminisation sans que je m'en rende compte tellement leur plaisir de porter ces fins tissus était partagé. Inconsciemment, j’éprouvai finalement une provocante délectation à extérioriser ma féminité de cette façon. Ces délicats tissus dans lesquelles je rangeais mon sexe m’érotisèrent beaucoup par la suite. Au point de ne plus pouvoir m'en passer. Oh bien sûr, je me posai des questions face à ces délires féminins. J’eus conscience d’entrer dans une spirale sans fin. Mais cela m’était trop agréable de me laisser aller au gré des fantasmes de Fatou et de Mariam.
Comme mon sexe avait tendance à déborder des strings féminins, l’entrejambe n’étant pas adapté au sexe des hommes, Fatou me montra comment le ranger dedans. Elle avait un ami travesti qui lui avait montré comment il faisait. Curiosité toute féminine ! Exit la protubérance typique des mâles à l'entrejambes ! Il fallait remonter les testicules dans le ventre, ce qui n’est pas facile au début, tirer la verge en arrière et coincer le tout avec un string bien serré pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme. Malgré la protubérance de mes testicules sur le pubis, cela faisait illusion. Quand je serrais les cuisses, mon sexe disparaissait complètement. Avec la peau des testicules qui débordait légèrement, cela suggérait les grandes lèvres d'un vagin. On pouvait alors croire à un pubis de femme. Une situation pour le moins inconfortable quand je m’asseyais brusquement, mes testicules se rappelant douloureusement à moi. Je finis par m’habituer à ranger mon sexe ainsi avec le temps.
Fatou voulut un jour que nous allions ensemble à la piscine dans un maillot de bain avec mon sexe justement caché entre mes cuisses. De voir le regard des femmes se poser sur mon bas-ventre sans relief l’amusa beaucoup. Moi j'étais moins fier. Heureusement, le temps se gâta et on dut s’abriter de la pluie.
Par la suite, j’eus plaisir à accompagner les filles dans les boutiques de lingerie fine. De voir ces montagnes de culottes et de strings de toutes les couleurs et de toutes les formes stimulait mon imagination. Fatou repérait toujours le minuscule string qui me convenait à merveille. Elle me provoquait parfois devant la vendeuse en me demandant mon avis. Gêné, je répondais gauchement.
A sa demande, je finis par acheter mes strings de femme seul malgré la réaction des vendeuses. « Encore un malade » devaient-elles penser. Cela se voyait à ce point dans mes yeux ? La vendeuse devinait que c'était pour moi, même si je précisais que c’était pour faire un cadeau à ma femme. Chacun savait que l'autre savait, mais aucun n'en parlait le premier. Certaines vendeuses, souvent des jeunes femmes sans expérience, étaient encore plus gênées que moi. Depuis, j’ai beaucoup moins d'appréhension et je m'amuse de l’expression surprise de certaines vendeuses. Avec l’expérience, j’ai remisé ces complexes au vestiaire tandis que les vendeuses se sont habituées à tous ces mecs qui achètent des petites culottes.
Je pris pour habitude de me rendre dans une petite boutique spécialisée. A cette époque la mode était aux minuscules strings à ficelle. Plus ils étaient mini et plus ils étaient chers d'ailleurs. Je raffolais de ces minuscules choses et ranger mon sexe dedans m'excitait beaucoup. La jeune vendeuse finit par savoir ce qui me plaisait. Elle me téléphonait dès qu'elle recevait des nouveautés et je ne résistais jamais à ses appels...
Avec le temps, mon attirance pour ces fins tissus ne fit que s’accroître. Mes tiroirs regorgèrent de dizaines de culottes et de strings, parfois microscopiques, que j’enfilai au gré de mes pulsions. Plus c’était petit et plus j’adorai. Chaque matin, j’hésitai longuement avant d'enfiler la petite culotte que je porterai pour la journée. Fatou la choisissait souvent pour moi. Et de ranger d’une main leste mon sexe qui en débordait me rappelait que je portais une lingerie de femme voulue par les deux filles. Par contre, Fatou m'interdit de mettre ses propres culottes. Elle disait que je les déformais...
Les filles, comme moi d'ailleurs, trouvèrent normal par la suite que je déambule dans l'appartement avec mon corps lisse juste revêtu d'un petit string qui mettait mes fesses en valeur. Sentir ces fines lingeries sur mon sexe épilé entretenait ma libido. Le renflement que faisaient mes attributs masculins sous le string ainsi que mes fesses dénudées excitaient beaucoup les filles. Elles ne pouvaient s'empêcher de toucher. Etre une poupée sexuelle dont ces dames abusaient à leur gré devint une habitude à laquelle je pris goût...
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